Cette étude détaillée des réseaux les plus connus en France et à l'étranger nous permet de schématiser le fonctionnement de ces derniers. Les réseaux basés sur une lutte nationale ont pour plaque tournante les DSV, véritables points de concentration de l'information, tandis que les autres réseaux passent souvent par des structures qui leur sont propres. Le vétérinaire reste la source principale d'information, en association avec les laboratoires. Les réseaux étrangers étudiés utilisent des sources de données diverses et fonctionnent à plus grande échelle, générant un travail colossal au niveau de leur gestion. Notre étude met en lumière le manque de rigueur de l'échantillonnage et la difficulté à motiver les participants, occasion pour nous de proposer un système novateur de circulation de l'information, générant un minimum de contrainte pour les personnes qui le manipulent.