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Documents Facteur de risque 191 résultats

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Dirofilaria immitis, Ehrlichia canis et Anaplasma platys sont des agents pathogènes à transmission vectorielle et au potentiel zoonotique, couramment diagnostiqués chez le chien par les vétérinaires de l'île de la Réunion. L'analyse d'une étude rétrospective des résultats des Snap Test 4Dx® réalisés en 2022 a permis d'estimer la prévalence à 13,55% (IC 95% 11,76 - 15,57) pour D. immitis, 15,82% (IC 95% 13,61 - 18,25) pour E. canis et 3,91% (IC 95% 2,73 - 5,39) pour A. platys et d'évaluer les facteurs de risque pour chacune des maladies qu'ils provoquent. Nous avons aussi conduit une étude prospective spécifiquement sur D. immitis en prélevant les chiens de populations confinées, divagantes et errantes. Les prélèvements sanguins collectés ont été utilisés pour diagnostiquer D. immitis par l'utilisation de trois tests diagnostiques (Snap Test 4Dx®, qPCR et Knott Test). La prévalence de D. immitis en 2023 a été estimée à 6,23% (IC 95%: 4,26 - 9,04) et était significativement plus élevée chez les chiens de plus de 6 ans que chez les chiens des autres catégories d'âge.[-]
Dirofilaria immitis, Ehrlichia canis et Anaplasma platys sont des agents pathogènes à transmission vectorielle et au potentiel zoonotique, couramment diagnostiqués chez le chien par les vétérinaires de l'île de la Réunion. L'analyse d'une étude rétrospective des résultats des Snap Test 4Dx® réalisés en 2022 a permis d'estimer la prévalence à 13,55% (IC 95% 11,76 - 15,57) pour D. immitis, 15,82% (IC 95% 13,61 - 18,25) pour E. canis et 3,91% (IC ...

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Partant du constat que la gémellité est indésirable chez la jument et que la gestion de la gémellité consiste en réduire la gestation gémellaire en une gestation simple, ce travail vise à rechercher les conséquences et la gestion idéale de la gémellité chez la vache laitière. Une première partie aborde l'anatomie de l'appareil génital femelle et la physiologie de la gestation avec les spécificités de la gestation gémellaire. Les conséquences pour la vache, les veaux et l'éleveur sont aussi listées. Tout comme chez la jument, les conséquences d'une gestation gémellaire sont indésirables en élevage et conduisent à des pertes économiques pour l'éleveur. Une seconde partie détaille les facteurs favorisants la gémellité afin de pouvoir identifier les élevages plus ou moins à risque de gestation gémellaire. L'incidence de doubles ovulations est fortement corrélée à l'incidence de la gémellité. D'autres facteurs concernent la conduite d'élevage, des facteurs environnementaux difficilement contrôlables ainsi que des facteurs en lien avec la vache. La troisième partie liste des solutions applicables en élevage pour prévenir la gestation gémellaire en s'appuyant sur les facteurs identifiés préalablement. Le diagnostic précoce de gestation gémellaire est aussi abordé afin de pouvoir proposer à l'éleveur une gestion efficace en cas de diagnostic gémellaire positif. L'échographie et le dosage de la progestérone et des PAG sont envisageables Enfin, les options possibles face à une gestation gémellaire sont listées. Les techniques de réduction embryonnaire inspirées du modèle de la jument et utilisables chez la vache sont entre autres détaillées.[-]
Partant du constat que la gémellité est indésirable chez la jument et que la gestion de la gémellité consiste en réduire la gestation gémellaire en une gestation simple, ce travail vise à rechercher les conséquences et la gestion idéale de la gémellité chez la vache laitière. Une première partie aborde l'anatomie de l'appareil génital femelle et la physiologie de la gestation avec les spécificités de la gestation gémellaire. Les conséquences ...

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Cette thèse s'intéresse à l'amélioration du bien-être des vaches laitières en élevage avec logettes, et se concentre sur les aspects en lien avec l'hébergement. Dans un premier temps, une revue de la bibliographie a permis de recenser les indicateurs de bien-être en lien avec l'hébergement. Dans un second temps, ces indicateurs théoriques ont été soumis à une méthode de validation : la méthode COSMIN. Nous avons retenu sept indicateurs pertinents : le comportement social agonistique, l'organisation des individus couchés, le comportement de lever et de coucher, les collisions, les altérations tégumentaires, la propreté et les boiteries. Ces indicateurs et leurs mesures ont permis d'élaborer des fiches d'observations utilisables par les professionnels en élevage. Dans un troisième temps, nous avons défini des valeurs seuils minimales et établi un niveau d'alerte à partir duquel les conditions de logement sont estimées problématiques. Ces éléments sont utilisables par les professionnels de l'élevage pour évaluer le bien-être des vaches laitières en logettes sur les aspects en lien avec l'hébergement.[-]
Cette thèse s'intéresse à l'amélioration du bien-être des vaches laitières en élevage avec logettes, et se concentre sur les aspects en lien avec l'hébergement. Dans un premier temps, une revue de la bibliographie a permis de recenser les indicateurs de bien-être en lien avec l'hébergement. Dans un second temps, ces indicateurs théoriques ont été soumis à une méthode de validation : la méthode COSMIN. Nous avons retenu sept indicateurs ...

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Chez les bovins, l'omphalite est la 3ème affection néonatale la plus fréquente, et ses conséquences économiques en élevage allaitant sont importantes. La pratique de la désinfection du cordon ombilical à la naissance semble avoir un effet préventif, mais la littérature actuelle est insuffisante à ce sujet. Une étude de cohorte prospective a été réalisée afin d'évaluer l'efficacité d'un trempage unique du nombril, à la naissance, dans une solution à base de chlorhexidine 5%, dans la prévention des omphalites. Au total, 762 veaux ont été suivis dans 16 élevages de races Salers, Aubrac, Blonde d'Aquitaine, Charolais, et croisés, de novembre 2021 à mars 2022. Les informations concernant le veau, la mère, les conditions de naissance et la propreté du logement ont été rapportées pour chaque veau par l'éleveur. Un examen clinique, et échographique lorsqu'il était nécessaire, réalisé 4 à l lj après la naissance par le vétérinaire à l'aveugle, a permis de déterminer la présence ou non d'une omphalite. La réalisation d'un modèle logistique mixte a permis de retenir les variables présentant un effet significatif sur l'occurrence des omphalites. La prévalence des omphalites était de 26,5%. Les veaux n'ayant pas reçu de désinfection ombilicale avaient un risque significativement plus élevé de développer une omphalite (OR =2,3). Les veaux mâles étaient significativement plus à risque de développer une omphalite (OR= 2, 15). Les veaux nés jumeaux avaient un risque de développer une omphalite significativement plus élevé (OR = 2,6). Aucun effet significatif des conditions de naissance ni de logement n'a été observé. Notre étude montre donc l'efficacité du protocole de désinfe.ction avec une solution de chlorhexidine 5% par trempage unique à la naissance chez les veaux allaitants.[-]
Chez les bovins, l'omphalite est la 3ème affection néonatale la plus fréquente, et ses conséquences économiques en élevage allaitant sont importantes. La pratique de la désinfection du cordon ombilical à la naissance semble avoir un effet préventif, mais la littérature actuelle est insuffisante à ce sujet. Une étude de cohorte prospective a été réalisée afin d'évaluer l'efficacité d'un trempage unique du nombril, à la naissance, dans une ...

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Le travail réalisé ici s'inscrit dans une volonté de mettre en place une démarche One Health et d'appliquer des méthodes participatives pour dresser un état de l'art des connaissances sur les facteurs de risque s'appliquant aux socio-écosystèmes, en lien avec l'émergence zoonotique au sens large. Une première partie de revue systématique de la littérature a permis de créer une grille de 48 facteurs de risque et 37 indicateurs associés, sur la base de 196 articles sélectionnés suivant la méthode PRISMA 2020, parus entre 2004 et début 2023. Parmi eux, 30% s'appliquent globalement, et 70% possèdent un ancrage local : le continent où le plus de facteurs sont recensés est l'Afrique. Sur ces 48 facteurs, 31% sont écologiques, 33% économiques et 35% sociaux et sont associés à 23, 9 et 9 indicateurs respectivement. Une enquête de terrain consistant en une série d'entretiens semi-structurés avec des informateur·rice·s clefs a été réalisée au Cambodge. L'exploitation de ces 23 entretiens avec des scientifiques, bailleur·esse·s et décideur·se·s est partielle et permet de discuter et valider ces facteurs et indicateurs, d'en identifier de nouveaux et de mettre en perspective la revue de littérature et le travail accompli. Ce travail est l'amorce nécessaire au développement de moyens de lutte systémiques et holistiques contre le risque zoonotique, dans le cadre d'une approche One Health, participative et socio-écosystémique et sera poursuivi en thèse universitaire.[-]
Le travail réalisé ici s'inscrit dans une volonté de mettre en place une démarche One Health et d'appliquer des méthodes participatives pour dresser un état de l'art des connaissances sur les facteurs de risque s'appliquant aux socio-écosystèmes, en lien avec l'émergence zoonotique au sens large. Une première partie de revue systématique de la littérature a permis de créer une grille de 48 facteurs de risque et 37 indicateurs associés, sur la ...

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Les bronchopneumonies infectieuses (BPI) sont des troubles fréquents chez les jeunes bovins, avec des impacts économique et sanitaire importants pour la filière bovine. Cette étude a pour objectifs d'évaluer la séroprévalence des agents de BPI sur la saison en bâtiment ainsi que de mettre en évidence des facteurs de risques de séroconversion à ces agents. Les travaux ont reposé sur un suivi sérologique de cohortes de bovins de tout âge dans 16 élevages de l'Ouest de la France pendant la saison en bâtiment 2022-2023. La séroprévalence des agents de BPI ainsi que la distribution des titres en anticorps contre ces agents ont été décrites à trois périodes de la saison, la séroconversion aux différents agents de BPI entre le début et la fin de saison a été décrite et un modèle de régression logistique étudiant les facteurs de risques de séroconversion a été développé. Nous avons mis en évidence une séropositivité importante à la majorité des agents de BPI dès l'entrée au bâtiment. Les taux d'anticorps ont tendance à diminuer dans les premiers mois de vie puis à augmenter par la suite avant de se stabiliser à des niveaux élevés chez les adultes. Nos résultats pourraient indiquer que l'immunité maternelle contre le BCoV et le BAV3 serait plus courte et/ou moins bonne que celle protégeant contre le VRSB et le BPIV3. Les facteurs de risque de séroconversion mis en évidence sont : le mélange des primipares avec les multipares au pâturage, un nombre important de manipulation et de mouvements d'animaux au cours de la saison ainsi que l'intervention de personnel extérieur sur l'élevage.[-]
Les bronchopneumonies infectieuses (BPI) sont des troubles fréquents chez les jeunes bovins, avec des impacts économique et sanitaire importants pour la filière bovine. Cette étude a pour objectifs d'évaluer la séroprévalence des agents de BPI sur la saison en bâtiment ainsi que de mettre en évidence des facteurs de risques de séroconversion à ces agents. Les travaux ont reposé sur un suivi sérologique de cohortes de bovins de tout âge dans 16 ...

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Le ligament croisé crânial est un composant essentiel dans la biomécanique du grasset, notamment dans la stabilité crânio-caudale et la rotation interne de celui-ci. La rupture de ce ligament est, chez le chien, une pathologie complexe et multifactorielle. Actuellement, l'ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO) est considérée comme le traitement de référence. Cependant, dans un nombre non négligeable de cas, une persistance d'instabilité notamment en rotation interne est rapportée. Elle peut être à l'origine d'une gêne fonctionnelle résiduelle, d'une progression d'arthrose plus importante et d'une augmentation du taux de lésions méniscales post opératoires. Certains recommandent une stabilisation extra-capsulaire en plus de l'ostéotomie. En médecine humaine, ce phénomène est bien documenté, contrairement au chien où peu d'études sont encore rapportées. / L'étude propose de déterminer la prévalence et les facteurs de risques de cette instabilité. Deux populations de chiens présentant une rupture du ligament croisé crânial sont étudiées et pris en charge chirurgicalement par TPLO, l'une présentant une instabilité en rotation (n=33) et l'autre non (n=129). Une prévalence de 20,37% d'instabilité résiduelle après TPLO est rapportée. Elle est plus importante chez les chiens de petites races. Les facteurs de risques sont les ruptures aigues et totales du ligament. Ces chiens sont plus âgés et présentent des boiteries plus sévères parfois associées à une anomalie de la démarche de type « pivot shift ». Radiographiquement, une pente tibiale plus élevée et un développement arthrosique plus faible sont retrouvés. Enfin, on retrouve plus de lésions méniscales médiales.[-]
Le ligament croisé crânial est un composant essentiel dans la biomécanique du grasset, notamment dans la stabilité crânio-caudale et la rotation interne de celui-ci. La rupture de ce ligament est, chez le chien, une pathologie complexe et multifactorielle. Actuellement, l'ostéotomie de nivellement du plateau tibial (TPLO) est considérée comme le traitement de référence. Cependant, dans un nombre non négligeable de cas, une persistance d...

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Le pyomètre est une maladie comportant de nombreux facteurs de risque qu'ils soient anatomiques, épidémiologiques, liés à un traitement hormonal ou à une prédisposition raciale. Une étude en 2021 publiée par Arendt et al. a permis de mettre en évidence une possible prédisposition génétique chez le Golden Retriever. Le pyomètre est vraisemblablement une maladie à caractère polygénique. Selon Arendt et al. il existe une association statistique entre le pyomètre et le gène ABCC4, mais d'autres facteurs génétiques rentrent probablement également en jeu. Le gène ABCC4 code pour une protéine dénommée MRP4 dont le rôle établi est celui d'un multitransporteur de molécules et notamment des molécules de l'inflammation ainsi que des prostaglandines. Notre objectif était d'étudier l'existence d'une prédisposition raciale au sein du pyomètre parmi une population de chiennes vues au CHUV-AC de l'EnvA. Pour cela, une étude rétrospective sur l'ensemble des cas de pyomètres présentés au CHUV-AC de l'ENVA entre 2002 et 2022 a été réalisée. L'étude rétrospective a permis de montrer que certaines races étaient surreprésentées parmi les chiennes présentées aux CHUV-AC de l'ENVA pour un pyomètre. Parmi celles-ci, on compte le Rottweiler, le Yorkshire terrier, le Labrador, le Caniche, le Golden retriever, le Berger allemand, l'American Staffordshire terrier, le Westie, le Cavalier King Charles ainsi que le Bichon, le Bull Terrier et le Bouledogue anglais. Toutefois, ces résultats peuvent être biaisés par une surreprésentation de certaines races en Île-de-France. L'un des objectifs de cette thèse était d'établir une cohorte multi-races de chiennes atteintes de pyomètre afin de créer une banque d'ADN et ainsi de réaliser des études génétiques comparatives futures. Une cohorte multi-races de 19 chiennes atteintes de pyomètre a été constituée et l'ADN de ces chiennes a été extrait et est conservé au sein de la biobanque nationale cani-DNA[-]
Le pyomètre est une maladie comportant de nombreux facteurs de risque qu'ils soient anatomiques, épidémiologiques, liés à un traitement hormonal ou à une prédisposition raciale. Une étude en 2021 publiée par Arendt et al. a permis de mettre en évidence une possible prédisposition génétique chez le Golden Retriever. Le pyomètre est vraisemblablement une maladie à caractère polygénique. Selon Arendt et al. il existe une association statistique ...

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La rupture du ligament croisé crânial est l'une des affections orthopédiques les plus fréquente, avec la luxation de rotule, chez le chien actuellement. L'objectif de cette étude rétrospective réalisée au ChuvA entre janvier 2015 et décembre 2021 était d'étudier les facteurs de risque de rupture du ligament croisé crânial chez le jeune chien avant quatre ans d'âge avec comme hypothèse que la pente du plateau tibial avait un impact dans cette rupture. Au total, 326 chiens ont été inclus dans cette étude. Dans l'échantillon, 44,5% des individus présentaient une rupture prématurée (avant quatre ans) de leur ligament croisé crânial et 36,2% avaient une pente tibiale dite excessive, supérieure à 30°. Concernant les ruptures, tout âge confondu, les données épidémiologiques concordaient avec les données présentées dans la littérature. Cependant, il a été montré dans l'échantillon que dans les cas de ruptures prématurées du ligament croisé crânial, il apparaissait que les mâles étaient davantage à risque de rupture (OR = 2 [1,3 - 3,1]), ce qui est contraire à la littérature actuelle. Il a été aussi montré que l'angle du plateau tibial semblait effectivement jouer un rôle dans la rupture prématurée du ligament croisé crânial, avec un risque majoré lorsque celui était supérieur à 30° (OR = 1,8 [1,1 - 2,9]). Cette étude préliminaire et ses résultats invitent donc à étudier au travers d'un protocole d'étude prospectif comprenant tous les facteurs de risques potentiels cités dans cette thèse et n'ayant possiblement pas pu être recueillis l'impact dans la pente du plateau tibial dans la rupture du ligament croisé crânial chez le jeune chien. Ce facteur de risque a déjà été étudié au travers de plusieurs études, mais les résultats s'avèrent être contradictoires, et la distinction sur l'âge des individus n'a pas encore été établie rigoureusement.[-]
La rupture du ligament croisé crânial est l'une des affections orthopédiques les plus fréquente, avec la luxation de rotule, chez le chien actuellement. L'objectif de cette étude rétrospective réalisée au ChuvA entre janvier 2015 et décembre 2021 était d'étudier les facteurs de risque de rupture du ligament croisé crânial chez le jeune chien avant quatre ans d'âge avec comme hypothèse que la pente du plateau tibial avait un impact dans cette ...

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Babesia caballi et Theileria equi sont les deux parasites principalement responsables de la piroplasmose équine, affection d'impact sanitaire et économique dans la filière équine. Peu de données récentes sont disponibles sur le statut sérologique et biologique des chevaux français vis-à-vis de cette maladie. Cette thèse comprend d'abord une présentation bibliographique des parasites avec leurs modes de transmission, l'épidémiologie des piroplasmoses équines avec les « facteurs de risques » et « facteurs protecteurs » dégagés à ce jour, leurs présentations cliniques, les moyens diagnostiques et les traitements envisageables. Ensuite est présentée une étude réalisée en avril 2021 en Auvergne-Rhône-Alpes sur 20 élevages, incluant 77 chevaux de trait élevés en pâture ayant pour premier objectif d'estimer la séroprévalence et la prévalence de B. caballi et T. equi dans cette région à forte circulation de ces pathogènes. Le second objectif était de dégager des facteurs de risques ou facteurs protecteurs potentiels pour ces deux pathogènes. Nous obtenons une séroprévalence de B. caballi de 54.5% (IC95% = [43,4 ; 65,6]), de T. equi de 26 % (IC95% = [16,1 ; 35,8]) et 20,8 % (IC95% = [11,7 ; 29,9]) de doubles séropositivités. La prévalence de B. caballi est de 10,4% (IC95% = [3,5 ; 17,2]), celle de T. equi est de 31,2% (lC95% = [20,8 ; 41,6]) et celle des co-infections est de de 5,2 % (IC95% = [0,2 ; 10,2]). L'utilisation du logiciel R pour réaliser des modèles de régression logistique mixtes en prenant comme la variable élevage comme effet fixe nous a permis d'isoler plusieurs variables statistiquement associées aux statuts sérologiques ou PCR des chevaux. La séropositivité à B. caballi est positivement associée au portage de tiques, à un âge supérieur à 10 ans, à la race comtoise et au fait d'être hébergé en pâture incluant 2 à 4 chevaux. Elle est négativement associée à la présence d'un fort couvert végétal dans la pâture. La séropositivité à T. equi est positivement associée à la présence d'un fort couvert végétal dans la pâture. La positivité à T. equi est négativement associée au la vermifugation une à deux fois par an et positivement associée au fait d'être en pâture à proximité directe d'une forêt. La poursuite de ce travail sur une cohorte de plus grande taille à l'échelle nationale serait intéressante pour dégager des recommandations de gestion environnementale des exploitations pour lutter contre la transmission des piroplasmoses équines.[-]
Babesia caballi et Theileria equi sont les deux parasites principalement responsables de la piroplasmose équine, affection d'impact sanitaire et économique dans la filière équine. Peu de données récentes sont disponibles sur le statut sérologique et biologique des chevaux français vis-à-vis de cette maladie. Cette thèse comprend d'abord une présentation bibliographique des parasites avec leurs modes de transmission, l'épidémiologie des ...

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Le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la pandémie de COVID-2019. L'origine et les potentielles espèces réservoirs de ce virus ont longtemps suscité une préoccupation mondiale majeure. L'objectif de cette étude était d'estimer la séroprévalence chez les chiens et les chats et d'objectiver certains facteurs de risque. L'objectif était aussi de comparer deux méthodes de diagnostic sérologique : l'ELISA et l'hémagglutination par la séroneutralisation. 165 chiens et 143 chats ont été prélevés. Des anticorps ont été détectés chez 8,4 % des chats et 5,4 % des chiens. Bien que non statistiquement significatives, nos données suggèrent que la survenue d'un épisode de COVID-19 dans le foyer pourrait augmenter le risque. Aucun autre facteur de risque n'a réellement été mis en avant. Nous déconseillons l'utilisation des deux tests. Pour finir cette enquête montre indirectement que le SARS-CoV-2 circule dans les populations canines et félines, mais qu'elles semblent jouer un rôle mineur.[-]
Le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la pandémie de COVID-2019. L'origine et les potentielles espèces réservoirs de ce virus ont longtemps suscité une préoccupation mondiale majeure. L'objectif de cette étude était d'estimer la séroprévalence chez les chiens et les chats et d'objectiver certains facteurs de risque. L'objectif était aussi de comparer deux méthodes de diagnostic sérologique : l'ELISA et l'hémagglutination par la séro...

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La piroplasmose équine est une maladie vectorielle transmise par les tiques. Les parasites responsables de cette maladie sont Babesia caballi, Theileria equi et Theileria haneyi. De gravité variable, de nombreux facteurs complexifient l'épidémiologie de cette maladie. La France est aujourd'hui endémique de piroplasmose équine. Notre étude prospective portait sur la prévalence des parasites B. caballi et T. equi parmi les équidés testés lors de consultations à la Clinéquine de VetagroSup Lyon. 88 équidés ont été testés par PCR. Un questionnaire rempli par leur propriétaire précisait leur mode et leur environnement de vie. 62% des équidés étaient porteurs d'au moins un des deux parasites dont 57,9% pour T. equi et 7,9% pour B. caballi. Le jeune âge des équidés et la saison estivale ont été définis dans notre étude comme étant des facteurs de risque quant à l'infestation par B. caballi.[-]
La piroplasmose équine est une maladie vectorielle transmise par les tiques. Les parasites responsables de cette maladie sont Babesia caballi, Theileria equi et Theileria haneyi. De gravité variable, de nombreux facteurs complexifient l'épidémiologie de cette maladie. La France est aujourd'hui endémique de piroplasmose équine. Notre étude prospective portait sur la prévalence des parasites B. caballi et T. equi parmi les équidés testés lors de ...

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Les ulcères gastriques sont aujourd'hui considérés comme la maladie de l'estomac la plus répandue chez le cheval, avec des ulcérations glandulaires et non glandulaires présentes chez diverses popula-tions d'équidés. Cependant, une confusion a longtemps été faite entre ces deux types d'ulcères gas-triques, provoquant une extrapolation des mécanismes étiologiques et des facteurs de risques des ul-cères non glandulaires aux ulcères glandulaires. Aujourd'hui, bien que considérés comme une affection à part entière, les ulcères glandulaires sont encore peu connus par les pathologistes. Cette thèse a pour but de réaliser une étude épidémiologique et statistique des ulcères gastriques glandulaires sur 308 chevaux issus de la clinique du CISCO et du centre hospitalier vétérinaire équin de LIVET. Une pré-valence des ulcères glandulaires est ainsi observée chez des chevaux relativement jeunes, de sexes et de races variées ayant des activités diverses mais significativement augmentée chez le cheval de sport. Au contraire, le mode de vie, l'alimentation ou la prise d'anti-inflammatoires ne semblent pas avoir d'impact sur l'apparition d'ulcères glandulaires sur les chevaux de cette étude, dont les paramètres cliniques sont, au final, très peu modifiés. L'étude gastroscopique des lésions gastriques a permis de faire un recensement des différentes localisations, formes, sévérités et aspects de lésions glandulaires puis de les grader afin de dégager des facteurs de risques concernant l'aggravation de ces ulcères. En-fin, une étude des différents traitements médicamenteux prescrits et des recommandations hygié-niques conseillées nous éclaire sur les différentes pratiques vétérinaires actuellement réalisée pour les ulcères glandulaires.[-]
Les ulcères gastriques sont aujourd'hui considérés comme la maladie de l'estomac la plus répandue chez le cheval, avec des ulcérations glandulaires et non glandulaires présentes chez diverses popula-tions d'équidés. Cependant, une confusion a longtemps été faite entre ces deux types d'ulcères gas-triques, provoquant une extrapolation des mécanismes étiologiques et des facteurs de risques des ul-cères non glandulaires aux ulcères glandulaires. ...

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Durant la période néonatale, les poulains sont très sensibles aux affections. Leur état de santé peut se dégrader brutalement et une prise en charge médicale adaptée nécessite des soins intensifs chronophages et couteux. Il est important d'avoir une évaluation précise du pronostic vital dès l'admission pour des raisons éthiques afin d'éviter l'acharnement thérapeutique, mais également pour des considérations économiques afin de limiter les dépenses du propriétaire. Nous avons mis en œuvre une étude rétrospective basée sur 226 poulains de moins de trois semaines hospitalisés à la Clinéquine. Cette étude nous a permis d'identifier quinze facteurs de risques significativement associés à une probabilité de mortalité accrue. Nous avons également développé un modèle mathématique prédictif de survie à partir de trois des facteurs de risque identifiés. Néanmoins, il est important de rappeler qu'un modèle prédictif de survie est un outils d'aide, qui ne peut en aucun cas se substituer à l'avis d'un clinicien expérimenté.[-]
Durant la période néonatale, les poulains sont très sensibles aux affections. Leur état de santé peut se dégrader brutalement et une prise en charge médicale adaptée nécessite des soins intensifs chronophages et couteux. Il est important d'avoir une évaluation précise du pronostic vital dès l'admission pour des raisons éthiques afin d'éviter l'acharnement thérapeutique, mais également pour des considérations économiques afin de limiter les ...

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Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et long terme et aux retards de cicatrisation osseuse. La pierre angulaire de la prise en charge chirurgicale de ces fractures est la préservation du potentiel ostéogénique du foyer de fracture. L'objectif de l'étude a été d'évaluer les délais de cicatrisation et de récupération fonctionnelle ainsi que les complications de cicatrisation afin de faire ressortir des facteurs prédictifs de complications fracturaires chez les chiens et les chats parmi les caractéristiques de l'animal, de la fracture ou de la prise en charge péri-opératoire. Toutes nos observations ayant ensuite été comparées aux données peu nombreuses de la littérature. Chez les 26 chats de l'étude, ont été recensées 23% de retard de cicatrisation osseuse et 69% de complications de la cicatrisation réparties sur 34% des chats (4 infections des tissus mous, 4 ostéomyélites, 2 déformations osseuses, 2 mal unions et 2 pseudarthroses et 4 débricolages de montage). Chez les 29 chiens, ont été recensés 11% de retard de cicatrisation osseuse et 55% de complications de cicatrisation réparties chez 48% des chiens (2 nouvelles fractures, 3 déformations ou désaxation osseuses, 1 pseudarthrose, 2 débricolages de montage, 4 ostéomyélites et 3 infections des tissus mous). Après cicatrisation osseuse complète, 4 chiens et 5 chats présentaient encore une boiterie. Les facteurs identifiés comme influençant la cicatrisation ont été l'âge et le statut reproducteur de l'animal, le caractère ouvert ou fermé de la fracture, la localisation de cette dernière sur l'os ainsi que son orientation, sa comminution et son déplacement, la stabilité du foyer de fracture après réduction, l'occurrence d'hypotension per-anesthésique et le délai de respect du repos strict en post-opératoire. Le trop faible nombre de cas inclus dans l'étude n'a pas permis la réalisation d'analyses statistiques multivariées. Les facteurs de confusion persistants nuancent donc nos conclusions. Néanmoins, l'importante base de données constituée au cours de ce travail servira de base à la réalisation d'études ultérieures.[-]
Les fractures du tibia sont relativement courantes chez les chiens et les chats. La prédominance des traumatismes à haut degré d'énergie à l'origine de ces fractures est souvent responsable de fractures ouvertes et/ou comminutives. Par ailleurs, la faible couverture musculaire de cet os et, de ce fait, la vascularisation relativement peu développée de la zone en fait aussi l'une des fractures les plus sujettes aux complications à court, moyen et ...

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Neospora caninum est une coccidie découverte récemment et dont les principaux symptômes dans l'espèce canine apparaissent chez le chiot sous forme d'atteinte neurologique ascendante (Dubey et al., 2020). La dernière étude ayant étudié la séroprévalence du parasite en France date de 2001 (Pitel et al., 2001). L'étude rétrospective de 1062 sérums de chiens consultant au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort (ChuvA) entre le 1er mars 2021 et le 7 octobre 2022 a montré une séroprévalence de 5,65% (60/1062) vis-à-vis de Neospora caninum. Dans l'échantillon de chiens d'Île-de-France vivant en zone urbaine ou alentours, médicalisés, consultant dans un centre de référé et nécessitant des analyses, il y avait une plus grande proportion de chiens positifs parmi les chiens femelles (6,8 contre 4,7%), les chiens stérilisés (6,9 contre 5,1%), les chiens en dessous de la médiane d'âge de 7 ans (6,1 contre 5,2%), les chiens atteints de troubles neurologiques (8,8% contre 5,9%), les chiens dont les traitement antiparasitaires internes et externes étaient à jour (respectivement 8,4 et 8,7 % contre 4,5 et 4,4%), les chiens de race croisée(8,3contre 5,3%), les chiens vivant avec d'autres animaux (7,6 contre 4,8%), les chiens ayant accès à un sol urbanisé (5,8 contre 5,6%) et enfin les chiens vivant proche d'un élevage d'animaux de rente (8,3 contre 3,8%). Aucune des associations n'est significative dans l'échantillon. Les résultats indiquent qu'il existe un grand nombre de néosporose subclinique, et qu'elle est aussi sous-estimée lors d'affections neurologiques. Ces résultats ont été obtenus suite à l'analyse en doublon des sérums des animaux à l'aide d'un Kit ELISA par compétition commercial de la marque ID.vet.[-]
Neospora caninum est une coccidie découverte récemment et dont les principaux symptômes dans l'espèce canine apparaissent chez le chiot sous forme d'atteinte neurologique ascendante (Dubey et al., 2020). La dernière étude ayant étudié la séroprévalence du parasite en France date de 2001 (Pitel et al., 2001). L'étude rétrospective de 1062 sérums de chiens consultant au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort (ChuvA) entre le 1er ...

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Le rythme de conversion des élevages de porcs vers un système alternatif est en augmentation. Les données concernant les niveaux d'infestation par les parasites internes chez les porcs en élevages alternatifs en France sont peu documentées. Afin d'actualiser ces données et dans le but d'identifier des pratiques d'élevages associées à un parasitisme important, 112 élevages possédant des logements alternatifs ont été sélectionnés. Des coprologies ont été réalisées sur 10 truies, 10 porcelets de 10-12 semaines d'âge et 10 porcs d'au moins 22 semaines d'âge. Au total, cinq œufs ou oocystes de parasites différents ont été identifiés. Les taux d'élevages infestés par les strongles étaient de 54,5%, de 32,1% pour Trichurissuis, de 16,1% pour Ascaris suum, de 83,9% pour les coccidies et de 1,8% pour Strongyloides. La recherche des anticorps dirigés contre A. suum et Toxoplasma gondii a également été réalisée sur 10 porcs d'au moins 22 semaines d'âge. L'analyse sérologique a aussi été réalisée sur 10 truies en ce qui concerne T. gondii. Le taux d'élevages séropositifs était de 89,4% pour A. suum et 56,3% pour T. gondii. Des analyses multivariées (analyses en composantes principales, classifications ascendantes hiérarchiques et analyses en correspondances multiples) ont permis d'identifier les pratiques associées à des taux d'infestation importants dans les élevages. Ainsi le déparasitage, la saison, le lavage systématique des salles, le manque d'entretien des bâtiments ainsi que le type de logement étaient associés à des niveaux de parasitisme élevés dans les élevages. [-]
Le rythme de conversion des élevages de porcs vers un système alternatif est en augmentation. Les données concernant les niveaux d'infestation par les parasites internes chez les porcs en élevages alternatifs en France sont peu documentées. Afin d'actualiser ces données et dans le but d'identifier des pratiques d'élevages associées à un parasitisme important, 112 élevages possédant des logements alternatifs ont été sélectionnés. Des coprologies ...

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Le pica, trouble du comportement alimentaire consistant en l'ingestion récurrente d'objets non alimentaires et non nutritifs pendant au moins 1 mois, est un trouble du comportement présent en médecine vétérinaire comme en médecine humaine. Si chez l'homme il est associé majoritairement à des troubles psychologiques, on recherche encore à le définir plus précisément chez le chien. Le modèle d'une race en particulier, le Bouvier Bernois, a été utilisé au cours de cette étude pour définir des facteurs autant génétiques qu'environnementaux pouvant être associés à la présentation de pica dans le but de mieux comprendre son déterminisme et de pouvoir, à terme, proposer une solution aux propriétaires de chiens présentant un tel comportement. Une première partie, bibliographique, porte d'une part sur les troubles connus du comportement alimentaire canin et d'autre part sur le lien en médecine vétérinaire entre génétique et comportement. Une seconde partie, expérimentale, porte sur l'étude de différents facteurs sur la présentation de pica chez une cohorte de Bouviers Bernois et apparentés dont les propriétaires ont répondu à un questionnaire en ligne. S'en suit une analyse statistique des résultats révélant une association significative chez les chiens de notre étude à la fois entre alimentation uniquement composée de croquettes (alimentation dite «sèche») mais aussi entre le caractère «glouton» des chiens (chiens qui dévorent le contenu de leur gamelle, réclament encore de la nourriture après leur repas) et une augmentation de la prévalence de présentation de pica. Ce comportement se révèle gênant chez beaucoup de propriétaires et cause de nombreuses consultations médicales et d'interventions chirurgicales. Un protocole de recherche génétique a été mis en place mais n'a pas pu être réalisé au vu des connaissances génétiques sur le sujet restant rares actuellement. Des études ultérieures, autant sur les facteurs de risque que sur la recherche génétique d'une cause potentielle, seraient intéressantes à mener pour permettre une explication et une diminution de ce comportement, aussi bénéfique pour les maitres que pour les chiens.[-]
Le pica, trouble du comportement alimentaire consistant en l'ingestion récurrente d'objets non alimentaires et non nutritifs pendant au moins 1 mois, est un trouble du comportement présent en médecine vétérinaire comme en médecine humaine. Si chez l'homme il est associé majoritairement à des troubles psychologiques, on recherche encore à le définir plus précisément chez le chien. Le modèle d'une race en particulier, le Bouvier Bernois, a été ...

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L'objectif de cette thèse est de réaliser une évaluation des facteurs de risque de fatigue compassionnelle au sein de la profession d'auxiliaire vétérinaire avant et suite à la légalisation d'actes vétérinaires aux auxiliaires spécialisées vétérinaires actuellement en cours d'élaboration. La fatigue compassionnelle est l'épuisement physique et émotionnel découlant du contact prolongé ou intense avec la souffrance d'autrui. Elle correspond à la résultante du burnout et du stress traumatique secondaire et est contrebalancée par le niveau de satisfaction professionnelle. Certains facteurs de stress traumatique secondaire et de burnout déjà très présents actuellement auront de grandes chances de s'accentuer lorsque les ASV seront autorisées à pratiquer certains actes vétérinaires. En revanche d'autres facteurs de risque semblent pouvoir être minimisés et certains facteurs de satisfaction professionnelle être renforcés par cette évolution de la profession. L'évaluation purement théorique des facteurs de risque conduit dans cette thèse ne permet pas de prédire si le risque global de fatigue compassionnelle aura tendance à augmenter ou diminuer à l'avenir au sein de la profession d'auxiliaire vétérinaire. Cependant, elle peut servir de base de réflexion à une enquête de terrain visant à mesurer l'exposition et l'impact réels des facteurs de risque mentionnés dans cette thèse, d'en identifier de nouveau et de les hiérarchiser par priorité de gestion afin de mettre en place un plan d'action pour limiter le risque de fatigue compassionnelle chez les auxiliaires vétérinaires.[-]
L'objectif de cette thèse est de réaliser une évaluation des facteurs de risque de fatigue compassionnelle au sein de la profession d'auxiliaire vétérinaire avant et suite à la légalisation d'actes vétérinaires aux auxiliaires spécialisées vétérinaires actuellement en cours d'élaboration. La fatigue compassionnelle est l'épuisement physique et émotionnel découlant du contact prolongé ou intense avec la souffrance d'autrui. Elle correspond à la ...

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L'obstruction urétrale féline est une affection fréquemment rencontrée dans les services d'urgences vétérinaires. De par sa sévérité et la fréquence élevée de ses récidives, il est nécessaire de savoir la reconnaître rapidement, mais également de pouvoir évaluer son pronostic afin de proposer la meilleure prise en charge au propriétaire. Cette étude rétrospective, effectuée sur 10 ans et constituant la plus grande série à ce jour, dresse un tableau récent des données épidémiologiques et cliniques relatives aux obstructions urétrales félines et à leur prise en charge à Oniris. La comparaison des données épidémiologiques des individus ayant subi une obstruction urétrale avec celles des chats pris en charge au service d'Urgences pour une affection des voies urinaires basses non obstructive a permis d'identifier des facteurs de risques, utiles au praticien dans l'orientation du diagnostic et l'anticipation de l'obstruction face à un cas de cystite féline. De plus, la recherche de facteurs de risques de mortalité et de récidive au sein des données épidémiologiques et cliniques permet au vétérinaire de proposer au propriétaire un pronostic réaliste, mais également d'adapter ou d'améliorer sa prise en charge durant son intervention. Enfin, cette étude met en lumière les complications rencontrées, ainsi que la fréquente nécessité d'une reprise chirurgicale, après les chirurgies d'urétrostomie. Elle permet donc d'informer de manière réaliste les propriétaires sur le pronostic associé à cette chirurgie, qui est fréquemment proposée lors de récidive d'obstruction urétrale. L'objectif de cette étude est donc de proposer une actualisation statistiquement pertinente des données épidémiologiques et cliniques relatives à cette pathologie, tout en fournissant au praticien des outils pronostics lui permettant un meilleur dialogue avec le propriétaire.[-]
L'obstruction urétrale féline est une affection fréquemment rencontrée dans les services d'urgences vétérinaires. De par sa sévérité et la fréquence élevée de ses récidives, il est nécessaire de savoir la reconnaître rapidement, mais également de pouvoir évaluer son pronostic afin de proposer la meilleure prise en charge au propriétaire. Cette étude rétrospective, effectuée sur 10 ans et constituant la plus grande série à ce jour, dresse un ...

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Cette étude a été menée sur 343 chevaux sains vus en consultation dans l'une des quatre écoles vétérinaires françaises (Nantes, Maisons-Alfort, Lyon, Toulouse). Une prise de sang pour un diagnostic PCR de piroplasmose était réalisée, associée à un questionnaire d'enquête interrogeant les participants sur l'environnement de vie de leur cheval. Une prévalence de 37,9% à la piroplasmose équine a été ainsi déterminée, avec 35,9% de portage sains de Theileria equi, 2,9% de portage sain de Babesia caballi, et 0,9% de portage sain des deux parasites. Trois facteurs de risque ont pu être mis en évidence grâce au questionnaire distribué : la localisation géographique (plus les chevaux vivent au Sud, plus le risque de portage augmente), le type de pâtures fréquentées (les prairies herbeuses sont plus à risques que les paddocks), la durée quotidienne de pâturage (plus les chevaux pâturent longtemps, plus le risque de portage augmente).[-]
Cette étude a été menée sur 343 chevaux sains vus en consultation dans l'une des quatre écoles vétérinaires françaises (Nantes, Maisons-Alfort, Lyon, Toulouse). Une prise de sang pour un diagnostic PCR de piroplasmose était réalisée, associée à un questionnaire d'enquête interrogeant les participants sur l'environnement de vie de leur cheval. Une prévalence de 37,9% à la piroplasmose équine a été ainsi déterminée, avec 35,9% de portage sains de ...

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L'objectif de cette étude, menée entre Septembre et Juillet 2021, était de déterminer la prévalence et les facteurs de risque d'excès pondéral dans une population de chiens sains présentés en consultation de médecine préventive dans les Ecoles Nationales Vétérinaires de Toulouse et Maisons Alfort. Les informations sur le mode de vie et les habitudes alimentaires ont été récoltées grâce à un questionnaire. L'état corporel et musculaire a été évalué, par le personnel formé, puis comparé aux notes attribuées par le propriétaire. Les prévalences de surpoids et d'obésité ont été de 33,9% et de 2,3%. Le risque d'excès pondéral augmente avec l'âge (OR=3,7 pour la classe d'âge 7 à 12 ans ; p<0,001), chez les femelles (OR=2,4 ; p<0,001), les chiens stérilisés (OR=2,56 ; p<0,05), ceux rarement vermifugés (OR=6,6 ; p<0,05) et diminue quand l'aliment est acheté en clinique vétérinaire (OR=0,17 ; p<0,001). Une tendance à la sous-estimation du score corporel par les propriétaires a été observée.[-]
L'objectif de cette étude, menée entre Septembre et Juillet 2021, était de déterminer la prévalence et les facteurs de risque d'excès pondéral dans une population de chiens sains présentés en consultation de médecine préventive dans les Ecoles Nationales Vétérinaires de Toulouse et Maisons Alfort. Les informations sur le mode de vie et les habitudes alimentaires ont été récoltées grâce à un questionnaire. L'état corporel et musculaire a été ...

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La maladie de Cushing est une dysendocrinie de prévalence relativement faible mais de plus en plus diagnostiquée en pratique. Secondaire à la présence d'une tumeur hypophysaire, il s'agit de la forme d'hypercorticisme la plus fréquente. Le but de cette étude était l'identification de facteurs de risque de décès potentiels chez les chiens atteints de la maladie de Cushing. En effet, à ce jour, très peu d'études se sont attachées à la recherche de ces facteurs pronostiques. Dans ces travaux, seuls l'âge, le poids et la valeur de la phosphatémie au moment du diagnostic ont été identifiés comme facteurs pronostiques. Le premier objectif était de vérifier si nous retrouvions ces résultats dans notre étude. L'objectif secondaire était d'identifier de nouveaux facteurs de risques de décès potentiels encore non établis dans la littérature. Pour ce faire, nous avons utilisé les dossiers des animaux atteints de maladie de Cushing et pris en charge au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2018. Au total, 80 animaux étaient inclus dans l'étude. Nous recherchions alors l'existence d'une association brute entre différentes données épidémiologiques, cliniques et paracliniques et la durée de survenue du décès. Dans ce travail de thèse, aucune inférence causale n'a été faite, ce pourquoi nous parlons de facteurs de risque de décès potentiels. Les expositions d'intérêt étudiées étaient l'âge au diagnostic, le sexe, le statut de stérilisation, la race, la présence de maladie(s) intercurrente(s), l'indice clinique, la pression artérielle, l'activité des enzymes hépatiques (PAL et ALAT), l'albuminémie, la phosphorémie, la cortisolémie basale, post-ACTH et post-freinage à la dexaméthasone à dose faible, la protéinurie objectivable à la bandelette urinaire et par la mesure du RPCU et la taille de l'hypophyse par le rapport P/B. Dans notre échantillon, une cortisolémie basale supérieure à 170 nmol/L était significativement associée à une durée de survie plus courte. La confiance accordée dans ce résultat était plutôt bonne. Par ailleurs, dans notre étude, l'hypertension artérielle, la cortisolémie basale et l'âge au diagnostic ont pu jouer le rôle de facteurs de confusion. Ainsi, dans ce travail, nous avons montré qu'une cortisolémie basale supérieure à 170 nmol/L est un facteur de risque de décès potentiel chez les chiens atteints de maladie de Cushing. La prochaine étape serait la prise en compte de l'ensemble des facteurs de confusion et l'ajustement sur ces derniers dans un modèle multivarié, rendant ainsi l'inférence causale possible.[-]
La maladie de Cushing est une dysendocrinie de prévalence relativement faible mais de plus en plus diagnostiquée en pratique. Secondaire à la présence d'une tumeur hypophysaire, il s'agit de la forme d'hypercorticisme la plus fréquente. Le but de cette étude était l'identification de facteurs de risque de décès potentiels chez les chiens atteints de la maladie de Cushing. En effet, à ce jour, très peu d'études se sont attachées à la recherche de ...

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L'abdomen aigu est un motif fréquent de consultations en urgence. Les signes cliniques sont très peu spécifiques et le diagnostic différentiel de ce syndrome est large. Les animaux arrivant en abdomen aigu sont considérés comme critiques car susceptibles de présenter des défaillances d'organes pouvant impacter le pronostic vital à court ou moyen terme. Ainsi, la gestion d'un abdomen aigu doit être rapide et doit répondre à la fois à des enjeux diagnostiques et thérapeutiques. Environ 25 % des chiens en abdomen aigu présentés en urgence nécessitent la réalisation d'une chirurgie rapidement. L'anesthésie de ces animaux est alors un grand défi pour le vétérinaire. En effet, la réalisation d'une même chirurgie, lorsqu'elle est réalisée en urgence, augmente d'un facteur 1,6 le risque de complications anesthésiques par rapport à une chirurgie programmée. L'animal anesthésié présente alors des paramètres hémodynamiques qui ne sont pas toujours stabilisés lors de la chirurgie et peut répondre de façon non prédictible aux molécules utilisées. Dans l'état actuel des connaissances, les paramètres ayant une influence sur la morbimortalité péri-opératoire des chiens en abdomens aigus sont le délai entre l'apparition des signes cliniques et la prise en charge chirurgicale, l'état clinique à l'arrivée, notamment si le chien est en état de choc ou en syndrome inflammatoire a réponse systémique, la cinétique de lactatémie, le statut anesthésique codifié par la société américaine d'anesthésie (American Society of Anesthesiologists, ASA) de l'animal, son âge, son format, son score corporel, les molécules utilisées lors de l'anesthésie ainsi que la gestion de l'hypotension lorsqu'elle est présente. L'objectif de cette thèse est de mettre en évidence les paramètres qui ont une influence sur la morbi-mortalité péri-opératoire et de déterminer si ces paramètres pourraient être des facteurs prédictifs utilisables à des fins pronostiques. Notre étude rétrospective sur 244 chiens présentés au service des urgences de l'École Nationale Vétérinaire d'Alfort entre janvier 2017 et juin 2020 montre que l'existence d'une hypotension per-opératoire est significativement associée à un accroissement du risque de mortalité. De plus, la survenue d'une hypotension est plus fréquente chez les animaux présentant un statut ASA supérieur à trois à l'arrivée ou lorsque la durée d'anesthésie excède cent minutes.[-]
L'abdomen aigu est un motif fréquent de consultations en urgence. Les signes cliniques sont très peu spécifiques et le diagnostic différentiel de ce syndrome est large. Les animaux arrivant en abdomen aigu sont considérés comme critiques car susceptibles de présenter des défaillances d'organes pouvant impacter le pronostic vital à court ou moyen terme. Ainsi, la gestion d'un abdomen aigu doit être rapide et doit répondre à la fois à des enjeux ...

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Les infections au virus Usutu (USUV) des oiseaux en France sont relativement peu étudiées à l'heure actuelle. Néanmoins, les dommages qu'elles peuvent occasionner chez certaines populations aviaires et notamment chez des populations captives de Strigiformes dont des chouettes lapones (Strix nebulosa) en 2018 ont suscité un intérêt marqué de la part des vétérinaires exerçant en parc zoologique. Cette thèse s'ouvre par une synthèse bibliographique présentant l'USUV et ses vecteurs, son impact sur les oiseaux infectés et hôtes accidentels (dont l'Homme) et les méthodes de diagnostic utilisées. Parallèlement, elle présente les espèces de rapaces nocturnes et diurnes (respectivement les Strigiformes et Accipitriformes) majoritairement présentes en parc zoologique. La deuxième partie présente un travail personnel réalisé en collaboration avec l'unité de virologie flavivirus de l'Anses de Maisons-Alfort et l'Association Francophone de Vétérinaires en Parc Zoologique (AFVPZ). Il s'agit d'une étude expérimentale réalisée sur trois années consécutives (de 2018 à 2020) au sein de 13 parcs zoologiques français. Dans un premier temps, le but de cette étude était d'estimer la situation actuelle de l'infection par l'USUV chez l'ensemble de l'avifaune captive des parcs zoologiques français. Dans un second temps, l'objectif était de mettre en évidence des facteurs de risque et de protection d'infection par l'USUV afin d'en extraire des recommandations applicables en parc zoologique. Enfin, l'évolution de l'immunité anti-USUV a été étudiée afin de caractériser la qualité de cette immunité dans le temps. L'utilisation d'un test sérologique ELISA flavivirus associé à une séroneutralisation sur culture cellulaire a permis d'identifier une prévalence moyenne d'infection par l'USUV de 35% chez les oiseaux en parcs zoologiques français, toutes espèces confondues. Aucun ordre d'oiseau ni parc zoologique de l'étude n'est épargné. Notamment, la séroprévalence des Strigiformes s'élève à 45% et celle des vautours (Accipitriformes) à 42%. On a montré que les individus indemnes d'USUV et vivant dans une volière étaient plus à risque d'infection. L'ouest de la France a été identifié comme étant la zone la plus à risque. A contrario, la mise en place d'une moustiquaire, le mode de vie confiné et l'utilisation d'antiparasitaire externe se révèlent être des facteurs efficaces de protection face aux infections par l'USUV. Enfin, on a mis en évidence une stabilité des titres en anticorps anti-USUV sur les trois années qu'a duré notre étude, témoignant d'une immunocompétence acquise. De nouvelles infections en nombre anecdotique ont eu lieu entre 2018 et 2020, nous permettant alors d'assurer que les étés 2019 et 2020 n'ont pas été des épizooties majeures.[-]
Les infections au virus Usutu (USUV) des oiseaux en France sont relativement peu étudiées à l'heure actuelle. Néanmoins, les dommages qu'elles peuvent occasionner chez certaines populations aviaires et notamment chez des populations captives de Strigiformes dont des chouettes lapones (Strix nebulosa) en 2018 ont suscité un intérêt marqué de la part des vétérinaires exerçant en parc zoologique. Cette thèse s'ouvre par une synthèse bibliographique ...

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Très peu de données sont disponibles concernant les complications faisant suite aux injections loco-régionales intraveineuses d'antibiotiques chez les chevaux. Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés aux complications suite à ces injections et nous avons étudié leur fréquence d'apparition et des possibles facteurs de risque chez 68 chevaux hospitalisés au CISCO sur une période de 7 ans (2013 à 2019). 26 complications ont été constatées parmi 197 injections réalisées. La race et le sexe des chevaux ont été identifiés comme des facteurs de risque (les mâles et les chevaux lourds semblent prédisposés). Toutes les complications observées se sont résolues dans l'espace de quelques jours avec un traitement local. Les injections loco-régionales intraveineuses d'antibiotiques semblent être une option thérapeutique assez sûre pour le traitement des affections des membres des chevaux dans lesquelles un traitement antibiotique est nécessaire.[-]
Très peu de données sont disponibles concernant les complications faisant suite aux injections loco-régionales intraveineuses d'antibiotiques chez les chevaux. Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés aux complications suite à ces injections et nous avons étudié leur fréquence d'apparition et des possibles facteurs de risque chez 68 chevaux hospitalisés au CISCO sur une période de 7 ans (2013 à 2019). 26 complications ont été constatées ...

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La myosite éosinophilique est une lésion rare, mais de plus en plus fréquente, pouvant affecter les bovins mais découverte qu'une fois l'animal abattu. Bien qu'à l'heure actuelle le mécanisme d'apparition ne soit pas élucidé, plusieurs arguments supposent un rôle de Sarcocystis spp., un protozoaire kystogène dont le portage chez les bovins est quasi ubiquiste. Ces dernières années, plusieurs études ont été menées par Interbev afin de mieux comprendre ce mécanisme, le but principal étant de rechercher des facteurs pouvant favoriser l'apparition des lésions, qu'il s'agisse de pratiques ou de conditions d'élevage, des caractéristiques des animaux touchés, de facteurs externes ou de l'étude des lésions. L'objectif de cette étude était de réaliser une synthèse des travaux précédemment effectués par une méta-analyse à la fois quantitative et qualitative. Celle-ci a permis de mettre en évidence certaines conditions d'élevages à risque comme une durée de pâturage courte, l'utilisation d'une mare ou d'un étang comme modalité d'abreuvement ou encore l'implication de la paratuberculose. D'autres facteurs, liées aux animaux ont aussi été mis en évidence, notamment l'implication d'un déterminisme génétique qui expliquerait la prévalence de la myosite éosinophilique plus élevée chez certaines races comme la Blonde d'Aquitaine. Les résultats semblent prometteurs mais les recherches sont encore insuffisantes pour qu'une sélection puisse se faire sur ce caractère. L'étude des lésions de myosite éosinophilique a également permis de mettre en évidence une sous-représentation de S. cruzi dans les échantillons présentant des lésions par rapport aux échantillons témoins.[-]
La myosite éosinophilique est une lésion rare, mais de plus en plus fréquente, pouvant affecter les bovins mais découverte qu'une fois l'animal abattu. Bien qu'à l'heure actuelle le mécanisme d'apparition ne soit pas élucidé, plusieurs arguments supposent un rôle de Sarcocystis spp., un protozoaire kystogène dont le portage chez les bovins est quasi ubiquiste. Ces dernières années, plusieurs études ont été menées par Interbev afin de mieux ...

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Cette thèse avait pour objectif de répondre au souhait des coopératives du Grand Ouest de la Chaire AEI d'élaborer un outil d'aide à la mise en place du traitement sélectif au tarissement. Cette pratique est en effet la principale voie de réduction de l'utilisation des antibiotiques souhaités dans les plans Ecoantibio. Notre travail a dans un premier temps consisté à consulter des vétérinaires experts des mammites chez la vache laitière, ainsi que des éleveurs, afin de recueillir leurs avis et leurs besoins avant de construire notre outil. A la lumière de leurs conseils, nous avons donc construit une démarche d'accompagnement de l'éleveur pour la mise en place du traitement sélectif. Le socle technique de notre démarche repose sur l'évaluation des risques de nouvelles infection pendant le tarissement. Il a été conçu, d'une part, par consultation de la bibliographie internationale et, d‘autre part, grâce à une enquête utilisant la méthode Delphi de manière à établir un consensus sur la valeur des risques relatifs à partir d'un panel d'experts. Notre démarche sera testée par des techniciens des coopératives ayant participé au projet.[-]
Cette thèse avait pour objectif de répondre au souhait des coopératives du Grand Ouest de la Chaire AEI d'élaborer un outil d'aide à la mise en place du traitement sélectif au tarissement. Cette pratique est en effet la principale voie de réduction de l'utilisation des antibiotiques souhaités dans les plans Ecoantibio. Notre travail a dans un premier temps consisté à consulter des vétérinaires experts des mammites chez la vache laitière, ainsi ...

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L'albumine est la protéine la plus abondante du compartiment vasculaire, jouant un rôle majeur dans le maintien de l'homéostasie en assurant environ 80 % de la pression oncotique. Différents processus pathologiques peuvent aboutir à une hypoalbuminémie chez le chat, notamment par excès de pertes (rénales, digestives, cutanées), défaut de synthèse hépatique, inflammation, etc. Alors qu'en médecine humaine, l'hypoalbuminémie a été identifiée comme facteur pronostique négatif à l'admission d'un patient en hospitalisation indépendamment de la cause sous-jacente, cette valeur pronostique n'a été que peu étudiée en médecine vétérinaire, et la seule étude réalisée chez le chat n'a pas démontré cette relation. Ce travail comprenait différents objectifs. D'une part, il a permis d'étudier les caractéristiques générales d'une population de chats hypoalbuminémiques, pour mettre en avant notamment les principales causes d'hypoalbuminémie chez cette espèce. D'autre part, nous souhaitions mettre en évidence une association causale entre une hypoalbuminémie, en différenciant plusieurs degrés de gravité, et la mortalité chez le chat indépendamment du diagnostic. Enfin, il visait à mettre en évidence de potentiels facteurs de risque de décès chez un chat hypoalbuminémique. Notre étude rétrospective a porté sur une cohorte de 178 chats hypoalbuminémiques présentés au Centre Hospitalier Universitaire d'Alfort entre le 1 er octobre 2016 et le 19 octobre 2019, répartis selon la gravité de l'hypoalbuminémie (minime versus modérée à « marquée »). Dans la majorité des cas, l'origine de l'hypoalbuminémie était une affection digestive (41,3 %). Les affections les plus représentés étaient les néoplasies digestives, suivies des processus inflammatoires localisés et systémiques. Notre étude a suggéré qu'une hypoalbuminémie modérée à « marquée » est plus fréquemment observée chez les chats présentant un faible indice corporel (NEC < 3/9) (OR = 6,71 [2,14 – 21,03]). Nous n'avons pas mis en évidence d'association brute significative entre la gravité de l'hypoalbuminémie et la mortalité (RR brut = 1,593, p = 0,122) et, bien qu'aucune variable n'ait été identifiée comme facteur de confusion, l'inférence causale n'était pas envisageable au vu du risque d'erreur beta inconnu. Nos analyses nous ont permis de suggérer l'éventuelle possibilité d'une relation causale, chez le chat hypoalbuminémique, entre la mortalité et les facteurs suivants : hypoprotéinémie, élévation des paramètres de cytolyse hépatique (ALAT et/ou ASAT) et anémie. Néanmoins, au vu de la nature observationnelle de notre étude, du biais de confusion résiduel et de la taille de notre échantillon, l'inférence causale est tout de même délicate à établir. Des études prospectives plus larges seraient nécessaires afin d'entériner ces résultats préliminaires.[-]
L'albumine est la protéine la plus abondante du compartiment vasculaire, jouant un rôle majeur dans le maintien de l'homéostasie en assurant environ 80 % de la pression oncotique. Différents processus pathologiques peuvent aboutir à une hypoalbuminémie chez le chat, notamment par excès de pertes (rénales, digestives, cutanées), défaut de synthèse hépatique, inflammation, etc. Alors qu'en médecine humaine, l'hypoalbuminémie a été identifiée comme ...

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La mise en évidence en 2011 d'une forte prévalence de l'hypocalcémie subclinique (HSC) au vêlage au sein des élevages laitiers américains (37 % des vaches sous le seuil de 80 mg/L a conduit les chercheurs à s'intéresser davantage à cette situation encore très méconnue. Ainsi, malgré une absence de consensus sur son seuil de définition, les dizaines d'études publiées ces dernières années confirment que l'HSC touche une part importante de vaches autour du vêlage et ce dans la plupart des pays, y compris la France. Cependant, aujourd'hui encore de nombreuses zones d'ombre subsistent quant à ses facteurs de risque et surtout ses éventuelles conséquences. Dans l'optique d'apporter des données supplémentaires à l'échelle française, une étude a été initiée dans une clientèle vétérinaire des Vosges, dans l'Est de la France. Au total, 96 vaches composent l'échantillon. Pour chacune d'entre elle, la calcémie a été mesurée en moyenne 4,9 jours avant le vêlage, dans les 12 h suivant ce dernier puis à 24 h, 48 h, 72 h, 7 jours et 14 jours post-partum (PP) tant que la calcémie mesurée demeurait strictement inférieure à 86 mg/L. Au sein de l'échantillon, 61,5 % des vaches ont présenté une calcémie inférieure à 86 mg/L lors de la prise de sang réalisée avant le vêlage et/ou dans les 12 h post-partum, une prévalence qui atteint 36,5 % lorsque le seuil de 80 mg/L est considéré. Indépendamment du seuil, plus d'un quart des vaches en hypocalcémie subclinique au vêlage l'était toujours 72 h après (26,4%). De la même manière que pour l'hypocalcémie clinique, les vaches à trois lactations ou plus étaient significativement plus atteintes que les vaches à deux lactations ou moins (p < 0,05) tout comme celles présentant la production laitière la plus élevée lors de la lactation précédente (p = 0,01). Les vaches atteintes d'HSC au vêlage (< 80 mg/L) ont été significativement plus touchées par la cétose subclinique (p < 0,05) et ont présenté une production laitière plus élevée au contrôle laitier réalisé entre 21 et 60 jours PP (p < 0,01) avec un taux protéique plus faible (p < 0,01). En outre, en considérant cinq affections du post-partum (cétose subclinique, mammites, rétention placentaire, infections utérines et anomalies de la cyclicité ovarienne), les vaches atteintes d'au moins l'une d'entre elles ont présenté une calcémie moyenne significativement plus basse au vêlage (p < 0,05). Enfin, en considérant le seuil de 80 mg/L, le nombre de vaches en hypocalcémie subclinique au vêlage atteintes d'au moins une des cinq affections tendait à être significativement plus élevé (p = 0,053). [-]
La mise en évidence en 2011 d'une forte prévalence de l'hypocalcémie subclinique (HSC) au vêlage au sein des élevages laitiers américains (37 % des vaches sous le seuil de 80 mg/L a conduit les chercheurs à s'intéresser davantage à cette situation encore très méconnue. Ainsi, malgré une absence de consensus sur son seuil de définition, les dizaines d'études publiées ces dernières années confirment que l'HSC touche une part importante de vaches ...

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L'objectif de cette étude était d'une part, d'analyser les facteurs de risque de surpoids dans une population de Labradors de race pure. D'autre part, la performance de différentes méthodes d'estimation de la proportion de tissu adipeux chez le chien comparée à l'établissement de la Note d'Etat Corporel a été déterminée. Au final, 34% des chiens de cette étude étaient en surpoids (NEC≥7). Le facteur de risque principal était la stérilisation (75% de chiens en surpoids contre 20% pour les chiens entiers). Chez les chiens stérilisés, le taux de croissance entre 2 et 21 jours avait une influence significative. Le poids de naissance et le score « Food motivation » tendaient à être significatif. Les chiens stérilisés ayant un taux de croissance supérieur à 248% et un poids de naissance inférieur à 415g étaient plus à risque de surpoids à l'âge adulte. Un score « Food motivation » bas constituait un risque de surpoids. Par ailleurs, l'échographie au niveau lombaire, la morphométrie et la pesée se sont avérées être plus sensibles que l'échographie de l'abdomen ou du thorax et l'établissement de la NEC par photographie pour estimer la NEC par palpation. Néanmoins, toutes les méthodes, hormis la photographie étaient cohérentes avec la NEC par palpation.[-]

L'objectif de cette étude était d'une part, d'analyser les facteurs de risque de surpoids dans une population de Labradors de race pure. D'autre part, la performance de différentes méthodes d'estimation de la proportion de tissu adipeux chez le chien comparée à l'établissement de la Note d'Etat Corporel a été déterminée. Au final, 34% des chiens de cette étude étaient en surpoids (NEC≥7). Le facteur de risque principal était la stérilisation ...

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V
Alors que la consommation de la viande chevaline par la population française décroît, c'est toute la filière du cheval de trait qui s'en trouve éprouvée. La valorisation des chevaux de trait français à l'étranger représente donc un enjeu économique majeur. Or les produits échangés sont soumis à des contraintes sanitaires, notamment concernant les piroplasmoses équines dont certains pays comme les Etats-Unis ou le Japon sont indemnes. La France est une zone enzootique pour l'infection par Babesia caballi et Theileria equi. La connaissance des facteurs de risque associés à cette infection est nécessaire pour la maîtrise de cette parasitose et ainsi permettre l'export de produits animaux vers des pays indemnes de piroplasmoses équines. Aucune étude récente n'ayant été réalisée sur les facteurs de risque associés à la piroplasmose équine en France, ce travail constitue une étude préliminaire dans le cadre de l'exploration des facteurs de risque associés à la piroplasmose chez les chevaux de trait en France. Elle s'intéresse principalement aux pratiques d'élevage des chevaux de trait ainsi qu'aux caractéristiques des chevaux destinés à l'export. Un questionnaire portant sur les pratiques d'élevage et son analyse descriptive ont été réalisés. Une analyse des données relatives aux chevaux destinés à l'export en lien avec les résultats des tests de dépistage pour T. equi et B. caballi a été effectuée. Nous avons montré que les chevaux de trait mâles ont tendance à être plus touchés par l'infection. Par ailleurs, un lien statistique a été établi entre l'origine géographique et la prévalence des piroplasmoses équines. Il semblerait de plus que la composition des pâtures et leur environnement aient un lien avec l'infection par les piroplasmes. Cette étude mériterait d'être poursuivie par une étude cas-témoin prospective dans les élevages de chevaux de trait français, afin d'identifier les facteurs de risque liés aux piroplasmoses équines.[-]
Alors que la consommation de la viande chevaline par la population française décroît, c'est toute la filière du cheval de trait qui s'en trouve éprouvée. La valorisation des chevaux de trait français à l'étranger représente donc un enjeu économique majeur. Or les produits échangés sont soumis à des contraintes sanitaires, notamment concernant les piroplasmoses équines dont certains pays comme les Etats-Unis ou le Japon sont indemnes. La France ...

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