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L'évolution de la place des concepts d'éthique et de bien-être animal dans notre société suscite des réflexions et des jugements, notamment dans le milieu des courses hippiques qui est de plus en plus critiqué. Dans un premier temps, une analyse de l'euthanasie dans le milieu des courses hippiques et des questions éthiques qui y sont associées sera réalisée à partir d'une étude bibliographique. Ensuite, nous étudierons l'image actuelle des courses hippiques et de la place de l'euthanasie dans ce milieu, à partir d'une enquête transversale d'opinion. Les résultats seront ensuite analysés en fonction des catégories socioprofessionnelles, de l'âge ou encore du sexe des répondants, dans le but de mettre en évidence une tendance susceptible d'influencer l'opinion. Cette étude, première du genre, nous permettra d'explorer des solutions pour promouvoir l'image des courses hippiques et constituera une première analyse de la situation.[-]
L'évolution de la place des concepts d'éthique et de bien-être animal dans notre société suscite des réflexions et des jugements, notamment dans le milieu des courses hippiques qui est de plus en plus critiqué. Dans un premier temps, une analyse de l'euthanasie dans le milieu des courses hippiques et des questions éthiques qui y sont associées sera réalisée à partir d'une étude bibliographique. Ensuite, nous étudierons l'image actuelle des ...

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Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités comportementales et anatomiques du cochon d'Inde, une première partie bibliographique décrit les fractures des os longs d'un point de vue général et dans le cas particulier de cet animal. A partir d'articles scientifiques, une synthèse bibliographique a été effectuée, décrivant l'ensemble des techniques de prise en charge des fractures des os longs du cochon d'Inde tout en insistant sur les spécificités de la prise en charge péri-opératoire. Enfin, une étude rétrospective a été réalisée prenant en compte 19 cas de cochons d'Inde pris en charge pour des fractures des os longs dans trois CHV d'Ile de France, entre août 2003 et juillet 2021. Cette étude constitue un recueil de cas de fractures chez le cochon d'Inde, dont la moitié a été prise en charge par traitement conservateur et l'autre par traitement chirurgical. Du fait d'un manque d'information sur le suivi des patients, cette étude n'a pas permis de comparer l'efficacité respective de ces deux approches thérapeutiques. Elle a néanmoins permis de mettre en évidence deux nouvelles pratiques par rapport aux autres études de cas de fractures chez le cochon d'Inde, disponibles dans la littérature scientifique : la pose d'un enclouage centro-médullaire sur des fractures ulnaires et l'anesthésie loco-régionale du plexus brachial.[-]
Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités ...

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De mars 2014 à novembre 2021, 21 chats ont été opérés de disjonctions épiphysaires proximales de la tête fémorale (DEPTF) selon la technique de pose de broches transcervicales. 33,3% (7/21) étaient de race Main Coon. 85,7% (18/21) des chats étaient des mâles. 94,2% (16/17) des chats étaient stérilisés. L'âge des chats au diagnostic étaient en moyenne de 18,25 ? 8,6 mois. Une enquête téléphonique a permis d'évaluer la satisfaction des propriétaires au-delà de 6 mois postopératoires vis-à-vis de cette technique d'enclouage. Nous avons également étudié la réussite de cette chirurgie à court, moyen et long terme au travers de l'évaluation fonctionnelle, clinique et radiographique. L'évaluation fonctionnelle été objectivée par le calcul de deux systèmes de score issus de la littérature. L'évaluation clinique et radiographique a été évaluée en utilisant de critères de souffrance articulaire décris dans la littérature. Nous avons pu constater que 33,3% des chats opérés avec cette technique présentaient une boiterie résiduelle au-delà de 6 mois postopératoires. Le taux de complications majeures postopératoires est de 22,2%. Aucune de ces complications majeures n'était liée à la nécrose avasculaire de la tête fémorale. Une reprise chirurgicale a été mise en œuvre dans 16,67% des cas. L'évaluation fonctionnelle, clinique et radiographique au-delà de 6 mois postopératoires a par ailleurs montré de très bons à bons résultats dans 85,7% des cas. 95,2% des propriétaires étaient satisfaits voire très satisfaits de la prise en charge chirurgicale par cette technique. Comparativement à la chirurgie classique de la résection de la tête et du col fémoral dans le traitement des DEPTF du chat, les bons résultats de l'évaluation fonctionnelle, clinique et radiographique à 6 mois postopératoire de la pose de broches transcervicales chez le chat doit amener le chirurgien à reconsidérer cette chirurgie comme un traitement envisageable pour la gestion des DEPTF.[-]
De mars 2014 à novembre 2021, 21 chats ont été opérés de disjonctions épiphysaires proximales de la tête fémorale (DEPTF) selon la technique de pose de broches transcervicales. 33,3% (7/21) étaient de race Main Coon. 85,7% (18/21) des chats étaient des mâles. 94,2% (16/17) des chats étaient stérilisés. L'âge des chats au diagnostic étaient en moyenne de 18,25 ? 8,6 mois. Une enquête téléphonique a permis d'évaluer la satisfaction des pr...

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Déterminer la cause d'un traumatisme peut se révéler difficile, particulièrement pour la faune sauvage. Afin de mieux comprendre les associations entre causes de traumatismes, lésions et espèces, nous avons, dans un premier temps, réalisé une synthèse de la bibliographie relative aux traumatismes chez les espèces Loup, Lynx, Renard, Chien et Chat. Dans un deuxième temps, l'analyse des données nécropsiques de cadavres des carnivores sauvages collectés par le réseau SAGIR entre 2014 et 2022 (Office Français de la Biodiversité), et des dossiers médicaux des carnivores domestiques reçus à l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse entre 2011 et 2022 a mis en évidence des associations entre lésions, espèces et nature des traumatismes. Ces résultats pourront servir de pistes dans l'identification des causes de traumatismes lors d'autopsies de carnivores sauvages, et ainsi participer à la distinction entre une destruction illégale et toute cause accidentelle ou naturelle de mort, lors d'enquêtes médico-légales.[-]
Déterminer la cause d'un traumatisme peut se révéler difficile, particulièrement pour la faune sauvage. Afin de mieux comprendre les associations entre causes de traumatismes, lésions et espèces, nous avons, dans un premier temps, réalisé une synthèse de la bibliographie relative aux traumatismes chez les espèces Loup, Lynx, Renard, Chien et Chat. Dans un deuxième temps, l'analyse des données nécropsiques de cadavres des carnivores sauvages ...

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Après réduction anatomique, la compression axiale au foyer de fracture lors d'une prise en charge chirurgicale octroie un certain degré de stabilité et favorise la cicatrisation osseuse primaire. La compression axiale est communément réalisée à l'aide de vis excentrées mises en place au sein d'une ostéosynthèse par plaque. L'objet de cette étude préliminaire vise à concevoir un dispositif expérimental permettant d'évaluer la valeur de la compression interfragmentaire au foyer de fracture et de connaître l'influence de la localisation et du nombre de vis sur le degré de compression axiale par l'emploi d'une plaque LCP et pour un modèle de fracture simple transverse. Les résultats de l'étude ont permis de montrer qu'il n'y a statistiquement pas de différence entre les valeurs de compression obtenues au foyer de fracture lors de l'emploi d'une vis corticale neutre éloignée du foyer de fracture associé à une vis corticale excentrée dont la localisation varie. L'étude a également servi à soulever des pistes d'amélioration du dispositif expérimental testant l'emploi d'une vis corticale neutre éloignée du foyer de fracture associé à deux vis corticales excentrées sur un même about osseux. Plusieurs autres configurations restent à être expérimentées notamment l'emploi unique de deux vis corticales excentrées sans vis corticale neutre mais aussi l'utilisation d'une vis corticale neutre proche du foyer de fracture associée à une ou plusieurs vis corticales excentrées.[-]
Après réduction anatomique, la compression axiale au foyer de fracture lors d'une prise en charge chirurgicale octroie un certain degré de stabilité et favorise la cicatrisation osseuse primaire. La compression axiale est communément réalisée à l'aide de vis excentrées mises en place au sein d'une ostéosynthèse par plaque. L'objet de cette étude préliminaire vise à concevoir un dispositif expérimental permettant d'évaluer la valeur de la ...

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La recherche de l'étiologie d'un traumatisme est parfois difficile, particulièrement pour la faune sauvage. Pour mieux comprendre les associations entre étiologie traumatique, lésions et groupes d'espèces, NOus avons, dans un premier temps, réalisé une synthèse bibliographique relative aux traumatismes chez les oiseaux et les chiroptères. Dans un second temps, l'analyse des données nécropsiques de cadavres de l'avifaune et de chiroptères collectés par le réseau SAGIR de l'Office Français de la Biodiversité entre 2014 et 2022, ainsi que des dossiers médicaux des oiseaux et chiroptères admis au Centre de Soins de la faune sauvage de l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse entre 2016 et 2021 a mis en évidence des associations entre lésions, groupes d'espèces et types des traumatismes. Ces résultats pourront servir de pistes dans l'identification des causes de traumatismes lors d'autopsies, et participer à la distinction entre les différentes causes traumatiques, dans un contexte de surveillance épidémiologique.[-]
La recherche de l'étiologie d'un traumatisme est parfois difficile, particulièrement pour la faune sauvage. Pour mieux comprendre les associations entre étiologie traumatique, lésions et groupes d'espèces, NOus avons, dans un premier temps, réalisé une synthèse bibliographique relative aux traumatismes chez les oiseaux et les chiroptères. Dans un second temps, l'analyse des données nécropsiques de cadavres de l'avifaune et de chiroptères ...

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Les montages verrouillés sont particulièrement adaptés aux techniques d'ostéosynthèse biologique. Le couple de serrage assure le verrouillage adéquat de la vis dans la plaque ce qui garantit l'efficacité de la fixation. Cependant, la stabilité des implants et l'endommagement des têtes de vis constitue des difficultés couramment rencontrées lors de la pose ou de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse chez les animaux. Les objectifs de cette thèse sont d'établir une relation entre les couples de serrage et de desserrage d'une vis verrouillée en acier inoxydable et d'estimer une valeur de couple à partir de laquelle un endommagement de la tête est constaté. L'examen des connaissances actuelles met en lumière le manque de données disponibles en médecine vétérinaire concernant cette problématique récente. Dans cette étude, les couples de serrage et de desserrage ont été mesurés pour différentes valeurs de couples de serrage prédéfinies. Les déformations induites sur les têtes de vis ont été révélées et caractérisées par des comparaisons de profil et une observation microscopique.[-]
Les montages verrouillés sont particulièrement adaptés aux techniques d'ostéosynthèse biologique. Le couple de serrage assure le verrouillage adéquat de la vis dans la plaque ce qui garantit l'efficacité de la fixation. Cependant, la stabilité des implants et l'endommagement des têtes de vis constitue des difficultés couramment rencontrées lors de la pose ou de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse chez les animaux. Les objectifs de cette thèse ...

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L'impression 3D est déjà largement utilisée en médecine humaine. Néanmoins, elle reste très peu développée dans le milieu vétérinaire. Cette étude présente trois projets d'utilisation concrète pour la médecine des Nouveaux Animaux de Compagnie et de la Faune Sauvage. Le premier consiste en la création d'un outil de contention de la tête des tortues limitant le risque de blessures lors de la manipulation de l'animal. Le deuxième propose une alternative à l'utilisation des bandages réalisés lors du traitement de la pododermatite chez le lapin. Le troisième est une ébauche de création d'une attelle pour le traitement des fractures du tibiotarse chez les oiseaux de petit gabarit. Les résultats de cette étude montrent que l'impression 3D peut être une solution applicable en médecine vétérinaire dans la prise en charge de certaines affections. Cependant, une multiplication des cas cliniques est nécessaire pour améliorer ces prototypes et offrir une alternative sur mesure, pratique et économique.[-]
L'impression 3D est déjà largement utilisée en médecine humaine. Néanmoins, elle reste très peu développée dans le milieu vétérinaire. Cette étude présente trois projets d'utilisation concrète pour la médecine des Nouveaux Animaux de Compagnie et de la Faune Sauvage. Le premier consiste en la création d'un outil de contention de la tête des tortues limitant le risque de blessures lors de la manipulation de l'animal. Le deuxième propose une ...

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Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et long terme et aux retards de cicatrisation osseuse. La pierre angulaire de la prise en charge chirurgicale de ces fractures est la préservation du potentiel ostéogénique du foyer de fracture. L'objectif de l'étude a été d'évaluer les délais de cicatrisation et de récupération fonctionnelle ainsi que les complications de cicatrisation afin de faire ressortir des facteurs prédictifs de complications fracturaires chez les chiens et les chats parmi les caractéristiques de l'animal, de la fracture ou de la prise en charge péri-opératoire. Toutes nos observations ayant ensuite été comparées aux données peu nombreuses de la littérature. Chez les 26 chats de l'étude, ont été recensées 23% de retard de cicatrisation osseuse et 69% de complications de la cicatrisation réparties sur 34% des chats (4 infections des tissus mous, 4 ostéomyélites, 2 déformations osseuses, 2 mal unions et 2 pseudarthroses et 4 débricolages de montage). Chez les 29 chiens, ont été recensés 11% de retard de cicatrisation osseuse et 55% de complications de cicatrisation réparties chez 48% des chiens (2 nouvelles fractures, 3 déformations ou désaxation osseuses, 1 pseudarthrose, 2 débricolages de montage, 4 ostéomyélites et 3 infections des tissus mous). Après cicatrisation osseuse complète, 4 chiens et 5 chats présentaient encore une boiterie. Les facteurs identifiés comme influençant la cicatrisation ont été l'âge et le statut reproducteur de l'animal, le caractère ouvert ou fermé de la fracture, la localisation de cette dernière sur l'os ainsi que son orientation, sa comminution et son déplacement, la stabilité du foyer de fracture après réduction, l'occurrence d'hypotension per-anesthésique et le délai de respect du repos strict en post-opératoire. Le trop faible nombre de cas inclus dans l'étude n'a pas permis la réalisation d'analyses statistiques multivariées. Les facteurs de confusion persistants nuancent donc nos conclusions. Néanmoins, l'importante base de données constituée au cours de ce travail servira de base à la réalisation d'études ultérieures.[-]
Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et ...

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Les fractures du lapin représentent jusqu'à 1,2% des consultations dans cette espèce.Leur pronostic est de fait moins étudié que pour les carnivores domestiques et n'a jusqu'à présent fait l'objet que de deux études rétrospectives.Les objectifs de l'étude étaient de fournir les données descriptives des lapins atteints de fractures appendiculaires et d'en préciser le pronostic selon la méthode de prise en charge.Cette étude rétrospective comporte 86 lapins vus entre 2012 et 2021 à l'ENVA pour une fracture appendiculaire. Une première partie descriptive détaille l'épidémiologie des cas de fractures prises en charge : âge, race, sexe, poids, mode de vie, cause, localisation, délai de prise en charge, autres lésions, état général. Une seconde partie concernant 30 lapins étudie leur récupération fonctionnelle évaluée par l'examen clinique présent dans le dossier médical ainsi que leur cicatrisation par la relecture d'une radiographie réalisée au minimum un mois après leur prise en charge, chirurgicale ou non. Dans notre étude, les fractures appendiculaires concernaient principalement des animaux jeunes, et étaient souvent complexes. La mortalité, notamment anesthésique, était importante bien que ces fractures aient résulté de traumatismes à faible énergie. La stabilisation initiale des lapins apparait ainsi comme importante, et ce d'autant plus que 12,8 % des lapins admis présentaient une atteinte de l'état général. Une récupération fonctionnelle complète a été observée dans73 % des cas, conformément à ce que l'on retrouve dans la littérature dans cette espèce. Les complications après prise en charge chirurgicale ont été fréquentes avec un taux de complication à un mois de 30,1 %, qui concernaient principalement les techniques de fixateur externe et de Tie in (les plus employées). Les cas pris en charge médicalement ou par amputation ont eu de bons résultats mais étaient peu nombreux. Le faible effectif d'animaux inclus, la durée de suivi limitée et l'absence de système de notation de la récupération fonctionnelle, principales limites de cette étude, nous empêchent pour l'instant de formuler des recommandations concernant la prise en charge thérapeutique dans un contexte d'une fracture appendiculaire chez le lapin en particulier en ce qui concerne le choix de la technique la plus adaptée.[-]
Les fractures du lapin représentent jusqu'à 1,2% des consultations dans cette espèce.Leur pronostic est de fait moins étudié que pour les carnivores domestiques et n'a jusqu'à présent fait l'objet que de deux études rétrospectives.Les objectifs de l'étude étaient de fournir les données descriptives des lapins atteints de fractures appendiculaires et d'en préciser le pronostic selon la méthode de prise en charge.Cette étude rétrospective comporte ...

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Les affections du pénis et du fourreau décrites chez le chien sont de nature diverse, et pour certaines mal connues et documentées. Il existe des maladies congénitales telles que l'imperforation du prépuce, le diphallia, la persistance du frein préputial et l'hypospadias, des maladies de croissance telles que le phimosis et l'immaturité pénienne, les anomalies de l'os pénien, des affections apparaissant en conséquence à d'autres troubles telles que le paraphimosis et la maladie de la Peyronie, des maladies fonctionnelles telles que le priapisme, ou bien traumatiques telles que la fracture de l'os pénien, la fracture de verge, les lacérations et les prolapsus urétraux, des maladies inflammatoires telles que les balanoposthites, et finalement des maladies tumorales telles que l'hémangiome, hémangiosarcome, tumeur vénérienne transmissible, carcinome épidermoïde, ostéochrondrosarcome, ostéosarcome et fibrome. Pour chacune des affections citées ci-dessus, la description, les modalités diagnostiques et les traitements mis en place en médecine vétérinaire et humaine sont décrits ainsi que leurs similarités et leurs différences. À la fin de chaque description, les éléments de médecine humaine qui pourraient être utiles en médecine vétérinaires sont mentionnés. Cette thèse comporte deux objectifs. Le premier objectif consiste à mettre en avant les différences de traitements décrits en médecine humaine et vétérinaire et ainsi comprendre les raisons pour lesquelles les approches thérapeutiques diffèrent. Le second objectif consiste à mettre à disposition des vétérinaires une revue de la littérature concernant les traitements décrits pour chaque affection du pénis chez le chien et également chez l'homme, afin de multiplier les sources d'information et pouvoir ainsi prendre une décision thérapeutique éclairée compte tenu de toutes les informations disponibles dans la littérature, et particulièrement concernant les affections peu décrites chez le chien.[-]
Les affections du pénis et du fourreau décrites chez le chien sont de nature diverse, et pour certaines mal connues et documentées. Il existe des maladies congénitales telles que l'imperforation du prépuce, le diphallia, la persistance du frein préputial et l'hypospadias, des maladies de croissance telles que le phimosis et l'immaturité pénienne, les anomalies de l'os pénien, des affections apparaissant en conséquence à d'autres troubles telles ...

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Exotic Animal Emergency and Critical Care Medicine delivers the most relevant and current information required by general veterinary practitioners and veterinary specialists in treating emergent and critical exotic patients. Covering the management of common emergency presentations in exotic companion mammals, birds, reptiles, and amphibians, each section discusses triage and stabilization, diagnostics, nutrition and fluid therapy, analgesia, anesthesia, monitoring, CPR, and euthanasia.
The book includes quick reference tables, species-specific drug formularies, and illustrations of exotic animal emergency procedures and techniques. The information contained within is based on an extensive review of the most current literature and the combined knowledge and expertise of international leaders in the field of exotic animal medicine and surgery.
A one-stop resource like no other, Exotic Animal Emergency and Critical Care Medicine makes it easy to find the information needed to effectively treat urgent and life-threatening conditions in pet exotic animals. The book covers a wide range of species, encompassing:
Exotic companion mammals, including ferrets, rabbits, guinea pigs, chinchillas, rats, mice, hamsters, gerbils, hedgehogs, and sugar gliders
Birds, including psittacines, passerines, doves and pigeons, as well as backyard poultry and waterfowl
Reptiles, including turtles and tortoises, snakes and lizards,
Amphibians
Equally useful for general practitioners, specialists in emergency and critical care and exotic animal medicine, veterinary students, and trainees, Exotic Animal Emergency and Critical Care Medicine is an essential resource for the emergent and critical care of exotic animals.[-]
Exotic Animal Emergency and Critical Care Medicine delivers the most relevant and current information required by general veterinary practitioners and veterinary specialists in treating emergent and critical exotic patients. Covering the management of common emergency presentations in exotic companion mammals, birds, reptiles, and amphibians, each section discusses triage and stabilization, diagnostics, nutrition and fluid therapy, analgesia, ...

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L'engouement sociétal actuel pour la protection de la biodiversité démontre l'importance du rôle des centres de soins à la faune sauvage. Une proportion importante d'oiseaux présentant des fractures des membres sont admis dans ces centres dont la fonction est de relâcher ces animaux dans la nature, ce qui impose une contrainte majeure : l'animal doit être parfaitement autonome, capable de se nourrir et de se déplacer de façon optimale. Malgré des protocoles éprouvés, le pronostic des fractures est généralement mauvais pour les oiseaux sauvages. C'est dans ce cadre que la thérapie LASER intervient. Plusieurs propriétés du rayonnement sur l'organisme semblent présenter un intérêt thérapeutique comme une diminution de l'inflammation et de la douleur ainsi qu'une amélioration de la cicatrisation, en particulier osseuse. Le but de ce travail était d'évaluer l'intérêt d'un traitement adjuvant par LASER thérapeutique sur des oiseaux présentant des fractures des membres, admis au CHUV-FS. Pour cela, un protocole expérimental prospectif, réalisé en aveugle, avec randomisation des traitements (« LASER », correspondant à une irradiation au K-LASER à 5 J/cm2, trois fois par semaine pendant trois semaines, versus placebo) a été mis en place sur des oiseaux présentés au CHUV-FS pour fracture appendiculaire. Son effet a été évalué selon un score de cicatrisation osseuse obtenu par lecture de clichés radiographiques. Ni l'évolution du score en phase de cicatrisation, ni les données relatives à la durée d'hospitalisation, à la durée de réhabilitation ou au pourcentage de relâcher n'ont permis de mettre en évidence un quelconque effet du LASER thérapeutique sur la cicatrisation osseuse des oiseaux. Ce travail qui demeure préliminaire en raison du faible effectif pourrait servir de base à l'évaluation d'autres protocoles de LASER (dosage, fréquence différents) et d'autres méthodes d'évaluation en recentrant ces travaux sur des échantillons d'oiseaux plus homogène (espèce, sexe, âge).[-]
L'engouement sociétal actuel pour la protection de la biodiversité démontre l'importance du rôle des centres de soins à la faune sauvage. Une proportion importante d'oiseaux présentant des fractures des membres sont admis dans ces centres dont la fonction est de relâcher ces animaux dans la nature, ce qui impose une contrainte majeure : l'animal doit être parfaitement autonome, capable de se nourrir et de se déplacer de façon optimale. Malgré ...

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La perte de substance osseuse fait partie des complications majeures les plus fréquentes des fractures d'origine traumatique. Elle peut être la conséquence d'un défaut de stabilisation, de réduction ou de la présence d'un foyer infectieux au sein d'une fracture. Le traitement du défaut osseux résultant a pour objectif la conservation de la motricité fonctionnelle du membre affecté. Cependant à l'heure actuelle aucune technique proposée en médecine vétérinaire ne semble apporter des résultats satisfaisants, en particulier sur des pertes de substance osseuse de taille critique. Alain-Charles Masquelet a développé une technique chirurgicale de reconstruction de grandes pertes de substance osseuse des os long en deux temps. Le principe de cette technique repose dans un premier temps sur l'induction d'une membrane biologique autour du défaut osseux à combler. Puis, dans un second temps, sur le comblement de la cavité délimitée par cette membrane par une autogreffe osseuse. Cette technique ayant présenté de bons résultats chez l'homme, elle a été appliquée par la suite à des modèles animaux de grande taille puis, à partir de 2003, sur des carnivores domestiques admis au Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort (ChuvA). L'objectif de cette étude était d'évaluer de manière rétrospective l'intérêt de cette technique dans la prise en charge chirurgicale des ostéomyélites et des pseudarthroses d'origine traumatique résultant en une grande perte de substance osseuse appendiculaire chez le chien et le chat. L'application de la technique sur 7 animaux admis au ChuvA a permis de documenter une cicatrisation osseuse complète dans 2 cas, une amélioration fonctionnelle dans tous les cas, l'éradication d'un foyer d'ostéomyélite dans 2 cas sur 5 et la conservation de leur membre et de sa fonctionnalité pour tous les cas traités, en évitant ainsi une éventuelle amputation. L'application de la technique a tout de même été assortie d'un taux non négligeable de complications et l'étude a été réalisée sur un faible nombre de cas dont le suivi précis n'a pas été respecté. Les résultats obtenus ouvrent tout de même la perspective du développement de cette technique en médecine vétérinaire dans le traitement des grandes pertes de substance osseuse d'origine traumatique chez les chiens et les chats.[-]
La perte de substance osseuse fait partie des complications majeures les plus fréquentes des fractures d'origine traumatique. Elle peut être la conséquence d'un défaut de stabilisation, de réduction ou de la présence d'un foyer infectieux au sein d'une fracture. Le traitement du défaut osseux résultant a pour objectif la conservation de la motricité fonctionnelle du membre affecté. Cependant à l'heure actuelle aucune technique proposée en ...

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Equine fracture repair H

Nixon, Alan J. | 2nd Edition | Wiley Blackwell | 2019

eBook | Cote : C-04-05

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2y
Part I : Diagnosis and treatment of fractures, lameness and joint diseases
Part II : Fractures and orthopedic conditions of the forelimb
Part III : Fractures and orthopedic condition of the hindlimb
Part IV : Other fractures and reconstruction of the bone deformity
Part V : Miscellaneous conditions of the musculoskeletal system

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