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Evaluation de l'hyperaldostéronisme secondaire rénal dans les maladies rénales chroniques débutantes chez le chat

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Thèse
H

Lecomte, Antoine

VetAgro Sup

2018

106 p.

L-2018-053

Carnivore domestique ; Chat ; Maladie de l'appareil urinaire ; Nephropathie ; Insuffisance rénale chronique ; Hyperaldosteronisme ; Aldostérone

Url / Doi : http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=20...

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 53

Bibliographie : 81

Titre anglais : Evaluation of renal secondary hyperaldosteronism in cats low stage chronic kidney disease

Le système rénine angiotensine aldostérone (SRAA) joue un rôle prépondérant dans les maladies rénales chroniques (MRC) du chat. S’il est une des cibles thérapeutiques majeures dans cette maladie, le rôle du SRAA sur l’initiation et la progression de la MRC n’est pas clairement élucidé. Le but de cette thèse est, dans un premier temps, d’établir le cadre bibliographique de la physiopathologie de la MRC, de sa prise en charge médicale et des connaissances actuelles sur l’activation du SRAA chez le patient atteint. Dans un second temps, le but est d’évaluer l’activation du SRAA expérimentalement chez une quarantaine de chats sains ou en stade précoce de MRC. L’étude est prospective avec cas témoin. Les animaux sont recrutés dans des cliniques de l’ouest lyonnais et des prélèvements de sérum / plasma et des urines sont réalisés. Sur ces échantillons sont dosés des paramètres liés à l’activation du SRAA de manière directe et indirecte : aldostérone plasmatique et urinaire, activité de la rénine plasmatique, natrémie, kaliémie et fractions d’excrétion urinaire en sodium et potassium. Ainsi, chez les chats malades, on montre l’existence d’un hyperaldostéronisme, sans augmentation significative de l’activité de la rénine plasmatique. On montre aussi une augmentation significative de la fraction d’excrétion en potassium. Paradoxalement, on observe une diminution de de l’aldostérone urinaire et une augmentation de la fraction d’excrétion en sodium. Enfin, la mesure de l’activité de la rénine urinaire a été un échec.

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