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L'évaluation de la douleur est une préoccupation majeure dans le milieu vétérinaire. Elle vise une prise en charge optimale de la douleur, pour assurer le bien-être des animaux, mais également une élaboration de traitement antalgique efficace. La multitude d'outils diagnostics à notre disposition, ainsi que les nombreuses recherches actuelles, peuvent présenter une difficulté pour le vétérinaire praticien dans le choix et l'utilisation d'un outil adapté. Cette thèse cherche à familiariser les vétérinaires aux outils utilisés en pratique et étudiés dans le domaine de la recherche en vue d'une utilisation future. Elle se veut également comme un guide l'utilisation des différents outils disponibles. Une présentation sous forme de vidéos illustratives, disponibles sur un site internet, se veut plus attractive qu'un format écrit et présente un intérêt pédagogique.[-]
L'évaluation de la douleur est une préoccupation majeure dans le milieu vétérinaire. Elle vise une prise en charge optimale de la douleur, pour assurer le bien-être des animaux, mais également une élaboration de traitement antalgique efficace. La multitude d'outils diagnostics à notre disposition, ainsi que les nombreuses recherches actuelles, peuvent présenter une difficulté pour le vétérinaire praticien dans le choix et l'utilisation d'un ...

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Connue depuis le milieu du 19ème siècle, la diapause embryonnaire se définit comme l'arrêt du développement de l'embryon au stade de blastocyste pour une durée variable et généralement dépendante de l'espèce. Elle serait une stratégie de reproduction chez les mammifères pour produire un grand nombre de descendants, permettre une parturition au moment où les conditions sont optimales pour la progéniture et augmenter la compétition entre mâles lors de la saison de l'accouplement. Elle aurait ensuite été désactivée, au cours de l'évolution, chez les mammifères domestiques sans pour autant avoir totalement disparu. Le phénomène a été décrit chez plus de 130 espèces de mammifères de différents ordres et trois types de diapause ont ainsi pu être caractérisés : la diapause facultative de lactation chez les Rodentia (retard d'implantation induit par un stress métabolique, le plus souvent généré par la lactation), la diapause obligatoire chez les Carnivora (délai d'implantation à chaque gestation sous l'effet de la variation de luminosité saisonnière) et la diapause mixte des Marsupiala, combinaison des deux précédentes et variable en fonction de la période de l'année. / La régulation hormonale de la diapause, quel que soit son type, est contrôlée par la prolactine, qui est libérée en réponse au stimulus de succion ou à la variation de la photopériode. Durant la diapause, la survie des blastocystes est assurée en consommant des gouttelettes lipidiques stockées dans le cytoplasme. Quant aux contrôles moléculaires et cellulaires, ils sont encore en cours d'exploration et pourraient mener à de nouvelles pistes thérapeutiques anti-cancéreuses ou à des applications pratiques en médecine vétérinaire dans la conservation des embryons ou dans la gestion des cas d'infertilité liés à des défauts d'implantation.[-]
Connue depuis le milieu du 19ème siècle, la diapause embryonnaire se définit comme l'arrêt du développement de l'embryon au stade de blastocyste pour une durée variable et généralement dépendante de l'espèce. Elle serait une stratégie de reproduction chez les mammifères pour produire un grand nombre de descendants, permettre une parturition au moment où les conditions sont optimales pour la progéniture et augmenter la compétition entre mâles ...

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La présence d'une cataracte chez le lapin n'est pas une anomalie fréquemment rencontrée lors de la consultation du lapin de compagnie qui présente un intérêt croissant en médecine vétérinaire en tant qu'animal de compagnie. Cette étude avait pour objectif d'établir les caractéristiques de la cataracte chez le lapin, de son évolution et de son impact sur la qualité de vie de l'animal atteint. Une analyse épidémiologique et clinique de la cataracte des lapins et un suivi téléphonique étaient réalisés. Notre étude a recensé 58 lapins atteints d'une cataracte sur une période d'étude de quatre ans entre 2017 et 2021, soit 2,3 % de la population de lapins présentée au Centre Hospitalier Vétérinaire des Animaux de Compagnie d'Alfort sur la même période. Lorsqu'une anomalie oculaire est relevée dans le service de référé en Ophtalmologie du Chuv-AC, une cataracte est constatée chez 18,47 % des lapins présentés. Notre étude n'a pas mis en évidence de prédisposition de sexe ou de race. L'âge au moment du diagnostic était de 2,3 ans. Les cataractes étaient de stade incipient au moment du diagnostic (63 % des cas). Les opacités étaient majoritairement à localisation corticale antérieure (45 % des cas). Les cataractes étaient majoritairement bilatérales (60,3 % des cas). L'origine suspectée la plus rencontrée, lorsqu'elle était décrite, était une infection par E.cuniculi associée à des signes oculaires comme une uvéite phacoclastique. Un traitement médical topique à base d'anti-inflammatoires représentait le traitement de première intention. De manière générale, les résultats de notre étude sont en accord avec les rares données existant dans la littérature pour le lapin. Nous avons cependant observé des différences. Par exemple, les cataractes du lapin sont décrites comme unilatérales dans un contexte d'infection à E. cuniculi. Dans notre étude, les cataractes sont majoritairement bilatérales tandis que les infections par E. cuniculi restent des causes suspectées et n'ont pas pu être confirmées.[-]
La présence d'une cataracte chez le lapin n'est pas une anomalie fréquemment rencontrée lors de la consultation du lapin de compagnie qui présente un intérêt croissant en médecine vétérinaire en tant qu'animal de compagnie. Cette étude avait pour objectif d'établir les caractéristiques de la cataracte chez le lapin, de son évolution et de son impact sur la qualité de vie de l'animal atteint. Une analyse épidémiologique et clinique de la ...

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Dans un premier temps, ce manuscrit fait état du nombre d'animaux en France, en augmentation en ce qui concerne les animaux de compagnie, mais en diminution pour les animaux de rente et les chevaux. Cependant, il est à noter que le nombre de bovins par exploitation tend à augmenter. Ceci a des conséquences directes sur la répartition des vétérinaires sur le territoire français. Le nombre de vétérinaires canins est en augmentation, avec une présence plus importante au Sud qu'au Nord, contrairement aux vétérinaires ruraux qui sont de moins en moins nombreux avec une diminution en moyenne de 5 à 25% sur le territoire. En ce qui concerne le mode d'exercice, l'association est majoritaire mais le salariat est en augmentation. Le milieu rural subit une désertification du fait de sa faible attractivité et du fait de l'obligation de faire des gardes, ce qui est dû à la clientèle mixte ou à l'éloignement des autres structures en clientèle canine. La clientèle évolue depuis quelques années avec l'essor d'internet et des réseaux sociaux, biais par lesquels ils s'informent souvent avant de consulter un vétérinaire. Dans un second temps, notre travail a consisté à analyser les réponses d'un questionnaire diffusé au sein de la profession vétérinaire, qui ciblait les vétérinaires de zones rurales et périurbaines, soit les cliniques et cabinets des villes de moins de 30 000 habitants (hors Ile-de -France). En moyenne, les cliniques ayant répondu sont des cliniques mixtes exerçant 47% en canine, 41% en rurale et 8% en équine. Lorsque la rurale est minoritaire, c'est en grande partie dû à la faible demande, au fait que les élevages soient éloignés et que la rurale soit considérée comme moins rémunératrice que la canine. En ce qui concerne la rurale, les praticiens constatent une diminution du nombre d'exploitations mais une nouvelle clientèle apparait : la rurale de compagnie. D'après les vétérinaires interrogés, les exigences d'évolution des structures de soins vétérinaires se sont accrues depuis 5 ans en moyenne, et se traduisent par l'essor des médecines alternatives, la consolidation des structures de soins vétérinaires et le début de la télémédecine.[-]
Dans un premier temps, ce manuscrit fait état du nombre d'animaux en France, en augmentation en ce qui concerne les animaux de compagnie, mais en diminution pour les animaux de rente et les chevaux. Cependant, il est à noter que le nombre de bovins par exploitation tend à augmenter. Ceci a des conséquences directes sur la répartition des vétérinaires sur le territoire français. Le nombre de vétérinaires canins est en augmentation, avec une ...

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Le Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort pour Animaux de Compagnie (CHUVA-Ac) est une des plateformes médicales de l'École Nationale Vétérinaire d'Alfort (ENVA). Tout en recevant plus de 16 000 clients par an, cet établissement se doit de satisfaire à deux missions : délivrer un enseignement pédagogique et prodiguer les soins aux animaux. Pour cela, la prise en charge du patient y est particulière : pluralité des intervenants (étudiants, cliniciens, personnels administratifs) et temps d'attente allongée. Ce procédé complexe peut-être la source de litiges. Chaque année, la direction de l'hôpital se doit de répondre aux sollicitations de clients révélant une prise en charge défectueuse et demandant une réparation. Ces litiges n'ont jamais été étudiés. Les mécontentements de la clientèle peuvent prendre plusieurs formes. Pour la période 2009-2011 et 2017-2019 nous avons analysé leurs caractéristiques afin de préconiser des suggestions pour les prévenir et améliorer leur traitement : nature du litige et de la réclamation, caractéristiques du propriétaire, caractéristiques de l'animal et caractéristiques de la consultation. Les litiges financiers apparaissent majoritaires (50,5 % en 2009-2011, 48,7 % en 2017-2019) face à ceux de prise en charge ou mixtes. Les clients, eux, sont moins à même de consulter à nouveau en cas de litige (40,7 % versus 69,5 %). Concernant les animaux, l'âge croissant est associé à une augmentation des litiges (2292 jours versus 1594 jours). Enfin, les consultations pour second avis sont plus à risques (47,6 % versus 35,4 %) et certains services sont surreprésentés comme les Urgences-Soins Intensifs. L'établissement systématique de devis, l'envoi réfléchi des résultats d'examens et le maintien de l'encadrement des étudiants sont autant de pistes nécessaires pour prévenir les litiges. Le traitement, lui, pourrait être amélioré par la meilleure constitution du dossier clinique informatisée et l'attestation de bonne réception du mécontentement par retour postal à sa réception.[-]
Le Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort pour Animaux de Compagnie (CHUVA-Ac) est une des plateformes médicales de l'École Nationale Vétérinaire d'Alfort (ENVA). Tout en recevant plus de 16 000 clients par an, cet établissement se doit de satisfaire à deux missions : délivrer un enseignement pédagogique et prodiguer les soins aux animaux. Pour cela, la prise en charge du patient y est particulière : pluralité des intervenants ...

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Depuis Darwin, l'existence de la reproduction coopérative demeure un défi pour la biologie évolutive. La première proposition avancée pour expliquer les comportements d'aide des auxiliaires dans des groupes pratiquant la reproduction coopérative a été la sélection de parentèle. Elle est toujours l'hypothèse la plus plebiscitée de nos jours. Malgré tout, cette théorie ne parvient pas à expliquer comment les comportements d'aide ont été sélectionnés lorsque le niveau de parenté entre les individus concernés est faible. Trois autres théories ont été proposées pour comprendre la reproduction coopérative. L'une de ces théories est l'hypothèse de « l'augmentation de groupe ». Elle postule que les comportements d'aide qui augmentent la taille du groupe sont sélectionnés grâce à l'accroissement des bénéfices conférés par la vie au sein du groupe. Bien que la capacité de cette théorie à participer à l'émergence et la stabilisation de la coopération ait été démontrée sur le plan théorique, il manque toujours des preuves empiriques. Dans cette étude, nous avons cherché à tester l'influence de l'augmentation de groupe « active » chez un cichlidé, Neolamprologus pulcher. Cette forme d'augmentation de groupe est basée sur les bénéfices réciproques à long terme de la vie en groupe reçus par un auxiliaire. Ces bénéfices sont dépendants des chances d'héritage du territoire de l'auxiliaire. L'hypothèse sous-jacente prédit que le niveau d'aide fourni par un auxiliaire augmente avec ses chances d'hériter le territoire. Chez N. pulcher, la probabilité d'héritage du territoire par les femelles est fortement dépendante du rang. Pour mettre à l'épreuve cette prédiction, le rang de onze auxiliaires femelles a été manipulé et leur niveau d'aide lors de tâches d'entretien du territoire et de défense contre un prédateur des oeufs a été comparé. Aucun effet du rang n'a été mis en évidence lors de l'entretien du territoire mais la défense des oeufs semble augmenter avec la réduction du rang hiérarchique. Ces résultats ne sont pas en faveur d'une action de l'hypothèse d'augmentation de groupe active sur la reproduction coopérative chez N. pulcher. De futures études sont nécessaires afin de mieux comprendre les théories pouvant expliquer l'émergence et le maintien de comportements altruistes au sein du règne animal.[-]
Depuis Darwin, l'existence de la reproduction coopérative demeure un défi pour la biologie évolutive. La première proposition avancée pour expliquer les comportements d'aide des auxiliaires dans des groupes pratiquant la reproduction coopérative a été la sélection de parentèle. Elle est toujours l'hypothèse la plus plebiscitée de nos jours. Malgré tout, cette théorie ne parvient pas à expliquer comment les comportements d'aide ont été s...

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L'hypercorticisme, également connu sous le nom de syndrome de Cushing est une dysendocrinie largement documentée chez le chien âgé. Elle s'accompagne d'un certain nombre de complications, notamment urinaires. L'objectif premier de notre étude était de décrire les complications urinaires du syndrome de Cushing au moment du diagnostic, puis leur évolution après la mise en place d'un traitement spécifique de l'hypercorticisme. Nous avons cherché à caractériser de façon précise et à apporter des informations supplémentaires sur ces atteintes urinaires afin d'en améliorer la connaissance et donc la prise en charge. L'étude porte sur des chiens atteints d'hypercorticisme présentés au ChuvA entre 2005 et 2019. Une protéinurie a été mise en évidence chez 64,5 % des chiens par une bandelette urinaire et chez 75 % des chiens par un RPCU. La moitié des valeurs de RPCU étaient supérieures à 3,4, compatibles avec une atteinte glomérulaire. Une hypertension artérielle systémique était présente chez 52 % des individus pour qui la mesure avait été réalisée. Notre étude est donc un argument supplémentaire en faveur d'une atteinte glomérulaire lors de syndrome de Cushing. Nous avons confirmé la persistance de la protéinurie sous traitement chez 50 % des chiens malgré une diminution chez l'autre moitié. Des signes échographiques de maladie rénale chronique étaient présents chez 24,2 % des chiens protéinuriques au moment du diagnostic. La valeur médiane de créatinine chez les chiens protéinuriques était significativement plus élevée que celle des chiens non protéinuriques. Ces résultats sont donc en faveur d'une altération du débit de filtration glomérulaire chez les chiens protéinuriques atteints du syndrome de Cushing. Par ailleurs, 36,5 % des chiens avaient une uroculture positive à l'admission. La majorité des infections étaient monomicrobiennes et impliquaient la bactérie Escherichia coli. Les bactéries isolées étaient résistantes à 30 % des antibiotiques testés et l'érythromycine était l'antibiotique pour lequel le plus grand nombre de souches bactériennes étaient résistantes. La majorité des infections récidivantes étaient des infections persistantes (44 %), 25 % étaient des rechutes, 19 % des réinfections et 12 % des surinfections. Quant aux urolithiases, celles-ci étaient peu fréquentes (10,3 %) et leur nature n'a pu être confirmée par spectrophotométrie que dans un seul cas (oxalate de calcium). Leur localisation était principalement vésicale. D'autres études seraient nécessaires afin de vérifier le lien de causalité entre syndrome de Cushing et ces complications urinaires et étudier leur impact sur la prise en charge thérapeutique et le pronostic.[-]
L'hypercorticisme, également connu sous le nom de syndrome de Cushing est une dysendocrinie largement documentée chez le chien âgé. Elle s'accompagne d'un certain nombre de complications, notamment urinaires. L'objectif premier de notre étude était de décrire les complications urinaires du syndrome de Cushing au moment du diagnostic, puis leur évolution après la mise en place d'un traitement spécifique de l'hypercorticisme. Nous avons cherché à ...

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Life ascending

Lane, Nick | Profile Books | 2010

Livre | Cote : U-08-00-21

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Le grand livre des chiens de race

Rossi, Valéria | 3ème édition | Éditions De Vecchi | 2005

Livre | Cote : Z-03-04-350B

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Le grand livre des chiens de race

Rossi, Valéria | 2ème édition | Éditions De Vecchi | 2003

Livre | Cote : Z-03-04-350A

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