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Les affections du système respiratoire sont des causes fréquentes de contre-performance chez le cheval. Il peut être très difficile d'identifier un cheval non performant atteint d'une pathologie respiratoire en l'absence d'autres symptômes. Dans cette étude, des prélèvements des voies respiratoires de 32 chevaux athlètes ont été réalisés afin de déterminer la fréquence de ces affections sous-jacentes affectant leurs performances. Un scoring de performance a été mis en place afin de comparer les résultats en course de différents chevaux sur la base de plusieurs critères complémentaires. Il est apparu que les affections respiratoires les plus fréquemment rencontrées était l'inflammation trachéale, puis l'asthme équin et enfin l'hémorragie pulmonaire induite à l'exercice. La prévalence des affections suivantes était plus élevée dans le groupe des chevaux de faible niveau de performance : inflammation trachéale (« Non performant » : 95% / « Performants » : 75%), bactériologie trachéale positive (« Non performant » : 30% / « Performants » : 17%) et enfin présence de mycoplasmes dans le LT (« Non performant » : 35% / « Performants » : 25%). Cependant, lors de l'étude statistique, aucune corrélation significative n'a été mise en évidence entre les différents résultats des analyses et le niveau de performance. Au sein de cette étude, les chevaux avec un cytodiagnostic compatible avec de l'asthme équin ou de l'HPIE et ceux dont les voies respiratoires étaient colonisées par des éléments fongiques n'appartenaient pas préférentiellement au groupe avec un faible niveau de performance, contrairement aux résultats pressentis. Les résultats de cette étude sont intéressants par la diversité des informations disponibles pour chaque individu. Cependant, le faible nombre de chevaux inclus dans l'étude crée des biais non négligeables lors de l'analyse statistique.
[-] Les affections du système respiratoire sont des causes fréquentes de contre-performance chez le cheval. Il peut être très difficile d'identifier un cheval non performant atteint d'une pathologie respiratoire en l'absence d'autres symptômes. Dans cette étude, des prélèvements des voies respiratoires de 32 chevaux athlètes ont été réalisés afin de déterminer la fréquence de ces affections sous-jacentes affectant leurs performances. Un scoring de ...
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L'étude est basée sur l'examen des données issues des analyses mycologiques réalisées au sein du laboratoire DPM de l'ENVN entre août 2017 et décembre 2017. Elle compare les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des dermatophytoses canines aux félines. Il en résulte que les chats sont plus souvent infectés que les chiens, avec une prédominance marquée pour M. canis. Chez le chien, la fréquence moindre de M. canis par rapport au chat est compensée par celles plus élevées de T. mentagrophytes, M. gyspeum et M. persicolor. Dans les deux espèces, les jeunes de moins de six mois sont les plus atteints. D'autres facteurs tels que le sexe de l'animal, son pelage ou encore sa localisation géographique jouent aussi un rôle important dans l'infection par les dermatophytes cependant les résultats diffèrent selon l'espèce étudiée. Les animaux infectés présentent plus souvent des lésions focales et, peu inflammatoires chez le chat et inflammatoires chez le chien. De manière générale, les chats se révèlent être à l'origine des contaminations animales et humaines.
[-] L'étude est basée sur l'examen des données issues des analyses mycologiques réalisées au sein du laboratoire DPM de l'ENVN entre août 2017 et décembre 2017. Elle compare les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des dermatophytoses canines aux félines. Il en résulte que les chats sont plus souvent infectés que les chiens, avec une prédominance marquée pour M. canis. Chez le chien, la fréquence moindre de M. canis par rapport au chat est ...
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Après une revue actualisée des dermatophytoses du cobaye, les résultats d'une étude rétrospective portant sur la période 2014-2017 sont étudiés. L'étude clinique repose sur 547 cas de T. porcellae, 96 cas de T. mentagrophytes et 9 cas de M. canis. Les jeunes cobayes (< 6 mois) sont principalement touchés. Les signes cliniques observés sont des dépilations, du squamosis et des croûtes. Les lésions sont majoritairement multiples et localisées sur la tête pour T. porcellae et T. mentagrophytes ; principalement uniques et localisées sur le tronc pour M. canis. Les suppurations sont rares mais statistiquement plus fréquentes lors de teigne à T. mentagrophytes (7%). Selon l'espèce isolée, entre 2 et 11% des cobayes sont asymptomatiques. Concernant la contagiosité, des contaminations animales ont eu lieu entre 20 et 33% et des contaminations humaines entre 17 et 22%, selon le dermatophyte. Les cobayes âgés de 7 à 12 mois ainsi que ceux ayant un pelage long semblent plus contagieux. Une dernière partie de l'étude s'intéresse aux traitements de la dermatophytose du cobaye (83 cas). Le protocole de traitement qui semble le plus efficace associe en topique de l'éniconazole dilué à de l'itraconazole administré en semaine alternée, pendant 6 semaines.
[-] Après une revue actualisée des dermatophytoses du cobaye, les résultats d'une étude rétrospective portant sur la période 2014-2017 sont étudiés. L'étude clinique repose sur 547 cas de T. porcellae, 96 cas de T. mentagrophytes et 9 cas de M. canis. Les jeunes cobayes (< 6 mois) sont principalement touchés. Les signes cliniques observés sont des dépilations, du squamosis et des croûtes. Les lésions sont majoritairement multiples et localisées sur ...
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Ces dernières années, les connaissances concernant les chiens ont considérablement augmenté de même que le nombre de textes publiés. La recherche d'informations utiles dont ont besoin étudiants et praticiens est donc devenue plus difficile. De même que les éditions précédentes de Canine Medicine, cette nouvelle édition Catcott apporte, en un ensemble, sous une forme agréable, toutes les idées importantes sur la médecine des chiens. Elle sera ainsi également utile aux étudiants qui ont besoin d'une source étendue d'informations de base, et aux praticiens qui désirent connaître les méthodes de traitement et de diagnostic les dernières et les plus efficaces.
Cela signifie que l'éditeur d'un tel ouvrage ne garde des éditions précédentes que ce qui reste encore de meilleur et qu'il restaure l'équilibre perdu par ce qu'il a enlevé, en apportant des idées nouvelles aux problèmes anciens. Ainsi cette édition de Canine medicine est essentiellement un nouvel ouvrage. Parmi, plus de 60 auteurs, chacun faisant autorité en son domaine, 31 sont nouveaux. Le matériel restant de l'édition précédente a été rigoureusement revu, remis à jour en tenant compte du développement considérable qu'a subi la médecine du chien ces dernières années. Le format et la matière ont été augmentés , le nombre d'illustrations s'est considérablement élevé et beaucoup d'anciennes figures ont été remplacées.
La médecine canine est de plus en plus élaborée, donc le praticiende plus en plus sollicité; de nombreuses techniques de traitement et de diagnostic des plus utiles de nos jours étaient encore inconnues il y a 8 ans lorsque l'édition précédente de Canine medicine a été publiée. Lorsqu'il choisit le nouveau matériel, et en rajeunit le vieux, organisele livre pour qu'il soit facilement compréhensible et que l'on y trouve une bibliographie toute prête, la finesse organisatrice et scientifique du Dr E.J Catott est évidente. Cet ouivrage de littérature vétérinaire à jour, couvrant la totalité des meilleures informations sur la médecine du chien, sera un supllément bien venu dans la bibliothèque de travail de chaque vétérinaire, qu'il soigne peu ou beaucoup de chiens.
[-] Ces dernières années, les connaissances concernant les chiens ont considérablement augmenté de même que le nombre de textes publiés. La recherche d'informations utiles dont ont besoin étudiants et praticiens est donc devenue plus difficile. De même que les éditions précédentes de Canine Medicine, cette nouvelle édition Catcott apporte, en un ensemble, sous une forme agréable, toutes les idées importantes sur la médecine des chiens. Elle sera ...
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