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Etat des lieux concernant le génotypage et le programme d'amélioration génétique pour la résistance à la tremblante rélisé sur les races ovines françaises. Cas particuliers des races à petits effectifs

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Thèse
H

Gaviglio-Metral, A.

École nationale vétérinaire d'Alfort

2004

143 P

A-2004-069

Génétique ; Amélioration génétique ; Génotype ; Tremblante ; Résistance aux maladies ; Eradication ; Race ovine ; Ovin

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=537

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 069

Bibliographie : 71

Titre anglais : STATE OF THE ART ABOUT GENOTYPES AND GENETIC IMPROVEMENT SCHEMES FOR RESISTANCE TO SCRAPIE IN FRENCH BREEDING SHEEP. PARTICULAR SITUATION OF SMALL SIZE BREEDS

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Bossé, Philippe

Assesseur / Examinateur : Haddad Hoang Xuan, Nadia

Type de fond : Fonds contemporain

La tremblante ovine appartient au groupe des encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles, dont l’étiologie n’est pas encore bien comprise. Une autre encéphalopathie spongiforme, l’ESB, aurait pu contaminer les ovins. En cas de passage avéré aux ovins, la distribution large de l’agent chez les ovins poserait un problème de santé publique majeur. Or, chez les ovins, il existe un gène, le gène PrP, dont les allèles confèrent résistance ou sensibilité à la tremblante et à l’ESB. Un programme national d’amélioration génétique pour la résistance à la tremblante a donc été mis en place en 2002. La première étape de ce programme consiste à génotyper une partie des individus de chaque race ovine. Nous avons dressé un bilan des résultats du génotypage du gène PrP de toutes les races ovines françaises en 2003. Les fréquences génotypiques sont très variables en fonction des races, mais la majorité des races est relativement bien placée avec plus de 50 % d’individus résistants. Pour les races ovines à petits effectifs qui ont des fréquences génotypiques très défavorables, comme la Landaise, le programme de sélection est complexe, long et pose des problèmes de maintien de variabilité génétique. D’autres races à petits effectifs, comme le Berrichon de l’Indre, sont assez bien placées et la proportion d’individus résistants augmente rapidement dans la population.

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