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Le volume vésical résiduel, ou résidu post-mictionnel (RPM), correspond à la quantité d'urine dans la vessie après vidange vésicale. Sa mesure, encore peu développée chez les carnivores domestiques, représente un intérêt clinique important afin d'appréhender l'intégrité de la vidange vésicale. En médecine humaine, il a été prouvé qu'une persistance d'un RPM élevé est à l'origine d'hypotonie du détrusor ou encore favorise les infections du bas appareil urinaire et peut amener à des conséquences systémiques et une insuffisance rénale parfois mortelle. L'utilisation d'échographie 3D est standardisée en milieu hospitalier depuis le début des années 2000. Leur utilisation a notamment permis de définir un RPM pathologique à 100 mL chez l'Homme permettant une utilisation raisonnée du cathétérisme urétrale (Schnider et al., 2000). Minimiser l'usage de cathéters urétraux est un enjeu majeur à la fois sanitaire et économique. Cela permet ainsi de réduire les risques d'infection urinaire iatrogène secondaires au cathétérisme, responsable de 80% des infections urinaires en milieu hospitalier (Johansson et al., 2013). Actuellement la méthode de référence de mesure de RPM chez l'animal reste une technique invasive par cathétérisme urétral. Notre étude a permis de démontrer que l'utilisation du Portascan 3D MD-6000® peut être envisagée pour la mesure du volume vésical résiduel dans l'espèce canine sans différence relative significative. La précision de cet appareil semble cependant plus faible pour les volumes inférieurs à 100 mL avec notamment un écart entre nos deux méthodes de mesure pouvant aller jusqu'à 42,3%. Son utilisation dans l'espèce féline n'a pas été validée par nos travaux.[-]
Le volume vésical résiduel, ou résidu post-mictionnel (RPM), correspond à la quantité d'urine dans la vessie après vidange vésicale. Sa mesure, encore peu développée chez les carnivores domestiques, représente un intérêt clinique important afin d'appréhender l'intégrité de la vidange vésicale. En médecine humaine, il a été prouvé qu'une persistance d'un RPM élevé est à l'origine d'hypotonie du détrusor ou encore favorise les infections du bas ...

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H
L'électrophorèse des protéines urinaires est une méthode permettant de localiser l'atteinte d'une affection rénale en cas de protéinurie. Cette technique peu invasive et peu coûteuse est une étape intéressante de la démarche diagnostique et permettrait de suivre l'évolution d'affections rénales et l'efficacité de leur prise en charge sans risque majeur pour l'animal. Dans ce travail, un bilan des connaissances actuelles quant aux conditions pré-analytiques nécessaires à la réalisation d'une électrophorèse des protéines urinaires est présenté. Puis, dans un second temps, l'influence de deux alternatives au prélèvement des urines par cystocentèse –mode de collecte de référence chez l'animal de compagnie–sur l'électrophorèse des protéines urinaires sur gel d'agarose est évaluée. Cette étude, menée sur 57chiens, montre que l'interprétation du profil électrophorétique des protéines urinaires est identique selon que les prélèvements ont été réalisés par cystocentèse ou par miction après nettoyage de la zone uro-génitale, bien que certaines variables semblent pouvoir en influencer la lecture. Ainsi, la collecte des urines pour la réalisation d'électrophorèses de suivi semble pouvoir être réalisée directement par des propriétaires, en limitant le stress et les actes invasifs pour l'animal ainsi que le temps et le coût des examens pour les propriétaires. La prise en compte de données épidémiologiques et biologiques est cependant essentielle à la bonne interprétation des gels, quelle que soit la méthode de prélèvement des urines utilisée.[-]
L'électrophorèse des protéines urinaires est une méthode permettant de localiser l'atteinte d'une affection rénale en cas de protéinurie. Cette technique peu invasive et peu coûteuse est une étape intéressante de la démarche diagnostique et permettrait de suivre l'évolution d'affections rénales et l'efficacité de leur prise en charge sans risque majeur pour l'animal. Dans ce travail, un bilan des connaissances actuelles quant aux conditions ...

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L'incontinence urinaire chez le chien procède de nombreuses causes. On peut les classer selon qu'il s'agit d'affections neurogènes ou non neurogènes, congénitales ou acquises. Ces perturbations affectent l'organisation anatomique de l'appareil urinaire ou les mécanismes nerveux de régulation de la miction. Après des rappels anatomo-physiologiques, l'auteur répertories les principales maladies responsables de l'incontinence dans l'espèce canine ; L'établissement d'un diagnostic étiologique précis étant nécessaire, les éléments sémiologiques à rechercher et les examens complémentaires à disposition sont exposés (imagerie médicale et épreuves urodynamiques). Les possibilités thérapeutiques médicales et chirurgicales et les résultats que l'on peut en attendre sont décrits. Les principales techniques chirurgicales correctives de ces désordres sont illustrées.[-]
L'incontinence urinaire chez le chien procède de nombreuses causes. On peut les classer selon qu'il s'agit d'affections neurogènes ou non neurogènes, congénitales ou acquises. Ces perturbations affectent l'organisation anatomique de l'appareil urinaire ou les mécanismes nerveux de régulation de la miction. Après des rappels anatomo-physiologiques, l'auteur répertories les principales maladies responsables de l'incontinence dans l'espèce canine ; ...

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