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L'Acromégalie chez les carnivores domestiques : étude bibliographique

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Thèse

Battut, Véronique

École nationale vétérinaire d'Alfort

2001

143 P.

A-2001-011

Trouble endocrinien ; Acromégalie ; Hormone de croissance ; Carnivore ; Chien ; Chat

Les affections endocrines sont relativement fréquentes chez les carnivores domestiques, notamment le diabète sucré. L'acromégalie est quant à elle peu rencontrée. L'acromégalie est due à un adénome hypophysaire sécrétant de l'hormone de croissance chez le chat et à un excès de progestagènes chez la chienne. Elle se traduit cliniquement par une croissance exagérée des tissus mous, des os et des organes. Le diagnostic est évoqué chez la chienne lors de dysmorphie associée à une respiration bruyante et chez le chat lors de diabète sucré insulinorésistant. La certitude d'acromégalie passe par l'exploration de l'axe somatotrope chez ces deux espèces et éventuellement par la réalisation d'un scanner de la région hypophysaire chez le chat. Le traitement est simple chez la chienne (la stérilisation est curative) mais difficile chez le chat (le traitement n'est en général que palliatif).

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 011

Bibliographie : 85

Titre anglais : Acromegaly in domestic animals : bibliographical study

Directeur de Thèse : Cotard, Jean-Pierre

Assesseur / Examinateur : Combrisson, Hélène

Type de fond : Fonds contemporain

Les affections endocrines sont relativement fréquentes chez les carnivores domestiques, notamment le diabète sucré. L'acromégalie est quant à elle peu rencontrée. L'acromégalie est due à un adénome hypophysaire sécrétant de l'hormone de croissance chez le chat et à un excès de progestagènes chez la ehienne. Elle se traduit cliniquement par une croissance exagérée des tissus mous, des os et des organes. Le diagnostic est évoqué chez la chienne lors de dysmorphie associée à une respiration bruyante et chez le chat lors de diabète sucré insulinorésistant. La certitude d'acromégalie passe par l'exploration de l'axe somatotrope chez ces deux espèees et éventuellement par la réalisation d'un scanner de la région hypophysaire chez le chat. Le traitement est simple chez la chienne (la stérilisation est curative) mais difficile chez le chat (le traitement n'est en général que palliatif).

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