Dand une première partie, l'auteur retrace l'historique de l'ancrage osseux depuis la naissance de la prothèse de hanche jusqu'à l'utilisation des biocéramiques en revêtement de surface d'implants métalliques. La seconde partie est consacrée à la présentation d'un travail expérimental portant sur l'étude comparative d'un implant de titane revêtu d'hydroxyapatite et d'un implant en titane non revêtu. Les résultats sont exposés dans la troisième partie. Dans la dernière partie, l'étude des différents résultats montre que l'on ne peut pas conclure à une meilleure repouse osseuse à l'interface os-implant des spécimens revêtus, en revanche l'auteur expose les failles de l'expérimentation qui entraine de défaut de conclusion.