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L'abdomen aigu est un motif fréquent de consultations en urgence. Les signes cliniques sont très peu spécifiques et le diagnostic différentiel de ce syndrome est large. Les animaux arrivant en abdomen aigu sont considérés comme critiques car susceptibles de présenter des défaillances d'organes pouvant impacter le pronostic vital à court ou moyen terme. Ainsi, la gestion d'un abdomen aigu doit être rapide et doit répondre à la fois à des enjeux diagnostiques et thérapeutiques. Environ 25 % des chiens en abdomen aigu présentés en urgence nécessitent la réalisation d'une chirurgie rapidement. L'anesthésie de ces animaux est alors un grand défi pour le vétérinaire. En effet, la réalisation d'une même chirurgie, lorsqu'elle est réalisée en urgence, augmente d'un facteur 1,6 le risque de complications anesthésiques par rapport à une chirurgie programmée. L'animal anesthésié présente alors des paramètres hémodynamiques qui ne sont pas toujours stabilisés lors de la chirurgie et peut répondre de façon non prédictible aux molécules utilisées. Dans l'état actuel des connaissances, les paramètres ayant une influence sur la morbimortalité péri-opératoire des chiens en abdomens aigus sont le délai entre l'apparition des signes cliniques et la prise en charge chirurgicale, l'état clinique à l'arrivée, notamment si le chien est en état de choc ou en syndrome inflammatoire a réponse systémique, la cinétique de lactatémie, le statut anesthésique codifié par la société américaine d'anesthésie (American Society of Anesthesiologists, ASA) de l'animal, son âge, son format, son score corporel, les molécules utilisées lors de l'anesthésie ainsi que la gestion de l'hypotension lorsqu'elle est présente. L'objectif de cette thèse est de mettre en évidence les paramètres qui ont une influence sur la morbi-mortalité péri-opératoire et de déterminer si ces paramètres pourraient être des facteurs prédictifs utilisables à des fins pronostiques. Notre étude rétrospective sur 244 chiens présentés au service des urgences de l'École Nationale Vétérinaire d'Alfort entre janvier 2017 et juin 2020 montre que l'existence d'une hypotension per-opératoire est significativement associée à un accroissement du risque de mortalité. De plus, la survenue d'une hypotension est plus fréquente chez les animaux présentant un statut ASA supérieur à trois à l'arrivée ou lorsque la durée d'anesthésie excède cent minutes.[-]
L'abdomen aigu est un motif fréquent de consultations en urgence. Les signes cliniques sont très peu spécifiques et le diagnostic différentiel de ce syndrome est large. Les animaux arrivant en abdomen aigu sont considérés comme critiques car susceptibles de présenter des défaillances d'organes pouvant impacter le pronostic vital à court ou moyen terme. Ainsi, la gestion d'un abdomen aigu doit être rapide et doit répondre à la fois à des enjeux ...

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Le sepsis est un état pathogénique complexe associé à une mortalité élevée chez l'Homme et l'animal puisque près d'un chat en sepsis sur deux est susceptible de décéder en hospitalisation. Le diagnostic de sepsis a connu de nombreuses évolutions visant à parfaire sa prise en charge et son pronostic. L'objectif de cette thèse est de faire un point sur l'historique de la définition du sepsis en accentuant plus particulièrement notre étude sur le consensus établi en 2016 en médecine humaine et son association avec la physiopathologie du sepsis. En effet, le diagnostic de sepsis défini par le consensus de 2016 est basé sur la mise en évidence d'au moins deux dysfonctions organiques associées à une suspicion d'infection. L'objectif de cette thèse est de déterminer si ce nouveau consensus, adapté à la médecine vétérinaire lors de notre étude, permet une meilleure stratification de la morbimortalité à court terme chez le chat. L'étude rétrospective réalisée sur des chats présentés au service des urgences et soins intensifs du Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort de janvier 2016 à décembre 2019 n'a pas permis de mettre en évidence de différence significative en ce qui concerne le temps d'hospitalisation en lien avec l'une ou l'autre des définitions. Cependant, les états de sepsis définis selon les critères du consensus de 2016 apparaissent associés à une mortalité plus élevée qu'historiquement établi. Nos observations laissent en outre supposer que la nouvelle définition du sepsis établie en 2016 serait plus sensible pour le diagnostic de sepsis chez le chat que la définition du sepsis de 2001. Ce travail supporte l'idée qu'il serait en pratique préférable d'utiliser chez le chat la définition du sepsis de 2016.[-]
Le sepsis est un état pathogénique complexe associé à une mortalité élevée chez l'Homme et l'animal puisque près d'un chat en sepsis sur deux est susceptible de décéder en hospitalisation. Le diagnostic de sepsis a connu de nombreuses évolutions visant à parfaire sa prise en charge et son pronostic. L'objectif de cette thèse est de faire un point sur l'historique de la définition du sepsis en accentuant plus particulièrement notre étude sur le ...

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Actuellement chez le chien, le diagnostic du sepsis se fait à l'aide d'une adaptation des deux premiers consensus de 1992 et 2001 établis en médecine humaine. Or en 2016, les avancées considérables réalisées dans la compréhension de la pathogénie du sepsis et dans les examens d'exploration ont mené à l'instauration d'un nouveau consensus. Le but de cette thèse a été d'étudier si l'utilisation de la nouvelle définition du sepsis permettrait une meilleure stratification de la morbi-mortalité à court terme chez le chien. Une étude rétrospective a été menée au sein du service des urgences-soins intensifs du Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort. Pour répondre, 215 chiens considérés en état de sepsis selon la définition de 1992/2001 et/ou 2016 ont été inclus. La comparaison des chiens reconnus en état de sepsis uniquement par la définition 1992/2001 et ceux reconnus en état de sepsis par la définition 2016 a mis en évidence une différence significative de mortalité (p = 0,0435). De plus, les chiens en sepsis uniquement selon la définition 2016 ont une durée d'hospitalisation significativement plus longue que les chiens en sepsis uniquement selon la définition 1992/2001 (p = 0,002). L'ensemble de ces résultats suggère que la définition et les critères diagnostiques du consensus de 2016 sont plus proches de l'état de haute morbi-mortalité causé par le sepsis chez le chien que ceux des consensus de 1992 et 2001. Par ailleurs, il semblerait que la nouvelle définition du sepsis soit plus spécifique et moins sensible. En effet, 190 chiens ont été sélectionnés suivant la définition de 1992/2001 contre 96 chiens suivant la définition de 2016. Ainsi, cette thèse incite à modifier les méthodes diagnostiques autour du sepsis chez le chien en s'orientant davantage vers l'examen des dysfonctions d'organe associées à un état infectieux.[-]
Actuellement chez le chien, le diagnostic du sepsis se fait à l'aide d'une adaptation des deux premiers consensus de 1992 et 2001 établis en médecine humaine. Or en 2016, les avancées considérables réalisées dans la compréhension de la pathogénie du sepsis et dans les examens d'exploration ont mené à l'instauration d'un nouveau consensus. Le but de cette thèse a été d'étudier si l'utilisation de la nouvelle définition du sepsis permettrait une ...

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Cette étude avait pour objectifs d'améliorer la connaissance de la fréquence des troubles de santé affectant les JB durant l'engraissement, de déterminer leur effet sur les performances de croissance et d'abattage et d'estimer leur impact économique dans une exploitation type de la région Pays de la Loire. Des données concernant les troubles, la mortalité, les performances de croissance et d'abattage ont été collectées de septembre 2005 à juin 2007 dans 71 élevages des Pays de la Loire, représentant 1 239 jeunes bovins répartis en 105 lots. Les fréquences des troubles ainsi que la mortalité ont été décrites à l'échelle individuelle puis du lot. Les effets des troubles sur les performances de croissance et d'abattage ont été estimés par une méthode statistique de régression multivariée mixte. L'impact économique des troubles a été estimée par budget partiel dans une exploitation type de système engraisseur spécialisé (95 ha, 150 JB, revenu annuel net autour de 34,8 k€). Sur toute la période d'engraissement, le taux de mortalité total a été de 1,5 % et le taux de morbidité total de 21,8 %. Les troubles respiratoires ont été les plus importants, avec un taux de morbidité de 18,1 %. Les jeunes bovins qui ont eu des signes cliniques des troubles de santé ont des performances de croissance moins bonnes que les jeunes bovins sains, de 61 à 108 g/j sur la période d'engraissement pour les troubles respiratoires. Ceci se répercutait sur la durée d'engraissement, allongée pour les jeunes bovins malades de 44 à 59 jours. Les performances d'abattage sont peu affectées avec un classement des carcasses dégradé lors de troubles respiratoires d'intensité importante. Les troubles de santé avaient un impact économique important sur le revenu de l'exploitation-type, diminué respectivement de 11,4 et 26,3 % dans des situations sanitaires avec incidence modérée et incidence forte, par rapport à une situation avec incidence faible. Il serait intéressant de déterminer la fréquence de troubles de santé des jeunes bovins à l'échelle d'une exploitation pour juger de la plausibilité des situations sanitaires simulées dans l'estimation des répercussions économiques de ces troubles sur le revenu de l'exploitation.[-]
Cette étude avait pour objectifs d'améliorer la connaissance de la fréquence des troubles de santé affectant les JB durant l'engraissement, de déterminer leur effet sur les performances de croissance et d'abattage et d'estimer leur impact économique dans une exploitation type de la région Pays de la Loire. Des données concernant les troubles, la mortalité, les performances de croissance et d'abattage ont été collectées de septembre 2005 à juin ...

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