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Nous avons tenté de mettre au point une méthode permettant d'évaluer la réponse vaccinale à médiation cellulaire chez le chien. Pour cela, nous avons utilisé des animaux de tout âge vaccinés contre le parvovirus canin. Dans un premier temps, l'objectif était de stimuler du sang total. Pour cela nous avons mélangé au sang, des peptides de parvovirus canin à différentes concentrations. Ensuite, afin d'évaluer la réponse immunitaire à médiation cellulaire, nous avons mesuré, par RT-qPCR, la quantité d'ARN du gène CXCL10. Les résultats n'étant pas concluants il a été décidé de réitérer l'expérience en isolant au préalable les PBMC. Aucune différence significative n'a été notée entre le témoin non stimulé et les échantillons stimulés. Nous avons donc conclu que la stimulation de sang total ou de PBMC, chez le chien, ne permet pas d'évaluer la réponse vaccinale à médiation cellulaire probablement en raison d'une absence de cellules immunitaires circulantes dirigées contre l'agent vaccinal., We set out to develop a method for assessing the cell-mediated vaccine response in dogs. To this end, we used animals of all ages vaccinated against canine parvovirus. Initially, the aim was to stimulate whole blood. To achieve this, we mixed canine parvovirus peptides at different concentrations with the blood. Then, to assess the cell-mediated immune response, we measured the amount of CXCL10 gene RNA by RT-qPCR. As the results were inconclusive, we decided to repeat the experiment, isolating PBMCs beforehand. No significant difference was observed between the unstimulated control and the stimulated samples. We therefore concluded that stimulation of whole blood or PBMC in dogs does not allow assessment of the cell-mediated vaccine response, probably due to the absence of circulating immune cells directed against the vaccine agent.
[-] Nous avons tenté de mettre au point une méthode permettant d'évaluer la réponse vaccinale à médiation cellulaire chez le chien. Pour cela, nous avons utilisé des animaux de tout âge vaccinés contre le parvovirus canin. Dans un premier temps, l'objectif était de stimuler du sang total. Pour cela nous avons mélangé au sang, des peptides de parvovirus canin à différentes concentrations. Ensuite, afin d'évaluer la réponse immunitaire à médiation ...
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La maladie d'Aujeszky est un véritable fléau pour les chiens de chasse. Ceux-ci, se contaminant par contacts lors de la chasse aux sangliers, ou par consommation de produits carnés de sangliers, développent des signes cliniques neurologiques graves et un prurit excessif au niveau de la face, jusqu'à leur mort rapide en 24 à 48 heures. Aucun traitement n'existe contre cette affection et aucun vaccin n'est disponible pour les chiens. Néanmoins, en France, une autorisation temporaire d'utilisation permet la vaccination des chiens avec le vaccin AUSKIPRA BK, initialement destiné aux porcs. Dans le département de l'Aube, une campagne de vaccination des chiens de chasse a été menée au cours des saisons de chasse 2021-2022 et 2022-2023. Cette thèse s'intéresse à l'évaluation de l'efficacité et de l'innocuité de ce vaccin chez les chiens, en s'appuyant sur les données alors recueillies lors de ces campagnes, en plus d'apprécier la circulation du virus de la maladie d'Aujeszky chez les sangliers de la zone étudiée. Les résultats de cette étude ont montré une séroprévalence de cette affection proche de 20 % au sein de l'échantillon de sangliers étudié. Quant aux chiens, l'immunogénicité du vaccin a été confirmée, mais les anticorps protecteurs produits ne semblent persister que peu de temps (pas plus de six mois). L'immunité cellulaire n'a quant à elle pas pu être évaluée. De plus, près de 50 % des chiens vaccinés ont manifesté des effets indésirables (tous confondus), néanmoins sans gravité quant à leur survie. Finalement, cette étude mériterait d'être poursuivie afin de préciser ces premiers résultats encourageants et d'acquérir de nouvelles données.
[-] La maladie d'Aujeszky est un véritable fléau pour les chiens de chasse. Ceux-ci, se contaminant par contacts lors de la chasse aux sangliers, ou par consommation de produits carnés de sangliers, développent des signes cliniques neurologiques graves et un prurit excessif au niveau de la face, jusqu'à leur mort rapide en 24 à 48 heures. Aucun traitement n'existe contre cette affection et aucun vaccin n'est disponible pour les chiens. Néanmoins, en ...
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Les virus influenza aviaires H5 représentent une préoccupation majeure pour les autorités sanitaires mondiales. Ils sont un danger à la fois pour les filières d'élevages et pour la santé publique. Leur contrôle, que ce soit par des mesures sanitaires ou par la vaccination, a été un enjeu capital dans tous les pays touchés. Cette étude bibliographique a pour objectif d'évaluer l'efficacité des vaccins basés sur des souches H5 utilisées sur le terrain. Nous avons regroupé les résultats de nombreuses études portant sur plusieurs vaccins inactivés, issus de techniques de génétique inverse ou vectorisés. Pour chaque vaccin, nous avons regroupé les données du corrélat de protection qu'est l'inhibition de l'hémagglutination, de la protection contre la mortalité et de l'impact sur l'excrétion virale des animaux vaccinés. Les résultats nous montrent que la dérive antigénique des virus influenza est un obstacle important à l'efficacité des vaccins qui diminue avec l'évolution des souches circulantes. La stratégie vaccinale la plus adaptée pour répondre aux virus influenza aviaire H5 serait donc l'utilisation de vaccins pour lesquels l'antigène exprimé est facilement adaptable à la souche identifiée sur le terrain. Pour cela, le vaccin doit permettre une application efficace des stratégies DIVA. Cependant, aucune stratégie vaccinale ne peut fonctionner sans être associée à des mesures sanitaires strictes.
[-] Les virus influenza aviaires H5 représentent une préoccupation majeure pour les autorités sanitaires mondiales. Ils sont un danger à la fois pour les filières d'élevages et pour la santé publique. Leur contrôle, que ce soit par des mesures sanitaires ou par la vaccination, a été un enjeu capital dans tous les pays touchés. Cette étude bibliographique a pour objectif d'évaluer l'efficacité des vaccins basés sur des souches H5 utilisées sur le ...
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Les vaccins sont une technologie ayant contribué à améliorer grandement l'espérance de vie des Hommes et des animaux. La vaccination consiste à inoculer une préparation antigénique qui sera reconnue par les cellules du système immunitaire, induisant ainsi la mise en place d'une immunité protectrice et durable contre un agent pathogène spécifique. C'est à partir de 1796 et grâce aux travaux d'Edward Jenner sur la variole que la vaccination s'est développée. Les découvertes scientifiques au cours des siècles suivants ont permis l'amélioration des technologies vaccinales : de souches atténuées d'agents pathogènes vivants, les vaccins sont de plus en plus complexes et consistent aujourd'hui à inoculer des acides nucléiques codant pour les antigènes d'intérêt. Les vaccins à acides nucléiques sont une technologie récente, développée depuis les années 1990, et ayant connu une médiatisation importante en raison de la pandémie de COVID-19. Les recherches effectuées sur les vaccins à ADN ont permis la commercialisation de quatre vaccins : le vaccin contre la maladie du West Nile chez les équidés, le vaccin contre la maladie pancréatique du saumon, le vaccin contre la nécrose hématopoïétique infectieuse du saumon et le vaccin contre le mélanome oral canin aux stades II et III. Le développement des vaccins à ADN a longtemps été la priorité des chercheurs, mais ils ont progressivement été mis de côté au profit des vaccins à ARN messager, qui ont connu un engouement en raison de la pandémie de COVID-19 mais qui ne sont pas encore utilisés en médecine vétérinaire. La première partie de cette thèse se concentre sur des généralités sur les vaccins et la vaccination, la seconde partie porte sur l'étude des vaccins à ADN et la dernière partie sur l'étude des vaccins à ARN messager.
[-] Les vaccins sont une technologie ayant contribué à améliorer grandement l'espérance de vie des Hommes et des animaux. La vaccination consiste à inoculer une préparation antigénique qui sera reconnue par les cellules du système immunitaire, induisant ainsi la mise en place d'une immunité protectrice et durable contre un agent pathogène spécifique. C'est à partir de 1796 et grâce aux travaux d'Edward Jenner sur la variole que la vaccination s'est ...
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La maladie d'Aujeszky ou pseudorage est causée par le virus Suid Herpesvirus type 1. Elle infecte les Suidés, réservoirs de la maladie, et peut provoquer chez le chien une mort fatale en quelques heures à jours avec comme signe clinique caractéristique un prurit démentiel. Actuellement, la France est indemne de la maladie d'Aujeszky en élevages de porcs mais le virus continue de circuler chez les sangliers. Depuis 2016, il est détecté une augmentation du nombre de chiens morts de la maladie d'Aujeszky en période de chasse aux sangliers. En l'absence de traitement, les vétérinaires sont de plus en plus sollicités par les propriétaires de chiens de chasse pour les vacciner. Cette étude visait à estimer l'innocuité et l'efficacité du vaccin AUSKIPRA® BK, disponible en France hors AMM avec une ATU chez le chien de chasse, par une étude réalisée dans le département de l'Aube. Par dosage des anticorps (Ac) anti-gB sur 328 sangliers, la séroprévalence a été estimée à 22,6 % chez le sanglier dans le département durant l'année cynégétique 2021-2022. Une étude de cohorte a porté sur 149 chiens de chasse du même département la même année, qui ont été vaccinés avec deux injections de primo-vaccination et un rappel à 6 mois. Les effets indésirables ont été recensés sur 90 chiens par les propriétaires et vétérinaires : 45,6 % des chiens n'ont présenté aucun signe clinique suite aux injections vaccinales, 34,4 % au moins un épisode de signes cliniques locaux au site d'injection avec majoritairement un gonflement (22,2 %), de la chaleur (13,3 %) et de la douleur (5,6 %) ; 31,1 % au moins un épisode de signes d'atteinte de l'état général avec en majorité une prostration (18,9 %) et une modification de l'appétit (12,2 %) dans les jours suivants l'injection ; 11,1 % au moins un épisode de signes graves avec des vomissements (4,4 %) et des difficultés respiratoires (3,3 %) avec résolution de la majorité des signes cliniques dans les heures voire jours suivant la vaccination. Quatre prises de sang ont été réalisées chez les chiens de l'étude afin de doser les Ac anti-gB par méthode ELISA compétition. Le vaccin a permis une séroconversion en Ac anti-gB de tous les chiens vaccinés suite aux deux injections de primo-vaccination et 97,7 % des chiens étaient toujours séropositifs 6 mois après la primo-vaccination, montrant ainsi une bonne efficacité vaccinale. Une séroneutralisation a été réalisée chez 31 chiens de l'étude montrant une acquisition d'Ac séroneutralisants pour 80,6 % d'entre eux suite aux deux injections de primo-vaccination, avec une diminution jusqu'à 25,8 % dans les 6 mois, avant le rappel. Le dosage des Ac anti-gE par ELISA compétition a permis de détecter un chien sur les 140 ayant rencontré le virus et ayant survécu. Ce dernier possédait des Ac anti-PrV vaccinaux au moment du contact avec le virus et séroneutralisants après contact. Par ailleurs, malgré une apparente bonne intégration vaccinale avec présence d'Ac anti-gB et présence d'Ac neutralisants 2 mois avant de rencontrer le virus, un chien vacciné est décédé de la maladie d'Aujeszky. Cette étude présente des premiers résultats encourageants avec une bonne innocuité et une bonne efficacité vaccinale chez le chien de chasse mais l'efficacité du vaccin reste encore incertaine à ce jour. Une prolongation de cette étude sur l'année 2022-2023 est en cours dans le même département.
[-] La maladie d'Aujeszky ou pseudorage est causée par le virus Suid Herpesvirus type 1. Elle infecte les Suidés, réservoirs de la maladie, et peut provoquer chez le chien une mort fatale en quelques heures à jours avec comme signe clinique caractéristique un prurit démentiel. Actuellement, la France est indemne de la maladie d'Aujeszky en élevages de porcs mais le virus continue de circuler chez les sangliers. Depuis 2016, il est détecté une ...
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Le système immunitaire aviaire est impliqué au cœur des chaînes de transmission des agents pathogènes entre les oiseaux sauvages, les oiseaux d'élevage et les populations humaines. Sa compréhension est un atout pour mettre en œuvre des plans de prévention visant à protéger tant les espèces sauvages que la santé publique. À ce titre, cette thèse compile des informations bibliographiques de manière à présenter les particularités du système immunitaire des oiseaux, faire état des moyens employés actuellement pour approfondir les connaissances de sa structure et de son fonctionnement, ainsi que détailler des champs d'application de ces investigations. L'organisation du système immunitaire aviaire est semblable en de nombreux aspects à celui des mammifères, en dehors de certains éléments structuraux aux échelles organique, cellulaire et moléculaire. Les autopsies, les analyses histologiques et les techniques de biologie moléculaire permettent d'étudier ce système au niveau structurel, tandis que des tests fonctionnels menés en parallèle d'infections volontaires évaluent les types de réponse immunitaire. La recherche consacrée à l'immunologie des oiseaux trouve son intérêt en avifaune sauvage pour l'élaboration de stratégies préventives, comme la mise en œuvre de plans vaccinaux. L'objectif est de préserver les espèces sauvages sensibles aux agents visés, et de limiter les transmissions de maladies entre les oiseaux sauvages en captivité, l'avifaune sauvage libre et les oiseaux d'élevage.
[-] Le système immunitaire aviaire est impliqué au cœur des chaînes de transmission des agents pathogènes entre les oiseaux sauvages, les oiseaux d'élevage et les populations humaines. Sa compréhension est un atout pour mettre en œuvre des plans de prévention visant à protéger tant les espèces sauvages que la santé publique. À ce titre, cette thèse compile des informations bibliographiques de manière à présenter les particularités du système ...
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Avian Immunology, Third Edition contains a detailed description of the avian innate immune system, encompassing the mucosal, enteric, respiratory and reproductive systems. The diseases and disorders it covers, include immunodepressive diseases and immune evasion, autoimmune diseases, and tumors of the immune system. Practical aspects of vaccination are examined as well. Extensive appendices summarize resources for scientists including cell lines, inbred chicken lines, cytokines, chemokines, and monoclonal antibodies.
With contributions from the foremost international experts in the field, Avian Immunology 3rd, provides the most up-to-date crucial information not only for poultry health professionals and avian biologists, but also for comparative and veterinary immunologists, graduate students and veterinary students with an interest in avian immunology.
Avian Immunology, Third Edition, is a fascinating and growing field and surely provides new and exciting insights for mainstream immunology in the future.
Key Features :
Reflects significant advances in the field since the second edition, particularly the explosion of knowledge on genomics including work on the chicken, turkey and zebra finch genomes
Provides a single source reference ranging from the basic science to cutting edge research
Provides practical information for veterinarians particularly those specialised in poultry or companion bird medicine
New chapters on the impact of the microbiome on the immune system, defence mechanisms in the egg and embryo and emerging transgene technologies
[-] Avian Immunology, Third Edition contains a detailed description of the avian innate immune system, encompassing the mucosal, enteric, respiratory and reproductive systems. The diseases and disorders it covers, include immunodepressive diseases and immune evasion, autoimmune diseases, and tumors of the immune system. Practical aspects of vaccination are examined as well. Extensive appendices summarize resources for scientists including cell ...
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Les entérites néonatales constituent une des dominantes pathologiques en élevage bovin. Le principal moyen médical de prévention est la vaccination des vaches gravides, qui permet une augmentation de l'immunité colostrale vis-à-vis des trois principaux agents responsables. Les adjuvants sont utilisés dans les vaccins pour orienter la réponse immunitaire vers le type humoral ou cellulaire et pour la renforcer. Le but de cette étude expérimentale était de déterminer l'effet de l'adjuvant sur le profil de la réponse cellulaire chez la vache laitière. Cette analyse a été réalisée à l'aide d'un test innovant qui permet la description du profil de la réponse cellulaire spécifique des antigènes vaccinaux. La réponse cellulaire induite par le vaccin est présente mais peu intense et ne permet pas la protection du veau. Les adjuvants choisis dans les vaccins contre les entérites néonatales doivent donc plutôt être promoteurs d'une réponse anticorps.
[-] Les entérites néonatales constituent une des dominantes pathologiques en élevage bovin. Le principal moyen médical de prévention est la vaccination des vaches gravides, qui permet une augmentation de l'immunité colostrale vis-à-vis des trois principaux agents responsables. Les adjuvants sont utilisés dans les vaccins pour orienter la réponse immunitaire vers le type humoral ou cellulaire et pour la renforcer. Le but de cette étude expérimentale ...
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La médecine préventive vétérinaire est actuellement en plein essor, avec une augmentation en France de +5,0% sur un an du chiffre d'affaire associé aux vaccins en 2018. C'est la plus forte augmentation de tous les secteurs vétérinaires. Cette thèse s'attache à dresser un tableau de la médecine préventive canine pratiquée à l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse, ainsi que des facteurs de variation du prix dépensé par les propriétaires des chiens. Elle s'attache également à suggérer des pistes d'amélioration des services proposés aux propriétaires. Nous avons montré qu'en moyenne, le prix payé par les propriétaires est supérieur pour les femelles par rapport aux mâles (70,10€ contre 60,30€), les chiens croisés par rapport aux pure race (70,40€ contre 63,86€) et les chiens de moins d'un an par rapport aux chiens de plus d'un an (78,98€ contre 60,21€).
[-] La médecine préventive vétérinaire est actuellement en plein essor, avec une augmentation en France de +5,0% sur un an du chiffre d'affaire associé aux vaccins en 2018. C'est la plus forte augmentation de tous les secteurs vétérinaires. Cette thèse s'attache à dresser un tableau de la médecine préventive canine pratiquée à l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse, ainsi que des facteurs de variation du prix dépensé par les propriétaires des ...
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Chez les bovins, quel que soit le système d'élevage, les entérites durant la période néonatale sont une dominante médicale à laquelle le vétérinaire praticien est quotidiennement confronté. Le vaccination des vaches gravides constitue un moyen de prévention à associer à la conduite d'élevage et permet d'augmenter l'immunité colostrale vis-à-vis des pathogènes responsables. Les oligo-éléments interviennent dans les fonctions métaboliques, antioxydantes et immunitaires dans l'espèce bovine. Le but de ce travail était de connaître l'effet de la supplémentation oligo-minérale par injection sur la réponse vaccinale suscitée chez les vaches laitières primipares. L'analyse de la réponse cellulaire a été effectuée à l'aide d'un test novateur in vitro, permettant la description du profil spécifique de la réponse aux antigènes vaccinaux. Bien que cette réponse soit effectivement présente, elle ne semble pas être améliorée par la supplémentation, ce qui pourrait différer chez des vaches carencées.
[-] Chez les bovins, quel que soit le système d'élevage, les entérites durant la période néonatale sont une dominante médicale à laquelle le vétérinaire praticien est quotidiennement confronté. Le vaccination des vaches gravides constitue un moyen de prévention à associer à la conduite d'élevage et permet d'augmenter l'immunité colostrale vis-à-vis des pathogènes responsables. Les oligo-éléments interviennent dans les fonctions métaboliques, ...
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La vaccination reste le meilleur moyen de prophylaxie contre un grand nombre de maladies infectieuses du chien comme la maladie de Carré, l'hépatite de Rubarth et la parvovirose canine. Ces vaccinations sont d'ailleurs considérées comme essentielles par la WSAVA (World Small Animal Veterinary Association). Face à la montée du scepticisme vaccinal, le modèle du vaccin unique ne répond plus aux demandes des propriétaires. Source principale des inquiétudes, un intérêt particulier a été porté dans ce manuscrit aux effets indésirables associés à la vaccination et sur les facteurs favorisant leur apparition. Moins anxiogènes, les facteurs favorisant les échecs vaccinaux ont aussi attiré notre attention : il faut éviter toute vaccination qui n'aboutirait pas à la mise en place d'une immunité durable et éviter d'avoir des animaux que l'on pense immunisés alors qu'ils ne le sont pas. La mise en place de protocoles personnalisés et allégés permet une avancée majeure en terme de vaccination raisonnée. Cependant, de nombreux vétérinaires ont fait part de leur inquiétude, car la vaccination annuelle permettait de réaliser un bilan annuel. En effet, un passage d'une visite annuelle à une visite triennale pourrait avoir des conséquences importantes sur la prise en charge et le dépistage de nombreuses maladies. Il est donc recommandé à chaque vétérinaire de maintenir les visites annuelles en les valorisant en fonction des demandes du propriétaire : vaccinations, traitements antiparasitaires, conseils en nutrition / éducation, réponse auxquestionnements des propriétaires, et bilan de santé.
[-] La vaccination reste le meilleur moyen de prophylaxie contre un grand nombre de maladies infectieuses du chien comme la maladie de Carré, l'hépatite de Rubarth et la parvovirose canine. Ces vaccinations sont d'ailleurs considérées comme essentielles par la WSAVA (World Small Animal Veterinary Association). Face à la montée du scepticisme vaccinal, le modèle du vaccin unique ne répond plus aux demandes des propriétaires. Source principale des ...
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Les maladies respiratoires constituent, avec les affections digestives, une part majeure des enjeux sanitaires en élevage bovin. Leur fréquence et leur caractère multifactoriel (complexité des facteurs déclenchants et favorisants) justifient la place qu'ils occupent dans la pratique vétérinaire.
Ce Vade-Mecum des maladies respiratoires bovines fournit des éléments-clés au praticien, consultables en fonction de ses besoins : des connaissances actualisées sur les affections respiratoires classées en fonction de la localisation anatomique ; une présentation des agents pathogènes identifiés dans ces affections (description, pathogénie, diagnostic, prévention) avec l'accent mis sur les techniques de prélèvement dont la mise en oeuvre est cruciale pour le diagnostic ; le Vade-Mecum proprement dit des antibiotiques disponibles, avec un rappel non superflu des bonnes pratiques à partir des considérations pharmacocinétiques et pharmacodynamiques, et des vaccins avec la réglementation associée.
Compte tenu de l'importance des facteurs environnementaux pour la prise en charge globale, une fiche mémo de la méthodologie d'évaluation des bâtiments est également intégrée et rapidement accessible en fin d'ouvrage.
[-] Les maladies respiratoires constituent, avec les affections digestives, une part majeure des enjeux sanitaires en élevage bovin. Leur fréquence et leur caractère multifactoriel (complexité des facteurs déclenchants et favorisants) justifient la place qu'ils occupent dans la pratique vétérinaire.
Ce Vade-Mecum des maladies respiratoires bovines fournit des éléments-clés au praticien, consultables en fonction de ses besoins : des connaissances ...
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