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Les carnivores domestiques, et plus particulièrement les chiens, représentent l'une des menaces majeures pour la biodiversité à l'échelle mondiale. À Madagascar, de nombreuses études ont déjà montré l'impact de ces animaux sur la faune locale, notamment sur les carnivores endémiques, les oiseaux et les lémuriens. Dans les forêts secondaires de bambous dégradées présentes autour du village de Vohitrarivo, où vivent des populations de grands hapalémurs suivies par l'association Helpsimus, la question de la menace « chiens » s'est donc posée. Une étude centrée sur 5 points, chacun correspondant à une prédiction de perturbation que l'on s'attendrait à retrouver chez des animaux soumis à un risque, a été mise en place. En premier lieu, le suivi focal d'un groupe considéré comme fortement perturbé par la présence des chiens a permis de révéler un changement dans les comportements des lémuriens lors de rencontres interspécifiques, mais que ces événements restaient exceptionnels sur une échelle temporelle quotidienne. Le suivi par colliers GPS et camera-traps a montré une présence très faible des chiens sur le domaine vital des grands hapalémurs et peu de rencontres entre les deux espèces. Enfin, des analyses coprologiques n'ont pas révélé de parasites communs entre les chiens et les lémuriens et ont donc invalidé l'hypothèse d'une pression parasitaire exercée par les premiers sur les seconds. La prévalence et l'intensité parasitaire étaient également significativement plus faibles chez les grands hapalémurs que chez les chiens. Les résultats de cette étude pré liminaire réalisée sur un unique groupe indiqueraient alors que la menace des chiens sur les populations de grands hapalémurs ne prévoit pas les changements attendus sous l'hypothèse d'une « forte perturbation » et qu'elle est donc acceptable. La perturbation « chiens » se cantonnerait à des événements très ponctuels mais intenses, et aucune mesure majeure ne devrait ainsi être prise à l'égard des chiens dans les villages autour de la zone d'étude, d'autant plus qu'une enquête par questionnaire a montré que la majorité des villageois interrogés étaient favorables à la présence des chiens et les considéraient comme utiles.[-]
Les carnivores domestiques, et plus particulièrement les chiens, représentent l'une des menaces majeures pour la biodiversité à l'échelle mondiale. À Madagascar, de nombreuses études ont déjà montré l'impact de ces animaux sur la faune locale, notamment sur les carnivores endémiques, les oiseaux et les lémuriens. Dans les forêts secondaires de bambous dégradées présentes autour du village de Vohitrarivo, où vivent des populations de grands ...

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Cette étude a pour objectifs de décrire et de réaliser un atlas anatomique des os et des muscles composant les membres thoracique et pelvien d'une espèce de Primates, le Lemur catta ou Maki catta). En effet, bien que fréquemment rencontrée en parc zoologique, peu de publications récentes ont décrites cette espèce du point de vue anatomique. De ce fait, à l'aide de nombreuses recherches bibliographiques, de dissections, d'examens tomodensitométriques et de comparaisons avec une espèce quadrupède (Canis lupus familiaris) et bipède (Homo sapiens), cette étude propose la réalisation d'un atlas anatomique de l'ostéo-myologie des membres thoracique et pelvien du Lemur catta, permettant de mettre en relation son mode de vie et de locomotion mais aussi d'enrichir les connaissances que nous avons de cette espèce afin notamment de constituer un support pour une application clinique. Ainsi, le Lemur catta présente des membres adaptés à son mode de vie et de locomotion quadrupède arboricole et terrestre, de par la conformation et la disposition de certaines pièces osseuses mais aussi le développement de certains muscles. Bien qu'appartenant au même ordre que notre espèce, le Lemur catta présente des particularités propres à son groupe monophylétique mais aussi communes à d'autres Mammifères quadrupèdes terrestres tels que le Chien, qui en font une espèce unique en son genre.[-]
Cette étude a pour objectifs de décrire et de réaliser un atlas anatomique des os et des muscles composant les membres thoracique et pelvien d'une espèce de Primates, le Lemur catta ou Maki catta). En effet, bien que fréquemment rencontrée en parc zoologique, peu de publications récentes ont décrites cette espèce du point de vue anatomique. De ce fait, à l'aide de nombreuses recherches bibliographiques, de dissections, d'examens tomoden...

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Les menaces pesant actuellement sur les forêts de Madagascar rendent critique la survie de la faune endémique de l'île en particulier celle des lémuriens du genre Eulemur. En parc zoologique, six espèces du genre Eulemur font ainsi l'objet de mesures particulières et intensives de protection au sein d'EEPs. L'élaboration du futur guide européen des bonnes pratiques d'élevage permettra d'harmoniser et de diffuser les connaissances sur ces animaux. Ainsi, cette thèse constitue une contribution à la rédaction de ce futur guide de l'EAZA via la récolte de données sur les maladies de ces espèces en captivité. Pour ce faire, un questionnaire a été créé et partagé auprès de l'ensemble des parcs zoologiques européens détenteurs d'une ou plusieurs de ces 6 espèces. Bien que le taux de participation n'ait été que de 40%, de nombreuses informations inédites ont pu être obtenues. D'une part, les plaies, les affections néonatales et les atteintes musculo-squelettiques ont représenté les atteintes les plus fréquemment décrites tandis que les maladies respiratoires et endocriniennes n'ont été que peu mentionnées. D'autre part, certains cas cliniques décrits par les participants ont constitué des premières descriptions de maladies chez les espèces du genre Eulemur. Enfin, cette étude a apporté de nombreuses connaissances sur les protocoles de vaccination, de vermifugation d'anesthésie et d'entrainement médical qui seront utiles pour la réalisation du guide pratique.[-]
Les menaces pesant actuellement sur les forêts de Madagascar rendent critique la survie de la faune endémique de l'île en particulier celle des lémuriens du genre Eulemur. En parc zoologique, six espèces du genre Eulemur font ainsi l'objet de mesures particulières et intensives de protection au sein d'EEPs. L'élaboration du futur guide européen des bonnes pratiques d'élevage permettra d'harmoniser et de diffuser les connaissances sur ces ...

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La zoopharmacognosie, étude des comportements « d'automédication » chez les animaux, est fondée sur des observations de terrain suggérant que les animaux sauvages utilisent des plantes possédant des propriétés biologiques pouvant leur être bénéfiques. Afin de vérifier s'il existe une forme « d'auto-vermifugation » chez Eulemur fulvus en milieu naturel, nous avons étudié le comportement alimentaire de ce lémurien sur trois sites de Mayotte (forêt sèche et humide). Puis des activités antiparasitaires ont été recherchées dans les plantes qu'il consomme, parallèlement à une étude coprologique sur 112 selles. Suite aux essais biologiques sur trois parasites (Rhabditis pseudoelongata, Entamoeba invadens et Trichomonas vaginalis), 4 plantes du régime naturel 2/3frugivore-1/3folivore de ce primate présentent une activité antiparasitaire. Certaines sont consommées régulièrement (Annona squamosa et Mimusops comorensis représentent 15% et 30% du régime alimentaire en forêt sèche), et d'autres plus ponctuellement (lxora cremixora et Syzygium jambos). La coprologie indique que l'infestation parasitaire des lémuriens est comparable sur les sites où l'alimentation est naturelle, caractérisée par 2/3 des selles infestées par des oxyures Callistoura et 1/3 par des Lemuricola. En revanche, lorsque l'alimentation est assistée par l'homme, le niveau d'infestation est plus important, avec une prévalence de selles infestées supérieure de 20% par rapport à un site où l'alimentation est naturelle. Grâce à une alimentation diversifiée et équilibrée, comprenant la consommation régulière de plantes antiparasitaires, le lémurien de Mayotte limiterait les infestations parasitaires digestives à un niveau respectant l'équilibre hôte-parasite. Cependant, en l'absence de comportement spécifique pouvant être associé à un acte thérapeutique volontaire, il est délicat de parler « d'automédication ».[-]
La zoopharmacognosie, étude des comportements « d'automédication » chez les animaux, est fondée sur des observations de terrain suggérant que les animaux sauvages utilisent des plantes possédant des propriétés biologiques pouvant leur être bénéfiques. Afin de vérifier s'il existe une forme « d'auto-vermifugation » chez Eulemur fulvus en milieu naturel, nous avons étudié le comportement alimentaire de ce lémurien sur trois sites de Mayotte (forêt ...

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Primatologie H

| PRIMATOLOGIE ; Société francophone de primatologie | 1998-2004

N°spécial | Cote : 101034

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