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Documents Cardiopathie congénitale 16 résultats

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H
Dans une première partie, l'auteur réalise une étude bibliographique portant, d'une part, sur la race Bouledogue français et ses principales affections cardiorespiratoires, d'autre part, sur la sténose pulmonaire au sein de l'espèce canine. Puis, dans une deuxième partie, l'auteur présente une étude prospective observationnelle portant sur 43 Bouledogues français atteints de sténose pulmonaire congénitale diagnostiquée par l'équipe de l'Unité de Cardiologie d'Alfort (UCA) entre novembre 2004 et avril 2012. La sténose pulmonaire compte parmi les trois principales cardiopathies congénitales affectant l'espèce canine. Particulièrement décrite chez certaines races brachycéphales comme le Boxer et le Bouledogue anglais, elle est depuis peu rapportée chez le Bouledogue français bien que n'ayant pas fait l'objet, à ce jour, d'étude spécifique. Les objectifs de cette étude prospective observationnelle étaient ainsi de déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et écho-Doppler de la sténose pulmonaire congénitale chez le Bouledogue français. Une classification en cinq grades de gravité croissante a été établie sur la base du gradient de pression trans-sténotique : grade 1 (ΔP < 80 mmHg), grade 2 (80 mmHg ≤ ΔP < 120 mmHg), grade 3 (120 mmHg ≤ ΔP <160 mmHg), grade 4 (160 ≤ ΔP < 200 mmHg) et grade 5 (ΔP ≥ 200 mmHg). La comparaison de la population étudiée à une large population de référence recrutée à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort sur la période d'étude (n = 54 386) a démontré une nette prédisposition de la race Bouledogue français à la sténose pulmonaire (OR = 14,8 [11,3-19,5]]) et notamment à des sténoses pulmonaires serrées (gradient de pression de 180,1 ± 57,6 mmHg). La distribution sexuelle était de 30 mâles (69,8%) pour 13 femelles (30,2%), suggérant une atteinte préférentielle des mâles. La sténose pulmonaire était très majoritairement mixte et complexe : 46,5% de sténoses valvulaires et supra-valvulaires ainsi que 23,3% de sténoses sous-valvulaires, valvulaires et supra-valvulaires. Seulement 14% des cas étaient atteints d'une sténose valvulaire isolée. Une forte suspicion de malposition coronarienne responsable d'une striction du tronc pulmonaire a été émise dans 14% des cas (n = 6) sur la seule base de l'échocardiogramme. La prévalence d'hypertrophie du ventricule droit et de dilatation atriale droite était forte et leur importance augmentait significativement avec le grade de la sténose pulmonaire. La présence de signes cliniques fonctionnels (44,2% des cas) et/ou d'une hypoplasie de l'anneau pulmonaire (Ao/AP>1,2, 62,8% des cas) était associée à des valeurs de gradients significativement plus élevées. Une dilatation par ballonnet a été entreprise chez cinq de ces animaux, permettant une baisse moyenne des gradients de pression maximal et moyen de 31 et 37% à court terme, maintenus à moyen-long terme (6 mois- 1 an post-opératoire). Le taux de mortalité d'origine cardiaque était de seulement 11,8% (4/36 chiens suivis au long cours), affectant uniquement des chiens de grade 5 (n = 4), à un âge de 2,8 ± 1,4 ans [0,9-4.3]. En conclusion, le Bouledogue français est fortement prédisposé à des formes graves et essentiellement mixtes de sténoses pulmonaires, à la fois valvulaires et supra-valvulaires avec fréquente hypoplasie de l'anneau. Les animaux sont fréquemment symptomatiques à la première visite (44,2%) mais la mortalité d'origine cardiaque avant l'âge de 4 ans, ne concerne que ceux dont le gradient de pression est supérieur à 200 mmHg (33% des chiens de grade 5).[-]
Dans une première partie, l'auteur réalise une étude bibliographique portant, d'une part, sur la race Bouledogue français et ses principales affections cardiorespiratoires, d'autre part, sur la sténose pulmonaire au sein de l'espèce canine. Puis, dans une deuxième partie, l'auteur présente une étude prospective observationnelle portant sur 43 Bouledogues français atteints de sténose pulmonaire congénitale diagnostiquée par l'équipe de l'Unité de ...

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H
Dans une première partie bibliographique, l'auteur présente une synthèse des connaissances actuelles sur la communication interatriale (CIA) chez les carnivores domestiques. Par la suite, ces données sont confrontées aux résultats d'une étude rétrospective de 156 cas de CIA diagnostiqués chez le chien et le chat à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort (ENVA) entre 2001 et 2005. La CIA représente 34 % (156/451) des anomalies cardiaques congénitales diagnostiquées à l'ENVA, elle est donc la deuxième plus fréquente après la dysplasie mitrale. Elle est diagnostiquée le plus souvent de façon fortuite, et dans les trois quarts des cas (120/156), elle est associée à une autre cardiopathie congénitale. Cette affection cardiaque touche plus fréquemment le chien que le chat. Une nette prédisposition du Boxer est établie. Trois races de chats sont particulièrement atteintes l'Européen, le Persan, et le Chartreux. Dans 60 % des cas (69/114), la CIA est asymptomatique. 17,5 % des animaux (20/114) présentent un souffle systolique basal gauche (SSBG), 7 % (8/114) une intolérance à l'effort, 5,2 % (6/114) des syncopes, et 5,2 % (6/114) une dyspnée ou une toux. Les signes indirects échocardiographiques consistent principalement en une dilatation atriale droite (35 % des 114 cas). Cette étude révèle que les animaux présentant un SSBG ont une CIA de taille significativement plus importante que ceux n'en présentant pas. La CIA est donc une cardiopathie congénitale fréquente, mais dont la gravité est le plus souvent faible, et dont les répercussions cardiaques peuvent être évaluées précisément par une échocardiographie couplée au Doppler.[-]
Dans une première partie bibliographique, l'auteur présente une synthèse des connaissances actuelles sur la communication interatriale (CIA) chez les carnivores domestiques. Par la suite, ces données sont confrontées aux résultats d'une étude rétrospective de 156 cas de CIA diagnostiqués chez le chien et le chat à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort (ENVA) entre 2001 et 2005. La CIA représente 34 % (156/451) des anomalies cardiaques ...

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