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Etude rétrospective (2007-2017) des fractures mandibulaires et maxillaires traitées à la Clinéquine, VetAgro Sup, campus vétérinaire de Lyon

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Thèse
H

Marquis, Emmanuelle

VetAgro Sup

2018

124 p.

L-2018-057

Équidé ; Cheval ; Poney ; Traumatologie ; Fracture ; Machoire ; Dentisterie ; Chirurgie

Url / Doi : http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=20...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 57

Bibliographie : 42

Titre anglais : Retrospective study (2007-2017) of mandibular and maxillary fractures treated at Clinéquine, VetAgro Sup, veterinary campus of Lyon

Les fractures des mâchoires sont fréquentes chez les chevaux et les poneys. Elles sont le plus souvent d’origine traumatique et intéressent la partie rostrale de la mandibule et de l’os incisif. Ces fractures ont généralement un très bon pronostic. Les fractures plus caudales en revanche sont associées à davantage de complications, mais leur évolution à long terme est le plus souvent satisfaisante. Une étude rétrospective des cas de fractures de mâchoires traitées pendant dix ans à la Clinéquine de VetAgro Sup, campus vétérinaire de Lyon, a été menée. Plusieurs paramètres ont été évalués de manière à obtenir une vue d’ensemble sur la prise en charge de ces cas, du diagnostic au traitement médicochirurgical jusqu’à l’évolution à long terme des chevaux du point de vue de la santé et des performances. Les résultats sont compatibles avec les données de la littérature. Un pourcentage non-négligeable de complications a en effet été relevé, en particulier pour les fractures de l’espace interdentaire et les fractures caudales de la mandibule, mais leur résolution n’a pas posé de problème majeur. Dans cette étude, le pronostic vital des fractures de mâchoires a été évalué comme excellent (100 % de survie) et le pronostic sportif a été reconnu très bon (90 % de retour à l’activité de base sans séquelles). Toutefois, certains types de fractures ont été très peu représentés dans cette étude (faible nombre de cas) ce qui ne donne pas un recul suffisant pour tirer des conclusions pour tous les types de fractures. Il serait intéressant de renouveler ce type d’étude ultérieurement pour avoir davantage d’observations et voir si les progrès médicochirurgicaux des années à venir permettront de réduire le pourcentage de complications.

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