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Imagerie des affections inflammatoires infectieuses vertébrale chez le cheval

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Thèse
H

Mallédan, Tifenn

École nationale vétérinaire de Toulouse

2014

122 p.

T-2014-038

Arthrose ; Infection ; Ostéomyélite ; Inflammation ; Diagnostic ; Imagerie médicale ; Équidé ; Cheval

Url / Doi : http://oatao.univ-toulouse.fr/11924/7/Malledan_11924.pdf

Localisation : Env Alfort (Bibliothèque)

N° de thèse : 38

Bibliographie : 62

Titre anglais : Imaging of infectious inflammatory vertebral diseases of the horse

En ligne : Oui

Type de fond : Fonds contemporain

L’anatomie de la colonne vertébrale des chevaux et les grands principes des différentes modalités d’imagerie médicale sont présentés dans les deux premières parties de cette étude bibliographique afin de mieux comprendre et interpréter les lésions provoquées par les affections infectieuses inflammatoires vertébrales des chevaux. La troisième partie correspond à une synthèse des rares cas de discospondylites et d’ostéomyélites vertébrales rapportés dans la littérature scientifique. Ces affections sont dues à une dissémination sanguine d’un germe suite à une infection systémique ou à une inoculation directe de germe suite à un traumatisme. Les signes cliniques relevés sont souvent peu spécifiques et dépendent généralement du germe responsable (Streptococcus sp. Staphylococcus sp., Rhodococcus equi, Eikenella corrodens, ...). Le recours aux techniques d’imagerie médicale se révèle donc primordial pour le diagnostic de ces affections vertébrales. La technique la plus utilisée est la radiographie, elle permet de mettre en évidence des lésions osseuses telles que des zones d’ostéolyse, de sclérose et éventuellement d’ostéoprolifération. Leur localisation au niveau des disques intervertébraux ou des processus épineux est souvent pathognomonique. Toutefois ces signes apparaissent tardivement, une quinzaine de jours après le début des signes cliniques, et ne permettent pas d’évaluer toutes les lésions. Il est donc intéressant d’associer la radiographie à d’autres techniques d’imagerie. La scintigraphie est rarement disponible dans les cliniques équines ; elle est pourtant très utile pour dénombrer et localiser les lésions par l’apparition de zones d’hyperfixation du produit radioactif préalablement injecté. L’utilisation de l’échographie permet d’examiner les surfaces osseuses et les tissus mous, et notamment d’objectiver la présence d’abcès ou de collections liquidiennes. Enfin, lors de l’apparition de signes nerveux, il peut être intéressant de réaliser une myélographie afin de localiser d’éventuelles zones de compression de la moelle spinale

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