En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Filtrer

Type
Date
Auteur
Éditeur
Langue

Documents Wyszomiroki, Mélanie 1 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Le virus de l'immunodéficience féline est un rétrovirus touchant les chats. Sa prévalence en Europe du Nord est assez faible. La particularité de ce virus est qu'il reste plusieurs années en latence au sein des cellules immunitaires de l'animal ; l'infection peut donc rester subclinique pendant plusieurs années, augmentant ainsi sa transmission entre les chats. Le stade terminal de la maladie, appelé stade de l'immunodéficience, n'est constaté que chez une minorité de chats infectés par le FIV. La plupart des chats infectés par le FIV vont donc avoir une espérance de vie semblable aux autres chats. La mise en place des traitements chez les chats infectés n'est recommandée que lorsque des signes d'immunodéficience sont mis en évidence. L'objectif de cette enquête a été d'effectuer un état des lieux des différentes conduites diagnostiques tenues par les refuges en France, concernant à la fois le dépistage de l'infection et la prise en charge après un résultat positif. La comparaison de ces résultats avec les dernières recommandations met en évidence une bonne conduite des refuges en ce qui concerne l'hébergement des chats. Cependant, les conduites diagnostiques ne suivent pas toujours les dernières recommandations. Le recours à l'euthanasie reste encore élevé, notamment lorsque le chat (supposé) infecté par le FIV présente un mauvais état général. Cependant, les chiffres concernant les adoptions sont encourageants. Une très grande majorité de refuges proposent des chats (supposés) infectés par le FIV à l'adoption et en moyenne deux tiers de ces chats sont adoptés.[-]
Le virus de l'immunodéficience féline est un rétrovirus touchant les chats. Sa prévalence en Europe du Nord est assez faible. La particularité de ce virus est qu'il reste plusieurs années en latence au sein des cellules immunitaires de l'animal ; l'infection peut donc rester subclinique pendant plusieurs années, augmentant ainsi sa transmission entre les chats. Le stade terminal de la maladie, appelé stade de l'immunodéficience, n'est constaté ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur