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Le typage moléculaire de Microsporum canis par analyse du polymorphisme de microsatellites. Application à l'étude des isolats responsables de pseudomycétomes chez le chat.

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Thèse
H

Chapelle, Élodie

École nationale vétérinaire d'Alfort

2015

89 p.

A-2015-011

Dermatophytose ; Teigne ; Microsporum canis ; Microsatellite ; Typage moleculaire ; Marqueur ; PCR ; Carnivore ; Chat

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1811

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 011

Bibliographie : 82

Titre anglais : Multilocus microsatellite typing of microsporum canis. Application to the study of isolates responsible for pseudomycetomas in cats

En ligne : Oui

Directeur de Thèse : Guillot, Jacques

Assesseur / Examinateur : Abitbol, Marie

Type de fond : Fonds contemporain

Les dermatophytoses sont les dermatoses infectieuses les plus fréquentes chez les carnivores domestiques. Les pseudomycétomes sont des formes cliniques atypiques de dermatophytose, le plus souvent dues à Microsporum canis, dans lesquelles le champignon envahit le derme, voire l’hypoderme. Ils représentent de réels défis thérapeutiques et on ne sait pas si ils sont dus à des souches de M. canis particulières. Les méthodes de diagnostic actuelles permettent au mieux de différencier les espèces de dermatophytes entre elles. Dans une première partie, l’auteure présente le dermatophyte M. canis et les dermatophytoses chez les carnivores domestiques. La deuxième partie expose le typage moléculaire des agents pathogènes, et plus particulièrement le typage par analyse du polymorphisme de microsatellites. La dernière partie est consacrée à une étude expérimentale reposant sur la collaboration entre l’Unité de Parasitologie de la Faculté de Médecine Vétérinaire de Turin et celle de l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort. Au total, 57 isolats de M. canis ont été typés génétiquement par analyse du polymorphisme de huit microsatellites. Vingt-trois de ces isolats provenaient de pseudomycétomes. Aucun lien n’a pu être établi entre le génotype de l’isolat et la forme clinique induite. Cela laisse penser que cette forme clinique rare se développerait à la faveur d’une plus grande sensibilité individuelle de l’hôte.

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