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Documents Parasitologie 454 résultats

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1. Le laboratoire dans le cabinet vétérinaire
2. Diagnostic sur l'animal
3. Coprologie
4. Recherche de l'anémie chez les animaux
5. Recherche des parasites du sang et du système des phagocytes mononuclées
6. Recherche des parasites de l'appareil génital
7. Techniques non spécifiques utilisées en parasitologie
8. Parasites dans le milieu extérieur
9. Performances des tests
10. Réactifs utilisés en parasitologie vétérinaire
11. Calcul des dilutions[-]
1. Le laboratoire dans le cabinet vétérinaire
2. Diagnostic sur l'animal
3. Coprologie
4. Recherche de l'anémie chez les animaux
5. Recherche des parasites du sang et du système des phagocytes mononuclées
6. Recherche des parasites de l'appareil génital
7. Techniques non spécifiques utilisées en parasitologie
8. Parasites dans le milieu extérieur
9. Performances des tests
10. Réactifs utilisés en parasitologie vétérinaire
11. Calcul des dilutions

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H
Les parcs zoologiques accueillent et échangent de nombreuses espèces animales provenant de différents biotopes et pour la plupart d'intérêt conservatoire élevé. Ces animaux sont sujets à de nombreuses maladies, dont certaines sont causées par des parasites. Ces affections peuvent gravement porter atteinte à la santé des individus, d'autant plus s'ils sont soumis à un stress lié à la captivité. Que ce soit dans une optique prophylactique ou clinique, la recherche de parasites est un examen crucial en médecine zoologique. Plusieurs méthodes existent aujourd'hui, mais le type de méthode le plus approprié aux parcs zoologiques est la coproscopie : un examen indirect, ne nécessitant ni anesthésie ni contention, et peu onéreux lorsqu'il est réalisé à la clinique. De nombreux protocoles peuvent être réalisés, permettant la mise en évidence d'espèces parasitaires différentes. Le choix du protocole utilisé doit donc être réfléchi. Cependant, cet examen est chronophage et la diversité des protocoles ne semble, d'expérience étudiante, pas souvent explorée. Nous souhaitions donc rechercher les méthodes d'intérêt pour les différentes espèces de mammifères, et comparer nos résultats avec les pratiques actuelles dans les parcs zoologiques français. Nous avons dans un premier temps recherché les parasites d'intérêt de différents groupes de mammifères, constitués après un classement réfléchi. Nous avons ensuite recherché quels éléments parasitaires se retrouvent dans les selles des hôtes infectés. Après avoir présenté différents protocoles de coproscopie et leurs intérêts, nous avons attribué aux groupes d'espèces mammifères les protocoles nous semblant être les plus intéressants. Enfin, nous avons transmis un questionnaire sur la coproscopie à des parcs zoologiques et analysé les réponses des six institutions ayant participé. Après avoir comparé leurs pratiques à nos résultats, nous avons pu proposer des pistes d'amélioration. Il ressort de ce travail que les parasites d'intérêt varient considérablement au sein des mammifères. L'utilisation d'une seule méthode de coproscopie ne peut être adaptée à l'ensemble de ces animaux. Bien que nous pensions que les parcs zoologiques ne variaient que peu leurs protocoles, aucune institution n'utilise qu'une seule méthode de coproscopie. Les pistes d'amélioration sont l'utilisation plus fréquente de la technique de sédimentation, l'ajout de la technique de Baermann à l'examen des singes, l'utilisation de colorations et de solutions moins denses lors de la recherche de protozoaires, et la considération plus généralisée des troubles respiratoires dans la décision d'un examen coproscopique.[-]
Les parcs zoologiques accueillent et échangent de nombreuses espèces animales provenant de différents biotopes et pour la plupart d'intérêt conservatoire élevé. Ces animaux sont sujets à de nombreuses maladies, dont certaines sont causées par des parasites. Ces affections peuvent gravement porter atteinte à la santé des individus, d'autant plus s'ils sont soumis à un stress lié à la captivité. Que ce soit dans une optique prophylactique ou ...

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La dirofilariose canine à Dirofilaria (D.) immitis et D. repens est une maladie parasitaire à transmission vectorielle (via les moustiques) au potentiel zoonotique. Dirofilaria immitis est responsable d'une atteinte cardio-pulmonaire et constitue une maladie invalidante voire mortelle pour le chien. Dirofilaria repens passe plus facilement inaperçue (nodules cutanés bénins). Leur distribution et leur prévalence sont en constante évolution ces dernières années dans le monde, notamment du fait des changements climatiques. Les chiens de travail militaires (CTM) sont particulièrement exposés au risque d'infestation par ce parasite : dans le cadre de missions à l'étranger où sont présents les vecteurs compétents et du fait de leur mode de vie, essentiellement en chenil extérieur (en mission mais aussi dans le Sud de la France qui est une zone enzootique). Les CTM infestés peuvent servir de réservoirs du parasite, qu'ils sont susceptibles de propager au sein des collectivités animales et humaines, notamment en retour de mission, notamment s'ils arrivent dans une zone du territoire précédemment indemne (et avec des vecteurs compétents présents), d'où nécessité de mettre en place de mesures de prévention adaptées. Dans un premier temps, afin d'obtenir davantage d'informations sur la prévalence et distribution de D. immitis et D. repens, une enquête épidémiologique à visée descriptive a été menée au sein CTM résidants en France métropolitaine. L'enquête concernait 250 chiens, tirés au sort parmi les CTM identifiés et affectés à un chenil en France métropolitaine. Pour chaque chien, un test de diagnostic rapide (recherche d'antigènes) et un frottis pour une recherche de microfilaires par la méthode Knott modifiée ont été réalisés. Un questionnaire d'enquête a également été administré. Cette enquête a révélé une prévalence d'infestation de 0,4 % pour chaque espèce de parasite (D. immitis et D. repens) et a permis d'obtenir des informations sur les expositions potentielles et les mesures de prophylaxie. Dans un second temps, afin d'évaluer la probabilité d'introduction en France métropolitaine de D. immitis par l'intermédiaire des CTM retournant en France au terme de missions à l'étranger, une approche d'analyse quantitative du risque a été choisie. Dans ce contexte, un arbre de scénarii a été développé visant à décrire les séquences d'évènements nécessaires (défaut de chimioprophylaxie ou d'observance, pression d'infestation...) pour qu'un CTM revienne infecté de mission. Le paramétrage de ce modèle stochastique reposait sur des données issues de l'enquête précédemment décrite, de la littérature scientifique ou bien d'avis d'experts et d'observations de terrain (réalisées en Côte d'Ivoire). Les résultats de cette analyse de risque mettaient en évidence que la probabilité qu'un chien s'infeste en mission sans être détecté au retour (sur une période d'un an) était autour de 6,7 %. En revanche, la probabilité annuelle qu'au moins un chien s'infeste en mission et soit détecté étaient d'environ 0,3 % seulement. Lorsque le chien était déjà infesté au moment du départ en mission, la probabilité annuelle qu'au moins un chien revienne infesté de mission et soit détecté était de l'ordre de 56 %. Ainsi, au terme de ces travaux, les dirofilarioses canines à D. repens et D. immitis semblent bien moins présentes chez les CTM que chez les chiens civils résidant en France. Ceci peut être expliqué par une excellente chimioprophylaxie assortie d'une très bonne observance au sein de cette population. Le risque qu'un CTM soit infesté par D. immitis en retour de mission est non négligeable mais sa détection dépend surtout du moment de l'infestation. Une proportion importante de ces cas ne seraient pas détectés à l'heure actuelle compte tenu des pratiques de dépistage. Ces résultats constituent une base scientifique pour adapter au mieux la surveillance et la gestion de cette parasitose, afin de prévenir les infestations de CTM qui peuvent secondairement jouer le rôle de réservoir et exposer d'autres populations (animales ou humaines).[-]
La dirofilariose canine à Dirofilaria (D.) immitis et D. repens est une maladie parasitaire à transmission vectorielle (via les moustiques) au potentiel zoonotique. Dirofilaria immitis est responsable d'une atteinte cardio-pulmonaire et constitue une maladie invalidante voire mortelle pour le chien. Dirofilaria repens passe plus facilement inaperçue (nodules cutanés bénins). Leur distribution et leur prévalence sont en constante évolution ces ...

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Babesia caballi et Theileria equi sont les deux parasites principalement responsables de la piroplasmose équine, affection d'impact sanitaire et économique dans la filière équine. Peu de données récentes sont disponibles sur le statut sérologique et biologique des chevaux français vis-à-vis de cette maladie. Cette thèse comprend d'abord une présentation bibliographique des parasites avec leurs modes de transmission, l'épidémiologie des piroplasmoses équines avec les « facteurs de risques » et « facteurs protecteurs » dégagés à ce jour, leurs présentations cliniques, les moyens diagnostiques et les traitements envisageables. Ensuite est présentée une étude réalisée en avril 2021 en Auvergne-Rhône-Alpes sur 20 élevages, incluant 77 chevaux de trait élevés en pâture ayant pour premier objectif d'estimer la séroprévalence et la prévalence de B. caballi et T. equi dans cette région à forte circulation de ces pathogènes. Le second objectif était de dégager des facteurs de risques ou facteurs protecteurs potentiels pour ces deux pathogènes. Nous obtenons une séroprévalence de B. caballi de 54.5% (IC95% = [43,4 ; 65,6]), de T. equi de 26 % (IC95% = [16,1 ; 35,8]) et 20,8 % (IC95% = [11,7 ; 29,9]) de doubles séropositivités. La prévalence de B. caballi est de 10,4% (IC95% = [3,5 ; 17,2]), celle de T. equi est de 31,2% (lC95% = [20,8 ; 41,6]) et celle des co-infections est de de 5,2 % (IC95% = [0,2 ; 10,2]). L'utilisation du logiciel R pour réaliser des modèles de régression logistique mixtes en prenant comme la variable élevage comme effet fixe nous a permis d'isoler plusieurs variables statistiquement associées aux statuts sérologiques ou PCR des chevaux. La séropositivité à B. caballi est positivement associée au portage de tiques, à un âge supérieur à 10 ans, à la race comtoise et au fait d'être hébergé en pâture incluant 2 à 4 chevaux. Elle est négativement associée à la présence d'un fort couvert végétal dans la pâture. La séropositivité à T. equi est positivement associée à la présence d'un fort couvert végétal dans la pâture. La positivité à T. equi est négativement associée au la vermifugation une à deux fois par an et positivement associée au fait d'être en pâture à proximité directe d'une forêt. La poursuite de ce travail sur une cohorte de plus grande taille à l'échelle nationale serait intéressante pour dégager des recommandations de gestion environnementale des exploitations pour lutter contre la transmission des piroplasmoses équines.[-]
Babesia caballi et Theileria equi sont les deux parasites principalement responsables de la piroplasmose équine, affection d'impact sanitaire et économique dans la filière équine. Peu de données récentes sont disponibles sur le statut sérologique et biologique des chevaux français vis-à-vis de cette maladie. Cette thèse comprend d'abord une présentation bibliographique des parasites avec leurs modes de transmission, l'épidémiologie des ...

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V
L'intérêt pour les reptiles et les amphibiens n'a cessé de croître ces dernières années face à l'essor de ces animaux dans les foyers comme Nouveaux Animaux de Compagnie, mais également face à la chute drastique de ces populations dans le milieu naturel, celles-ci étant de plus en plus menacées à travers le monde. Par conséquent, de nombreuses études sont publiées chaque année pour permettre d'améliorer les conditions de vie et le bien-être de ces espèces en captivité. Le contrôle du parasitisme est un des éléments-clés dans la gestion du bien-être et de la santé animale mais aucun document complet ne répertorie à ce jour les parasites internes des reptiles et amphibiens en captivité. Ainsi, nous avons décidé de créer un outil pratique d'aide à la diagnose de ces parasites. Pour cela nous avons analysé près de trois cents fèces de diverses espèces de reptiles et amphibiens de neuf parcs zoologiques de France et d'un grossiste, en utilisant principalement la technique de coproscopie par flottation totale. Cela a permis de mettre en évidence la prévalence des principaux parasites retrouvés en captivité et de créer un atlas coproscopique permettant d'identifier morphologiquement les œufs de ces parasites internes. Ce document se veut être un outil pratique, plus qu'un document complet, permettant à tout vétérinaire disposant d'un microscope d'identifier aisément les parasites qui peuvent être mis en évidence en captivité.[-]
L'intérêt pour les reptiles et les amphibiens n'a cessé de croître ces dernières années face à l'essor de ces animaux dans les foyers comme Nouveaux Animaux de Compagnie, mais également face à la chute drastique de ces populations dans le milieu naturel, celles-ci étant de plus en plus menacées à travers le monde. Par conséquent, de nombreuses études sont publiées chaque année pour permettre d'améliorer les conditions de vie et le bien-être de ...

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H
La leishmaniose est une maladie parasitaire en recrudescence en France. La difficulté pour traiter cette maladie zoonotique rend le respect des lignes directrices indispensable pour limiter son expansion. Dans le cadre du concept « One Health » et du développement croissant d'antibiorésistances, la résistance aux traitements antiprotozoaires doit être au cœur des préoccupations en santé publique tout comme leur usage raisonné. Dans ce contexte, une enquête a été réalisée auprès des vétérinaires du Sud de la France. Elle avait pour but de récolter leur pratique de traitement contre la leishmaniose canine, leur suivi mis en place chez les chiens leishmaniens mais aussi de les questionner sur les éventuels cas de résistances qu'ils avaient pu rencontrer. Les résultats ont montré qu'une majorité des praticiens, suivaient les lignes directrices fournies par le Leishvet et que leur non-respect favorisait le développement de résistances aux leishmanicides. Ce travail représente une synthèse actualisée des recommandations pour la prise en charge diagnostiques et thérapeutiques des chiens leishmaniens et des connaissances en termes de résistance aux leishmanicides. Elle apporte un également un premier retour d'expérience de certains vétérinaires.[-]
La leishmaniose est une maladie parasitaire en recrudescence en France. La difficulté pour traiter cette maladie zoonotique rend le respect des lignes directrices indispensable pour limiter son expansion. Dans le cadre du concept « One Health » et du développement croissant d'antibiorésistances, la résistance aux traitements antiprotozoaires doit être au cœur des préoccupations en santé publique tout comme leur usage raisonné. Dans ce contexte, ...

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Les hémosporidies bénéficient d'un regain d'intérêt à l'heure actuelle suite, entre autres, aux dommages qu'elles ont pu causer sur la faune sauvage et à l'importance croissante des centres de soin dans la réhabilitation de l'avifaune. Les objectifs de cette étude étaient de réaliser un état des lieux de la situation épidémiologique de l'hémoparasitisme touchant les rapaces et corvidés accueillis dans un centre de soins de la faune sauvage en Île-de-France, d'identifier de potentiels facteurs influençant l'infestation et sa transmission, afin de proposer des mesures adaptées de gestion du risque représenté par l'hémoparasitisme sur les rapaces et corvidés. Une étude transversale monocentrique était réalisée sur 37 rapaces (6 espèces) principalement d'origine péri-urbaine et 150 corvidés majoritairement d'origine urbaine (4 espèces) arrivés au Chuv- FS de l'EnvA entre mai 2018 et mai 2019. L'analyse des frottis a permit l'identification morphologique des hémosporodies et l'estimation de la parasitémie. Cette étude a mis en évidence trois genres d'hémosporidies (Haemoproteus, Leucocytozoon et Plasmodium). Le taux de relâché très proche parmi les infestés et non infestés (72% des rapaces, 35% des corvidés) montre la faible incidence clinique liée à l'hémoparasitisme. L'analyse statistique des résultats a montré une association positive entre les corvidés juvéniles et l'infection par Plasmodium sp., L'infestation à Plasmodium en particulier était prédominante chez les corvidés et était aussi plus fréquemment impliquée dans les cas de co-infestations. Bien que non démontré statistiquement, Leucocytozoon semblait infester plus fréquemment les rapaces que les autres genres d'hémosporidies. Les résultats suggèrent que l'hémoparasitisme chez les rapaces et corvidés en centre de soins est une infestation majoritairement subclinique influençant probablement peu le potentiel relâché des oiseaux. Il est donc important de déterminer la présence des vecteurs dans les centres de soin et le risque de transmission pendant la période de réhabilitation. Ceci permettra d'établir les mesures de gestion de ce risque sur la lutte antivectorielle et permettra de réduire le risque de dissémination des hémosporidies lors des relachés.[-]
Les hémosporidies bénéficient d'un regain d'intérêt à l'heure actuelle suite, entre autres, aux dommages qu'elles ont pu causer sur la faune sauvage et à l'importance croissante des centres de soin dans la réhabilitation de l'avifaune. Les objectifs de cette étude étaient de réaliser un état des lieux de la situation épidémiologique de l'hémoparasitisme touchant les rapaces et corvidés accueillis dans un centre de soins de la faune sauvage en ...

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Le GPI19 est un produit ayant pour but de stimuler l'immunité des Ruminants lors de l'infestation par les SGI sans activité anthelmintique. Il contient en effet des plantes censées stimuler la réponse TH2, limiter le stress oxydatif et l'action des ectoenzymes parasitaires. Cet essai terrain vise à établir si le GPI19 limite bien l'infestation chez des bovins non encore immunisés. Une centaine de génisses laitières réparties dans 5 élevages sortant au pâturage sont incluses dans l'étude. Chaque élevage a un lot traité une semaine avec le GPI19 avant la sortie au pâturage et un lot non traité. Des prélèvements de bouses et de sang sont réalisés avant la sortie à l'étable et trois fois durant la période de pâturage au moment de l'apparition des différentes générations larvaires, déterminées par un logiciel expert. Des coproscopies pour évaluer l'excrétion et des dosages de pepsinogènes pour mesurer les lésions de caillette sont réalisés ainsi que des coprocultures afin d'établir les espèces de SGI présentes et des comptages larvaires de L3 dans l'herbe pour faire un état des lieux de la pâture et pour évaluer le recyclage parasitaire. Il n'y a pas de différence observée entre les dosages de pepsinogènes des deux lots. Il y a une tendance à une excrétion supérieure des génisses traitées. Nous pouvons supposer que le produit, par son mode d'action, n'agit pas sur le niveau d'inflammation au niveau de la caillette. De même, dans le mode d'action du produit, seule la réponse TH2 serait susceptible de faire varier l'excrétion. Une réponse TH2 n'intervenant dans les strongyloses qu'après une réponse mixte TH0, on peut supposer que le produit influe sur la bascule TH0-TH2 en induisant un équilibre entre les différentes cytokines du profil TH2 différent de l'infestation seule. Cet équilibre serait moins défavorable au parasite. On peut aussi supposer que d'autres mécanismes inconnus non stimulés par le produit agissent sur l'immunité vis-à-vis des SGI.[-]
Le GPI19 est un produit ayant pour but de stimuler l'immunité des Ruminants lors de l'infestation par les SGI sans activité anthelmintique. Il contient en effet des plantes censées stimuler la réponse TH2, limiter le stress oxydatif et l'action des ectoenzymes parasitaires. Cet essai terrain vise à établir si le GPI19 limite bien l'infestation chez des bovins non encore immunisés. Une centaine de génisses laitières réparties dans 5 élevages ...

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La coccidiose, causée par des protozoaires intracellulaires obligatoires du genre Eimeria, est une maladie à fortes répercussions économique et sanitaire pour les élevages ovins. Actuellement, la technique de préparation utilisée pour le diagnostic collectif sur litière est le tri à la main, chronophage et peu répétable. Cette étude a donc pour objectif d'optimiser la méthode d'analyse de litière en comparant le tri à la main avec un nouveau protocole : la sédimentation. Pour ce faire, plusieurs échantillons de litière de quatre loges ont été analysés conjointement avec les deux méthodes de préparation. En parallèle, des fèces récoltées directement au rectum d'agneaux d'engraissement appartenant à ces mêmes loges ont été analysées pour déterminer si les techniques de préparation des échantillons de litière reflétaient la réelle excrétion fécale. Plusieurs facteurs ont été comparés entre les deux méthodes parmi lesquels leur mise en oeuvre, leur corrélation aux fèces individuelles et la composition des échantillons. Ainsi, d'après cette étude, le tri à la main est la méthode répondant à un plus grand nombre de critères. La technique de sédimentation nécessite donc d'être améliorée afin d'optimiser le diagnostic collectif de coccidiose.[-]
La coccidiose, causée par des protozoaires intracellulaires obligatoires du genre Eimeria, est une maladie à fortes répercussions économique et sanitaire pour les élevages ovins. Actuellement, la technique de préparation utilisée pour le diagnostic collectif sur litière est le tri à la main, chronophage et peu répétable. Cette étude a donc pour objectif d'optimiser la méthode d'analyse de litière en comparant le tri à la main avec un nouveau ...

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Cette revue de la littérature scientifique tente de faire un état de l'art sur l'ensemble des parasites hématophages invertébrés et leurs micro-organismes symbiotiques. L'accent est porté sur le rôle nutritionnel de ces symbioses, en particulier le rôle joué dans l'approvisionnement en vitamines B. D'autres effets biologiques sont également abordés de façon plus succincte.

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Les Sarcelles à ailes bleues, petits canards migrateurs communs des prairies canadiennes, sont exposées à des parasites sanguins transmis par des arthropodes vecteurs. Les modifications climatiques actuelles, en plus d'altérer la dynamique des maladies parasitaires vectorielles, menacent l'homéostasie des individus par addition de facteurs de stress. Cette étude a pour objectif l'acquisition de nouvelles connaissances sur l'épidémiologie des hémosporidies aviaires et sur les facteurs de risque impliqués dans le portage des genres Plasmodium, Haemoproteus et Leucocytozoon ; ainsi que l'étude des perturbations intrinsèques et environnementales responsables de stress chez la Sarcelle à ailes bleues. Le stress a été évalué en mesurant les niveaux de corticostérone dans les plumes et le rapport hétérophiles sur lymphocytes. La réalisation de frottis sanguins a permis de déterminer les prévalences apparentes de portage de ces parasites à partir d'un échantillon de 351 sarcelles prélevées de 2007 à 2017 dans les prairies canadiennes. Plasmodium spp. est le genre le plus représenté dans cette étude. Pour chacun des genres, les prévalences observées selon l'âge et le sexe, ainsi que la distribution spatio-temporelle sont présentées. L'analyse des facteurs de risque démographiques et écologiques a permis de révéler des différences selon le genre d'hémosporidies considéré. Une association entre le stress et l'infection par les hémosporidies, ainsi qu'entre le stress et l'état corporel ont été mises en évidence. Les résultats montrent l'augmentation de la charge allostatique lors de stress chronique, avec un risque parasitaire alors majoré. Le climat n'avait pas d'influence majeure sur le portage. L'étude souligne l'importance de considérer le contexte d'occurrence parasitaire, les effets observés pouvant ne pas s'exporter dans des populations d'oiseaux soumises à des modifications climatiques différentes et ainsi à d'autres compromis adaptatifs.[-]
Les Sarcelles à ailes bleues, petits canards migrateurs communs des prairies canadiennes, sont exposées à des parasites sanguins transmis par des arthropodes vecteurs. Les modifications climatiques actuelles, en plus d'altérer la dynamique des maladies parasitaires vectorielles, menacent l'homéostasie des individus par addition de facteurs de stress. Cette étude a pour objectif l'acquisition de nouvelles connaissances sur l'épidémiologie des ...

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Les strongyloses gastro-intestinales sont des parasitoses systématiques des bovins au pâturage. Les jeunes bovins, naïfs à la première mise à l'herbe, sont particulièrement sensibles à ces infestations avec des risques de conséquences cliniques et zootechniques. Pour lutter contre ce problème, l'usage de traitements anthelminthiques s'est fortement développé, notamment avec l'apparition des lactones macrocycliques sous forme de formulations pour-on et rémanentes. Seulement, plusieurs limites se posent actuellement sur leur utilisation, surtout en raison de l'émergence de résistances, de l'impact environnemental et du retard d'acquisition de l'immunité chez les jeunes bovins. C'est pourquoi, des stratégies alternatives de contrôle sont mises en place, comme la gestion du système de pâturage, le recours à des plantes à activité anthelminthique, et la lutte biologique. L'approche immunitaire, c'est-à-dire la stimulation de l'immunité, est une autre voie d'action intéressante et prometteuse en cours de développement. Dans cet objectif, un protocole expérimental est proposé pour tester l'effet d'un aliment complémentaire dans une population de génisses en première saison de pâturage. Chaque lot sera divisé en un groupe « test » et un groupe témoin qui suivront la même conduite de pâturage. Des points de prélèvements seront réalisés pour évaluer le niveau d'infestation des animaux et le niveau de contamination des parcelles. La réalisation d'un essai respectant cette démarche pourrait permettre une évaluation fiable et pertinente de l'effet d'un nutricament phytogénique à visée préventive dans le contrôle des infestations par les strongles digestifs, compatible avec une vision agro-écologique de l'élevage.[-]
Les strongyloses gastro-intestinales sont des parasitoses systématiques des bovins au pâturage. Les jeunes bovins, naïfs à la première mise à l'herbe, sont particulièrement sensibles à ces infestations avec des risques de conséquences cliniques et zootechniques. Pour lutter contre ce problème, l'usage de traitements anthelminthiques s'est fortement développé, notamment avec l'apparition des lactones macrocycliques sous forme de formulations ...

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This book is the second volume in the series Livestock Diseases and Management, and reviews the importance and implications of animal origin viral zoonoses. It also highlights the specific etiology and epidemiology of these viral infections and discusses their various biological and mechanical transmission mechanisms. Further, the book reviews various measures for controlling viral zoonoses and examines novel therapeutic and prophylactic strategies. Discussing recent studies on the pathogenesis and host immune response to these infections, it underscores the importance of using vaccines against these viral diseases to reduce the risk of them being transmitted to humans. Lastly, it describes in detail the challenges posed by these viral infections and our readiness to face them.[-]
This book is the second volume in the series Livestock Diseases and Management, and reviews the importance and implications of animal origin viral zoonoses. It also highlights the specific etiology and epidemiology of these viral infections and discusses their various biological and mechanical transmission mechanisms. Further, the book reviews various measures for controlling viral zoonoses and examines novel therapeutic and prophylactic ...

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De nos jours, le cobaye Cavia porcellus est, en France, le deuxième nouvel animal de compagnie le plus médicalisé après le lapin de compagnie. Ses besoins spécifiques nécessitent de respecter un certain nombre de règles relatives à son entretien, son environnement et son alimentation dans les foyers afin de prévenir une grande partie des maladies qui peuvent le toucher. Les affections digestives sont une dominante pathologique du cobaye mais l'importance du parasitisme digestif demande à être mieux appréciée. Le cochon d'Inde semblerait être plus infesté par des protozoaires que des helminthes. Toutefois, il n'existe à l'heure actuelle qu'une seule étude sur la prévalence du parasitisme digestif chez cette espèce en France avec 4,2 % d'animaux parasités exclusivement par Eimeria caviae parmi 24 individus. La première partie de ce travail présente une description de la zootechnie du cobaye et une revue des maladies digestives en insistant sur l'étiologie parasitaire. Les principales méthodes de détections de ces parasites sont ensuite détaillées ainsi que les moyens à mettre en oeuvre pour prévenir et traiter ces affections. La seconde partie est une étude prospective ayant pour objectif de déterminer la prévalence du parasitisme digestif et d'évaluer le potentiel impact de différents facteurs de risques sur cette prévalence : la saisonnalité, l'administration préventive de traitement antiparasitaire, la présence d'un contact inter-spécifique plus ou moins étroit, le contact avec le milieu extérieur, l'hygiène des fruits et légumes consommés ainsi que leurs origines. Dans un premier temps, l'étude a pris connaissance des caractéristiques des 158 cobayes sains recrutés, de leurs conditions de vie, de leurs rations alimentaires ainsi que leurs antécédents médicaux. Puis 114 coproscopies par la méthode quantitative et semi-quantitative de flottation ont été réalisées permettant d'identifier des oeufs de Paraspidodera uncinata et des oeufs non identifiés d'Ascarides avec une prévalence totale de 17,5 %. Cinquante-quatre cochons d'Inde ont eu un suivi coproscopique s'étalant sur une année entière (de décembre 2017 à février 2019) à raison d'une coproscopie par saison. Cette étude n'a pas permis de mettre en évidence une association entre la présence de parasitisme digestif et une saison de l'année en particulier. En croisant les caractéristiques des cochons d'Inde avec leurs résultats coproscopiques, la présence de contacts avec des animaux d'espèces différentes, la vermifugation, l'accès à l'extérieur, l'hygiène et l'origine des végétaux consommés ne semblent n'être ni des facteurs de risque, ni des facteurs protecteurs d'une infestation par des parasites digestifs. Cette étude préliminaire suggère qu'il est inutile d'administrer à titre préventif des traitements contre les parasites digestifs chez le cobaye.[-]
De nos jours, le cobaye Cavia porcellus est, en France, le deuxième nouvel animal de compagnie le plus médicalisé après le lapin de compagnie. Ses besoins spécifiques nécessitent de respecter un certain nombre de règles relatives à son entretien, son environnement et son alimentation dans les foyers afin de prévenir une grande partie des maladies qui peuvent le toucher. Les affections digestives sont une dominante pathologique du cobaye mais ...

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Parasitologie clinique vétérinaire

Hendrix, Charles M. ; Robinson, Ed. ; Le Sueur-Almosni, Florence | traduit de la 5e édition américaine par le Dr Florence Le Sueur | Éditions Maloine | 2019

Livre | Cote : P-02-00-05C

L'objectif de ce livre est d'apporter au lecteur toutes les informations sur les parasites internes et externes les plus fréquemment rencontrés chez les animaux domestiques et de laboratoire. Ce livre commence par un chapitre qui présente le langage utilisé en parasitologie vétérinaire pour décrire les relations complexes entre l'hôte et le parasite. Ce vocabulaire représente la a base a de cette discipline, le moyen de communication entre les vétérinaires, les auxiliaires spécialisés vétérinaires (ASV) et les propriétaires.
Les chapitres suivants présentent les différents groupes de parasites : les protozoaires (organismes unicellulaires), les trématodes (dont les douves), les cestodes (vers plats), les nématodes (vers ronds), les acanthocéphales (ou vers à tête épineuse), les arthropodes (insectes, acariens agents de gales et tiques), les hirudinées (sangsues) et les pentastomidés (ou linguatules). Chacun de ces groupes est présenté de façon détaillée, en insistant tout particulièrement sur leur morphologie, les particularités de leurs cycles de développement et les espèces parasites les plus représentatives de chaque groupe.[-]
L'objectif de ce livre est d'apporter au lecteur toutes les informations sur les parasites internes et externes les plus fréquemment rencontrés chez les animaux domestiques et de laboratoire. Ce livre commence par un chapitre qui présente le langage utilisé en parasitologie vétérinaire pour décrire les relations complexes entre l'hôte et le parasite. Ce vocabulaire représente la a base a de cette discipline, le moyen de communication entre les ...

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y

Laboratory procedures for veterinary technicians H

Sirois, Margi | 7th edition | Mosby | 2018

eBook | Cote : B-02-00-ebook

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La besnoitiose bovine est due au protozoaire Apicomplexa Besnoitia besnoiti. Son évolution géographique récente vers le Nord et l'Est de l'Europe inquiète les gestionnaires de la maladie et conduit à des interrogations sur son évolution en France, où elle semblait jusqu'alors se cantonner au Sud-Ouest, ainsi que sur les plans de lutte mis en œuvre à son encontre, cette maladie n'étant pas réglementée à l'échelle européenne ou nationale. La première partie de ce travail constitue une revue des données bibliographiques actuelles sur la besnoitiose bovine. La seconde présente les résultats d'une enquête en ligne réalisée auprès des GDS de France métropolitaine. Cette étude poursuivait deux objectifs : d'une part investiguer l'extension géographique de la besnoitiose bovine en France avant et après 2007, d'autre part étudier les différentes modalités de surveillance ou de lutte mises en place ou conseillées par les GDS. L'étude s'est fondée sur un questionnaire en ligne, élaboré conjointement avec GDS France et diffusé par les soins de cet organisme, adressé aux GDS de France métropolitaine. Ce questionnaire était divisé en plusieurs parties qui investiguaient tour à tour la présence ou non de la maladie dans les zones couvertes par les GDS, les plans de surveillance et les plans de lutte mis en place, ainsi que les attentes des répondants, notamment en termes de formation et de communication. Sur 82 GDS contactés, 58 ont répondus à l'enquête. Des cas de besnoitiose bovine ont été recensés chez 76 % d'entre eux, au Nord et au Sud du pays. La besnoitiose bovine a connu une très forte extension géographique en France entre 2007 et 2017. Des plans de surveillance sont actuellement mis en place par 74 % des GDS répondants, reposant majoritairement sur la détection des suspicions cliniques, puis sur des dépistages à l'introduction et enfin sur des campagnes de dépistage. Les plans de lutte comprennent l'élimination, l'isolement et le traitement des bovins malades, ainsi que des mesures de lutte anti-vectorielle. Les modalités de mise en œuvre des mesures de surveillance et de lutte variaient fortement entre les répondants. L'étude a démontré qu'à l'image de ce qui se passe en Europe, la besnoitiose bovine en France ne peut plus être considérée que comme une maladie du Sud-Ouest. Aujourd'hui, toutes les régions sont concernées, quelle que soit leur localisation géographique. Toutefois, l'étude a pu être biaisée par une sous-déclaration de la présence de la besnoitiose bovine, par crainte de pénalités, notamment lors de la vente d'animaux vivants. Par ailleurs, la lutte collective pourrait être améliorée par une harmonisation des méthodes de surveillance et de lutte. Cette étude semble avoir permis de sensibiliser les GDS à la question de la besnoitiose bovine et a démontré un besoin et une volonté de formation à ce sujet au sein des GDS.[-]
La besnoitiose bovine est due au protozoaire Apicomplexa Besnoitia besnoiti. Son évolution géographique récente vers le Nord et l'Est de l'Europe inquiète les gestionnaires de la maladie et conduit à des interrogations sur son évolution en France, où elle semblait jusqu'alors se cantonner au Sud-Ouest, ainsi que sur les plans de lutte mis en œuvre à son encontre, cette maladie n'étant pas réglementée à l'échelle européenne ou nationale. La ...

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Proceedings of the 8th world congress of veterinary dermatology

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