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L'urétéronéphrectomie est une chirurgie peu courante, mais aux indications multiples. Les néoplasies rénales primaires représentent la majorité des motifs d'intervention chez les carnivores domestiques. Néanmoins, de nombreuses autres affections rénales (hydronéphrose, calculs, pyélonéphrites, etc.) sont retrouvées, dont certaines ayant peu d'informations concernant le temps de survie ou les complications inhérentes. De plus, seules 2 études de cohortes traitant d'urétéronéphrectomie pour motifs divers chez le chien, ont été référencées sur PubMed ces 30 dernières années. Ainsi, il est difficile de renseigner correctement les propriétaires lorsque cette chirurgie est envisagée, et ce, d'autant plus chez les chats pour lesquels très peu d'études concernant des motifs pathologiques ont été réalisées. Un bilan des connaissances actuelles a été réalisé concernant : l'anatomie et la physiologie rénale, la description des différents motifs d'opérations, les méthodes d'évaluation de la fonction rénale, la réalisation de l'urétéronéphrectomie par approche ouverte et fermée, les incidents, accidents et complications ainsi que les temps de survies en fonction du motif d'opération. Par la suite, une étude descriptive portant sur 59 patients (24 chats et 35 chiens) opérés d'une urétéronéphrectomie au ChuvA, EnvA entre 2004 et 2023 a été réalisée afin d'établir une durée médiane de survie et afin de comparer à l'aide de tests du Log-Rank si des différences de survies existaient entre les motifs d'opération et en fonction d'autres variables d'intérêts (créatinine préopératoire, présence d'incident/accident, de complications, etc.). L'évolution des paramètres rénaux au cours du suivi ainsi que le délai d'apparition des complications ont également été étudiés. Le temps de survie médian de notre échantillon, celui des chats et celui des chiens toutes indications confondues étaient respectivement de 1081 jours, 880 jours et 1452 jours. Aucune des expositions d'intérêts n'a été identifiée comme exerçant une influence significative sur la survie, néanmoins notre étude souffre d'un manque de puissance statistique. Une proportion importante (80 %) de patients a développé des complications, dont 15 % étaient des complications majeures. L'étude du délai de survenue des complications a permis de mettre en évidence une différence dans la répartition des complications en fonction du temps. Enfin, aucune différence statistique significative n'a été mise en évidence concernant l'évolution des paramètres rénaux en postopératoire.
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L'urétéronéphrectomie est une chirurgie peu courante, mais aux indications multiples. Les néoplasies rénales primaires représentent la majorité des motifs d'intervention chez les carnivores domestiques. Néanmoins, de nombreuses autres affections rénales (hydronéphrose, calculs, pyélonéphrites, etc.) sont retrouvées, dont certaines ayant peu d'informations concernant le temps de survie ou les complications inhérentes. De plus, seules 2 études de ...
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La description anatomique des ligaments collatéraux et le rôle qu'ils jouent au sein de l'articulation du grasset sont succinctement décrits dans la majorité des ouvrages. Bien qu'ils aient un rôle majeur dans la stabilisation du grasset, les différentes affections de ces ligaments, leur diagnostic et leur traitement sont peu répertoriés. L'objectif de cette étude est dans un premier temps de regrouper les informations bibliographiques sur leur anatomie, leur rôle, leurs affections et les différents traitements. Dans un second temps, ce travail de thèse a permis de collecter des informations sur les méthodes diagnostiques, les traitements pratiqués et les complications rencontrées sur le terrain. Pour cette deuxième partie, un questionnaire a été diffusé auprès des chirurgiens orthopédiques de France, cela a permis de recueillir 26 réponses dont 21 réponses ont été gardées. Elles ont ensuite été incorporées au fil des connaissances bibliographiques. Cela a permis de mettre en évidence d'autres techniques chirurgicales non décrites dans la littérature scientifique. Cet état des lieux des connaissances sur les affections des ligaments collatéraux comparé avec les méthodes pratiques sera un levier pour les futures recherches sur ces chirurgies.
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La description anatomique des ligaments collatéraux et le rôle qu'ils jouent au sein de l'articulation du grasset sont succinctement décrits dans la majorité des ouvrages. Bien qu'ils aient un rôle majeur dans la stabilisation du grasset, les différentes affections de ces ligaments, leur diagnostic et leur traitement sont peu répertoriés. L'objectif de cette étude est dans un premier temps de regrouper les informations bibliographiques sur leur ...
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Les hernies discales sont des causes de paralysie fréquentes chez les chiens et notamment chez les races chondrodystrophiques. Elles sont à l'origine de divers symptômes pouvant aller d'un syndrome algique à une paralysie avec perte de la sensibilité profonde. L'IRM est la technique d'imagerie la plus précise pour établir le diagnostic de hernie discale et notamment visualiser les lésions médullaires. Le traitement de choix, notamment pour les grades avancés, est le recours à une chirurgie de décompression. Cependant, hormis l'intensité de l'atteinte clinique, peu de facteurs pronostiques sont aujourd'hui établis et le pronostic reste incertain. Dans cette étude, nous nous sommes intéressés à la valeur pronostique des lésions médullaires et plus particulièrement à l'œdème médullaire observé à l'IRM post-opératoire et nous l'avons mis en parallèle avec la qualité et la vitesse de récupération des chiens atteints de hernie discale. Cette étude représente à ce jour une des premières tentatives de mise en parallèle de la quantification de l'œdème médullaire en post-opératoire avec la vitesse et la qualité de la récupération des chiens atteints de hernies discales. Il s'agit d'une étude préliminaire permettant de mettre au point un protocole standardisé d'analyse des images IRM en post- opératoire afin de quantifier les lésions médullaires. A ce stade, l'étude n'a pas mis en évidence de tendance entre l'importance de l'œdème médullaire et la récupération des chiens mais elle sera poursuivie sur un plus large effectif.
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Les hernies discales sont des causes de paralysie fréquentes chez les chiens et notamment chez les races chondrodystrophiques. Elles sont à l'origine de divers symptômes pouvant aller d'un syndrome algique à une paralysie avec perte de la sensibilité profonde. L'IRM est la technique d'imagerie la plus précise pour établir le diagnostic de hernie discale et notamment visualiser les lésions médullaires. Le traitement de choix, notamment pour les ...
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La coelioscopie est une technique mini-invasive qui consiste à observer ou à intervenir à l'intérieur de la cavité abdominale par de petites ouvertures de la paroi abdominale. Les organes ne sont pas visualisés directement par le chirurgien mais via un moniteur relié un endoscope passant à travers ces petites ouvertures. L'utilisation de cette technique est peu répandue en chirurgie vétérinaire en France mais apporte de nombreux avantages cliniques aux patients. De moindres douleurs post-opératoires, une durée de convalescence plus courte, des complications moins fréquentes, des adhérences intra-abdominales post-opératoires moins nombreuses et des cicatrices de plus petite taille ont été démontrées par de nombreuses études ces dernières années. L'intérêt clinique fait consensus mais cette technique présente un inconvénient majeur. L'investissement en matériel et en formation augmente significativement les tarifs pouvant être proposés aux propriétaires d'animaux, rarement couverts par une assurance santé animale. La différence de prise en charge peut atteindre plusieurs centaines d'euros. Dans notre étude, les facteurs influençant le plus les propriétaires dans leurs prises de décision concernant la prise en charge chirurgicale de leurs animaux sont le montant de la prise en charge, les douleurs post-opératoires et la probabilité de récidive ou de complications graves. A l'inverse la durée d'hospitalisation ou la durée de restriction stricte de l'activité semblent peu importantes pour les propriétaires. Dans notre échantillon, les propriétaires de chiens interrogés étaient prêts à payer en moyenne jusqu'à 268,78€ supplémentaires pour une ovariectomie sous coelioscopie et jusqu'à 403,54€ supplémentaires pour tout autre opération sous coelioscopie par rapport à une laparotomie. Cependant en moyenne un montant de prise en charge chirurgical supérieur à 1300€ influe négativement les décisions des propriétaires qui préfèreront une technique chirurgicale moins onéreuse.
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La coelioscopie est une technique mini-invasive qui consiste à observer ou à intervenir à l'intérieur de la cavité abdominale par de petites ouvertures de la paroi abdominale. Les organes ne sont pas visualisés directement par le chirurgien mais via un moniteur relié un endoscope passant à travers ces petites ouvertures. L'utilisation de cette technique est peu répandue en chirurgie vétérinaire en France mais apporte de nombreux avantages ...
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Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et long terme et aux retards de cicatrisation osseuse. La pierre angulaire de la prise en charge chirurgicale de ces fractures est la préservation du potentiel ostéogénique du foyer de fracture. L'objectif de l'étude a été d'évaluer les délais de cicatrisation et de récupération fonctionnelle ainsi que les complications de cicatrisation afin de faire ressortir des facteurs prédictifs de complications fracturaires chez les chiens et les chats parmi les caractéristiques de l'animal, de la fracture ou de la prise en charge péri-opératoire. Toutes nos observations ayant ensuite été comparées aux données peu nombreuses de la littérature. Chez les 26 chats de l'étude, ont été recensées 23% de retard de cicatrisation osseuse et 69% de complications de la cicatrisation réparties sur 34% des chats (4 infections des tissus mous, 4 ostéomyélites, 2 déformations osseuses, 2 mal unions et 2 pseudarthroses et 4 débricolages de montage). Chez les 29 chiens, ont été recensés 11% de retard de cicatrisation osseuse et 55% de complications de cicatrisation réparties chez 48% des chiens (2 nouvelles fractures, 3 déformations ou désaxation osseuses, 1 pseudarthrose, 2 débricolages de montage, 4 ostéomyélites et 3 infections des tissus mous). Après cicatrisation osseuse complète, 4 chiens et 5 chats présentaient encore une boiterie. Les facteurs identifiés comme influençant la cicatrisation ont été l'âge et le statut reproducteur de l'animal, le caractère ouvert ou fermé de la fracture, la localisation de cette dernière sur l'os ainsi que son orientation, sa comminution et son déplacement, la stabilité du foyer de fracture après réduction, l'occurrence d'hypotension per-anesthésique et le délai de respect du repos strict en post-opératoire. Le trop faible nombre de cas inclus dans l'étude n'a pas permis la réalisation d'analyses statistiques multivariées. Les facteurs de confusion persistants nuancent donc nos conclusions. Néanmoins, l'importante base de données constituée au cours de ce travail servira de base à la réalisation d'études ultérieures.
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Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et ...
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Filling a gap in the current literature, Complications in Canine Cranial Cruciate Ligament Surgery provides revision strategies for correcting the complications associated with surgical repair techniques for cranial cruciate ligament rupture, one of the most common causes of a hind limb lameness in dogs. Presenting step-by-step instructions for numerous surgical correction techniques, this practical guide covers articular, extra-articular and osteotomy repair techniques as well as non-surgical management, physical rehabilitation, clinical decision making, and more.
The book begins with an overview of cranial cruciate ligament tear, diagnosis, and treatment goals, followed by a discussion of methods for minimizing surgical site infection and complications. Subsequent chapters describe the potential complications of a particular technique and explain how to identify, evaluate, and correct the complication. Throughout the book, hundreds of high-quality clinical photographs show the appearance of complications and demonstrate each step of the corrective procedure. This authoritative guide:
- Provides step-by-step techniques for surgical corrections of common complications
- Emphasizes surgical decision making and specific strategies for surgical correction
- Contains revision strategies for identification of intra-operative complications
- Covers evaluation and identification of post-operative complications
- Features more than 400 photographs and clinical images
Part of the state-of-the-art Advances in Veterinary Surgery series, Complications in Canine Cranial Cruciate Ligament Surgery is an invaluable resource for surgical residents, veterinary surgeons, and general practice veterinarians alike.
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Filling a gap in the current literature, Complications in Canine Cranial Cruciate Ligament Surgery provides revision strategies for correcting the complications associated with surgical repair techniques for cranial cruciate ligament rupture, one of the most common causes of a hind limb lameness in dogs. Presenting step-by-step instructions for numerous surgical correction techniques, this practical guide covers articular, extra-articular and ...
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V
Les complications qui peuvent survenir après une entérotomie ou une entérectomie sont la déhiscence intestinale, la péritonite, le syndrome de l'intestin court, I'iléus, les adhérences, les sténoses cicatricielles et les infections cutanées. Quatre-vingt-cinq entérotomies ou entérectomies ont été pratiquées sur des chiens et des chats. Un cas de déhiscence intestinale est mis en évidence de même qu'un cas de syndrome de l'intestin court et neuf de retard de cicatrisation cutanée. Quatorze des quatre-vingt-cinq animaux de l'étude n'ont pas survécu à l'intervention. Sur les soixante et onze de l'étude ayant survécu, le taux de complication est de quinze pour cent. Le taux de mortalité total observé parmi les quatre-vingt-cinq cas est de vingt pour cent. Les analyses statistiques ne permettent pas de mettre en évidence des paramètres qui conditionnent la survenue de complications. En revanche, on peut émettre certaines hypothèses, corroborées par la bibliographie traitant de ce sujet : on peut penser en effet, que le vieillissement, I'ancienneté des symptômes, I'état lors de l'admission, I'état préopératoire, I'étiologie (tumeur) et l'augmentation du nombre des lésions initiales, des procédures chirurgicales et des complications peropératoires sont autant de facteurs qui favorisent la survenue des complications postopératoires. En revanche, contrairement à certaines idées recues, le site de l'intervention (intestin grêle ou gros intestin) ne semble pas modifier le taux de complication.
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Les complications qui peuvent survenir après une entérotomie ou une entérectomie sont la déhiscence intestinale, la péritonite, le syndrome de l'intestin court, I'iléus, les adhérences, les sténoses cicatricielles et les infections cutanées. Quatre-vingt-cinq entérotomies ou entérectomies ont été pratiquées sur des chiens et des chats. Un cas de déhiscence intestinale est mis en évidence de même qu'un cas de syndrome de l'intestin court et neuf ...
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