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Documents Jolivet, L. 1 résultats

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Le développement rapide des chimiorésistances des parasites digestifs des bovins a remis en question l'utilisation systématique des médicaments antiparasitaires. Leur écotoxicité a elle aussi incité à envisager des alternatives pour gérer le risque parasitaire de manière raisonnée. L'objectif n'est pas de proscrire les anthelminthiques en élevage mais de limiter leur utilisation. Un usage réfléchi, conjuguant notamment adaptation de la conduite d'élevage, mesures zootechniques, appréciation visuelle des animaux ou à l'aide d'outils d'évaluation de l'infestation parasitaire, accompagné d'un recours progressif à des pistes prometteuses permettra de protéger durablement les bovins tout en s'intégrant dans les actuels enjeux écologiques et sociétaux. Dans cette étude, la composition d'un bolus à base de plantes, de minéraux et de vitamines a été étudiée et a révélé son intérêt théorique dans la gestion du parasitisme digestif des génisses laitières. Puis une étude clinique a été conduite sur 67 génisses durant leur première saison de pâturage. Les génisses témoins et traitées ne présentaient pas de différences significatives de prise de masse, de note d'état corporel, de qualité de poil, de consistance des bouses et d'excrétion fécale d'oeufs de parasites digestifs tout au long de la saison de pâturage. En revanche, le pepsinogène sérique des génisses traitées a été légèrement plus faible en milieu de saison de pâturage, ce qui traduit une plus faible infestation par les strongles de la caillette. Les résultats de cette étude sont encourageants dans la perspective de l'utilisation de compléments alimentaires à base de plantes en parallèle à l'usage raisonné des médicaments antiparasitaires, dans le cadre de la gestion du parasitisme digestif des bovins.[-]
Le développement rapide des chimiorésistances des parasites digestifs des bovins a remis en question l'utilisation systématique des médicaments antiparasitaires. Leur écotoxicité a elle aussi incité à envisager des alternatives pour gérer le risque parasitaire de manière raisonnée. L'objectif n'est pas de proscrire les anthelminthiques en élevage mais de limiter leur utilisation. Un usage réfléchi, conjuguant notamment adaptation de la conduite ...

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