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Validation d'une méthode de diagnostic du lymphome félin : test de clonalité des lymphocytes en PARR (PCR for Antigen Receptor Rearrangements) | 3 rd

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Thèse
H

Rodrique, Clément

Oniris - Ecole Nationale Vétérinaire, Agroalimentaire et de l'Alimentation, Nantes Atlantique

SHURDINGTON (UK);CHURCH LANE (GBR)

2016

94 p.

978-1-905319-63-3

N-2016-062

Lymphome ; Réaction de polymérisation ; Tumeur ; Diagnostic ; Clonalite ; Test ; Chat

Url / Doi : https://doc-veto.oniris-nantes.fr/ListRecordVisio.htm?idlist...

Localisation : Oniris Chantrerie Documentation

N° de thèse : 062

Bibliographie : 139

Le lymphome félin est une entité pathologique majeure dans la pratique quotidienne de la médecine vétérinaire. Hémopathie maligne la plus commune du chat, c’est également une des tumeurs au sens large les plus fréquemment rencontrées dans cette espèce. Si son extrême polymorphisme clinique lui donne une place dans de nombreux diagnostics différentiels, le diagnostic définitif s’avère parfois délicat. Les examens complémentaires immédiats ne permettent pas d’établir un diagnostic de certitude, celui-ci nécessitant une analyse cytologique a minima, et souvent histologique. Selon le degré de différenciation et la morphologie des lymphocytes, leur caractère tumoral est parfois impossible à affirmer. De nouvelles techniques diagnostiques ne reposant pas sur des critères morphologiques sont décrites récemment, dont l’immunohistochimie ou l’analyse des réarrangements du récepteur à l’antigène. Le but de cette étude, menée au sein de l’unité de recherche AMaROC, était l’établissement d’un protocole permettant de proposer le diagnostic du lymphome félin en PARR à l’École Nationale Vétérinaire de Nantes – Oniris. Les essais menés n’ont pas permis d’aboutir à un protocole suffisamment sensible pour le diagnostic des lymphomes B, malgré les excellents résultats observés d’emblée pour les lymphomes T. L’hypothèse principale retenue est un pouvoir de résolution trop faible de la méthode de révélation. Dans ce cas, la possibilité pour AMaROC, dans un avenir proche, d’avoir accès aux techniques de micro-électrophorèse capillaire pourrait permettre la finalisation de cette étude.
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