En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK
0

Analyse de la composition du lait en France en 2005 et 2006. Caractéristiques des productions et estimation de la prévalence de l'acidose ruminale chronique et la cétose subclinique à partir de l'étude des taux butyreux et protéiques

Favoris Signaler une erreur
Thèse
H

Herman, Nicolas

École nationale vétérinaire de Toulouse

2012

156 p.

T-2012-044

Lait ; Prévalence ; Cétose ; Acidose lactique des ruminants ; Composition du lait

Url / Doi : http://oatao.univ-toulouse.fr/8553/1/Herman_8553.pdf

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 044

Bibliographie : 81

Titre anglais : Analysis of the milk components in France in 2005 and 2006 : characteristics of productions and prevalence estimation of subacute ruminai acidosis and subclinical ketosis from milk fat and protein


En ligne : Oui

Type de fond : Fonds contemporain

Cette étude vise à caractériser la production laitière française et à estimer la prévalence de deux maladies métaboliques (l'acidose ruminale chronique et la cétose subclinique) à partir des taux butyreux (TB) et protéiques (TP) en 2005 et 2006. Les indicateurs de maladies métaboliques utilisés ont été ajustés sur le TB et le TP de chaque race par une règle de trois avec la Prim'holstein comme référence. La production laitière française révèle des disparités raciales et géographiques importantes, ainsi que des variations saisonnières : la production laitière (quantité), le TB et le TP sont globalement plus élevés en hiver alors que le CCSMP est lui plus élevé en été. La prévalence estimée de l'acidose ruminale chronique à partir des indicateurs TB/TPl,5, TB/TP>1,33, TP<31 et TB>41, TP<28 et TB>45 se situe entre 8.25% et 3127%, selon les indicateurs. De nombreuses disparités raciales et géographiques sont également observées. Sa prévalence est plus importante en hiver qu'en été. La concordance (raciale et géographique) entre les indicateurs de chaque maladie métabolique est bonne à très bonne. Les prévalences géographiques des deux maladies métaboliques sont en opposition : lorsque la prévalence de l'acidose ruminale chronique est élevée dans une région, celle de la cétose subclinique est faible et inversement. L'utilisation des taux butyreux et protéiques pour le diagnostic des maladies métaboliques apparaît utile, mais des seuils par race et zone géographique semblent nécessaires. La combinaison du TB et du TP semble plus adaptée à la détection de ces troubles métaboliques

Emprunt/Réservation

Y Réserver
Favoris Signaler une erreur