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La mortalité néonatale et pédiatrique représente une problématique importante dans l'élevage canin, tant en raison de sa fréquence que de ses répercussions sur le bien-être animal et l'économie des élevages. Ce travail se divise en deux volets. Le premier volet décrit et analyse l'expression clinique ante mortem de 1685 chiots décédés entre 0 et 6 mois. Il étudie les symptômes avant le décès, les systèmes corporels affectés et la durée des signes cliniques. Les résultats montrent que 55 % des décès surviennent au cours du premier mois de vie. Parmi les chiots âgés de 0 à 7 jours, 50 % présentaient des symptômes avant la mort, et 98 % de ces chiots ont eu des symptômes durant moins de cinq jours. En revanche, pour les chiots âgés de 2 mois ou plus, 80 % avaient des symptômes ante mortem et, dans 75 % des cas, ces signes cliniques duraient moins de cinq jours. L'évolution avant le décès est rapide : 85 % des chiots symptomatiques présentent des signes cliniques pendant moins de cinq jours. Le second volet de l'étude porte sur la recherche systématique de quatre agents pathogènes (Brucella sp., Neospora caninum, CHV1 et CPV1) par PCR chez des chiots morts entre 0 et 1 mois. Les prévalences observées sont les suivantes : 0,0 % pour Brucella sp. (0/831), 0,1 % pour Neospora caninum (1/817), 9,5 % pour CHV1 (86/909) et 5,3 % pour CPV1 (46/870). Les chiots positifs pour CPV1 (n=42) ne diffèrent pas des chiots négatifs pour tous les pathogènes (n=699) en ce qui concerne le sexe, l'âge au décès, la proportion de chiots symptomatiques, la durée des symptômes avant la mort. Les chiots positifs pour CHV1 (n=73) se distinguent uniquement par l'âge au décès : 28 % sont morts avant 5 jours, contre 69 % pour les autres (p<0,001). En conclusion, l'apparition de symptômes chez un chiot nécessite une prise en charge d'urgence. Quant aux causes de mortalité néonatale, elles sont principalement d'origine bactérienne non spécifique ou dues à des agents pathogènes spécifiques encore inconnus.[-]
La mortalité néonatale et pédiatrique représente une problématique importante dans l'élevage canin, tant en raison de sa fréquence que de ses répercussions sur le bien-être animal et l'économie des élevages. Ce travail se divise en deux volets. Le premier volet décrit et analyse l'expression clinique ante mortem de 1685 chiots décédés entre 0 et 6 mois. Il étudie les symptômes avant le décès, les systèmes corporels affectés et la durée des ...

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Small animal medical differential diagnosis : a book of lists

Thompson, Mark S. | 4th edition | Elsevier | 2023

Livre | Cote : S-02-04-56D

Pocket-sized and concise, Small Animal Medical Differential Diagnosis: A Book of Lists, 4th Edition, is the essential reference to facilitate rapid diagnosis of medical problems in dogs and cats. This portable, manageable guide covers the differential diagnosis, etiology, clinical signs, and relevant laboratory abnormalities of the most common conditions you will encounter in small animal practice. Historical, clinical, and laboratory findings for many of these diseases are also included in a separate section. Small Animal Medical Differential Diagnosis facilitates reliable point-of-care decisions, providing instant access to the critical data you need to make accurate diagnoses and enabling effective, focused treatment planning. With new lists and an eBook included with print purchase, this is the reference no small animal practice should be without![-]
Pocket-sized and concise, Small Animal Medical Differential Diagnosis: A Book of Lists, 4th Edition, is the essential reference to facilitate rapid diagnosis of medical problems in dogs and cats. This portable, manageable guide covers the differential diagnosis, etiology, clinical signs, and relevant laboratory abnormalities of the most common conditions you will encounter in small animal practice. Historical, clinical, and laboratory findings ...

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L'hypercorticisme spontané est une dysendocrinie étudiée depuis plusieurs décennies chez l'espèce canine. Sa détection et le tableau clinique associé semblent toutefois similaires au fil du temps, avec des fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques non statistiquement différentes entre les études anciennes et récentes. La prise en charge médicale de la maladie de Cushing a quant à elle évolué tant dans le choix de la molécule, avec l'utilisation du trilostane à la place du mitotane, que dans la dose de trilostane employée qui a diminué et dans la fréquence d'administration passant de une à deux prises quotidiennes. Les chiens atteints de la maladie de Cushing et présentés au CHUVAC entre 2000 et 2021 ne montrent également aucune évolution dans les fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques. Le trilostane est davantage employé pour la période 2011-2021 que pour la période 2000-2010, et notre étude montre une diminution de la dose employée à l'initiation du traitement en passant de 5,42 mg/kg/j pour la période 2000-2010 à 1,85 mg/kg/j pour la période 2011-2021.[-]
L'hypercorticisme spontané est une dysendocrinie étudiée depuis plusieurs décennies chez l'espèce canine. Sa détection et le tableau clinique associé semblent toutefois similaires au fil du temps, avec des fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques non statistiquement différentes entre les études anciennes et récentes. La prise en charge médicale de la maladie de Cushing a quant à elle évolué tant dans le choix de la ...

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Le lymphome chez le cheval est une maladie complexe, assez rare, de plus sous-diagnostiquée ce qui limite les connaissances scientifiques de celle-ci. Cela rend alors plus difficile le succès des diagnostics et traitements de cette maladie, qui sont en pratique encore très peu réalisés. C'est pour cela qu'une recherche bibliographique concernant les différentes méthodes de diagnostic et de traitement des lymphomes chez le cheval a été réalisée afin de mettre en lumière les différentes techniques développées. Dans le but de faciliter le diagnostic du lymphome chez le cheval, nous avons ensuite réalisé une étude rétrospective concernant les signes cliniques et paracliniques présentés chez les chevaux rencontrés à la Clinéquine entre le 30 janvier 2003 et le 21 janvier 2023. Nous avons montré que les signes cliniques d'appel étaient le plus souvent l'amaigrissement sévère et chronique, l'hyperthermie, la diarrhée et la présence de masses visibles a l'œil nu. Cependant la plupart du temps les signes cliniques présentés sont très peu spécifiques de cette maladie. Nous avons remarqué que les signes cliniques les plus fréquents sont la plupart du temps peu spécifiques d'un type de lymphome contrairement aux signes cliniques rares à très rares qui sont plus spécifiques d'organes ou de groupes d'organes touchés par la maladie. Certains examens complémentaires comme l'examen échographique, cytologique ou histologique, ne sont pas à négliger car ils sont d'une grande aide concernant le diagnostic du lymphome. Dans tous les cas, le lymphome est à considérer comme hypothèse probable dans de nombreuses consultations.[-]
Le lymphome chez le cheval est une maladie complexe, assez rare, de plus sous-diagnostiquée ce qui limite les connaissances scientifiques de celle-ci. Cela rend alors plus difficile le succès des diagnostics et traitements de cette maladie, qui sont en pratique encore très peu réalisés. C'est pour cela qu'une recherche bibliographique concernant les différentes méthodes de diagnostic et de traitement des lymphomes chez le cheval a été réalisée ...

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Greene's Infectious Diseases of the Dog and Cat, 5th Edition provides a comprehensive, clinically useful reference on the management of infectious diseases caused by viruses, bacteria (including rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, and spirochetes), fungi, algae, protozoa, parasites, and other atypical agents. Each section guides the reader through diagnostic testing for specific infectious diseases, from specimen collection to laboratory submission to interpretation of results to appropriate treatment measures. Full-color illustrations and hundreds of tables provide convenient access to diagnostic and therapeutic recommendations, along with the appropriate drug dosages for effective treatment and prevention. A fully searchable enhanced eBook version is included with print purchase, allowing access to all of the text and figures on a variety of digital devices.[-]
Greene's Infectious Diseases of the Dog and Cat, 5th Edition provides a comprehensive, clinically useful reference on the management of infectious diseases caused by viruses, bacteria (including rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, and spirochetes), fungi, algae, protozoa, parasites, and other atypical agents. Each section guides the reader through diagnostic testing for specific infectious diseases, from specimen collection to laboratory ...

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1/ L'hypothalamus et l'hypophyse
2/ La thyroïde
3/ Calcium et parathyroïde
4/ Surrénales
5/ Le pancréas endocrine

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Cette étude clinique prospective menée sur 24 chiens atteints d'un syndrome obstructif respiratoire des races brachycéphales (SORB) s'intéressait à l'évolution des signes cliniques après une chirurgie correctrice. L'utilisation de scores cliniques personnels à destination du propriétaire et du vétérinaire, la réalisation d'un 6 minutes walking test (6MWT) et l'exploitation d'un score radio-endoscopique ont permis d'évaluer précisément les lésions associées au SORB et leurs conséquences cliniques ainsi que l'évolution fonctionnelle après une intervention chirurgicale. Des scores cliniques propriétaire et vétérinaire ainsi qu'un 6MWT préopératoires ont été réalisés sur l'ensemble des chiens recrutés. Une endoscopie préopératoire a été effectuée chez dix chiens. Sept chiens ont également réalisé un 6MWT plus de deux mois après la chirurgie. Ce travail a permis d'établir une augmentation significative de la distance parcourue lors d'un 6MWT par les chiens brachycéphales après un traitement chirurgical (p = 0,04) ainsi qu'une diminution significative du nombre de degrés de température (ΔT) et du nombre de points de fréquence cardiaque pris après six minutes de marche après la chirurgie (p = 0,04 et p = 0,03 respectivement). Une diminution significative des scores cliniques propriétaire et vétérinaire a également été observée après la chirurgie (p = 0,02 et p = 0,05 respectivement). Nous avons en outre mis en évidence une corrélation statistique entre le ΔT des chiens brachycéphales et le score clinique propriétaire (p = 0,02). Enfin, nous avons montré que le 6MWT était un test reproductible dans le cadre de l'étude de l'intolérance à l'effort des chiens brachycéphales. La réalisation d'un 6MWT lors de la consultation vaccinale annuelle d'un chien brachycéphale pourrait s'avérer pertinente afin de détecter précocement le développement d'une intolérance à l'effort. Une endoscopie respiratoire évaluant les différentes lésions associées au SORB devrait par la suite être systématiquement proposée au propriétaire.[-]
Cette étude clinique prospective menée sur 24 chiens atteints d'un syndrome obstructif respiratoire des races brachycéphales (SORB) s'intéressait à l'évolution des signes cliniques après une chirurgie correctrice. L'utilisation de scores cliniques personnels à destination du propriétaire et du vétérinaire, la réalisation d'un 6 minutes walking test (6MWT) et l'exploitation d'un score radio-endoscopique ont permis d'évaluer précisément les ...

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La fièvre catarrhale ovine (FCO) à sérotype 8 est une maladie virale à transmission vectorielle, par des culicoïdes, qui a provoqué une épizootie majeure en 2006 en Europe. Des études ont montré que la transmission transplacentaire de ce sérotype existait, et qu'elle pouvait conduire à des avortements ainsi qu'à des signes neurologiques chez le veau nouveau-né. Le BTV-8 est réapparu en France en 2015 et semblait alors provoquer peu de signes cliniques, bien que le génome de la souche circulante soit quasiment identique à celui de la souche ayant circulée en 2006 sur le territoire français. Cependant, des cas de veaux nouveau-nés présentant des signes neurologiques et des malformations congénitales ont été déclarés dans certains départements entre décembre 2018 et avril 2019. Ce travail avait pour objectif d'étudier les signes cliniques présentés par ces veaux, et leurs liens avec une possible infection par le BTV-8. Les analyses RT-PCR d'échantillons sanguins provenant de ces veaux ont permis d'obtenir 580 résultats positifs dans les laboratoires départementaux, et 544 d'entre eux ont été confirmés par l'ANSES Maisons-Alfort, laboratoire national de référence pour la FCO. Des veaux infectés par le BTV-8 ont été recensés dans 13 départements. La présence du virus de Schmallenberg et du virus de la diarrhée virale bovine (BVD), deux maladies majeures du diagnostic différentiel du veau nouveau-né présentant des signes cliniques neurologiques, a été testée sur 188 prélèvements ; quatre d'entre eux sont revenus positifs pour la BVD. Les signes cliniques observés chez les veaux infectés par le BTV-8 ont été étudiés pour 244 veaux, à partir de fiches de commémoratifs renseignés par les vétérinaires. Les signes les plus fréquemment recensés étaient les signes neurologiques (81 %), la cécité (72 %) et la diminution ou l'absence de réflexe de succion (40 %). L'hydranencéphalie et la microphtalmie, malformations fréquemment rencontrées chez le veau infecté in utero par le BTV-8, ont été décrit chez 19 veaux. Ces résultats montrent que la souche réémergente du BTV-8 peut traverser la barrière placentaire et provoquer des signes cliniques neurologiques ainsi que des malformations chez le veau nouveau-né.[-]
La fièvre catarrhale ovine (FCO) à sérotype 8 est une maladie virale à transmission vectorielle, par des culicoïdes, qui a provoqué une épizootie majeure en 2006 en Europe. Des études ont montré que la transmission transplacentaire de ce sérotype existait, et qu'elle pouvait conduire à des avortements ainsi qu'à des signes neurologiques chez le veau nouveau-né. Le BTV-8 est réapparu en France en 2015 et semblait alors provoquer peu de signes ...

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L'hyperthyroïdie féline est la maladie endocrinienne la plus fréquente chez le chat âgé, dont la sécrétion excessive et autonome d'hormones thyroïdiennes est à l'origine d'une thyréotoxicose. Depuis sa première description en 1979 par le docteur Peterson, les présentations cliniques des chats ont évolué. Une seule étude entre 1983 et 1993 (Broussard et Peterson, 1995) s'est intéressée à l'évolution de la présentation clinique des chats hyperthyroïdiens, montrant que la fréquence et la sévérité de certains signes cliniques diminuaient au cours du temps. Par analogie avec cette étude, notre objectif était d'évaluer l'évolution de la présentation clinique et des modalités diagnostiques des chats diagnostiqués hyperthyroïdiens au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre 2004 et 2018. Nos hypothèses étaient qu'au cours du temps, le nombre de chats diagnostiqués hyperthyroïdiens en seconde intention diminuait, que les chats présentaient des formes cliniques plus subtiles associant peu de signes cliniques, que la thyroxinémie au moment du diagnostic diminuait et que celle-ci n'est pas toujours contributive au diagnostic, nécessitant un recours accru au dosage de la T4 libre après dialyse, de la TSH ou à la scintigraphie thyroïdienne. Enfin, on supposait que les dosages administrés en antithyroïdiens de synthèse pour traiter les chats sur le long cours étaient plus faibles. Au total, 396 chats ont été inclus dans l'étude et répartis en une population 1 (107 chats entre 2004 et 2010) et 2 (289 chats entre 2011 et 2018). Dans notre étude, le nombre de cas diagnostiqués en seconde intention n'a pas augmenté. Les chats de la population 1 présentaient davantage de nodules thyroïdiens (86 % vs 66,4 %), de comportements alimentaires anormaux (85 % vs 66,8 %), de souffles cardiaques (70,1 % vs 59,2 %) et d'hypertension artérielle systémique (56,1 % vs 36,3 %) que les chats de la population 2 à la présentation plus fruste avec majoritairement des anomalies cardiovasculaires (93,1 % vs 83,2 %) dont une tachycardie (89,3 % vs 75,7 %). Les valeurs médianes de T4 totale au moment du diagnostic étaient similaires entre les 2 populations (103 nmol/L vs 100 nmol/L). En revanche, davantage de chats de la population 2 (36,7 % vs 25,5 %) présentaient une augmentation légère à modérée de la thyroxinémie . Les chats de la population 2 recevaient des doses en thiamazole plus faibles aussi bien au moment de l'initiation du traitement (< 10 mg/j) que lors de son entretien (< 5 mg/j) que les chats de la population 1 (doses supérieures ou égales à 10 mg/j pour initier le traitement et l'entretien). Il semble que les chats présentent des formes de plus en plus frustes de la maladie. Ainsi, le dosage de la T4 libre après dialyse ou de la TSH ainsi que la réalisation d'une scintigraphie en complément de la T4 totale devraient se systématiser afin de détecter les chats hyperthyroïdiens précocement.[-]
L'hyperthyroïdie féline est la maladie endocrinienne la plus fréquente chez le chat âgé, dont la sécrétion excessive et autonome d'hormones thyroïdiennes est à l'origine d'une thyréotoxicose. Depuis sa première description en 1979 par le docteur Peterson, les présentations cliniques des chats ont évolué. Une seule étude entre 1983 et 1993 (Broussard et Peterson, 1995) s'est intéressée à l'évolution de la présentation clinique des chats ...

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Les diarrhées de sevrage constituent un processus complexe en élevage canin, résultant de l'interaction de différents facteurs, comme la présence d'entéropathogènes tel que le parvovirus CPV-2 ou le coronavirus CCV. Notre étude, réalisée sur 145 chiots de 6 races différentes dans un élevage, s'est intéressée à une co-infection spontanée de ces deux pathogènes et a évalué l'excrétion virale fécale mesurée par PCR sur écouvillon rectal, et les répercussions cliniques. La cinétique d'excrétion du parvovirus et du coronavirus s'est révélée différente, le CPV-2 n'étant excrété que durant un pic d'excrétion et le CCV restant excrété sur un plateau de plusieurs semaines. Le taux de morbidité est lié à la charge virale excrétée des deux virus, avec un seuil d'excrétion pathologique en parvovirus à 106 copies/écouvillon. Les chiots de grande race excrètent les virus en quantité plus importantes et ont un taux de morbidité supérieur. L'impact du déficit immunitaire systémique et de l'immunité digestive sur la charge excrétée et l'expression clinique pourrait alors être intéressant à étudier.[-]
Les diarrhées de sevrage constituent un processus complexe en élevage canin, résultant de l'interaction de différents facteurs, comme la présence d'entéropathogènes tel que le parvovirus CPV-2 ou le coronavirus CCV. Notre étude, réalisée sur 145 chiots de 6 races différentes dans un élevage, s'est intéressée à une co-infection spontanée de ces deux pathogènes et a évalué l'excrétion virale fécale mesurée par PCR sur écouvillon rectal, et les ...

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Infectious diseases of the dog and cat

Greene, Craig E. ; Sykes, Jane E. | 4th edition | Saunders Elsevier | 2012

Livre | Cote : M-01-04-05D

The definitive reference for the diagnosis, treatment, and prevention of small animal infections, Infectious Diseases of the Dog and Cat, 4th Edition delivers current, comprehensive information essential to the management of infectious diseases caused by viruses, rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, bacteria, fungi, algae, protozoa, and unknown agents. Each section guides you through diagnostic testing for specific microorganisms, from sample collection to laboratory submission to interpretation of results, then details appropriate treatment measures and pharmacologic considerations for the various related infections. Full-color illustrations and hundreds of tables provide quick, convenient access to diagnostic and therapeutic guidelines, and thoroughly updated drug information helps you confidently administer appropriate dosages for the most effective treatment and prevention.[-]
The definitive reference for the diagnosis, treatment, and prevention of small animal infections, Infectious Diseases of the Dog and Cat, 4th Edition delivers current, comprehensive information essential to the management of infectious diseases caused by viruses, rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, bacteria, fungi, algae, protozoa, and unknown agents. Each section guides you through diagnostic testing for specific microorganisms, from sample ...

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