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Les parasites digestifs des primates non-humains en captivité dans les parcs zoologiques en France : réalisation d'un atlas d'aide à la diagnose

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Thèse
H

Prenant, Thibaut

École nationale vétérinaire d'Alfort

2018

308 p.

A-2018-088

Parasitologie ; Parasite digestif ; Parasitisme ; Coproscopie ; Diagnose ; Animal en captivité ; Atlas ; Parc zoologique ; Primate ; France

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=2512

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 88

Bibliographie : 216

Titre anglais : Digestive parasites in captive non-human primates in zoological parks in France : creation of a diagnosis support atlas

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Guillot, Jacques

Assesseur / Examinateur : Arné, Pascal

Type de fond : Fonds contemporain

La gestion des parasitoses digestives chez les animaux en captivité demeure un des domaines d’activité les plus importants du vétérinaire travaillant en parc zoologique. Le diagnostic passe essentiellement par des techniques de coproscopie le plus souvent simples, rapides à exécuter, et peu chères. Néanmoins aucun ouvrage destiné au diagnostic coproscopique des parasitoses digestives chez les primates non-humains en captivité n’est à ce jour connu. L’objectif de cette thèse est d’une part de recenser les parasites digestifs rapportés chez les primates non-humains, de recueillir des informations sur les parasites rencontrés chez les individus détenus en captivité en France, ainsi que les modalités diagnostiques, afin de créer un support permettant de faciliter la diagnose par le vétérinaire lors de la réalisation de coproscopies. De nombreuses espèces de parasites sont rapportées chez les primates non-humains, les nématodes étant les plus représentés. Chez les individus en captivité, quelques dizaines de parasites seulement sont retrouvées en région tempérée, essentiellement des protozoaires et des nématodes. Le questionnaire réalisé visant à recenser les antécédents d’infestation chez les individus en captivité en France l’a confirmé. L’étude expérimentale a montré, en accord avec la littérature, que les Singes de l’Ancien Monde étaient davantage infestés que les autres catégories de primates non-humains et que ces derniers étaient globalement davantage parasités par des protozoaires. L’ensemble de ces informations a été rapporté dans un site internet et couplée à un arbre décisionnel permettant la diagnose des principales espèces des parasites digestifs des primates non-humains en captivité par des méthodes de coproscopie simples.

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