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Etude de la prévalence de l'isosporose et de l'intérêt de l'association toltrazuril émodepside chez le chiot après l'achat

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Thèse

Url / Doi : https://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=2172

Téléchargeable : Oui

N° de thèse : 017

Bibliographie : 122

Titre anglais : Isosporosis of puppies after purchase : study of the prevalence and interest of the association toltrazuril emodepside

Directeur de Thèse : Polack, Bruno

Assesseur / Examinateur : Pilot-Storck, Fanny

Type de fond : Fonds contemporain

La coccidiose à Isospora spp. est une parasitose entrainant des diarrhées pouvant être hémorragiques chez le jeune chiot. Cette affection concerne principalement les chiots vivant en collectivité, autour du sevrage. Nous avons souhaité connaître la prévalence de l’isosporose canine chez le chiot suite à son adoption ainsi que tester l’effet du toltrazuril sur cette parasitose. Ainsi, 14 chiots provenant de sept structures vétérinaires ont fait l’objet d’une analyse coproscopique et clinique dans les 15 jours suivant leur adoption. Les renseignements sur l’animal et son environnement ont été fournis par le biais de questionnaires. Sur les 14 chiots inclus dans l’étude, Isospora canis et I. ohioensis étaient présents dans 21 % des cas et Giardia duodenalis et Toxocara canis étaient présents dans 14 % des cas. En tout, les isosporoses concernaient 36 % des chiots. Suite à l’administration de Procox® contenant du toltrazuril et d’émodepside, les excrétions d’Isospora spp. et de T. canis ont cessé. Le traitement n’a en revanche eu aucun effet sur les excrétions de G. duodenalis. Les seuls signes cliniques pouvant être reliés à la coccidiose observés dans cette étude étaient la modification des fèces. Le rôle de l’adoption et du stress qu’elle provoque chez le chiot reste à étudier. Les prévalences non négligeables de T. canis et de G. duodenalis, agents de zoonose, étaient non négligeables. Elles soulèvent, avec la prévalence élevée de l’isosporose canine, l’importance de l’information des propriétaires à ce sujet et de la mise en place d’un traitement antiparasitaire adapté par le vétérinaire dès la première visite des chiots.

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