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H
Les leptospires appartiennent au phylum bactérien des Spirochètes composé des espèces pathogènes responsables de la leptospirose, zoonose mondiale dont la pathogénie reste encore méconnue. L'auteur présente une technique de PCR quantitative (qPCR) permettant de suivre l'infection par des leptospires virulents (Leptospira interrogans) chez le jeune cobaye (Cavia porcellus) en déterminant la quantité de bactéries présentes dans le sang et les organes lors d'infection par voie intra-péritonéale, sous-cutanée et oculaire. Cette étude a permis de confirmer que les leptospires, après multiplication dans le sang, atteignent plusieurs organes et préférentiellement le foie, les reins, et poumons. Un décalage dans la cinétique d'infection selon le mode d'inoculation a été mis en évidence. Afin de compléter cette étude, les lésions macroscopiques et microscopiques ont été observées, ainsi que l'évolution des paramètres biochimiques caractéristiques de la leptospirose et de la réponse immunitaire. Par ailleurs, l'absence de multiplication des bactéries chez l'hôte d'un clone avirulent de L. interrogans a été confirmée par l'absence de lésions anatomopathologiques, de modifications des variables biochimiques et de la réponse immunitaire.
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Les leptospires appartiennent au phylum bactérien des Spirochètes composé des espèces pathogènes responsables de la leptospirose, zoonose mondiale dont la pathogénie reste encore méconnue. L'auteur présente une technique de PCR quantitative (qPCR) permettant de suivre l'infection par des leptospires virulents (Leptospira interrogans) chez le jeune cobaye (Cavia porcellus) en déterminant la quantité de bactéries présentes dans le sang et les ...
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H
Ce travail a été mené dans 20 élevages de bovins laitiers de l'Ouest de la France, afin d'étudier les facteurs de variation de la prévalence des bovins porteurs asymptomatiques de B. divergens. Nous avons vérifié en premier lieu que les 20 élevages sélectionnés présentaient des séroprévalences de B. divergens chez les vaches laitières réparties dans un large panel en réalisant des sérologies individuelles par immunofluorescence indirecte en hiver. Des nymphes d'I. ricinus non gorgées ont ensuite été collectées au printemps par la méthode du drapeau sur un tiers du périmètre de l'ensemble des pâtures des élevages. Chaque tranche de collecte a reçu un score de 1 à 5 traduisant la densité de végétation. Nous avons calculé une densité moyenne de nymphes dans les élevages de 3,16 / 100 m2. Les densités de nymphes sur les parcelles sont corrélées significativement avec le pourcentage de tranches de score 5 et avec le score moyen de la parcelle. L'ADN de B. divergens a été recherché sur nymphes entières, récoltées sur les pâtures des vaches laitières, par une PCR nichée avec des amorces spécifiques de B. divergens et B. capreoli. La prévalence moyenne obtenue est de 48,5% (sur sept élevages). Enfin, la comparaison de nos résultats avec ceux d'une deuxième étude (thèse vétérinaire de Maxime Vénisse) réalisée conjointement dans le même but a montré que (1) la prévalence de B. divergens chez les nymphes libres récoltées sur les parcelles des vaches laitières, (2) la densité de nymphes libres ou encore (3) le pourcentage de tranches de score 5 sur ces mêmes parcelles ne semblent pas avoir d'influence significative sur la prévalence de B. divergens chez les vaches multipares.
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Ce travail a été mené dans 20 élevages de bovins laitiers de l'Ouest de la France, afin d'étudier les facteurs de variation de la prévalence des bovins porteurs asymptomatiques de B. divergens. Nous avons vérifié en premier lieu que les 20 élevages sélectionnés présentaient des séroprévalences de B. divergens chez les vaches laitières réparties dans un large panel en réalisant des sérologies individuelles par immunofluorescence indirecte en ...
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V
Dans un élevage breton hors-sol de 800 truies, une infertilité chronique récurrente était accompagnée de sérologies positives à titres faibles (100) pour leptospira interrogans sérogroupe Australis, avec une prévalence de 13 %. A l'échelle individuelle aucun lien n'est apparu entre la séropositivité et l'infertilité. La PCR a révélé une prévalence nulle d'excrétion urinaire de la bactérie. Le seuil de positivité de la méthode utilisée est de 10 leptospires par millilitre d'urine de truie ensemencée expérimentalement. Néanmoins le traitement du troupeau de reproducteurs à base de chlortétracycline et de doxycycline s'est accompagné d'une augmentation significatives du taux de mise-bas. L'effet observé est non spécifique (amélioration globale de la santé) ou dû à une action sur d'autres germes (Eperythrozoon suis par exemple).
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Dans un élevage breton hors-sol de 800 truies, une infertilité chronique récurrente était accompagnée de sérologies positives à titres faibles (100) pour leptospira interrogans sérogroupe Australis, avec une prévalence de 13 %. A l'échelle individuelle aucun lien n'est apparu entre la séropositivité et l'infertilité. La PCR a révélé une prévalence nulle d'excrétion urinaire de la bactérie. Le seuil de positivité de la méthode utilisée est de 10 ...
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