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Documents Épidémiologie 1 368 résultats

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La brucellose canine est une maladie infectieuse causée par le coccobacille Brucella canis, dont l'espèce canine est le réservoir naturel. Cette maladie est à l'origine de troubles de la reproduction mais aussi de signes cliniques non spécifiques chez le chien, c'est également une zoonose. Elle présente donc un impact économique et sanitaire non négligeable, en particulier dans les élevages canins. Cette maladie, jusqu'alors peu présente en Europe de l'Ouest, semble s'étendre depuis l'épidémie de covid-19 et l'augmentation des importations de chiens provenant d'Europe de l'Est, sans que l'on connaisse exactement sa situation épidémiologique en France. L'objectif de notre étude était donc d'essayer d'en savoir plus sur la situation épidémiologique de la brucellose canine dans les élevages canins français. Après une étude bibliographique permettant de dresser un état des lieux des caractéristiques de la maladie ainsi que des données épidémiologiques actuelles, nous avons mené une première étude expérimentale dans laquelle nous avons recherché l'infection à B. canis parmi les chiens de 15 élevages canins français volontaires pour participer à cette étude, entre octobre 2022 et décembre 2023. Les facteurs d'exposition à B. canis étaient étudiés par l'intermédiaire d'un questionnaire que nous avons fait remplir aux éleveurs. Dans une seconde étude, nous avons recherché la présence de B. canis au sein de 390 échantillons de sérum de chiennes suivies au service de reproduction de l'EnvA, entre mai 2022 et août 2023. Nous avons ainsi obtenu, parmi les 15 élevages volontaires, un taux de séropositivité de 33,3 % et un cas de contamination confirmé. Parmi les 390 échantillons de sérum de chiennes suivies au service de reproduction de l'EnvA, nous avons trouvé un taux de séropositivité de 1,0 %. Ces résultats nous ont permis de confirmer qu'il y avait très probablement une présence de la brucellose canine au sein des élevages canins français. De plus, après analyse des questionnaires, nous nous sommes aperçus que cette maladie était inconnue d'une grande partie des éleveurs et que la plupart d'entre eux ne respectaient pas les recommandations en termes de conduite d'élevage et de biosécurité, ce qui constituait un risque non négligeable d'introduction et de propagation de la brucellose canine dans leurs élevages. Une étude prospective, avec un plus grand nombre d'élevages canins recrutés, serait intéressante pour compléter ce travail de thèse, de même que la mise en place d'une étude de séroprévalence à plus large échelle. Ce travail a également souligné l'importance de standardiser les protocoles de diagnostic de la brucellose canine entre les différents laboratoires de référence.[-]
La brucellose canine est une maladie infectieuse causée par le coccobacille Brucella canis, dont l'espèce canine est le réservoir naturel. Cette maladie est à l'origine de troubles de la reproduction mais aussi de signes cliniques non spécifiques chez le chien, c'est également une zoonose. Elle présente donc un impact économique et sanitaire non négligeable, en particulier dans les élevages canins. Cette maladie, jusqu'alors peu présente en ...

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L'hypercalcémie chez le chien possède de nombreuses causes dont les principales sont l'hypercalcémie paranéoplasique, l'hyperparathyroïdie primaire, la maladie rénale chronique et l'hypocorticisme. Selon l'origine de l'hypercalcémie, les mécanismes aboutissant à une élévation de la concentration sanguine en calcium diffèrent et mettent en jeu les hormones de l'homéostasie phosphocalcique (notamment la parathormone, le calcitriol et la calcitonine). La première partie de cette thèse est une synthèse bibliographique des connaissances actuelles concernant l'hypercalcémie du chien, ses principales causes, associées à leur épidémiologie, signes cliniques, pathogénie de l'hypercalcémie et leur diagnostic. Ensuite, la seconde partie est une étude rétrospective sur 170 chiens diagnostiqués hypercalcémiques entre janvier 2010 et décembre 2022 au Centre hospitalier universitaire d'Alfort. Cette étude a pour objectif de présenter les différentes causes d'hypercalcémie et de décrire la population de chiens hypercalcémiques d'un point de vue épidémiologique, clinique et paraclinique. La principale cause d'hypercalcémie est l'hypercalcémie paranéoplasique, puis la maladie rénale chronique puis l'hyperparathyroïdie primaire. Les chiens sont majoritairement de grande taille (poids supérieur à 20kg), d'un âge médian de 6,4 ans et il y a autant de mâles que de femelle. Les principaux signes cliniques présentés sont un abattement, une anorexie/dysorexie ainsi qu'une polyuro-polydipsie. Puis, les chiens appartenant à la catégorie « hypercalcémie paranéoplasique » et ceux appartenant à la catégorie « hyperparathyroïdie primaire » ont été comparés sur des critères épidémiologiques, cliniques et paracliniques afin de rechercher s'il existe des critères permettant de distinguer précocement l'une ou l'autre de ces deux causes d'hypercalcémie chez le chien. Certains critères ont montré des différences significatives entre les deux catégories. En effet, les chiens atteints d'hypercalcémie paranéoplasique sont majoritairement de grande taille (poids supérieur à 20kg) et d'âge moyen tandis que ceux atteints d'hyperparathyroïdie primaire sont de plus petite taille et plus âgé. De plus, les chiens atteints d'hypercalcémie paranéoplasique ont plus souvent une atteinte de l'état général associée (abattement, anorexie/dysorexie). Parmi les anomalies hémato-biochimiques, les chiens atteints d'hypercalcémie paranéoplasique ont majoritairement une phosphorémie et une créatinémie au-dessus des valeurs usuelles ainsi qu'une diminution de la numération plaquettaire. Concernant l'analyse urinaire, la présence d'une cristallurie semble être en faveur d'une hyperparathyroïdie primaire.[-]
L'hypercalcémie chez le chien possède de nombreuses causes dont les principales sont l'hypercalcémie paranéoplasique, l'hyperparathyroïdie primaire, la maladie rénale chronique et l'hypocorticisme. Selon l'origine de l'hypercalcémie, les mécanismes aboutissant à une élévation de la concentration sanguine en calcium diffèrent et mettent en jeu les hormones de l'homéostasie phosphocalcique (notamment la parathormone, le calcitriol et la c...

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Dirofilaria immitis, Ehrlichia canis et Anaplasma platys sont des agents pathogènes à transmission vectorielle et au potentiel zoonotique, couramment diagnostiqués chez le chien par les vétérinaires de l'île de la Réunion. L'analyse d'une étude rétrospective des résultats des Snap Test 4Dx® réalisés en 2022 a permis d'estimer la prévalence à 13,55% (IC 95% 11,76 - 15,57) pour D. immitis, 15,82% (IC 95% 13,61 - 18,25) pour E. canis et 3,91% (IC 95% 2,73 - 5,39) pour A. platys et d'évaluer les facteurs de risque pour chacune des maladies qu'ils provoquent. Nous avons aussi conduit une étude prospective spécifiquement sur D. immitis en prélevant les chiens de populations confinées, divagantes et errantes. Les prélèvements sanguins collectés ont été utilisés pour diagnostiquer D. immitis par l'utilisation de trois tests diagnostiques (Snap Test 4Dx®, qPCR et Knott Test). La prévalence de D. immitis en 2023 a été estimée à 6,23% (IC 95%: 4,26 - 9,04) et était significativement plus élevée chez les chiens de plus de 6 ans que chez les chiens des autres catégories d'âge.[-]
Dirofilaria immitis, Ehrlichia canis et Anaplasma platys sont des agents pathogènes à transmission vectorielle et au potentiel zoonotique, couramment diagnostiqués chez le chien par les vétérinaires de l'île de la Réunion. L'analyse d'une étude rétrospective des résultats des Snap Test 4Dx® réalisés en 2022 a permis d'estimer la prévalence à 13,55% (IC 95% 11,76 - 15,57) pour D. immitis, 15,82% (IC 95% 13,61 - 18,25) pour E. canis et 3,91% (IC ...

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Le pyomètre canin est une atteinte infectieuse de l'utérus de la chienne entière bien connue des vétérinaires praticiens, mais concernant laquelle de nombreux aspects restent à élucider complètement. Les signes cliniques associés à la maladie étant pour la plupart assez communs, la suspicion s'appuie beaucoup en pratique sur les commémoratifs et l'anamnèse, et en particulier les informations ayant trait à l'épidémiologie. L'objectif principal de cette thèse est donc d'effectuer un inventaire des critères épidémiologiques permettant au praticien de classer plus ou moins favorablement le pyomètre au sein de sa liste d'hypothèses diagnostiques. Pour ce faire, cette étude rétrospective s'appuie sur 487 cas de pyomètre reçus au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Oniris entre 2002 et 2022, à partir desquels ont été recherchés d'éventuels liens entre l'apparition de pyomètre et la race, l'âge, le mois de l'année, le stade du cycle œstral, la parité, l'existence d'un historique de pyomètres/métrites ou de pseudo-gestations, les traitements aux progestagènes, la présence d'hyperplasie glandulo-kystique de l'utérus, et la présence de maladies concomitantes. Les résultats sont ensuite comparés aux données bibliographiques obtenues à partir d'autres populations de chiennes à travers le monde.[-]
Le pyomètre canin est une atteinte infectieuse de l'utérus de la chienne entière bien connue des vétérinaires praticiens, mais concernant laquelle de nombreux aspects restent à élucider complètement. Les signes cliniques associés à la maladie étant pour la plupart assez communs, la suspicion s'appuie beaucoup en pratique sur les commémoratifs et l'anamnèse, et en particulier les informations ayant trait à l'épidémiologie. L'objectif principal de ...

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Les Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI) du chien sont des affections complexes d'origine multifactorielle et à la physiopathogénie encore mal connue. Elles représentent une sous-catégorie des entéropathies inflammatoires chroniques. Au sein même des MICI, deux groupes d'animaux semblent se distinguer selon la présence ou non de pertes de protéines. Cette étude rétrospective vise à affiner notre connaissance clinique des MICI : le tableau clinique des animaux atteints de MICI avec perte de protéines est-il différent de celui des animaux atteints de MICI sans perte de protéines ? Les scores cliniques utilisés lors d'entéropathies chroniques sont-ils pertinents dans l'appréhension de ce diptyque ? Les signes cliniques répertoriés au sein de notre cohorte ne semblent pas différencier les deux groupes étudiés. Le score du CCECAI et le score fécal sont cependant significativement plus élevés dans le groupe perdant des protéines. Les animaux de ce groupe présentent non seulement une albuminémie basse mais il en va de même pour leur protéinémie totale et leur globulinémie. De plus, les animaux avec perte de protéines sont référés plus précocement en centre hospitalier et la biopsie digestive est réalisée plus tôt, potentiellement en conséquence d'une évolution clinique plus rapide. Cette étude contribue à une meilleure compréhension clinique des MICI avec et sans perte de protéines, bien que limitée par la taille de la cohorte et la binarité de sa conception (normo ou hypo albuminémie). Le développement de nouveaux scores cliniques ainsi que la conception et la démocratisation de nouveaux outils (marqueurs génomiques, calproctectine fécale, intelligence artificielle, …) sont des pistes d'amélioration de la prédiction de la perte de protéine et de la prise en charge de nos patients.[-]
Les Maladies Inflammatoires Chroniques de l'Intestin (MICI) du chien sont des affections complexes d'origine multifactorielle et à la physiopathogénie encore mal connue. Elles représentent une sous-catégorie des entéropathies inflammatoires chroniques. Au sein même des MICI, deux groupes d'animaux semblent se distinguer selon la présence ou non de pertes de protéines. Cette étude rétrospective vise à affiner notre connaissance clinique des MICI ...

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La maladie virale hémorragique du lapin (VHD) est une maladie systémique fatale. Depuis 2010, l'émergence d'un nouveau génotype a eu des répercussions majeures sur la dynamique des populations de Léporidés sauvages et sur la biodiversité ainsi que sur l'économie de la filière du lapin de chair. À l'échelle de la médecine individuelle, le défi diagnostique et l'absence de traitement étiologique ont des enjeux sur la prise en charge des lapins de compagnie cependant les données relatives manquent. Afin de disposer et d'analyser des informations relatives aux aspects épidémiologiques, aux statuts vaccinaux et aux pratiques cliniques, une enquête a été réalisée auprès de 211 cliniques pratiquant exclusivement ou non la médecine des Nouveaux Animaux de Compagnie. L'analyse rétrospective détaillée de 41 cas de VHD pris en charge et rapportés par les vétérinaires entre 2018 et 2023, montre notamment qu'une majorité des vétérinaires répondants utilisent peu les examens diagnostiques à leur disposition comme l'autopsie et les tests confirmatoires. Elle met aussi en évidence l'implication majoritaire du génotype 2 du virus dans la population étudiée et un faible taux d'échecs vaccinaux, ce qui n'est pas en faveur de l'éventuelle émergence d'une souche virale plus virulente. De plus, les lapins de compagnie de tous milieux et modes de vie peuvent être concernés, la vaccination et l'application de mesures de biosécurité sont donc indiquées pour tous les profils de lapins de compagnie.[-]
La maladie virale hémorragique du lapin (VHD) est une maladie systémique fatale. Depuis 2010, l'émergence d'un nouveau génotype a eu des répercussions majeures sur la dynamique des populations de Léporidés sauvages et sur la biodiversité ainsi que sur l'économie de la filière du lapin de chair. À l'échelle de la médecine individuelle, le défi diagnostique et l'absence de traitement étiologique ont des enjeux sur la prise en charge des lapins de ...

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La dirofilariose cardiopulmonaire du chien est une pathologie causée par la filaire de Dirofilaria immitis, transmise via la piqûre d'un moustique vecteur. La présence d'adultes et de stades larvaires de D. immitis dans le système cardiovasculaire de l'hôte peut être à l'origine d'une hypertension pulmonaire et d'une insuffisance cardiaque, menant généralement à la mort de l'animal à plus ou moins long terme. La maladie atteint des prévalences importantes dans les zones tropicales, ces régions offrant des conditions climatiques propices au développement du parasite et de son vecteur. En Nouvelle-Calédonie, territoire insulaire localisé au milieu de l'Océan Pacifique, la prévalence de la maladie a été estimée à 57% en 1993. Depuis, les méthodes de diagnostic mais également les recommandations en termes de prévention et de traitement de la pathologie ont évoluées significativement. Des chiens amenés en consultation dans différentes structures vétérinaires du territoire ont été prélevés (n = 79) afin d'être testés en sérologie (test antigénique) et par biologie moléculaire (qPCR). La prévalence de la dirofilariose cardiopulmonaire rapportée dans ce travail est de 39%.[-]
La dirofilariose cardiopulmonaire du chien est une pathologie causée par la filaire de Dirofilaria immitis, transmise via la piqûre d'un moustique vecteur. La présence d'adultes et de stades larvaires de D. immitis dans le système cardiovasculaire de l'hôte peut être à l'origine d'une hypertension pulmonaire et d'une insuffisance cardiaque, menant généralement à la mort de l'animal à plus ou moins long terme. La maladie atteint des prévalences ...

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L'objectif de cette thèse est d'identifier les facteurs de risque liés au développement des tumeurs mammaires chez le chien et le chat, et de décrire précisément le tableau clinique le plus fréquent. Cette étude rétrospective montre que le nombre de masses mammaires vues en consultation a diminué au cours des dernières années. Cependant, les tumeurs sont, en majorité, en faveur d'un processus malin ; et d'autant plus chez le chat avec 75 % de malignité contre 60 % chez le chien. Pour les deux espèces, le tableau clinique prédominant fait état de plusieurs masses mammaires, surtout en région inguinale, chez des femelles, entières ou stérilisées tardivement, et âgées de 9 à 12 ans. L'analyse des résultats a permis de faire un état des lieux épidémiologique et clinique des tumeurs mammaires, et d'identifier des facteurs de risque liés à leur développement, et notamment leur risque de malignité. Il serait intéressant d'avoir un échantillon félin plus important pour étoffer ces résultats.[-]
L'objectif de cette thèse est d'identifier les facteurs de risque liés au développement des tumeurs mammaires chez le chien et le chat, et de décrire précisément le tableau clinique le plus fréquent. Cette étude rétrospective montre que le nombre de masses mammaires vues en consultation a diminué au cours des dernières années. Cependant, les tumeurs sont, en majorité, en faveur d'un processus malin ; et d'autant plus chez le chat avec 75 % de ...

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La leishmaniose canine est une maladie vectorisée fortement prévalente dans le sud de la France et dans les pays du pourtour méditerranéen. Cependant des données de séroprévalence récentes sont manquantes en France métropolitaine. Une étude de séroprévalence a été initiée chez des chiens de chasse (n=169) dans une zone enzootique, les Cévennes, en 2022. Cette première campagne de prélèvements a estimé une séroprévalence chez le chien de l'ordre de 14% en utilisant le kit ELISA Bordier®. Une nouvelle enquête a été réalisée durant l'hiver 2023. L'objectif de ce travail était : (i) d'étudier la dynamique de l'infection en suivant l'évolution du statut sérologique des chiens prélevés lors des deux enquêtes, (ii) d'évaluer l'apport de la technique de western-blot (WB), en particulier pour distinguer les chiens vaccinés des non vaccinés. Pour cela, la détection d'anticorps a été réalisée par méthode ELISA (Bordier®) et par western-blot (LDBio®). 192 chiens ont été inclus dans l'étude en 2023 (dont 87 suivis depuis 2022). La séroprévalence a été estimée à 21,8% par WB et à 10,9% par méthode ELISA, montrant des valeurs équivalentes à celles obtenues lors de la campagne précédente. Une incidence de 4,6% a été calculée dans la population des chiens suivis. Ce travail met en évidence la sensibilité insuffisante de la méthode ELISA par rapport à celle obtenue par Western Blot avec 45,41% contre 90,93% respectivement. Le Western Blot semble de plus capable de détecter des infections précoces, avant l'apparition de signes cliniques. Aucune interférence vaccinale n'a été mise en évidence dans notre étude, notamment avec le vaccin Letifend®.[-]
La leishmaniose canine est une maladie vectorisée fortement prévalente dans le sud de la France et dans les pays du pourtour méditerranéen. Cependant des données de séroprévalence récentes sont manquantes en France métropolitaine. Une étude de séroprévalence a été initiée chez des chiens de chasse (n=169) dans une zone enzootique, les Cévennes, en 2022. Cette première campagne de prélèvements a estimé une séroprévalence chez le chien de l'ordre ...

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Le ligament croisé crânial est un composant essentiel dans la biomécanique du grasset, notamment dans la stabilité crânio-caudale et la rotation interne de celui-ci. La rupture de ce ligament est, chez le chien, une pathologie complexe et multifactorielle. Actuellement, l'ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO) est considérée comme le traitement de référence. Cependant, dans un nombre non négligeable de cas, une persistance d'instabilité notamment en rotation interne est rapportée. Elle peut être à l'origine d'une gêne fonctionnelle résiduelle, d'une progression d'arthrose plus importante et d'une augmentation du taux de lésions méniscales post opératoires. Certains recommandent une stabilisation extra-capsulaire en plus de l'ostéotomie. En médecine humaine, ce phénomène est bien documenté, contrairement au chien où peu d'études sont encore rapportées. / L'étude propose de déterminer la prévalence et les facteurs de risques de cette instabilité. Deux populations de chiens présentant une rupture du ligament croisé crânial sont étudiées et pris en charge chirurgicalement par TPLO, l'une présentant une instabilité en rotation (n=33) et l'autre non (n=129). Une prévalence de 20,37% d'instabilité résiduelle après TPLO est rapportée. Elle est plus importante chez les chiens de petites races. Les facteurs de risques sont les ruptures aigues et totales du ligament. Ces chiens sont plus âgés et présentent des boiteries plus sévères parfois associées à une anomalie de la démarche de type « pivot shift ». Radiographiquement, une pente tibiale plus élevée et un développement arthrosique plus faible sont retrouvés. Enfin, on retrouve plus de lésions méniscales médiales.[-]
Le ligament croisé crânial est un composant essentiel dans la biomécanique du grasset, notamment dans la stabilité crânio-caudale et la rotation interne de celui-ci. La rupture de ce ligament est, chez le chien, une pathologie complexe et multifactorielle. Actuellement, l'ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO) est considérée comme le traitement de référence. Cependant, dans un nombre non négligeable de cas, une persistance d...

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En février 2021 lors d'un concours international de saut d'obstacles prenant place au CES Valence en Espagne, une épidémie d'HVE-1 s'est déclarée. De nombreux chevaux ont développé des signes cliniques dont la forme neurologique, la Myéloencéphalopathie Equine à Herpèsvirus. Une étude clinique, épidémiologique et diagnostique a été menée sur un panel de chevaux restés en quarantaine sur site. Cette étude a permis de dégager des facteurs de risque, mais aussi de faire évoluer les méthodes diagnostiques. A la suite de cet évènement, la FEI a fait évoluer ces protocoles en matière d'organisation d'évènement hippique et de gestion de biosécurité des maladies infectieuses. L'application FEI HorseApp va permettre de faciliter les contrôles des chevaux à l'avenir.[-]
En février 2021 lors d'un concours international de saut d'obstacles prenant place au CES Valence en Espagne, une épidémie d'HVE-1 s'est déclarée. De nombreux chevaux ont développé des signes cliniques dont la forme neurologique, la Myéloencéphalopathie Equine à Herpèsvirus. Une étude clinique, épidémiologique et diagnostique a été menée sur un panel de chevaux restés en quarantaine sur site. Cette étude a permis de dégager des facteurs de ...

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Greene's Infectious Diseases of the Dog and Cat, 5th Edition provides a comprehensive, clinically useful reference on the management of infectious diseases caused by viruses, bacteria (including rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, and spirochetes), fungi, algae, protozoa, parasites, and other atypical agents. Each section guides the reader through diagnostic testing for specific infectious diseases, from specimen collection to laboratory submission to interpretation of results to appropriate treatment measures. Full-color illustrations and hundreds of tables provide convenient access to diagnostic and therapeutic recommendations, along with the appropriate drug dosages for effective treatment and prevention. A fully searchable enhanced eBook version is included with print purchase, allowing access to all of the text and figures on a variety of digital devices.[-]
Greene's Infectious Diseases of the Dog and Cat, 5th Edition provides a comprehensive, clinically useful reference on the management of infectious diseases caused by viruses, bacteria (including rickettsiae, chlamydiae, mycoplasmas, and spirochetes), fungi, algae, protozoa, parasites, and other atypical agents. Each section guides the reader through diagnostic testing for specific infectious diseases, from specimen collection to laboratory ...

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Comprehensive reference on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates. Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases for Practitioners provides information on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates, along with information on applied epidemiology, acknowledging the One Health concept, and discussion on probabilities of disease outbreaks occurring and assesses the economic costs of treating those outbreaks, if applicable.
Divided into two sections, the book looks at the pathology of major aquatic taxa and their associated infectious diseases -parasitic, viral, and bacterial -and non-infectious diseases. Each includes an overview, their host range and transmission, signs and diagnosis, differentials, and treatment and management. These assets are accompanied by clinical signs-lesion differential charts.
Sample topics discussed in Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases include:
Echinoderms, including crinoidea (crinoids, sea lilies, feather stars, and asteroidea), sea stars/starfish, and ophiuroidea (brittle stars and basket stars)
Reptiles, including turtles (freshwater and marine), crocodilians, marine iguanas, and sea snakes
Pinnipeds, including otariidae (eared seals), odobenidae (walruses), phocidae (earless seals), mustelidae (otters), and sirenia (manatees and dugongs)
Tropical marine aquarium fish (damselfish, angelfish, gobies, wrasses, parrotfish, butterfly fish, and clownfish) and anemones.
A highly useful reference for veterinary practitioners, academic staff, and researchers, Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases is also suitable for those who are interested in aquatic veterinary medicine and serves as a companion to Fundamentals of Aquatic Veterinary Medicine, written by the same editorial team.[-]
Comprehensive reference on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates. Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases for Practitioners provides information on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates, along with information on applied epidemiology, acknowledging the One Health concept, and discussion on ...

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Les dermatoses neutrophiliques stériles sont un ensemble de maladies caractérisées par la présence d'un infiltrat neutrophilique en absence de causes infectieuses. Leur étiologie est encore inconnue mais une origine auto-inflammatoire est suspectée. Leur diagnostic se fait par exclusion. Leur traitement fait appel à des corticoïdes et à des immunosuppresseurs, d'autres groupes de molécules sont parfois essayés. Ces maladies sont bien décrites chez l'Homme, en revanche elles sont rares chez le chien, ainsi presqu'aucun papier ne les a décrites chez cette espèce. Cette thèse décrit les maladies neutrophiliques stériles chez l'Homme et chez le chien en synthétisant ce qui a été décrit dans les cas cliniques publiés dans la littérature. Des comparaisons sont établies entre les deux espèces. Chez le chien, seul le syndrome de Sweet, le pyoderma gangrenosum et la pustulose sous cornée sont décrits. Une étude épidémiologique a été réalisée à partir de 48 cas cliniques issus de trois laboratoires d'analyses histopathologiques vétérinaire (Vet'Histo, VétoDiag et le LAPVSO) et du service de dermatologie de l'EnvA. L'objectif était d'étudier de potentielles prédispositions liées à l'âge, au sexe ou à la race ; les associations à des maladies systémiques ; les signes cliniques systémiques ; l'examen histopathologique et les traitements mis en place. Les animaux les plus touchés semblent être les chiens adultes à sénior et aucune prédisposition de sexe ou de race n'a été mise en évidence. Il n'a pas été mis en évidence d'association avec certaines maladies systémiques contrairement à ce qui est décrit chez l'Homme. Les traitements les plus utilisés sont les corticoïdes (prednisolone, méthylprednisolone, dexaméthasone), et les immunosuppresseurs (ciclosporine, azathioprine). Les taux de guérisons sont bons, les récidives n'impactent pas la possibilité de guérison, et la pustulose sous cornée chez le chien répond corticoïdes.[-]
Les dermatoses neutrophiliques stériles sont un ensemble de maladies caractérisées par la présence d'un infiltrat neutrophilique en absence de causes infectieuses. Leur étiologie est encore inconnue mais une origine auto-inflammatoire est suspectée. Leur diagnostic se fait par exclusion. Leur traitement fait appel à des corticoïdes et à des immunosuppresseurs, d'autres groupes de molécules sont parfois essayés. Ces maladies sont bien décrites ...

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Les otites chez le chat sont moins fréquentes que dans l'espèce canine et leurs physiopathologies présentent des différences. Cette étude rétrospective porte donc sur les otites de chats vus en consultation au service de dermatologie de l'École nationale vétérinaire d'Alfort entre 2020 et 2022 et s'intéresse aux critères épidémiologiques, cliniques et diagnostiques des otites dans l'espèce féline. La première partie est une revue bibliographique sur les données actuelles de la littérature, la seconde est la présentation des résultats de l'étude rétrospective portant sur 103 chats et enfin la troisième et dernière partie est une discussion et l'étude spéciale de trois entités (polypes inflammatoires, masses et otites suppurées). L'étude confirme une majorité des données bibliographiques et apporte cependant d'autres informations jusqu'alors non évoquées dans la littérature. Pour l'interprétation des résultats, il sera nécessaire de se souvenir que la population de chat étudiée est une patientèle souvent référée.[-]
Les otites chez le chat sont moins fréquentes que dans l'espèce canine et leurs physiopathologies présentent des différences. Cette étude rétrospective porte donc sur les otites de chats vus en consultation au service de dermatologie de l'École nationale vétérinaire d'Alfort entre 2020 et 2022 et s'intéresse aux critères épidémiologiques, cliniques et diagnostiques des otites dans l'espèce féline. La première partie est une revue bibliographique ...

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Le carcinome gastrique représente un défi clinique de premier plan en médecine humaine, se classant au quatrième rang des cancers les plus fréquents et constituant la deuxième cause de mortalité liée au cancer à l'échelle mondiale. Bien que moins prévalent à l'échelle de l'espèce canine (moins de 1% de l'ensemble des cancers), certaines races y apparaissent prédisposées (Berger Belge, Bouvier des Flandres, Colley...). La rareté relative de ce type de cancer chez le chien explique le manque d'études vétérinaires approfondies sur le sujet. Cependant, tout comme chez l'Homme, la gestion thérapeutique du carcinome gastrique chez le chien se heurte à des défis, avec des médianes de survie rapportées très brèves. Cette thèse entreprend une analyse comparative des données scientifiques relatives au carcinome gastrique chez le chien et l'Homme, en se concentrant particulièrement sur l'épidémiologie, les différentes méthodes de classification ainsi que les modalités diagnostiques et thérapeutiques actuelles. Cette approche d'oncologie comparée vise à identifier les similitudes et les différences de cette affection chez ces deux espèces. Ce travail expose également l'état d'avancement des connaissances au sujet des mécanismes physiopathologiques et des aspects génétiques contribuant au développement de la maladie. L'intégration de la biologie moléculaire dans l'étude du carcinome gastrique représente une avancée majeure, promettant des avancées significatives dans la gestion de cette maladie complexe, à la fois chez l'Homme et le chien.[-]
Le carcinome gastrique représente un défi clinique de premier plan en médecine humaine, se classant au quatrième rang des cancers les plus fréquents et constituant la deuxième cause de mortalité liée au cancer à l'échelle mondiale. Bien que moins prévalent à l'échelle de l'espèce canine (moins de 1% de l'ensemble des cancers), certaines races y apparaissent prédisposées (Berger Belge, Bouvier des Flandres, Colley...). La rareté relative de ce ...

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L'urolithiase oxalo-calcique est fréquemment observée chez les chiens de petite taille, notamment chez les Yorkshire terriers. Parmi les recherches menées sur les calculs d'oxalate de calcium (OxCa), aucune ne s'est intéressée spécifiquement à la race Yorkshire terrier. Après une synthèse des connaissances actuelles à propos de l'urolithiase oxalo-calcique chez le chien, une étude rétrospective a été menée sur la population de chiens de race Yorkshire terrier présentée au Chuv-Ac de l'EnvA entre 2003 et 2021 chez qui des calculs d'OxCa ont été diagnostiqués. L'objectif de cette étude était d'établir un profil épidémiologique et clinique des chiens atteints de maladie lithiasique oxalo-calcique au sein de cette race et d'évaluer les prises en charge actuellement réalisées pour la traiter. Les résultats montraient une prédominance des mâles non stérilisés, d'environ 9 ans et en discret embonpoint au diagnostic. La grande majorité des chiens présentaient une calcémie ionisée dans les valeurs de référence bien que les chiens présentant des calculs aient une calcémie ionisée supérieure au groupe témoin. Si la plupart des calculs étaient vésicaux, près d'un quart des calculs se trouvaient dans le haut appareil urinaire et l'urètre pénien était le site préférentiel des urétrolithes. À l'admission, près de la moitié des chiens présentaient des signes de cystite et environ 20 % présentaient des signes de minéralisation rénale, suggérant la possible existence de plaques de Randall, non décrite chez les chiens à ce jour. Les calculs de weddellite étaient plus fréquents que ceux de whewellite dans l'étude. Un taux de récidive faible était observé mais il est à nuancer car l'étude était rétrospective et peu d'animaux ont pu avoir un suivi satisfaisant. Cette étude présente des limites de par sa nature rétrospective et de par son manque de puissance statistique à certains égards. Une étude prospective pourrait permettre de remédier à ces limitations et d'explorer davantage les hypothèses d'une hypercalciurie idiopathique, dont les mécanismes seraient à caractériser, et d'une composante génétique, notamment en examinant les pedigrées des animaux atteints d'urolithiase oxalo-calcique.[-]
L'urolithiase oxalo-calcique est fréquemment observée chez les chiens de petite taille, notamment chez les Yorkshire terriers. Parmi les recherches menées sur les calculs d'oxalate de calcium (OxCa), aucune ne s'est intéressée spécifiquement à la race Yorkshire terrier. Après une synthèse des connaissances actuelles à propos de l'urolithiase oxalo-calcique chez le chien, une étude rétrospective a été menée sur la population de chiens de race ...

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Les cryptosporidioses sont des maladies parasitaires zoonotiques d'importance majeure en santé humaine comme en santé animale. Elles sont à l'origine de pertes économiques majeures en élevage. La découverte d'un symbionte viral chez Cryptosporidium, nommé Cryspovirus, a rebattu les cartes de la compréhension de la pathogénie et de l'épidémiologie de ce parasite. L'objet de ce travail était, après une étude bibliographique retraçant les principales caractéristiques de C. parvum et de Cryspovirus, de mettre en évidence la présence de CSpV-1 dans des échantillons de matières fécales recueillis sur le terrain ainsi qu'une analyse épidémiologique des clades de Cryspovirus circulant chez l'homme et les ruminants en France. Ce travail a conduit à la réalisation de plusieurs PCR sur des échantillons collectés sur le terrain dans des élevages ovins et bovins ainsi que sur des échantillons d'origine humaine fournis par le Centre national de référence des cryptosporidies du CHU de Rouen. L'objectif était dans un premier temps de confirmer la présence d'une cryptosporidie dans l'échantillon puis de tester la présence des ARN viraux et enfin de les séquencer. Nous avons montré que le Cryspovirus est très répandu parmi les lignées de cryptosporidies en France, et ce dans plusieurs espèces (humain, ovin, bovin). Il s'agit de la première description du Cryspovirus en France dans des lignées de Cryptosporidium isolées chez l'être humain. Ce Cryspovirus est un virus à ARN qui présente un mode de transmission tout à fait original, par voie verticale exclusivement. La présence de ce virus dans les cryptosporidies semble être à l'origine d'une fécondité et d'une infectiosité majorée, sans que le mode d'action précis ne soit pour l'instant clairement identifié. L'hypothèse la plus probable est une action du virus sur la voie de l'interféron gamma chez l'hôte mammifère qui permet au parasite d'échapper au système immunitaire. La prévalence observée de CSpV-1 au cours des manipulations était de près de 85% toutes espèces confondues. De nouvelles expériences doivent maintenant être entreprises sur cultures cellulaires afin de quantifier précisément l'effet de l'infection de Cryptosporidium par Cryspovirus.[-]
Les cryptosporidioses sont des maladies parasitaires zoonotiques d'importance majeure en santé humaine comme en santé animale. Elles sont à l'origine de pertes économiques majeures en élevage. La découverte d'un symbionte viral chez Cryptosporidium, nommé Cryspovirus, a rebattu les cartes de la compréhension de la pathogénie et de l'épidémiologie de ce parasite. L'objet de ce travail était, après une étude bibliographique retraçant les ...

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Les oiseaux sont des animaux fugaces et leur observation peut se révéler difficile. C'est pourquoi de nombreuses méthodes de suivi ont été élaborées afin de pouvoir les étudier au mieux. Les intérêts du suivi des oiseaux sont nombreux, tels que l'étude de leurs déplacements, de la dynamique des populations, ou encore la surveillance ou l'étude d'évènements sanitaires. Cette thèse passe en revue les différents systèmes de marquage, leurs mises en oeuvre, leurs qualités et leurs inconvénients ainsi que des exemples relatant leurs apports lors de suivis épidémiologiques. Dans une seconde partie, un suivi télémétrique, effectué dans le cadre de la thèse d'université du Dr Le Gall-Ladevèze, a été réalisé sur le terrain sur des bergeronnettes grises autour d'un élevage de canards gras du Gers, afin de connaître leur possible rôle épidémiologique vis-à-vis d'agents pathogènes aviaires. Les premiers résultats ont permis de montrer que Motacilla Alba peut se déplacer entre un élevage et d'autres zones d'intérêt épidémiologiques (zones humides et autres élevages).[-]
Les oiseaux sont des animaux fugaces et leur observation peut se révéler difficile. C'est pourquoi de nombreuses méthodes de suivi ont été élaborées afin de pouvoir les étudier au mieux. Les intérêts du suivi des oiseaux sont nombreux, tels que l'étude de leurs déplacements, de la dynamique des populations, ou encore la surveillance ou l'étude d'évènements sanitaires. Cette thèse passe en revue les différents systèmes de marquage, leurs mises en ...

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Le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la pandémie de COVID-2019. L'origine et les potentielles espèces réservoirs de ce virus ont longtemps suscité une préoccupation mondiale majeure. L'objectif de cette étude était d'estimer la séroprévalence chez les chiens et les chats et d'objectiver certains facteurs de risque. L'objectif était aussi de comparer deux méthodes de diagnostic sérologique : l'ELISA et l'hémagglutination par la séroneutralisation. 165 chiens et 143 chats ont été prélevés. Des anticorps ont été détectés chez 8,4 % des chats et 5,4 % des chiens. Bien que non statistiquement significatives, nos données suggèrent que la survenue d'un épisode de COVID-19 dans le foyer pourrait augmenter le risque. Aucun autre facteur de risque n'a réellement été mis en avant. Nous déconseillons l'utilisation des deux tests. Pour finir cette enquête montre indirectement que le SARS-CoV-2 circule dans les populations canines et félines, mais qu'elles semblent jouer un rôle mineur.[-]
Le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la pandémie de COVID-2019. L'origine et les potentielles espèces réservoirs de ce virus ont longtemps suscité une préoccupation mondiale majeure. L'objectif de cette étude était d'estimer la séroprévalence chez les chiens et les chats et d'objectiver certains facteurs de risque. L'objectif était aussi de comparer deux méthodes de diagnostic sérologique : l'ELISA et l'hémagglutination par la séro...

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La piroplasmose équine est une maladie vectorielle transmise par les tiques. Les parasites responsables de cette maladie sont Babesia caballi, Theileria equi et Theileria haneyi. De gravité variable, de nombreux facteurs complexifient l'épidémiologie de cette maladie. La France est aujourd'hui endémique de piroplasmose équine. Notre étude prospective portait sur la prévalence des parasites B. caballi et T. equi parmi les équidés testés lors de consultations à la Clinéquine de VetagroSup Lyon. 88 équidés ont été testés par PCR. Un questionnaire rempli par leur propriétaire précisait leur mode et leur environnement de vie. 62% des équidés étaient porteurs d'au moins un des deux parasites dont 57,9% pour T. equi et 7,9% pour B. caballi. Le jeune âge des équidés et la saison estivale ont été définis dans notre étude comme étant des facteurs de risque quant à l'infestation par B. caballi.[-]
La piroplasmose équine est une maladie vectorielle transmise par les tiques. Les parasites responsables de cette maladie sont Babesia caballi, Theileria equi et Theileria haneyi. De gravité variable, de nombreux facteurs complexifient l'épidémiologie de cette maladie. La France est aujourd'hui endémique de piroplasmose équine. Notre étude prospective portait sur la prévalence des parasites B. caballi et T. equi parmi les équidés testés lors de ...

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Le sarcome histiocytaire canin est une tumeur très agressive pour laquelle aucun traitement n'est encore disponible. Bien que rare dans l'espèce canine, cette tumeur est très fréquente certaines races telles que le Bouvier Bernois, les Retrievers et le Rottweiler, où il peut être responsable de la moitié des décès rapportés au sein de la race. L'agressivité de la tumeur, couplée à un diagnostic souvent tardif permettent d'expliquer ce taux de mortalité élevé. La compréhension des mécanismes génétiques initiateurs de cette tumeur sont au centre de nombreuses études. Des mutations du gène PTPN11, à l'origine de la cancérisation des cellules, ont pu être mis en évidence chez le Bouvier Bernois dans différentes études. La disponibilité d'outils de diagnostic génétique précoce de la maladie est très importante pour la mise en place précoce d'un traitement anticancéreux. Toutefois, un diagnostic génétique n'est valable et fiable que si le gène muté recherché est spécifique de la maladie. La première partie de ce manuscrit décrit les données épidémiologiques et cliniques des cinq cancers les plus fréquemment diagnostiqués chez les chiens de race Bouvier Bernois, c'est à dire le sarcome histiocytaire, le mastocytome cutané canin, les sarcomes des tissus mous, le lymphome multicentrique et le mélanome, après avoir évoqué la prévalence des tumeurs au sein de cette race à l'international. La deuxième partie restitue les mutations génétiques décrites dans la littérature dans ces cinq tumeurs dans la race canine, avant de se concentrer sur le rôle du gène PTPN11 dans les cellules mais également sur les conséquences biologiques de ses mutations chez l'Homme et chez le chien. Enfin, la dernière partie présente les résultats de la partie expérimentale qui s'articule en deux temps. Le premier étant l'étude épidémiologique des tumeurs chez le Bouvier Bernois réalisée à l'aide des données issues du laboratoire d'Anatomie Pathologique Vétérinaire de Toulouse, LAPVSO. La deuxième étude s'articule autour de la recherche des mutations du gène PTPN11 dans les cinq tumeurs développées en première partie. Cette étude permet de confirmer la fréquence et la spécificité des altérations du gène PTPN11 dans le sarcome histiocytaire, altérations non significativement détectées dans les autres cancers étudiés. Ce travail a été réalisé en collaboration avec l'Institut de Génétique et de Développement de Rennes (UMR 6290-CNRS, équipe de génétique du chien) et LabOniris, du campus vétérinaire d'Oniris.[-]
Le sarcome histiocytaire canin est une tumeur très agressive pour laquelle aucun traitement n'est encore disponible. Bien que rare dans l'espèce canine, cette tumeur est très fréquente certaines races telles que le Bouvier Bernois, les Retrievers et le Rottweiler, où il peut être responsable de la moitié des décès rapportés au sein de la race. L'agressivité de la tumeur, couplée à un diagnostic souvent tardif permettent d'expliquer ce taux de ...

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La créatinine est un marqueur de la fonction rénale utilisé en routine en médecine humaine et vétérinaire. Cependant, elle est un indicateur tardif de la perte de fonction rénale, ce qui entraîne une sous-détection des affections associées. De plus, les lésions rénales étant irréversibles, tout délai à la prise en charge est un facteur assombrissant le pronostic des individus atteints à plus ou moins long terme. La définition et les critères diagnostiques des insuffisances rénales ont beaucoup évolué depuis les vingt dernières années à l'échelle internationale, afin d'optimiser la détection et la prise en charge des patients atteints. La présente étude rétrospective s'inscrit dans ce contexte, et propose des données adaptées au cheval et à la nouvelle nomenclature. L'étude de la prévalence des hypercréatininémies, la recherche de paramètres significativement liés à cette affection et la répartition des cas selon le type d'atteinte rénale ont été effectués dans une population de 804 chevaux médicalisés. Les résultats obtenus semblent indiquer que l'âge ainsi que certaines pathologies comme les coliques sont des facteurs de risque de présenter de l'hypercréatininémie, contrairement à la race ou le sexe qui semblent sans influence. L'hypercréatininémie paraît dans cette étude corrélée à un mauvais pronostic vital, avec un plus fort taux d'échec thérapeutique dans les cas plus sévères. La classification des cas d'hypercréatininémie selon la nouvelle nomenclature des insuffisances rénales montre un fort taux de cas aigus, qui constituent plus de la moitié des cas. L'absence de suivi à moyen terme ne permet pas de conclure avec certitude quant à la différence entre AKD et CKD.[-]
La créatinine est un marqueur de la fonction rénale utilisé en routine en médecine humaine et vétérinaire. Cependant, elle est un indicateur tardif de la perte de fonction rénale, ce qui entraîne une sous-détection des affections associées. De plus, les lésions rénales étant irréversibles, tout délai à la prise en charge est un facteur assombrissant le pronostic des individus atteints à plus ou moins long terme. La définition et les critères ...

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Comprehensive reference work on the bacterial, fungal, and viral pathogens that cause animal diseases.
Veterinary Microbiology, Fourth Edition presents comprehensive information based on the most recent research, diagnostic, and clinical publications for bacterial, fungal, and viral animal diseases. The information provided is intended to be most relevant for veterinary students and practitioners.
The text is supported throughout by high-quality and full-color images to aid learning. A companion website offers chapter content, supplemental information, and figures from the book in PowerPoint format. Sample topics discussed within the book include:
- Pathogenic bacteriology: includes major classifications and genera of bacteria associated with veterinary infectious disease
- Pathogenic mycology: dermatophytes, agents of subcutaneous mycoses, and agents of systemic mycoses
- Pathogenic virology: includes RNA and DNA viruses as well as prions associated with veterinary infectious disease[-]
Comprehensive reference work on the bacterial, fungal, and viral pathogens that cause animal diseases.
Veterinary Microbiology, Fourth Edition presents comprehensive information based on the most recent research, diagnostic, and clinical publications for bacterial, fungal, and viral animal diseases. The information provided is intended to be most relevant for veterinary students and practitioners.
The text is supported throughout by high-quality ...

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Comprehensive review of the major bacterial pathogens of animals, focusing on the current understanding of how they cause disease.
Pathogenesis of Bacterial Infections in Animals, Fifth Edition is a specialist reference that provides a comprehensive review of bacterial pathogens in animals and their complex interplay with disease processes, offering a complete understanding of how bacteria cause disease in animals. It covers the many recent advances in the field including the newest taxonomies. In this revised and long anticipated fifth edition, additional introductory chapters have been added to set the material in context, and more figures added to integrate and improve understanding and comprehension throughout the text. A companion website presents the figures from the book in PowerPoint and references.
This detailed reference includes novel approaches to controlling bacterial pathogens in the light of growing concerns about antimicrobial resistance, with more than 70 expert authors sharing their wisdom on the topic. While molecular pathogenesis is a major aspect in almost every chapter, the authors have been careful to place pathogens in their broader context.
Pathogenesis of Bacterial Infections in Animals, Fifth Edition also contains information on:
- Themes in bacterial pathogenesis, covering the basic elements of pathogenesis, concepts of virulence, host-pathogen interactions and communication, and pathogenesis in the post-genomic era
- Evolution of bacterial pathogens, covering what they are and how they emerge, along with sources of genetic diversity, population structure, and genome plasticity
- Understanding of pathogenesis through pathogenomics and bioinformatics, including how mutations generate pathogen diversity, and an overview of genome sequencing technologies
- Subversion of the immune response by bacterial pathogens, covering subversion of both innate responses and adaptive immunity
Pathogenesis of Bacterial Infections in Animals, Fifth Edition is an essential resource for graduate students in veterinary medicine and animal science, and for veterinary microbiologists, pathologists, infectious disease experts, and others interested in bacterial disease. It is the only book to cover this topic to this depth through the wealth of insight of dozens of qualified and practicing professionals.[-]
Comprehensive review of the major bacterial pathogens of animals, focusing on the current understanding of how they cause disease.
Pathogenesis of Bacterial Infections in Animals, Fifth Edition is a specialist reference that provides a comprehensive review of bacterial pathogens in animals and their complex interplay with disease processes, offering a complete understanding of how bacteria cause disease in animals. It covers the many recent ...

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D'après les dernières études épidémiologiques, la prévalence de la leishmaniose canine dans certaines zones endémiques du monde peut atteindre 80%. En France, l'un des principaux foyers est situé dans les Cévennes, où la dernière étude réalisée date de 2003. Les objectifs de ce travail étaient d'estimer l'endémicité actuelle de la leishmaniose canine dans ce foyer, d'évaluer l'utilisation des mesures prophylactiques et de comparer les performances de quatre tests sérologiques, deux méthodes ELISA et deux tests rapides d'immunochromatographie. De décembre 2021 à janvier 2022, un prélèvement sanguin a été réalisé sur 169 chiens vivant dans les Cévennes et un questionnaire a été rempli par leurs propriétaires. Cette étude montre que L. infantum continue de circuler activement, avec au moins 11% des chiens ayant été en contact avec le parasite, que la prophylaxie contre la leishmaniose canine y est faible et que la sensibilité des tests rapides semble insuffisante.[-]
D'après les dernières études épidémiologiques, la prévalence de la leishmaniose canine dans certaines zones endémiques du monde peut atteindre 80%. En France, l'un des principaux foyers est situé dans les Cévennes, où la dernière étude réalisée date de 2003. Les objectifs de ce travail étaient d'estimer l'endémicité actuelle de la leishmaniose canine dans ce foyer, d'évaluer l'utilisation des mesures prophylactiques et de comparer les p...

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Entre mars 2016 et décembre 2019, plusieurs souris en lactation d'une animalerie de l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort (EnvA) ont été atteintes d'une entérite nécrosante aiguë (ENA) à l'origine d'une mort soudaine sans signe d'appel. Cette affection s'accompagnait systématiquement d'une distension abdominale causée par une dilatation et une nécrose de l'intestin. La littérature fait état de descriptions cliniques et lésionnelles similaires chez la souris en lactation sous différentes appellations : « ileus and paresis of peristalsis », « deficient lactation », « fatal acute intestine pseudoobstruction », « postpartum ileus », « lactation ileus ». Malgré ces descriptions, l'étiologie de cette maladie est à ce jour inconnue. Dans le but de caractériser cette maladie, nous avons réalisé une étude épidémiologique grâce à une base de données élaborée à partir des portées obtenues sur cette période. Ensuite, nous avons mené une étude histologique à partir de coupes d'intestins récoltés chez les souris mortes d'ENA et préparés avec une coloration hémalun-éosine-safran. Enfin, nous avons poursuivi l'étude étiologique commencée au laboratoire « Découverte de pathogènes » de l'Institut Pasteur. Grâce à un séquençage de Sanger, cette étude préliminaire a permis d'identifier deux agents viraux présents en quantité importante et responsables d'affections digestives chez d'autres espèces : un astrovirus (AVM) et un norovirus (NVM). La suite du projet consistait à quantifier ces virus par RT-qPCR sur un plus grand nombre d'échantillons. La seconde partie de l'étude étiologique visait à exclure deux agents bactériens évoqués dans la littérature par la mise en culture de C. perfringens et par l'amplification de séquences de C. piliforme par PCR nichée. L'étude épidémiologique a déterminé que l'occurrence de l'ENA chez la mère de la souris allaitante était un facteur de risque d'ENA. A l'inverse, l'âge de la femelle, le rang de parité, la taille de la portée n'étaient pas des facteurs de risque et la maladie ne se transmettait probablement pas sexuellement. L'étude histologique a permis de décrire deux profils lésionnels de l'ENA, de proposer une appellation pour cette lésion et d'exclure toute lésion de Clostridium. De plus, les cultures de C. perfringens se sont révélées négatives. Néanmoins, des aléas techniques et le manque de temps n'ont pas permis de réaliser la recherche virale par RT-qPCR et la recherche de C. piliforme par PCR nichées. A ce jour, l'origine de l'ENA reste inconnue mais nos données permettent d'avancer avec conviction une hypothèse virale et de préciser les données épidémiologiques de cette affection.[-]
Entre mars 2016 et décembre 2019, plusieurs souris en lactation d'une animalerie de l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort (EnvA) ont été atteintes d'une entérite nécrosante aiguë (ENA) à l'origine d'une mort soudaine sans signe d'appel. Cette affection s'accompagnait systématiquement d'une distension abdominale causée par une dilatation et une nécrose de l'intestin. La littérature fait état de descriptions cliniques et lésionnelles similaires ...

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Les hémosporidies bénéficient d'un regain d'intérêt à l'heure actuelle suite, entre autres, aux dommages qu'elles ont pu causer sur la faune sauvage et à l'importance croissante des centres de soin dans la réhabilitation de l'avifaune. Les objectifs de cette étude étaient de réaliser un état des lieux de la situation épidémiologique de l'hémoparasitisme touchant les rapaces et corvidés accueillis dans un centre de soins de la faune sauvage en Île-de-France, d'identifier de potentiels facteurs influençant l'infestation et sa transmission, afin de proposer des mesures adaptées de gestion du risque représenté par l'hémoparasitisme sur les rapaces et corvidés. Une étude transversale monocentrique était réalisée sur 37 rapaces (6 espèces) principalement d'origine péri-urbaine et 150 corvidés majoritairement d'origine urbaine (4 espèces) arrivés au Chuv- FS de l'EnvA entre mai 2018 et mai 2019. L'analyse des frottis a permit l'identification morphologique des hémosporodies et l'estimation de la parasitémie. Cette étude a mis en évidence trois genres d'hémosporidies (Haemoproteus, Leucocytozoon et Plasmodium). Le taux de relâché très proche parmi les infestés et non infestés (72% des rapaces, 35% des corvidés) montre la faible incidence clinique liée à l'hémoparasitisme. L'analyse statistique des résultats a montré une association positive entre les corvidés juvéniles et l'infection par Plasmodium sp., L'infestation à Plasmodium en particulier était prédominante chez les corvidés et était aussi plus fréquemment impliquée dans les cas de co-infestations. Bien que non démontré statistiquement, Leucocytozoon semblait infester plus fréquemment les rapaces que les autres genres d'hémosporidies. Les résultats suggèrent que l'hémoparasitisme chez les rapaces et corvidés en centre de soins est une infestation majoritairement subclinique influençant probablement peu le potentiel relâché des oiseaux. Il est donc important de déterminer la présence des vecteurs dans les centres de soin et le risque de transmission pendant la période de réhabilitation. Ceci permettra d'établir les mesures de gestion de ce risque sur la lutte antivectorielle et permettra de réduire le risque de dissémination des hémosporidies lors des relachés.[-]
Les hémosporidies bénéficient d'un regain d'intérêt à l'heure actuelle suite, entre autres, aux dommages qu'elles ont pu causer sur la faune sauvage et à l'importance croissante des centres de soin dans la réhabilitation de l'avifaune. Les objectifs de cette étude étaient de réaliser un état des lieux de la situation épidémiologique de l'hémoparasitisme touchant les rapaces et corvidés accueillis dans un centre de soins de la faune sauvage en ...

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Practical Epidemiology: Using Epidemiology to Support Primary Health Care builds on the successful Manual of Epidemiology for District Health Management, that was published by the WHO Geneva in 1989.
This title focuses on the importance of using epidemiological concepts and skills by health workers in Lower and Middle Income Countries (LMICs), in particular to investigate, plan and deliver primary health care services and to strengthen district level public health programmes. It also includes illustrations and examples relevant to a hypothetical district population of 200,000 people.
The book outlines the importance of the UN's Sustainable Development Goals (SDGs) and the World Health Organisation's principles for Universal Health Coverage (UHC) and then focuses on the role of district health systems in supporting national primary health care and the use of epidemiological and demographic information in the planning of local and national health services and programmes. Chapters include the collection of health information, outbreaks due to communicable diseases, use of investigations and health surveys, data analysis and statistics, and importance of communicating health findings and policies.
Using a systems approach together with epidemiological methods it demonstrates how district health planning and primary health care can be strengthened and how progress can be monitored and evaluated, including for improvements in access, quality and coverage of health services and public health programmes. Ethical principles and tackling inequalities are considered throughout the book. A full chapter on the A B C of epidemiological definitions and terms is also included.
This book will be particularly relevant for undergraduate and postgraduate university training courses for health professionals and for in-service short and revision courses for a wide range of health workers. [-]
Practical Epidemiology: Using Epidemiology to Support Primary Health Care builds on the successful Manual of Epidemiology for District Health Management, that was published by the WHO Geneva in 1989.
This title focuses on the importance of using epidemiological concepts and skills by health workers in Lower and Middle Income Countries (LMICs), in particular to investigate, plan and deliver primary health care services and to strengthen district ...

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L'obstruction urétrale féline est une affection fréquemment rencontrée dans les services d'urgences vétérinaires. De par sa sévérité et la fréquence élevée de ses récidives, il est nécessaire de savoir la reconnaître rapidement, mais également de pouvoir évaluer son pronostic afin de proposer la meilleure prise en charge au propriétaire. Cette étude rétrospective, effectuée sur 10 ans et constituant la plus grande série à ce jour, dresse un tableau récent des données épidémiologiques et cliniques relatives aux obstructions urétrales félines et à leur prise en charge à Oniris. La comparaison des données épidémiologiques des individus ayant subi une obstruction urétrale avec celles des chats pris en charge au service d'Urgences pour une affection des voies urinaires basses non obstructive a permis d'identifier des facteurs de risques, utiles au praticien dans l'orientation du diagnostic et l'anticipation de l'obstruction face à un cas de cystite féline. De plus, la recherche de facteurs de risques de mortalité et de récidive au sein des données épidémiologiques et cliniques permet au vétérinaire de proposer au propriétaire un pronostic réaliste, mais également d'adapter ou d'améliorer sa prise en charge durant son intervention. Enfin, cette étude met en lumière les complications rencontrées, ainsi que la fréquente nécessité d'une reprise chirurgicale, après les chirurgies d'urétrostomie. Elle permet donc d'informer de manière réaliste les propriétaires sur le pronostic associé à cette chirurgie, qui est fréquemment proposée lors de récidive d'obstruction urétrale. L'objectif de cette étude est donc de proposer une actualisation statistiquement pertinente des données épidémiologiques et cliniques relatives à cette pathologie, tout en fournissant au praticien des outils pronostics lui permettant un meilleur dialogue avec le propriétaire.[-]
L'obstruction urétrale féline est une affection fréquemment rencontrée dans les services d'urgences vétérinaires. De par sa sévérité et la fréquence élevée de ses récidives, il est nécessaire de savoir la reconnaître rapidement, mais également de pouvoir évaluer son pronostic afin de proposer la meilleure prise en charge au propriétaire. Cette étude rétrospective, effectuée sur 10 ans et constituant la plus grande série à ce jour, dresse un ...

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Cette thèse propose un état des lieux approfondi des connaissances actuelles sur l'herpèsvirus félin de type 1 (FeHV-1). Ce virus est très fréquemment rencontré chez le chat et est majoritairement responsable de troubles des voies respiratoires supérieures et d'atteintes oculaires. Le FeHV-1 possède la capacité d'établir des infections latentes chez le chat et peut amener à une maladie chronique ou récurrente chez certains animaux. Le diagnostic de l'infection par le FeHV-1 est avant tout clinique et anamnestique, même si les analyses de laboratoire pourront aider dans certaines situations. Le traitement des différentes atteintes repose sur un traitement de soutien, éventuellement associé à l'usage de médicaments antiviraux. Cet ouvrage offre d'abord une présentation générale du virus et de son fonctionnement biologique. La réponse immune de l'hôte à ce virus et l'épidémiologie de la maladie sont également détaillés. Les différentes manifestations de la maladie chez le chat sont ensuite expliquées et illustrées, ainsi que les lésions qui y sont associées. Le diagnostic clinique et différentiel des affections liées au FeHV-1 est également précisé, ainsi que les différentes techniques de laboratoire permettant la détection de l'infection par le virus. Les médicaments utilisables pour le traitement des différentes atteintes sont ensuite détaillés puis les données relatives à la gestion prophylactique de cette infection sont passées en revue dans une dernière partie. Même si de nombreuses données sont disponibles sur le FeHV-1, des études supplémentaires sont toujours nécessaires afin de comprendre les spécificités de ce virus et de permettre le développement de nouveaux médicaments ou vaccins.[-]
Cette thèse propose un état des lieux approfondi des connaissances actuelles sur l'herpèsvirus félin de type 1 (FeHV-1). Ce virus est très fréquemment rencontré chez le chat et est majoritairement responsable de troubles des voies respiratoires supérieures et d'atteintes oculaires. Le FeHV-1 possède la capacité d'établir des infections latentes chez le chat et peut amener à une maladie chronique ou récurrente chez certains animaux. Le diagnostic ...

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Depuis 2010, la présence du petit coléoptère des ruches (Aethina tumida) s'est étendue à Madagascar, puis à l'île Maurice, et il menace aujourd'hui l'île de La Réunion. Le GDS de La Réunion a mis en place une surveillance renforcée de cette espèce exotique envahissante originaire d'Afrique, parasite des colonies d'abeilles mellifères, et classée en France comme danger sanitaire de première catégorie. Dans un contexte de flux passagers et marchands intenses, et de fragilisation de la filière apicole suite à l'introduction de Varroa destructor à La Réunion en 2017, il est nécessaire d'anticiper les scénarios possibles de l'introduction d'Aethina tumida et d'estimer la dynamique de sa diffusion sur l'île. Le manque d'informations épidémiologiques a néanmoins entravé la mise en œuvre des travaux de modélisation envisagés par le GDS. Cette étude a permis d'établir une typologie en fonction des différentes pratiques de gestion du cheptel, à partir des résultats d'une enquête menée auprès de 79 apiculteurs. Le recueil des données de localisation des ruchers et des flux de transhumance a permis l'enrichissement d'un modèle épidémiologique, support de l'élaboration de divers scénarios d'introduction et de diffusion du parasite à La Réunion. Les entretiens ont en outre permis de sensibiliser ces apiculteurs au risque d'introduction d'Aethina tumida sur l'île. Enfin, les résultats de ce travail peuvent constituer un argumentaire sur lequel fonder les négociations entre le GDS et les autorités sanitaires pour l'adaptation du Plan d'Intervention Sanitaire d'Urgence national en cas de détection d'Aethina tumida sur le territoire réunionnais.[-]
Depuis 2010, la présence du petit coléoptère des ruches (Aethina tumida) s'est étendue à Madagascar, puis à l'île Maurice, et il menace aujourd'hui l'île de La Réunion. Le GDS de La Réunion a mis en place une surveillance renforcée de cette espèce exotique envahissante originaire d'Afrique, parasite des colonies d'abeilles mellifères, et classée en France comme danger sanitaire de première catégorie. Dans un contexte de flux passagers et ...

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Un modèle épidémiologique permettant de représenter des stratégies de surveillance de la diarrhée virale bovine (BVD) en zone indemne a été conçu par l'équipe DYNAMO d'INRAE. Afin de paramétrer ce modèle, une analyse descriptive des données de la base de données nationale d'identification des bovins (BDNI) a été réalisée en se focalisant sur les troupeaux finistériens de 2005 à 2015. Il en est ressorti que certains paramètres, comme le sex-ratio, peuvent être généralisés à tous les animaux de la métapopulation, tandis que d'autres, tels que l'âge au premier vêlage, ne peuvent être généralisés que par catégorie de troupeaux (laitiers ou allaitants par exemple). Avant d'être intégrées au modèle, la pertinence de ces simplifications doit être vérifiée à plus large échelle, ainsi que leur impact sur les prédictions du modèle. En utilisant les paramètres les plus précis possibles, le modèle a ensuite été utilisé pour évaluer des scénarios de surveillance de la BVD dans le sud-ouest du Finistère, supposé indemne pour l'étude. Les scénarios les plus efficaces reposent sur des tests à la naissance des veaux nés de femelles achetées gestantes en zone non-indemne. Il serait intéressant de tester également les veaux nés dans les troupeaux situés en limite de la zone indemne. De la même façon, les scénarios les plus efficaces impliquant des tests sérologiques sont ceux qui testent en priorité les troupeaux frontaliers et les troupeaux faisant beaucoup de commerce de bovins. Ces résultats doivent être confirmés par l'étude d'une zone plus grande.[-]
Un modèle épidémiologique permettant de représenter des stratégies de surveillance de la diarrhée virale bovine (BVD) en zone indemne a été conçu par l'équipe DYNAMO d'INRAE. Afin de paramétrer ce modèle, une analyse descriptive des données de la base de données nationale d'identification des bovins (BDNI) a été réalisée en se focalisant sur les troupeaux finistériens de 2005 à 2015. Il en est ressorti que certains paramètres, comme le ...

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La modélisation en épidémiologie permet d'aider les gestionnaires publics à choisir les mesures de maîtrises efficaces à mettre en œuvre. Depuis 2013, quatre challenges de modélisation ont amélioré la préparation des acteurs à une situation de crise sanitaire humaine. Ils sont présentés dans une première partie bibliographique. Le challenge portant sur la peste porcine africaine (PPA), fléau de l'industrie porcine émergent, est le premier challenge de modélisation en santé animale. Il a réuni 5 équipes internationales qui ont développé indépendamment 7 modèles stochastiques mécanistes et 1 modèle statistique. Un modèle mécaniste complexe a permis préalablement de générer les données mimant une épidémie réelle. Les participants devaient prédire l'évolution spatio-temporelle de la maladie chez les sangliers et les porcs, hôtes du virus, sur trois différentes périodes et diverses mesures de maîtrise. Une comparaison qualitative des approches mobilisées et des prédictions réalisées, puis une comparaison quantitative des prédictions temporelles et spatiales de l'occurrence de cas détectés ont été réalisées. La prise en compte de l'interface entre faune sauvage et faune domestique s'est révélée essentielle pour capturer l'ensemble de la situation épidémiologique et tester toutes les mesures envisagées. La détection des cas a été plus facile à prédire pour les élevages que pour les sangliers. La connaissance imparfaite de la circulation virale dans la population sauvage a en effet complexifié sa modélisation. Des modèles agrégeant les prédictions temporelles et spatiales des joueurs ont été développés dans cette étude. Globalement, ce challenge permet une meilleure compréhension des performances de modèles PPA dans diverses situations épidémiologiques connues. Cette étude en « période calme » permet d'améliorer la coordination entre chercheurs et d'identifier des propositions pour meilleure communication avec les gestionnaires.[-]
La modélisation en épidémiologie permet d'aider les gestionnaires publics à choisir les mesures de maîtrises efficaces à mettre en œuvre. Depuis 2013, quatre challenges de modélisation ont amélioré la préparation des acteurs à une situation de crise sanitaire humaine. Ils sont présentés dans une première partie bibliographique. Le challenge portant sur la peste porcine africaine (PPA), fléau de l'industrie porcine émergent, est le premier ...

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La mycose des poches gutturales est une pathologie rare mais dont les conséquences sont de mauvais pronostic vital et sportif. La pathogénie et l'épidémiologie de cette affection restent incertains dans la littérature, notamment le contexte dans lequel s'installe la mycose et le temps d'installation du champignon et de développement de signes cliniques. De plus, le lien entre la pollution fongique du milieu et le développement de la pathologie n'est pas démontré, contrairement à d'autres pathologies du tractus respiratoire. Ainsi, une étude rétrospective réalisée en 2018 dans le cadre d'une étude de thèse vétérinaire mettait en avant une possible prédisposition raciale à développer la mycose et un facteur pronostic. Dans la continuité de cette étude, ce travail de thèse consistant en une étude prospective de la maladie, portant sur la prévalence de celle-ci dans les effectifs affectés, ainsi que d'une mise en relation avec son mode de vie et l'environnement direct du cheval. Au final, l'étude n'a permis d'extraire de liens clairs entre ces facteurs, de par le faible nombre de cas et par l'absence de dépistage positif de mycose. La complexité d'étude de la maladie se retrouve donc ici, par manque de données fiable sur les champignons. Cependant, l'étude suppose qu'un état inflammatoire chronique du larynx, dont l'origine peut être environnementale, pourrait être un premier facteur favorisant. De plus, l'absence d'assainissement des fourrages distribués pourrait en être un second. Une étude à plus grande échelle incluant une analyse de la pollution fongique et une étude rétrospective du lien des chevaux affectés avec une pharyngite permettrait de préciser nos hypothèses.[-]
La mycose des poches gutturales est une pathologie rare mais dont les conséquences sont de mauvais pronostic vital et sportif. La pathogénie et l'épidémiologie de cette affection restent incertains dans la littérature, notamment le contexte dans lequel s'installe la mycose et le temps d'installation du champignon et de développement de signes cliniques. De plus, le lien entre la pollution fongique du milieu et le développement de la pathologie ...

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Le Coendou prehensilis est un porc-épic arboricole nocturne vivant dans les forêts tropicales d'Amérique du Sud et centrale dont la population captive est en voie de développement au sein de parcs zoologiques membres de l'EAZA (Association Européenne des Zoos et Aquariums). Une étude épidémiologique rétrospective auprès de seize parcs a permis l'élaboration d'un descriptif complet des conditions de vie actuelles en captivité et des pathologies observées entre 2016 et 2021. Il a été montré que certains paramètres zootechniques, comportementaux, physiologiques et alimentaires favorisent l'apparition de maladies et influent sur la survie. Les résultats obtenus montrent de grandes disparités entre les parcs et ont permis de prodiguer des conseils en matière d'élevage tout en conservant un esprit critique sur la fiabilité des résultats par manque de cas étudiés.[-]
Le Coendou prehensilis est un porc-épic arboricole nocturne vivant dans les forêts tropicales d'Amérique du Sud et centrale dont la population captive est en voie de développement au sein de parcs zoologiques membres de l'EAZA (Association Européenne des Zoos et Aquariums). Une étude épidémiologique rétrospective auprès de seize parcs a permis l'élaboration d'un descriptif complet des conditions de vie actuelles en captivité et des pathologies ...

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Le cochon d'Inde est le second nouvel animal de compagnie médicalisé après le lapin, et le quatrième animal présenté en consultation dans les cliniques vétérinaires de petits animaux. Certaines études avaient mis en évidence la prévalence élevée d'anomalies et d'affections oculaires chez cette espèce. Ces résultats ont mis en exergue l'intérêt de réaliser un travail récapitulatif et poussé des connaissances et de l'épidémiologie des affections oculaires des cochons d'Inde afin d'évaluer la place réelle en clinique de l'ophtalmologie des cochons d'Inde. La première partie de cette thèse avait pour but de faire un point sur la littérature actuelle sur les connaissances anatomiques et pathologiques de l'appareil oculaire des cochons d'Inde ainsi que les connaissances relatives à la réalisation de l'examen ophtalmologique chez cette espèce avec par exemple les normes de références des examens complémentaires. La seconde partie de ce travail était une étude épidémiologique descriptive et analytique de type cas-témoins sur l'ensemble des consultations de cochons d'Inde à caractère ophtalmologique vues au ChuvA de 2010 à 2020. Les données récoltées ont été mises en relation avec celles de la littérature. Les affections oculaires les plus fréquemment retrouvées dans notre étude étaient la kératite et la conjonctivite suivies par la cataracte, l'exophtalmie et les dégénérescences cornéennes lipidocalciques. Les prévalences retrouvées dans la littérature sont semblables à l'exception de la cataracte qui avait une prévalence bien plus élevée (18 % contre 1,5 %). En outre, des associations statistiquement significatives ont été mises en évidence et mériteront de futures recherches tel que l'association : présence de paille ou de foin dans le substrat avec la présence de kératite. Enfin, cette partie a évalué la place de l'ophtalmologie des cochons d'Inde au sein du ChuvA et semble mettre en évidence une tendance à l'augmentation du nombre de consultation nécessitant la prise en charge par le service spécialisé d'ophtalmologie.[-]
Le cochon d'Inde est le second nouvel animal de compagnie médicalisé après le lapin, et le quatrième animal présenté en consultation dans les cliniques vétérinaires de petits animaux. Certaines études avaient mis en évidence la prévalence élevée d'anomalies et d'affections oculaires chez cette espèce. Ces résultats ont mis en exergue l'intérêt de réaliser un travail récapitulatif et poussé des connaissances et de l'épidémiologie des affections ...

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La présence d'une anomalie oculaire constitue un motif de consultation fréquent chez les lapins de compagnie qui sont de plus en plus présents dans les foyers français. Cette étude avait pour objectif d'établir une prévalence pour chaque maladie oculaire rencontrée chez le lapin et de réaliser une analyse épidémiologique et clinique descriptive des anomalies oculaires chez cette espèce. Notre étude a porté sur 279 lapins présentés au Centre hospitalier universitaire pour Animaux de compagnie de l'École nationale vétérinaire d'Alfort entre 2017 et 2019 et présentant une anomalie oculaire. Neuf affections oculaires se sont révélées majoritaires dans notre étude avec un nombre de lapins affectés supérieur à 10. L'ulcère cornéen était la principale affection oculaire, présente chez 106 lapins, soit 38,0 % de l'échantillon. Les huit autres affections oculaires majoritaires classées par ordre décroissant de nombre de lapins atteints étaient : la cataracte, la dacryocystite, la conjonctivite, l'uvéite antérieure, l'écoulement oculaire d'origine indéterminée, la kératopathie épithéliale, l'exophtalmie d'origine indéterminée et l'abcès rétrobulbaire. Seize affections d'effectif inférieur à 10, comme le glaucome, la blépharite, la sclérose du cristallin, ont également été recensées. Nous n'avons pas mis en évidence de prédisposition de sexe ou de race pour la majorité des affections majoritaires étudiées. L'âge au moment du diagnostic était assez varié pour les individus atteints d'ulcère cornéen, de kératopathie épithéliale, de conjonctivite et d'exophtalmie d'origine indéterminée. Grâce à une description clinique des caractéristiques des affections nous avons pu remarquer notamment que le principal type d'ulcère cornéen rencontré était l'ulcère stromal superficiel et que les cataractes rencontrées dans notre étude étaient principalement incipientes (à localisation corticale) au moment du diagnostic. Concernant les causes à l'origine des affections majeures, l'exposition de l'oeil lors d'une anesthésie générale était la principale cause d'ulcère cornéen et de kératopathie épithéliale. La principale cause de dacryocystite et d'abcès rétrobulbaire était la présence d'une maladie dentaire. L'infection par E. Cuniculi était quant à elle la cause principale de cataracte et d'uvéite antérieure dans notre étude, pour les lapins où une cause a pu être identifiée. De manière générale, les résultats de notre étude sont en accord avec les données existant dans la littérature. Nous avons cependant observé quelques différences. Par exemple, un écoulement séreux était plus fréquemment rencontré qu'un écoulement purulent lors de dacryocystite. Un autre exemple est le fait que notre étude a permis de distinguer clairement les lapins présentant un ulcère cornéen de ceux présentant une kératopathie épithéliale alors que ces deux affections sont confondues dans la littérature. Dans notre étude, la cause principale d'ulcère cornéen était l'exposition lors d'une anesthésie générale alors que la principale cause évoquée dans la littérature est la cause traumatique.[-]
La présence d'une anomalie oculaire constitue un motif de consultation fréquent chez les lapins de compagnie qui sont de plus en plus présents dans les foyers français. Cette étude avait pour objectif d'établir une prévalence pour chaque maladie oculaire rencontrée chez le lapin et de réaliser une analyse épidémiologique et clinique descriptive des anomalies oculaires chez cette espèce. Notre étude a porté sur 279 lapins présentés au Centre ...

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Peu estimées auparavant chez les ruminants, les mycotoxines préoccupent de plus en plus les élevages laitiers. Elles peuvent être responsables de baisses de performances des troupeaux ou de signes cliniques frustres en impactant l'immunité, notamment chez les animaux forts producteurs. Pourtant les connaissances sur leur occurrence dans les fourrages en France sont limitées. Cette étude tente de décrire la situation des fourrages dans les Pays de la Loire depuis 2012 en se basant sur le recueil de 220 analyses réalisées au cours des 8 dernières années. La description de ces analyses a permis de mettre en évidence les 3 principales mycotoxines retrouvées dans les fourrages en Pays de la Loire : la zéaralénone, le déoxynivalénol et les fumonisines, mais aucune interaction n'a été mises en évidence. Dans cette étude, la première source d'exposition des vaches laitières via l'alimentation était bien l'ensilage de maïs conservé. Cette exposition est suspectée de provoquer, dans la majorité des élevages étudiés, des baisses de production et des problèmes de reproduction.[-]
Peu estimées auparavant chez les ruminants, les mycotoxines préoccupent de plus en plus les élevages laitiers. Elles peuvent être responsables de baisses de performances des troupeaux ou de signes cliniques frustres en impactant l'immunité, notamment chez les animaux forts producteurs. Pourtant les connaissances sur leur occurrence dans les fourrages en France sont limitées. Cette étude tente de décrire la situation des fourrages dans les Pays ...

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Giardia duodenalis est un parasite d'intérêt quant à la santé humaine et animale dans le monde. Les singes hurleurs (genre Alouatta), des primates vivant en Amérique latine, semblent particulièrement touchés, et d'autant plus en captivité. La population de singes hurleurs étant en déclin, des programmes de conservation sont mis en œuvre. Ainsi, des centres de réhabilitation accueillent des singes hurleurs afin de les réintégrer dans leur environnement naturel. Cette étude réalise dans un premier temps une revue bibliographique de la giardiose chez les singes hurleurs en Amérique latine. Des données sur le protozoaire Giardia duodenalis et sur l'hôte d'intérêt, le genre Alouatta, sont abordées. Puis une étude clinique et épidémiologique de la giardiose chez ces primates est réalisée. Dans une deuxième partie, le cas d'un foyer de giardiose chez des singes hurleurs, détenus dans le refuge et centre de réhabilitation Güirá Oga en Argentine, est étudié. Les conditions favorisant la survie du protozoaire et les récidives fréquentes chez ces singes sont mises en évidence et des propositions de mesures de gestion sont élaborées.[-]
Giardia duodenalis est un parasite d'intérêt quant à la santé humaine et animale dans le monde. Les singes hurleurs (genre Alouatta), des primates vivant en Amérique latine, semblent particulièrement touchés, et d'autant plus en captivité. La population de singes hurleurs étant en déclin, des programmes de conservation sont mis en œuvre. Ainsi, des centres de réhabilitation accueillent des singes hurleurs afin de les réintégrer dans leur ...

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L'enquête réalisée en 2017 analyse les réponses de 620 cliniques vétérinaires sur les maladies à tiques en France. La Babésiose (B.canis) reste une maladie fréquente, avec une prévalence de l'ordre de 0 à 84 ‰ selon les départements concernés. Sa répartition concerne une grande partie du territoire. L'ehrlichiose (E.canis) est une maladie qui semble assez mal connue, confondue avec d'autres pour des questions de changement de terminologie. Sa prévalence serait de l'ordre de 0 à 14 ‰ selon les départements. Sa répartition concerne surtout la partie Sud de la France. Trois autres maladies à tiques, que sont l'Anaplasmose (A.platys), l'Hépatozoonose (H.canis) et la Borréliose (B. bugdorferi) sont moins bien connues des vétérinaires praticiens.[-]
L'enquête réalisée en 2017 analyse les réponses de 620 cliniques vétérinaires sur les maladies à tiques en France. La Babésiose (B.canis) reste une maladie fréquente, avec une prévalence de l'ordre de 0 à 84 ‰ selon les départements concernés. Sa répartition concerne une grande partie du territoire. L'ehrlichiose (E.canis) est une maladie qui semble assez mal connue, confondue avec d'autres pour des questions de changement de terminologie. Sa ...

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Ce travail présente les résultats d'une enquête épidémiologique réalisée en 2017 sur 650 cliniques. Quatre maladies vectorielles parasitaires du chien ont été étudiées et comparées avec les enquêtes précédentes. La prévalence de la leishmaniose semble diminuer, avec une moyenne de 1,3‰, même si sa zone d'enzootie dans le Sud-Est est en légère augmentation. La dirofilariose cardiaque voit sa prévalence fortement augmentée (0,12‰) mais sa répartition reste centrée sur le bassin Méditerranéen malgré une extension forte sur le territoire de ses vecteurs. La thélaziose occulaire est en très forte expansion dans le Sud-Ouest de la France depuis 10 ans, avec une prévalence de 0,43‰, et une augmentation tout aussi importante est à redouter dans les années à venir. La prévalence de l'angiostrongylose (0,32‰) est en augmentation, principalement dans l'Est. Trois des quatre maladies étudiées sont actuellement en expansion en France, et leur situation sera a surveiller dans les années à venir pour prévenir leur expansion.[-]
Ce travail présente les résultats d'une enquête épidémiologique réalisée en 2017 sur 650 cliniques. Quatre maladies vectorielles parasitaires du chien ont été étudiées et comparées avec les enquêtes précédentes. La prévalence de la leishmaniose semble diminuer, avec une moyenne de 1,3‰, même si sa zone d'enzootie dans le Sud-Est est en légère augmentation. La dirofilariose cardiaque voit sa prévalence fortement augmentée (0,12‰) mais sa ...

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Honeybees are an essential part of farming and the wider ecosystem. Since the middle of the 1990s bee populations around the world have suffered dramatic decline through diseases, intoxication, and unknown causes. Veterinarians have had little training in bee health but as the situation continues, qualified animal health professionals and, in particular, veterinarians are being required to become involved as new dangers threaten honeybee health everywhere because of global apiculture trade and exchanges of honeybees, products of the hive and beekeeping material such as Aethina tumida (the small hive beetle - a beekeeping pest) introduced in Italy in 2014 or the mite Tropilaelaps spp (parasitic mites of honeybees). This book will provide an overview of bee biology, the bee in the wider environment, intoxication, bee diseases, bee parasites (with a large part dedicated to the mite Varroa destructor) pests, enemies, and veterinary treatment and actions relating to honeybee health. The book will also cover current topics such as climate change, crop pollination, use of phytosanitary products, antibiotic resistance, and Colony Collapse Disorder. While aimed at veterinary practitioners, students and veterinarians involved in apiculture and bee health (officials, researchers, laboratory veterinarians, biologists...), the book can also be beneficial to beekeepers, beekeeping stakeholders, animal health and environmental organisations.[-]
Honeybees are an essential part of farming and the wider ecosystem. Since the middle of the 1990s bee populations around the world have suffered dramatic decline through diseases, intoxication, and unknown causes. Veterinarians have had little training in bee health but as the situation continues, qualified animal health professionals and, in particular, veterinarians are being required to become involved as new dangers threaten honeybee health ...

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Les lésions de la cornée (LC) peuvent se développer jusqu'à la perte d'un ou des deux yeux chez le thon rouge du sud (TRS, Thunnus maccoyii). L'impact sur la santé et sur les finances de ce problème émergeant dans les élevages Australiens reste inconnu. Premièrement, une étude hybride rétrospective des données de mortalité et un sondage lors de la récolte des thons a été menée sur les années 2017/18 pour évaluer les potentiels conséquences des LC. Ensuite, une macroanalyse des variables environnementales et de gestion d'élevage a été menée pour explorer les potentiels facteurs de risques. Enfin, l'étude s'est focalisée sur les populations de Caligus chiastos qui infestaient les TRS, les poux de mers étant connu pour endommager la peau des poissons, ils étaient une préoccupation majeure dans le développement des LC. Les TRS aveugle d'un ou deux yeux étaient 17 fois plus enclin à mourir et un TRS mort représentait une perte de revenus de dollars australiens 460.26 dans les enclos étudiés. Les TRS affectés survivant jusqu'à la récolte étaient plus légers de 3kg comparé au reste de leur cage. Cela se traduisait par une perte de revenus de dollars australiens 89.87 par poisson affecté. Les enclos étudiés affectés possédaient en moyenne 4,72% de poissons aveugle d'un ou des deux yeux, amenant à une perte moyenne de dollars australiens 37 557au niveau de l'enclos. Peu de facteurs pouvaient être identifiés comme menant à un risque majeur dans le développement des LC. Les enclos à forte densité ou proche d'un récif étaient respectivement 12,7 et 29,9 fois plus enclin à posséder une mortalité supérieure à 1%. Chaque kilomètre supplémentaire de la localisation d'u enclos par rapport à un récif pourrait réduire la chance de développer des LC de 28% et chaque jour supplémentaire de transport depuis le site de capture jusqu'au site de grossissement pourrait augmenter la chance de développer des LC de 24%. Enfin, Caligus chiastos infestait la plupart des enclos étudiés avec une prévalence moyenne de 42,6% mais une faible intensité moyenne de 12 poux de mer. Cependant, aucune corrélation temporelle n'a pu être mis en évidence entre l'infestation par les poux de mer et le développement des LC, signifiant qu'il était impossible de conclure que C. chiastos étaient la cause des LC. Il semble que les LC causent d'important dommages aux TRS avec des pertes non négligeables pour l'industrie.[-]
Les lésions de la cornée (LC) peuvent se développer jusqu'à la perte d'un ou des deux yeux chez le thon rouge du sud (TRS, Thunnus maccoyii). L'impact sur la santé et sur les finances de ce problème émergeant dans les élevages Australiens reste inconnu. Premièrement, une étude hybride rétrospective des données de mortalité et un sondage lors de la récolte des thons a été menée sur les années 2017/18 pour évaluer les potentiels conséquences des ...

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Le virus West-Nile est transmis par piqûres de moustiques à un large spectre d'espèces, parmi lesquelles figurent : les oiseaux, qui jouent le rôle de réservoirs et amplificateurs du virus, les hommes et les équidés qui sont des culs-de-sac épidémiologiques sensibles. Compte tenu des manifestations cliniques occasionnées par l'infection virale, de l'importante distribution géographique du virus, ainsi que de sa dissémination, le virus West-Nile constitue un enjeu sanitaire tant pour la médecine humaine que pour la médecine vétérinaire. Dans ce contexte, les vétérinaires jouent un rôle central dans la gestion sanitaire du virus West-Nile puisqu'il s'agit d'une maladie réglementée par l'Etat chez les équidés et les oiseaux. Pour ces raisons et au vu des besoins exprimés par les étudiants vétérinaires, une activité pédagogique informatisée a été construite afin de leur fournir un outil de révision et de formation sur cette thématique. L'activité pédagogique proposée vise à les guider dans la démarche entreprise face à une suspicion d'encéphalite West-Nile chez un équidé, de la suspicion à la déclaration. Il s'agit également de les sensibiliser au rôle du RESPE (Réseau d'Epidemio-surveillance en pathologie Equine) dans la surveillance des pathologies équines. Afin d'évaluer l'intérêt pédagogique d'une telle activité, ainsi que les modalités pour la rendre à la fois attractive et efficace, un travail d'enquête préalable a été réalisé. Un exercice de révision théorique ainsi que différents cas cliniques ont finalement été proposés aux étudiants.[-]
Le virus West-Nile est transmis par piqûres de moustiques à un large spectre d'espèces, parmi lesquelles figurent : les oiseaux, qui jouent le rôle de réservoirs et amplificateurs du virus, les hommes et les équidés qui sont des culs-de-sac épidémiologiques sensibles. Compte tenu des manifestations cliniques occasionnées par l'infection virale, de l'importante distribution géographique du virus, ainsi que de sa dissémination, le virus West-Nile ...

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La rhinite allergique est fréquente chez l'homme, mais elle est peu décrite chez les animaux. Une étude rétrospective sur 15 chevaux est présentée ici. Les cas inclus valident un critère temporel : une survenue entre les mois de juillet et de décembre de l'année 2018. La rhinite allergique est saisonnière et persistante. Le signe clinique prédominant est l'obstruction nasale, d'où la présence de bruits respiratoires anormaux. Elle peut aussi être accompagnée d'un jetage, d'une toux, d'une conjonctivite, d'une hyperthermie ou d'une modification de la couleur des muqueuses nasales. Cette affection touche des équidés jeunes adultes, qui souffrent d'une affection concomitante, respiratoire ou non, indépendamment de leur sexe et de leur activité. Ils vivent en extérieur et sont nourris au moins avec du foin. L'existence d'un climat chaud humide et ensoleillé, et la présence de pollen de graminées et d'urticacées, ainsi que d'insectes ont une influence sur l'apparition des rhinites allergiques. Les moisissures et la pollution atmosphérique semblent elle ne pas entrer en jeu. La prévention repose majoritairement sur une éviction des facteurs favorisant et déclenchant. La thérapeutique hygiénique est plus efficace que la médicale. Le plus probant reste le changement de saison avec le retour du froid et de la pluie. D'avantages de recherches seraient nécessaires pour déterminer la présence de résultats caractéristiques aux examens complémentaires, et affirmer l'existence de facteurs déclenchant la survenue des rhinites allergiques chez le cheval.[-]
La rhinite allergique est fréquente chez l'homme, mais elle est peu décrite chez les animaux. Une étude rétrospective sur 15 chevaux est présentée ici. Les cas inclus valident un critère temporel : une survenue entre les mois de juillet et de décembre de l'année 2018. La rhinite allergique est saisonnière et persistante. Le signe clinique prédominant est l'obstruction nasale, d'où la présence de bruits respiratoires anormaux. Elle peut aussi ...

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