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Intérêt du cortisol basal et de l'évaluation clinique dans l'adaptation du traitement de chiens atteints d'un syndrome de cushing et traités au trilostane : étude rétrospective de cas suivis à l'ENVT entre 2008 et 2014

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Thèse
H

Appert, Colette

École nationale vétérinaire de Toulouse

2016

91 p.

T-2016-014

Stimulation ; ACTH ; Étude rétrospective ; Cortisolemie ; Carnivore domestique ; Chien ; Env ; Toulouse

Url / Doi : http://oatao.univ-toulouse.fr/15525/

Localisation : Env Toulouse (Bibliothèque)

N° de thèse : 14

Bibliographie : 104

Titre anglais : Use of baseline cortisol and clinical evaluation in the monitoring of dogs receiving trilostane for hyperadrenocorticism : retrospective study of cases followed at ENVT between 2008 and 2014

En ligne : Oui

Deux études récentes ont analysé l’utilité de la cortisolémie basale, dans le suivi des chiens traités au trilostane. L’une d’entre elle a conclu qu’un chien sain ayant une cortisolémie basale entre 36 et soit 80 nmol/L soit ≤ 50 % de sa cortisolémie basale avant traitement, était correctement dosé. L’autre a réfuté ces résultats. L’objectif de cette étude est de savoir si l’intégration de l’évaluation clinique et biochimique aux valeurs de cortisol basal apporte une précision pertinente dans le suivi des chiens traités au trilostane. Cent une stimulations ACTH réalisés sur 33 chiens suivis pour hypercorticisme ont été inclues. Le statut de référence de chaque chien (c’est à dire contrôlé, sous dosé ou surdosé) lors de chaque événement est basé sur une stimulation ACTH. Ce statut a ensuite été comparé à la cortisolémie basale puis à l’association cortisolémie et clinique. Ainsi, une cortisolémie basale dans l’intervalle 36-100 nmol/L permet d’identifier correctement les chiens contrôlécontrôlés et non contrôlés. L’association d’une clinique en hypo ou en hyper avec une cortisolémie basale hors de l’intervalle 36-100 nmol/L permet d’identifier avec plus de certitude que sur base de la cortisolémie seule, les chiens surdosés et sous dosés. Une étude prospective évaluant de manière objective la clinique des chiens suivis est nécessaire pour confirmer ces résultats.

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