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Documents Pratique d'élevage 35 résultats

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Utilisation du kéfir en élevage bovin

Lebel, Célia | 04/12/2024

Thèse en cours Alfort

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Snakes have been kept and bred in captivity for decades very successfully, thanks to their ability to breed in minimalistic conditions. The history of published research in the operant conditioning of snakes and their learning capabilities is well evidenced. Many husbandry practices have been founded upon trial and error, with attitudes and husbandry of captive snakes steadily progressing. However, persistent attitudes towards the cognitive abilities of snakes may be contradictory to scientific literature, and thus directly impact upon the welfare of captive snakes. Recommendations are made here to tackle the problem. The case of captive kingsnakes with previous hyperreactivity and biting was resolved with target training by introducing clear communication to the snake as to when food is present. The snake was classically conditioned to associate the presence of the target with food; the presence of the target predicted food would follow. Once the meaning of the target for the snake was established, the presence of the target always indicated the presence of food. The snake learned activity during regular maintenance was not related to feeding; the absence of the target meant an absence of food. This training resulted in the desired behaviours during feeding and a reduction of the undesired behaviours outside of feeding. Operant conditioning was then used to teach the snake the target meant an opportunity to earn reinforcement contingent upon a shifting behaviour. The shifting behaviour was shaped in this case to remove the need to forcibly handle the snakes in non-emergency situations and to allow the snake to participate in their own care. Teaching cooperative care behaviours using operant conditioning leads to higher welfare states and closer towards “a life worth living”.[-]
Snakes have been kept and bred in captivity for decades very successfully, thanks to their ability to breed in minimalistic conditions. The history of published research in the operant conditioning of snakes and their learning capabilities is well evidenced. Many husbandry practices have been founded upon trial and error, with attitudes and husbandry of captive snakes steadily progressing. However, persistent attitudes towards the cognitive ...

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This thought-provoking book explores the link between animals, people and their social and physical environments in relation to livestock farming, food safety, food security and sustainability.
Providing an overview of livestock farming and animal related food production systems in a one welfare context, One Welfare: Animal Health and Welfare, Food Security and Sustainability begins by considering the interconnections of animals, humans and their environment. It then expands into the food production system, and considers the integration of positive welfare, stress, use of welfare indicators and the economic perspective. Written by a team of international experts, it connects theory with best practice examples and case studies from both organizations and individuals that have successfully implemented a one welfare approach. Essential reading for academics and practitioners who work within farming, food systems and international development, this ground-breaking text is also an important read for veterinary and animal welfare professionals.[-]
This thought-provoking book explores the link between animals, people and their social and physical environments in relation to livestock farming, food safety, food security and sustainability.
Providing an overview of livestock farming and animal related food production systems in a one welfare context, One Welfare: Animal Health and Welfare, Food Security and Sustainability begins by considering the interconnections of animals, humans and ...

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La contractualisation entre vétérinaire et éleveur est une voie de développement qui commence à être documentée. Une thèse réalisée par Nicolas Courdent en 2021 a démontré l'intérêt économique de ce système pour les vétérinaires. Notre objectif est ici d'évaluer des exemples de contractualisation, et de voir ce qui motive les éleveurs à rentrer et à rester dans ce système de contrat. Quatorze entretiens semi-directifs avec des éleveurs laitiers ayant une expérience de contractualisation ainsi qu'avec 3 de leurs vétérinaires du grand ouest ont été réalisés. Ces entretiens ont été transcrits et une analyse thématique en a été faite reposant sur une étude bibliographique et sur les premiers retours d'entretiens. L'étude de l'intérêt et de la motivation des éleveurs a démontré que la diminution du frein économique à l'appel améliore la relation de travail entre vétérinaires et éleveurs. Cette relation est source de réactivité aussi bien chez l'éleveur que chez le vétérinaire, permettant une plus grande prévisibilité dans l'organisation du travail de l'éleveur. Ces améliorations engendrent à une santé globale mieux maitrisée, source de productivité et de sérénité pour l'éleveur. L'impact économique pour l'éleveur a besoin d'être consolidé, mais la réduction de la charge mentale en élevage peut déjà justifier de la mise en place de ce type contrat avec des systèmes d'incitation à développer pour les éleveurs jeunes installés. Quant aux vétérinaires, la contractualisation est une façon de redynamiser leur activité rurale et d'améliorer leur relation de travail avec les éleveurs.[-]
La contractualisation entre vétérinaire et éleveur est une voie de développement qui commence à être documentée. Une thèse réalisée par Nicolas Courdent en 2021 a démontré l'intérêt économique de ce système pour les vétérinaires. Notre objectif est ici d'évaluer des exemples de contractualisation, et de voir ce qui motive les éleveurs à rentrer et à rester dans ce système de contrat. Quatorze entretiens semi-directifs avec des éleveurs laitiers ...

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La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute une augmentation récente du nombre de cas de tuberculose bovine dans certaines régions de France. Il est donc impératif de faire un point sur la situation. L'étude a été menée sur 32 élevages de bovins allaitants du département français des Pyrénées-Atlantiques. Des entretiens en face à face ont permis aux éleveurs de répondre à un questionnaire, une partie centrée sur les pratiques d'élevage et de biosécurité, et une autre centrée sur leur perception de la tuberculose bovine. Les données recueillies ont été analysées par analyse factorielle mixte de données (AFDM) et classification hiérarchique afin d'établir des profils d'éleveurs. Du au faible nombre d'éleveurs enquêtés, seulement deux clusters sont obtenus à partir de la classification hiérarchique sur l'AFDM. Chaque élevage est ainsi réparti dans un des clusters selon les pratiques et perceptions de l'éleveur. Les principales variables permettant de discriminer ces profils d'éleveurs sont la taille de l'élevage et certains facteurs qui y sont directement liés (nombre de visites, etc) ainsi que leur perception du risque vis-à-vis de certaines voies d'introduction (visiteurs, transhumance) ou encore leur confiance dans les mesures mises en place (gestion de la lutte, fiabilité de l'intradermo-tuberculination, etc). Cette étude apporte des premières bases afin de mieux connaitre la réalité du terrain et de pouvoir adapter les mesures de biosécurité et de lutte aux différents profils.[-]
La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute ...

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Cette étude réalisée dans 16 élevages français laitiers et allaitants a permis de mettre en place un benchmarking sur la qualité colostrale, la qualité des transferts de l'immunité passive (TIP) et les pratiques de gestion du colostrum. Pour cela, 221 colostrums et 244 sérums de veaux entre 2 et 8 jours de vie ont été analysés pour déterminer leur concentration en IgG. Pour chaque veau, les caractéristiques (moment, volume, modalité) des buvées colostrales ont été récoltées. La concentration moyenne en IgG des colostrums des vaches allaitantes était supérieure à celle des vaches laitières et la qualité colostrale des vaches laitières supplémentées en minéraux pendant la préparation au vêlage est significativement supérieure à celle des non supplémentées. La majorité des élevages enquêtés n'atteignait pas les objectifs de qualité colostrale globale. Dans cette étude, une bonne qualité colostrale et un délai Naissance – 1ère buvée court sont les deux seuls facteurs qui influencent positivement la valeur du TIP de manière significative. Les valeurs de TIP obtenues dans chaque élevage montrent que les objectifs ne sont pas atteints et qu'aucun d'entre eux n'est supérieur statistiquement aux autres : les pratiques de chacun n'ont donc pas eu d'influence significative sur le TIP global de l'élevage mais leur description montre qu'elles ne sont pas optimales. La gestion colostrale est donc perfectible dans les élevages enquêtés. Des réunions de restitution ont été organisées avec les éleveurs et les vétérinaires afin d'échanger et permettre aux éleveurs de se comparer aux autres exploitations. Chacun a également reçu un bilan et des recommandations basées sur ses propres résultats. Cette étude constitue la mise en place du benchmarking, dont l'objectif final est d'évaluer l'influence des ajustements de pratiques autour du colostrum sur le TIP dans les élevages.[-]
Cette étude réalisée dans 16 élevages français laitiers et allaitants a permis de mettre en place un benchmarking sur la qualité colostrale, la qualité des transferts de l'immunité passive (TIP) et les pratiques de gestion du colostrum. Pour cela, 221 colostrums et 244 sérums de veaux entre 2 et 8 jours de vie ont été analysés pour déterminer leur concentration en IgG. Pour chaque veau, les caractéristiques (moment, volume, modalité) des buvées ...

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L'élevage individuel des veaux laitiers à la naissance étant décrié actuellement car peu respectueux du bien-être des veaux, il est important de s'intéresser à des alternatives à celui-ci, comme l'élevage en paires (pair-housing) ou en groupes plus importants. Ces modes d'élevage sont toutefois encore peu utilisés en France. Il est donc intéressant d'analyser les pratiques des éleveurs français et les freins et motivations à la mise en place de celles-ci avant de promouvoir ces modes d'élevage. Une enquête téléphonique a été menée auprès de 20 éleveurs Danone sur leurs pratiques d'élevage des veaux ainsi que les motivations qui les ont poussés à les mettre en place. Parmi ces 20 éleveurs, il y a 4 éleveurs de veaux en individuel, 13 éleveurs de veaux en groupe, un éleveur de veaux en paire, un éleveur de veaux sous la mère et un éleveur de veaux avec des vaches nourrices. Les éleveurs de veaux en individuel sont également interrogés sur leurs freins pour la mise en place de l'élevage en groupe. La principale motivation des éleveurs pour le choix de leur mode d'élevage est la simplicité du travail. Ils ne veulent pas changer de fonctionnement tant que leur système donne de bons résultats. Un essai de mise en place du pairhousing a ensuite été fait dans un élevage élevant les veaux en cases individuelles, afin de tester la faisabilité du pair-housing et de faire de cette ferme pilote une vitrine pour promouvoir le pair-housing. Les éleveurs ont décidé d'arrêter la mise en paire des veaux après 5 paires en raison de l'augmentation du temps et de la pénibilité du travail et des risques liés aux succions croisées. Les difficultés rencontrées pendant l'étude n'ont pas pu être résolues en raison des réticences des éleveurs à mettre en place les solutions proposées.[-]
L'élevage individuel des veaux laitiers à la naissance étant décrié actuellement car peu respectueux du bien-être des veaux, il est important de s'intéresser à des alternatives à celui-ci, comme l'élevage en paires (pair-housing) ou en groupes plus importants. Ces modes d'élevage sont toutefois encore peu utilisés en France. Il est donc intéressant d'analyser les pratiques des éleveurs français et les freins et motivations à la mise en place de ...

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Le Grand Hamster d'Alsace, espèce endémique de la biodiversité alsacienne, est classé « En danger critique d'extinction » sur la Liste rouge de l'UICN depuis 2021. La pérennité de l'espèce dans les plaines d'Alsace repose sur les mesures de préservation mises en place et encadrées par le ministère de la transition écologique avec notamment, des actions de réintroduction de hamsters d'Europe reproduits et élevés en captivité dans leur milieu naturel. Trois élevages français participent aux renforcements des populations de hamsters en Alsace. Les pratiques de ces trois élevages étant très différentes, cette thèse a pour objectif de réaliser un état des lieux des protocoles utilisés par chaque élevage afin d'améliorer la qualité des relâchés par la suite. Un questionnaire envoyé aux trois élevages ainsi que plusieurs interviews et visites des locaux avec les éleveurs, ont permis de rédiger pour chaque structure l'ensemble des protocoles utilisés. Les résultats en termes de reproduction et mortalité notamment ont également été discutés. Au terme de cette étude, ont été mises en évidence des disparités notables dans les données collectées par chaque élevage. De ce fait, des exemples de données types à relever de manière harmonisée ont été proposés. Par ailleurs, des améliorations concernant principalement la gestion génétique des élevages, la gestion de la reproduction et la gestion de la période de pré-relâchés ont été émises.[-]
Le Grand Hamster d'Alsace, espèce endémique de la biodiversité alsacienne, est classé « En danger critique d'extinction » sur la Liste rouge de l'UICN depuis 2021. La pérennité de l'espèce dans les plaines d'Alsace repose sur les mesures de préservation mises en place et encadrées par le ministère de la transition écologique avec notamment, des actions de réintroduction de hamsters d'Europe reproduits et élevés en captivité dans leur milieu ...

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L'objectif de cette étude était de mieux connaître les caractéristiques des contacts entre bovins via les pâtures en France, pouvant contribuer à la diffusion d'agents pathogènes par voie directe ou indirecte (nature et fréquence des contacts, influence des pratiques d'élevage). Pour répondre à cette problématique, 60 élevages ont été enquêtés dans deux départements différents : 30 élevages dans un bassin laitier (la Mayenne) et 30 dans un bassin allaitant (le Loir-et-Cher). Pour l'analyse des résultats, une méthode a été élaborée pour classer les pâtures à risque (une pâture à risque étant considérée comme une parcelle pâturée ayant une clôture mitoyenne avec une pâture appartenant à un élevage voisin sur laquelle des bovins peuvent pâturer) en fonction d'un degré de sévérité du risque et pour classer les élevages en fonction d'une note de risque dépendant du nombre de pâtures à risque et de leur degré de sévérité. Le degré de sévérité du risque allait de 0 (pour une pâture à risque extrêmement faible) au degré 4 (pour une pâture avec un risque considéré comme élevé). L'attribution des degrés de sévérité du risque dépendait des critères suivants : contact possible ou non entre les bovins d'élevages différents, largeur et longueur de clôture mitoyenne, état de la clôture et charge animale par hectare et par an. L'étude a permis de dénombrer que 14 % des pâtures recensées dans l'échantillon étaient considérées comme étant des pâtures à risque. Parmi ces pâtures à risque, les deux tiers ne permettaient à priori pas de contact rapproché entre bovins d'élevages voisins (67 % des pâtures à risque ont obtenu un degré de sévérité de 0 ou 1), et un tiers des pâtures à risque ont obtenu un degré de sévérité 2, 3 ou 4, pour lesquels un contact rapproché entre les bovins d'élevages voisins était possible. Toutefois, le nombre de pâtures à risque et le degré de risque de ces pâtures semblent davantage dépendre de la région que du type d'élevage (laitier, mixte, allaitant) : il parait donc pertinent de conduire ce type d'étude dans d'autres zones géographiques afin de valider la méthode et de pouvoir comparer plus finement les résultats.[-]
L'objectif de cette étude était de mieux connaître les caractéristiques des contacts entre bovins via les pâtures en France, pouvant contribuer à la diffusion d'agents pathogènes par voie directe ou indirecte (nature et fréquence des contacts, influence des pratiques d'élevage). Pour répondre à cette problématique, 60 élevages ont été enquêtés dans deux départements différents : 30 élevages dans un bassin laitier (la Mayenne) et 30 dans un ...

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La réduction des usages d'antibiotiques est un des enjeux majeurs auxquelles sont aujourd'hui confrontées les filières avicoles. En prenant comme objet d'étude la filière poulet de chair Label Rouge, filière placée « sous signe de qualité », ce travail a eu pour objectif d'identifier les principaux facteurs associés à une réduction des usages en élevage. L'analyse a porté sur 27 entretiens semi-directifs, réalisés auprès d'éleveurs, techniciens et vétérinaires de trois organisations de production. Elle se base sur la notion de “trajectoire de changement” qui permet d'étudier la façon dont, au cours du temps, se combinent les facteurs techniques, économiques, sociaux et organisationnels qui sont associés à la réduction des usages d'antibiotiques en élevage. Les résultats montrent que la réduction des usages d'antibiotiques a surtout était été rendue possible par une amélioration des intrants et des pratiques d'élevage, notamment au niveau de la biosécurité. Le rôle majeur de l'identité professionnelle (adéquation de la réduction des usages d'antibiotiques avec la représentation du « bien-faire » par les éleveurs) est souligné dans l'adhésion au changement de pratiques. Les résultats montrent également l'importance du soutien (non seulement technique mais aussi moral et basé sur des relations de confiance établies sur le long terme) apporté aux éleveurs par les techniciens et les vétérinaires. Enfin, ces travaux insistent sur le rôle majeur de la coordination (horizontale et verticale, l'organisation de production jouant un rôle central) des acteurs intervenant aux différents niveaux de la filière.[-]
La réduction des usages d'antibiotiques est un des enjeux majeurs auxquelles sont aujourd'hui confrontées les filières avicoles. En prenant comme objet d'étude la filière poulet de chair Label Rouge, filière placée « sous signe de qualité », ce travail a eu pour objectif d'identifier les principaux facteurs associés à une réduction des usages en élevage. L'analyse a porté sur 27 entretiens semi-directifs, réalisés auprès d'éleveurs, techniciens ...

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La lutte contre l'antibiorésistance est un enjeu de santé publique majeur, principalement en médecine porcine du fait du grand nombre d'animaux concernés. La phase de post-sevrage est particulièrement concernée par les prescriptions, mais une grande variabilité dans les consommations d'antibiotiques est constatée selon les élevages. Cette étude a été conduite dans 38 élevages naisseurs-engraisseurs du grand ouest de la France, tous clients de la Selas vétérinaire de la Hunaudaye-COOPERL. L'objectif était de comparer les performances technico-économiques et les pratiques de gestion du post-sevrage entre les 18 élevages ayant besoin de recourir aux antiinfectieux de façon conséquente et les 20 qui peuvent s'en dispenser. Le rôle de l'éleveur, qui conditionne le suivi des bonnes pratiques d'élevage, avec une conduite en bandes stricte, respectant les normes de densité, permettant de ménager la possibilité de désinfections et de vides sanitaires efficaces, ressort clairement. La conduite de l'alimentation en post-sevrage, ainsi que le choix des composants alimentaires est lourde de conséquences sur la pathologie digestive. Le rôle néfaste de certains agents infectieux, en particulier le virus SDRP et Actinobacillus pleuropneumoniae ressort également comme essentiel.[-]
La lutte contre l'antibiorésistance est un enjeu de santé publique majeur, principalement en médecine porcine du fait du grand nombre d'animaux concernés. La phase de post-sevrage est particulièrement concernée par les prescriptions, mais une grande variabilité dans les consommations d'antibiotiques est constatée selon les élevages. Cette étude a été conduite dans 38 élevages naisseurs-engraisseurs du grand ouest de la France, tous clients de la ...

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