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Documents Entérectomie 13 résultats

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V
Les déhiscences intestinales sont une complication majeure des chirurgies digestives, notamment des entérotomies et entérectomies. De nombreux facteurs de risque ont été étudiés quant à l'apparition de ces déhiscences : la présence d'une péritonite septique pré-opératoire, un statut ASA>3, une hypotension per-opératoire, etc. Les déhiscences sont responsables d'une forte dégradation de l'état général de l'animal et seraient associées à un taux de mortalité de 74 à 85% (Costanzo et al., 2023). Un diagnostic précoce de ces dernières est donc primordial afin de maximiser les chances de guérison de l'animal. Actuellement, l'échographie permet de diagnostiquer les déhiscences en moyenne 5 jours après l'intervention chirurgicale, période pendant laquelle une dégradation de l'état général des animaux est souvent observée (Ralphs et al., 2003). Il s'agirait donc de savoir s'il est possible de diagnostiquer échographiquement les déhiscences à la suite d'entérectomies et d'entérotomies chez les carnivores domestiques, à 2-3 jours post-opératoires. L'objectif étant d'établir des critères échographiques précis qui selon leur présence/absence, nous permettraient de réaliser une reprise chirurgicale précoce, sans attendre une dégradation clinique de l'animal. Pour cela, une étude rétrospective sur l'ensemble des chiens et chats ayant subi une entérectomie ou une entérotomie avec un suivi échographique post-opératoire et présentés au CHUV-AC de l'ENVA entre 2013 et 2023, a été réalisée. L'étude comprenait ainsi 23 chats et 55 chiens parmi lesquels 11 déhiscences ont été répertoriées (10 chiens et 1 chat). Cette étude a permis la mise en évidence de facteurs péri-opératoires significativement associés à une déhiscence comme la présence d'une hypoalbuminémie (p=0,04), une péritonite septique post-opératoire (p= 0,004) ou encore un taux de mortalité plus élevé (p=0,01). Plusieurs signes échographiques ont également été retrouvés plus fréquemment parmi les animaux ayant eu une déhiscence : une stéatite généralisée (p=0,0001), un épanchement péritonéal en quantité importante (p=0,01), la présence d'une poche de liquide proche du site chirurgical (p=0,004) et la présence de gaz au sein de la paroi (p=0,02). Ce dernier critère n'a jamais été rapporté pendant le processus de cicatrisation physiologique avant notre étude (Matthews et al., 2008). Notre étude, bien que réalisée sur un faible nombre de cas (11 déhiscences) indique que la réalisation d'un examen échographique réalisé entre 2 et 3 jours après une chirurgie intestinale présenterait un intérêt dans la détection précoce d'une déhiscence intestinale.[-]
Les déhiscences intestinales sont une complication majeure des chirurgies digestives, notamment des entérotomies et entérectomies. De nombreux facteurs de risque ont été étudiés quant à l'apparition de ces déhiscences : la présence d'une péritonite septique pré-opératoire, un statut ASA>3, une hypotension per-opératoire, etc. Les déhiscences sont responsables d'une forte dégradation de l'état général de l'animal et seraient associées à un taux ...

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H
En chirurgie digestive des carnivores domestiques, la résection de la jonction iléocolique est controversée mais ses conséquences sur le pronostic n'ont fait l'objet que d'une publication à ce jour. Le but de ce travail était d'évaluer les conséquences d'une résection iléocolique sans résection large d'un segment digestif. Nous avons analysé 31 dossiers d'entérectomie iléocolique réalisées au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort pendant 13 ans, dans le but d'identifier des différences en termes d'indications, d'évolution post-opératoires et de morbi-mortalité entre cette intervention et les autres sites de résection intestinale. Treize chiens et dix-huit chats étaient inclus dans l'étude. L'intussusception iléocolique était l'indication la plus fréquente chez les chiens. Les chats étaient plus fréquemment opérés d'affections néoplasiques malignes de la jonction iléocolique. Les chats souffraient plus fréquemment de complications en post-opératoire que les chiens. Dans les deux espèces, les complications rencontrées étaient plus fréquentes en comparaison à d'autres sites de résection intestinale. Les animaux survivant à la période post-opératoire de 15 jours auraient un meilleur pronostic à long terme. Sept des dix animaux présentés avec une péritonite pré-opératoire sont morts moins de 24 heures après l'intervention. Nous n'avons cependant pas pu confirmer de facteurs pronostiques négatifs autour de cette intervention. Des études prospectives futures, incluant un effectif plus important, pourront compléter ce travail en se fondant sur les hypothèses formulées ici et ainsi proposer une réponse sur la balance bénéfices risques de cette intervention.[-]
En chirurgie digestive des carnivores domestiques, la résection de la jonction iléocolique est controversée mais ses conséquences sur le pronostic n'ont fait l'objet que d'une publication à ce jour. Le but de ce travail était d'évaluer les conséquences d'une résection iléocolique sans résection large d'un segment digestif. Nous avons analysé 31 dossiers d'entérectomie iléocolique réalisées au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort ...

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V
Les complications qui peuvent survenir après une entérotomie ou une entérectomie sont la déhiscence intestinale, la péritonite, le syndrome de l'intestin court, I'iléus, les adhérences, les sténoses cicatricielles et les infections cutanées. Quatre-vingt-cinq entérotomies ou entérectomies ont été pratiquées sur des chiens et des chats. Un cas de déhiscence intestinale est mis en évidence de même qu'un cas de syndrome de l'intestin court et neuf de retard de cicatrisation cutanée. Quatorze des quatre-vingt-cinq animaux de l'étude n'ont pas survécu à l'intervention. Sur les soixante et onze de l'étude ayant survécu, le taux de complication est de quinze pour cent. Le taux de mortalité total observé parmi les quatre-vingt-cinq cas est de vingt pour cent. Les analyses statistiques ne permettent pas de mettre en évidence des paramètres qui conditionnent la survenue de complications. En revanche, on peut émettre certaines hypothèses, corroborées par la bibliographie traitant de ce sujet : on peut penser en effet, que le vieillissement, I'ancienneté des symptômes, I'état lors de l'admission, I'état préopératoire, I'étiologie (tumeur) et l'augmentation du nombre des lésions initiales, des procédures chirurgicales et des complications peropératoires sont autant de facteurs qui favorisent la survenue des complications postopératoires. En revanche, contrairement à certaines idées recues, le site de l'intervention (intestin grêle ou gros intestin) ne semble pas modifier le taux de complication.[-]
Les complications qui peuvent survenir après une entérotomie ou une entérectomie sont la déhiscence intestinale, la péritonite, le syndrome de l'intestin court, I'iléus, les adhérences, les sténoses cicatricielles et les infections cutanées. Quatre-vingt-cinq entérotomies ou entérectomies ont été pratiquées sur des chiens et des chats. Un cas de déhiscence intestinale est mis en évidence de même qu'un cas de syndrome de l'intestin court et neuf ...

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V
Enseignement optionnel 1992 - Enseignement post-universitaire - Chirurgie bovine du 22 juin au 25 juin 1992

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