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Les objectifs de cette étude rétrospective étaient de décrire les affections les plus fréquentes dans cette unité d'élevage spécialisée, de production de semence bovine, et d'évaluer l'impact de ces affections sur la production de semence des taureaux. Une base de données présentant 12 catégories d'affections sur une période de 8 ans et sur deux centres d'insémination, a ainsi été analysée. Les affections les plus fréquentes étaient les affections locomotrices (19 et 16% du cheptel de Brindas et de Soual respectivement) et génitales (13 et 3% du cheptel de Brindas et Soual respectivement). L'enregistrement des données sanitaires, non standardisé, n'a pas permis de prendre en compte un score de sévérité des affections. L'impact des affections génitales et locomotrices sur la production de semence a été évalué, respectivement sur 32 et 55 taureaux, en prenant en compte pour chaque taureau, une période contrôle précédant l'affection. Pour la plupart des taureaux, les affections génitales entrainent une altération de la mobilité et de la viabilité des spermatozoïdes. En revanche, les affections locomotrices ne semblent pas avoir de répercussion majeure sur la qualité de la semence.[-]
Les objectifs de cette étude rétrospective étaient de décrire les affections les plus fréquentes dans cette unité d'élevage spécialisée, de production de semence bovine, et d'évaluer l'impact de ces affections sur la production de semence des taureaux. Une base de données présentant 12 catégories d'affections sur une période de 8 ans et sur deux centres d'insémination, a ainsi été analysée. Les affections les plus fréquentes étaient les ...

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V
Trois affections orthopédiques s'observent le plus souvent sur le membre antérieur des jeunes chiens : l'ostéodystrophie hypertrophique (OH), la panostéite et la rétention du cartilage de croissance. L'OH atteint principalement des races canines de grande taille ou géantes, souvent des braques de Weimar. Son étiologie reste inconnue même si une composante auto-inflammatoire pourrait jouer un rôle. Cliniquement, il apparaît une tuméfaction au niveau des métaphyses radiale, ulnaire et tibiale ainsi que des signes systémiques. La palpation des métaphyses atteintes est douloureuse. Les lésions radiographiques n'apparaissent que 24 à 48 heures après le début des symptômes. Le traitement (repos et antalgiques) soulage la plupart des animaux et le pronostic est généralement bon. Toutefois, les formes sévères avec atteinte systémique peuvent être fatales. La panostéite est une affection inflammatoire du tissu adipeux médullaire des os longs dont l'étiologie n'est toujours pas clairement définie. Cette maladie, autolimitative, atteint préférentiellement de nombreuses races canines de grande taille ou géantes, comme le berger allemand ou le basset hound, mais peut s'observer chez de très nombreuses races. Elle entraîne souvent une boiterie ayant la particularité d'être migratoire. La palpation osseuse est douloureuse, mais les lésions radiographiques pathognomoniques peuvent n'apparaître que 10 à 14 jours après le début des symptômes. Le traitement anti-inflammatoire seul est efficace. Cette affection pouvant être concomitante à d'autres affections orthopédiques il faudra veiller à bien traiter séparément chacune des entités. Enfin la persistance du cartilage de croissance est liée à une altération de l'ossification endochondrale et s'observe le plus souvent au niveau des métaphyses ulnaires. Les lésions radiographies pathognomoniques correspondent à des lésions radiotransparentes en forme de cône s'étendant dans la région métaphysaire. Cette affection reste le plus souvent asymptomatique. Toutefois, si le cartilage de croissance est lésé, elle peut s'accompagner de déformations angulaires des membres nécessitant une prise en charge chirurgicale.[-]
Trois affections orthopédiques s'observent le plus souvent sur le membre antérieur des jeunes chiens : l'ostéodystrophie hypertrophique (OH), la panostéite et la rétention du cartilage de croissance. L'OH atteint principalement des races canines de grande taille ou géantes, souvent des braques de Weimar. Son étiologie reste inconnue même si une composante auto-inflammatoire pourrait jouer un rôle. Cliniquement, il apparaît une tuméfaction au ...

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H
La vitamine B12, ou cobalamine, est une vitamine hydrosoluble issue de l'alimentation et dont l'absorption s'effectue au niveau de l'iléon grâce à sa liaison au facteur intrinsèque, principalement produit par le pancréas exocrine. La cobalamine est un cofacteur intracellulaire important et intervient notamment dans les divisions cellulaires. Il s'agit d'un marqueur sensible des affections digestives et l'hypocobalaminémie est souvent retrouvée chez les chats atteints d'affections gastrointestinales et/ou pancréatiques. En théorie une carence en cobalamine ne peut être exclue sans dosage de la concentration sérique ou urinaire en acide méthyl malonique. Mais ce dosage est peu accessible en France et en pratique il est recommandé de complémenter en cobalamine un chat qui présente des troubles digestifs et dont la cobalaminémie se situe en dessous de la valeur correspondant à la valeur basse de l'intervalle de référence majorée de 10 %. Les risques d'une hypercobalaminémie secondaire à une complémentation sont aujourd'hui estimés comme nuls. A ce jour, les données bibliographiques concernant l'hypocobalaminémie chez le chat sont peu nombreuses. Le premier objectif de cette thèse est de réaliser une synthèse bibliographique de l'état actuel des connaissances sur l'hypocobalaminémie chez le chat, concernant les présentations cliniques, les affections rencontrées et les modifications biologiques, échographiques et lésionnelles associées. La deuxième partie de cette thèse consiste en une étude rétrospective sur 73 chats hypocobalaminémiques présentés au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort. Cette étude a pour objectif de décrire la prévalence des affections rencontrées lors d'hypocobalaminémie chez le chat et de décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, biologiques et lésionnelles associées afin d'étayer les données de la littérature vétérinaire. D'après notre étude, chez les chats hypocobalaminémiques, il semblerait que les chats de race présentent une cobalaminémie plus basse que les chats européens. Aucune corrélation entre l'âge et la cobalaminémie n'est retrouvée. Les chats maigres ont une cobalaminémie plus faible que les chats avec une note d'état corporel normale, et le poids corporel semble également corrélé négativement à la cobalaminémie. Les chats hypocobalaminémiques manifestent des signes cliniques digestifs non spécifiques et parfois frustres. Les modifications hématologiques sont peu fréquentes chez le chat mais on peut noter 44 % d'anémies dans notre étude et dont 19 % sont macrocytaires. Les modifications échographiques mises en évidence chez les chats hypocobalaminémiques sont non spécifiques. Les principales affections rencontrées dans cette étude sont les lymphomes digestifs (58 %), les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI) (22 %), les pancréatites (48 %), les cholécystites (53 %) et seulement quelques cas d'IPE (8 %), car le dosage des TLI chez le chat est peu accessible en France. Le recrutement d'une population contrôle de chats normocobalaminémiques au Chuva sur la même période que cette thèse serait intéressant afin de compléter ce travail. Une étude prospective afin de déterminer si la cobalaminémie est un facteur pronostique dans la survie et la rémission des affections gastro-intestinales serait également une perspective.[-]
La vitamine B12, ou cobalamine, est une vitamine hydrosoluble issue de l'alimentation et dont l'absorption s'effectue au niveau de l'iléon grâce à sa liaison au facteur intrinsèque, principalement produit par le pancréas exocrine. La cobalamine est un cofacteur intracellulaire important et intervient notamment dans les divisions cellulaires. Il s'agit d'un marqueur sensible des affections digestives et l'hypocobalaminémie est souvent retrouvée ...

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H
La protéine sérique Amyloïde A féline (SAAf) est une protéine majeure positive précoce de l'inflammation qui voit sa concentration multipliée par un facteur 10 à 1000 entre 24 et 48h post stimulus. L'augmentation et la diminution rapide de la concentration sanguine de SAA en lien avec l'évolution du processus inflammatoire aigu fait de la SAAf un bon candidat marqueur de l'intensité de l'agression d'un organisme. Le dosage de la SAAf peut être réalisé par ELISA ou par immunoturbidimétrie au moyen d'automates rendant accessibles cette analyse au chevet du patient vétérinaire. Ce travail a pour objectif de déterminer la pertinence de la mesure de la concentration sanguine de la SAA dans la démarche diagnostique des affections respiratoires félines et plus particulièrement que la concentration de la SAA plasmatique chez les chats atteints d'affections respiratoires bactériennes est attendue augmentée par rapport aux autres affections. Notre étude rétrospective compare deux groupes de chats présentés en détresse respiratoire : l'un constitué de chats présentant une affection respiratoire bactérienne (n=13) et l'autre de chats présentant une affection respiratoire non bactérienne (n=47) et montre une différence significative (p-value < 0,0001) entre la valeur de SAA chez les chats présentant une affection respiratoire bactérienne (98mg/L) et la valeur de SAA chez les chats présentant une affection respiratoire non bactérienne (4,6mg/L). Les données de ce travail témoignent du fait que le dosage de la SAA est plus spécifique et sensible que la numération leucocytaire ou la température rectale pour discriminer les états infectieux d'origine bactérienne. Une valeur seuil de 49,4mg/L de SAA, présente une spécificité de 100% pour une sensibilité de 80%. Cette étude montre l'intérêt du dosage de la SAA, peu couteux, peu invasif et disponible au chevet du patient dans la prise en charge des affections respiratoires félines. Une confirmation par une étude prospective est attendue pour entériner ces résultats préliminaires.[-]
La protéine sérique Amyloïde A féline (SAAf) est une protéine majeure positive précoce de l'inflammation qui voit sa concentration multipliée par un facteur 10 à 1000 entre 24 et 48h post stimulus. L'augmentation et la diminution rapide de la concentration sanguine de SAA en lien avec l'évolution du processus inflammatoire aigu fait de la SAAf un bon candidat marqueur de l'intensité de l'agression d'un organisme. Le dosage de la SAAf peut être ...

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Affections hépatiques aiguës

Gallay, J. | EMC-Vétérinaire | 2016

N°spécial | Cote : EMC-Vet.

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Affections de la trachée

De Madron, Eric | EMC-Vétérinaire | 2009

N°spécial | Cote : EMC-Vet.

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