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Le cirque nait à cheval en 1768 en Angleterre. Initialement théâtre équestre à visée aristocratique composé de voltige, de haute école et de dressage en liberté, il subira de nombreuses mutations et le cheval en disparaitra progressivement. Le cirque contemporain compte d'innombrables genres où le cheval est souvent absent ; néanmoins le Cirque Alexis Gruss, comme son équivalent suisse le Cirque Knie, honore l'importance historique du cheval dans le cirque tandis que le théâtre équestre moderne se distingue par sa mise en scène où le cheval est central. Copieusement harnaché ou nu sous les projecteurs, le cheval apparaît sous toutes ses formes dans la piste, où il évolue seul ou accompagné de camarades équins et humains. Reflété dans la qualité des présentations, son bien-être est au centre des préoccupations des circassiens contemporains. Chevaux de tous gabarits et de toutes aptitudes se rencontrent au cirque et forment une mosaïque de couleurs, de formes et de talents.[-]
Le cirque nait à cheval en 1768 en Angleterre. Initialement théâtre équestre à visée aristocratique composé de voltige, de haute école et de dressage en liberté, il subira de nombreuses mutations et le cheval en disparaitra progressivement. Le cirque contemporain compte d'innombrables genres où le cheval est souvent absent ; néanmoins le Cirque Alexis Gruss, comme son équivalent suisse le Cirque Knie, honore l'importance historique du cheval ...

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« L'histoire se fait avec des documents écrits, sans doute. Quand il y en a. Mais elle peut se faire, elle doit se faire, sans documents écrits s'il n'en existe point. Avec tout ce que l'ingéniosité de l'historien peut lui permettre d'utiliser pour fabriquer son miel, à défaut des fleurs usuelles. Donc avec des mots. Des signes. Des paysages et des tuiles. Des formes de champs et de mauvaises herbes. » Le programme tracé par Lucien Febvre en 1949 a été suivi par les historiens, sociologues, économistes et archéologues rassemblés en cet ouvrage afin de mettre en évidence les traces des savoirs ruraux. De grands mouvements s'esquissent dans cette vaste histoire des connaissances campanaires : du sensible au quantifiable, de la productivité à l'écologie, du quotidien au savant. C'est une autre histoire de la ruralité qui émerge, riche de rationalités pratiques.[-]
« L'histoire se fait avec des documents écrits, sans doute. Quand il y en a. Mais elle peut se faire, elle doit se faire, sans documents écrits s'il n'en existe point. Avec tout ce que l'ingéniosité de l'historien peut lui permettre d'utiliser pour fabriquer son miel, à défaut des fleurs usuelles. Donc avec des mots. Des signes. Des paysages et des tuiles. Des formes de champs et de mauvaises herbes. » Le programme tracé par Lucien Febvre en ...

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La profession vétérinaire s'est construite au cours d'un long processus de professionnalisation semé de difficultés diverses telles que la concurrence avec des professions proches (appelées les empiriques à l'époque). En outre, l'étude de ces évolutions permet de mettre en lumière les problématiques passées des praticiens, ce qui permet par la suite de mieux comprendre les problématiques actuelles ressenties par nos confrères. L'étude d'entretiens semi-directifs menés auprès de confrères volontaires nous a ainsi permis de dresser les problématiques liées à l'évolution de la société de façon globale. Ainsi, nous retiendrons les difficultés de recrutement, les changements de relation avec la clientèle ou encore l'apparition d'une cohabitation entre différentes générations de vétérinaires, peu présents il y a encore quelques dizaines d'années.[-]
La profession vétérinaire s'est construite au cours d'un long processus de professionnalisation semé de difficultés diverses telles que la concurrence avec des professions proches (appelées les empiriques à l'époque). En outre, l'étude de ces évolutions permet de mettre en lumière les problématiques passées des praticiens, ce qui permet par la suite de mieux comprendre les problématiques actuelles ressenties par nos confrères. L'étude d...

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Les caractéristiques géologiques du département des Landes en font un territoire peu propice à l'agriculture. Avant le XIX° siècle on y pratique une agriculture vivrière reposant sur un système agro pastoral permis par l'élevage extensif ovin. Au milieu du XIX° siècle une volonté politique forte impose le drainage du territoire de façon à permettre son exploitation. Le développement de la sylviculture est permis notamment par les animaux de bat. A l'ère de la spécialisation et de l'intensification des pratiques, l'élevage avicole traditionnel plein air se maintient. Aujourd'hui, la diversité des espèces animales au sein du territoire est élevée, avec une volonté de sauvegarde de races d'importance culturelle. On note toutefois un déclin marqué de l'élevage bovin. L'avenir de l'élevage avicole traditionnel est quant à lui remis en question à la suite des nombreux épisodes d'influenza aviaire qui touchent le département.[-]
Les caractéristiques géologiques du département des Landes en font un territoire peu propice à l'agriculture. Avant le XIX° siècle on y pratique une agriculture vivrière reposant sur un système agro pastoral permis par l'élevage extensif ovin. Au milieu du XIX° siècle une volonté politique forte impose le drainage du territoire de façon à permettre son exploitation. Le développement de la sylviculture est permis notamment par les animaux de bat. ...

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Cette thèse porte sur l'étude des pratiques et des modes de consommation de l'être humain au travers son histoire. Nous nous concentrons dans un premier temps sur les quantités d'espèces consommées par celui-ci et leurs variations depuis le temps des premiers homininés jusqu'à l'époque contemporaine. Nous resserrons notre étude au cas de la France, qui se poursuit par la construction de la valeur sociale de la viande dans notre société en se basant sur le principe d'incorporation. C'est également le lieu d'évoquer les divers tabous alimentaires qui existent autour de la consommation de produits carnés. La dynamique récente de diététisation de notre alimentation nous conduit à la troisième partie de ce manuscrit, qui traite, dans un cadre médical, des intérêts et limites de la consommation de viande. Sont discutés les qualités nutritionnelles indéniables que possède la viande face au risque de survenue de maladies aigues et chroniques. Enfin, la dernière partie de cette thèse nous emmène sur un terrain davantage philosophique, où il est question d'aborder le développement d'une éthique animale. Dans une société française urbanisée, dont les relations avec le monde animale ne reposent plus que sur l'émotion, il est désormais très contesté d'élever, de tuer, puis de manger des animaux.[-]
Cette thèse porte sur l'étude des pratiques et des modes de consommation de l'être humain au travers son histoire. Nous nous concentrons dans un premier temps sur les quantités d'espèces consommées par celui-ci et leurs variations depuis le temps des premiers homininés jusqu'à l'époque contemporaine. Nous resserrons notre étude au cas de la France, qui se poursuit par la construction de la valeur sociale de la viande dans notre société en se ...

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Charts 200 years of growth, development and global contributions of veterinary education in Edinburgh :

Establishment of separate Colleges of Veterinary Medicine in Edinburgh
Establishment of the war-time Polish Veterinary Faculty in Edinburgh
Development of the postgraduate Centre for Tropical Veterinary Medicine
Involvement of the University of Edinburgh in Veterinary Education
Women as veterinary graduates in Edinburgh
International training in veterinary medicine and surgery

The history of veterinary education in Edinburgh has been traced from 1696 to 2022. William Dick established his veterinary school in 1823. The development of his veterinary interest, formal training and family life is presented. About 14,000 students from at least 139 countries have studied towards obtaining undergraduate veterinary degrees and/or postgraduate qualifications (diplomas, masters, doctorates) from the Dick Vet, Gamgee's Edinburgh New Veterinary College, and Williams' New Edinburgh Veterinary College, Polish Veterinary Faculty and the Centre for Tropical Veterinary Medicine. The progressive changes in course duration, content, staffing and physical facilities are described. The student populations, graduations, dress codes, extra-curricular activities and traditions give insights into the lives of veterinary students over two centuries. The academic and clinical leadership of the individual veterinary teaching and research institutes is described. Some indication is given of administrative, teaching and support staff. The geographical location of veterinary education in Edinburgh is highlighted. [site de l'éditeur][-]
Charts 200 years of growth, development and global contributions of veterinary education in Edinburgh :

Establishment of separate Colleges of Veterinary Medicine in Edinburgh
Establishment of the war-time Polish Veterinary Faculty in Edinburgh
Development of the postgraduate Centre for Tropical Veterinary Medicine
Involvement of the University of Edinburgh in Veterinary Education
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L'histoire de la contagion

Berche, Patrick | Ellipses | 2023

Livre | Cote : U-03-00-107

Quelles sont les causes des épidémies ?
Cet ouvrage relate l'histoire fascinante de la contagion depuis l'Antiquité.
Longtemps les épidémies ont été expliquées par la théorie des miasmes, exhalaisons putrides émanant des marais. Cette croyance a perduré, sans base expérimentale, jusqu'à la théorie des germes de Pasteur en 1878.
La contagion est alors matérialisée par des germes observés au microscope (bactéries, parasites), et d'autres invisibles traversant les filtres de porcelaine (virus). Par la suite, on découvrira l'existence d'agents infectieux moléculaires, sous forme de molécules d'ARN (viroïdes des plantes) et de protéines déformées, les prions qui induisent des maladies neurodégénératives. L'analyse du génome humain a aussi révélé de façon surprenante qu'en réalité notre ADN est un cimetière de virus défectifs, témoignant de nombreuses agressions virales subies par le monde vivant depuis des millions d'années.(4e de couv.)[-]
Quelles sont les causes des épidémies ?
Cet ouvrage relate l'histoire fascinante de la contagion depuis l'Antiquité.
Longtemps les épidémies ont été expliquées par la théorie des miasmes, exhalaisons putrides émanant des marais. Cette croyance a perduré, sans base expérimentale, jusqu'à la théorie des germes de Pasteur en 1878.
La contagion est alors matérialisée par des germes observés au microscope (bactéries, parasites), et d'autres ...

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Le renard roux est plus que jamais chez lui dans la France de ce début du XXIe siècle. Il est, bien sûr, présent dans les campagnes où les ruraux prennent conscience de son utilité. Mais également dans les villes qu'il est en train de coloniser à une vitesse surprenante. Et même dans nos esprits et dans nos pratiques quotidiennes puisque nous pouvons régulièrement croiser le petit canidé sur nos écrans, dans nos livres ou encore sur divers objets. Qu'elles semblent loin ces longues décennies du XXe siècle au cours desquelles le goupil fut victime de massacres de grande ampleur en raison de ses prédations et surtout de son rôle dans l'épidémie de rage ! Avec ce livre qui croise les sciences humaines et sociales avec les sciences du vivant, c'est à l'étude de ce bouleversement du vécu des renards roux et de ce renversement d'image en cours depuis un siècle que l'historien Nicolas Baron nous convie.[-]
Le renard roux est plus que jamais chez lui dans la France de ce début du XXIe siècle. Il est, bien sûr, présent dans les campagnes où les ruraux prennent conscience de son utilité. Mais également dans les villes qu'il est en train de coloniser à une vitesse surprenante. Et même dans nos esprits et dans nos pratiques quotidiennes puisque nous pouvons régulièrement croiser le petit canidé sur nos écrans, dans nos livres ou encore sur divers ...

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From Ayurvedic texts to botanical medicines to genomics, ideas and expertise about veterinary healing have circulated between cultures through travel, trade, and conflict. In this broad-ranging and accessible study spanning 400 years of history, Susan D. Jones and Peter A. Koolmees present the first global history of veterinary medicine and animal healing. Drawing on inter-disciplinary and multi-disciplinary perspectives, this book addresses how attitudes toward animals, disease causation theories, wars, problems of food insecurity and the professionalization and spread of European veterinary education have shaped new domains for animal healing, such as preventive medicine in intensive animal agriculture and the need for veterinarians specializing in zoo animals, wildlife, and pets. It concludes by considering the politicization of animal protection, changes in the global veterinary workforce, and concerns about disease and climate change. As mediators between humans and animals, veterinarians and other animal healers have both shaped, and been shaped by, the social, cultural, and economic roles of animals over time[-]
From Ayurvedic texts to botanical medicines to genomics, ideas and expertise about veterinary healing have circulated between cultures through travel, trade, and conflict. In this broad-ranging and accessible study spanning 400 years of history, Susan D. Jones and Peter A. Koolmees present the first global history of veterinary medicine and animal healing. Drawing on inter-disciplinary and multi-disciplinary perspectives, this book addresses how ...

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Bouleversé par l'impact de la modernisation agricole et de l'intégration européenne, l'élevage français se trouve au début des années 1960 à une croisée des chemins. Pouvoirs publics et représentants professionnels s'accordent alors pour créer un appareil de développement dédié aux productions animales des ruminants, afin de faciliter l'adoption des innovations issues de la recherche. C'est ainsi que sont fondés l'Institut technique de l'élevage bovin en 1962 et l'Institut technique de l'élevage ovin et caprin en 1967.
En situation de médiation entre la recherche et le conseil agricole, les missions de ces instituts se limitent à l'origine au test des innovations dans des fermes expérimentales et au transfert de connaissances, dans la ligne modernisatrice fixée par la loi sur l'élevage de 1966. Mais, devant la grande diversité des systèmes d'élevage et les défis croissants que ces derniers doivent relever, les agents des instituts techniques en viennent, dès les années 1970, à élaborer des méthodes originales pour accompagner les éleveurs. D'abord marginaux, ces savoir-faire gagnent en légitimité face aux conséquences sociales, économiques et enfin écologiques de la course à l'innovation et à la compétitivité.
Rassemblés en 1991 dans un seul et unique Institut de l'élevage aux compétences transversales, ces agents vont se trouver confrontés à des crises sanitaires majeures et aux problématiques croisées de la révolution numérique, de l'avènement de la génomique, d'attentes sociétales nouvelles, et surtout des enjeux environnementaux, devenus prégnants au tournant des années 2000. L'appui au monde de l'élevage ne peut plus être pensé seulement en termes de développement, il doit aussi prendre en compte les transitions nécessaires.
Adossé à des archives inédites et aux témoignages d'hommes et de femmes ayant vécu et porté ces évolutions, ce livre retrace l'histoire méconnue d'une ingénierie qui aura joué un rôle crucial dans les métamorphoses de l'élevage français, offrant une contribution importante au débat sur l'avenir de la relation entre élevage et société.[-]
Bouleversé par l'impact de la modernisation agricole et de l'intégration européenne, l'élevage français se trouve au début des années 1960 à une croisée des chemins. Pouvoirs publics et représentants professionnels s'accordent alors pour créer un appareil de développement dédié aux productions animales des ruminants, afin de faciliter l'adoption des innovations issues de la recherche. C'est ainsi que sont fondés l'Institut technique de l'élevage ...

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La confrontation des sources littéraires et des données archéologiques s'avère importante pour essayer de comprendre tout à la fois la mise en place des interdits alimentaires particuliers à une religion, les limites de la mise en pratique des interdits alimentaires et leur évolution dans le temps. Les interdits alimentaires et les restrictions sur la commensalité permettent à différents groupes religieux d'établir une frontière entre "eux" et "nous".
Le corpus de textes normatifs appartenant aux droits religieux et civils interdisant la consommation d'aliments particuliers a été souvent étudié pour le judaïsme ou l'islam, moins souvent pour les polythéismes, le zoroastrisme ou le christianisme. Nous allons présenter la littérature normative et faire réfléchir sur les limites de sa mise en application, en nous appuyant sur l'archéozoologie qui peut fournir des données sur le décalage entre norme et pratique.[-]
La confrontation des sources littéraires et des données archéologiques s'avère importante pour essayer de comprendre tout à la fois la mise en place des interdits alimentaires particuliers à une religion, les limites de la mise en pratique des interdits alimentaires et leur évolution dans le temps. Les interdits alimentaires et les restrictions sur la commensalité permettent à différents groupes religieux d'établir une frontière entre "eux" et ...

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Entre 1764 et 1767, dans le Gévaudan sévit un animal qui tue et dévore les habitants. De nombreuses battues ont été menées afin de le neutraliser, successivement par le Capitaine Duhamel, les d'Enneval et François-Antoine de Beauterne. Un premier loup aux dimensions extraordinaires est tué, mais les massacres continuent. Jean Chastel achèvera finalement la Bête du Gévaudan en 1767. Malgré les témoignages des survivants, et l'autopsie réalisée, un doute subsiste encore aujourd'hui quand à sa nature. Chacun a son hypothèse, mais personne ne détient la vraie réponse à la question. La Bête du Gévaudan a fait couler beaucoup d'encre, de son vivant et après sa mort. Plus il y a de récits et d'études sur le sujet, plus sa nature semble incertaine, laissant apparaître de nouvelles hypothèses. Nous ne saurons probablement jamais la vérité sur cette affaire du XVIIIe siècle, mais ce qui est sûre c'est que la Bête a su faire parler d'elle et aura inspiré de nombreux récits et de nombreux artistes.[-]
Entre 1764 et 1767, dans le Gévaudan sévit un animal qui tue et dévore les habitants. De nombreuses battues ont été menées afin de le neutraliser, successivement par le Capitaine Duhamel, les d'Enneval et François-Antoine de Beauterne. Un premier loup aux dimensions extraordinaires est tué, mais les massacres continuent. Jean Chastel achèvera finalement la Bête du Gévaudan en 1767. Malgré les témoignages des survivants, et l'autopsie réalisée, ...

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Symbiose, exploitation, amour, destruction, collaboration, prédation, représentations tissent des relations contrastées avec les vivants. De l'élevage aux productions industrielles, de l'abattage rituel au bien-être animal, des animaux d'expérimentation aux antispécistes, de la zoophilie à l'extermination, la question animale fait l'objet de controverses violentes.
Pour mieux comprendre ce débat crucial au jour de la sixième extinction de masse et du réchauffement climatique, ce dossier présente les liens, parfois paradoxaux et toujours situés, qui nous unissent aux animaux. Une mise au point éclairante sur notre devenir humain et des façons différentes d'être au monde.

Les animaux à l'âge de l'anthropocène
Le Perche : le grand dépeuplement d'un espace rural français
Quelle variété et quelle répartition du vivant
sur Terre ?
Circulation et diffusion des zoonoses
L'Anthropocène et l'effondrement de la biodiversité
Les pollutions sonores et lumineuses

Habiter la Terre avec les animaux
Les territoires animaux
Pister les animaux
Prendre le point de vue animal ?
L'animal domestiqué
Paris, niche écologique ?
Politiques publiques et place des animaux en ville

Consommer et protéger les animaux
Les animaux marchandises : le cas du rhinocéros
Les animaux de compagnie
Une visite au zoo
Chasse vivrière, chasse commerciale,
chasse à courre
La relation d'élevage
Abattre un animal

Une relation morale
Protéger pour exploiter ? Les aires protégées
en Afrique australe
Comment classer les animaux ?
Se mobiliser pour (ou contre) les animaux
Ritualiser la mise à mort des animaux
Les vétérinaires face à la souffrance et la mort
Animaux et normes sociales : la zoophilie[-]
Symbiose, exploitation, amour, destruction, collaboration, prédation, représentations tissent des relations contrastées avec les vivants. De l'élevage aux productions industrielles, de l'abattage rituel au bien-être animal, des animaux d'expérimentation aux antispécistes, de la zoophilie à l'extermination, la question animale fait l'objet de controverses violentes.
Pour mieux comprendre ce débat crucial au jour de la sixième extinction de masse ...

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Cet ouvrage reconstitue cette mission effectuée par un médecin (Auguste Delpech) et un vétérinaire (Jean Reynal), tous deux membres de l'Académie impériale de médecine. Son objectif était de mieux connaître la trichinose, une maladie nouvellement identifiée, liée à la consommation de viande de porc et sévissant en Allemagne. Lors d'un périple de plusieurs semaines, ils rencontrèrent les sommités médicales du temps en Allemagne et se forgèrent une opinion sur la maladie et sa prévention. Au travers de la description de cette mission, l'auteur tente de présenter les différents aspects du parasite et de la parasitose tels qu'ils étaient perçus au XIXe siècle. Deux petites saynètes, imaginées par Thierry Hueber, décrivent les échanges entre Delpech et Reynal pendant leur long voyage en train et leur rencontre à Berlin avec Virchow.[-]
Cet ouvrage reconstitue cette mission effectuée par un médecin (Auguste Delpech) et un vétérinaire (Jean Reynal), tous deux membres de l'Académie impériale de médecine. Son objectif était de mieux connaître la trichinose, une maladie nouvellement identifiée, liée à la consommation de viande de porc et sévissant en Allemagne. Lors d'un périple de plusieurs semaines, ils rencontrèrent les sommités médicales du temps en Allemagne et se forgèrent ...

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4e de couverture :Races bretonnes, une histoire bien vivante raconte la naissance, la quasi-disparition et le sauvetage de la vache Bretonne Pie-Noir et de la Froment du Léon, du mouton d'Ouessant et du Landes de Bretagne ou de la chèvre des Fossés. Le livre évoque aussi le triste sort du poney d'Ouessant, du bidet breton, de la vache de Carhaix et d'autres races éteintes. 250 documents, dont beaucoup sont inédits, illustrent un récit qui couvre plus de deux siècles de l'histoire régionale. Chevaux, vaches, moutons, chèvres, ânes et volailles de Bretagne ont accompagné les humains pendant des millénaires et cet ouvrage explore les liens originaux qu'ils ont tissés. Loin d'être les reliques d'un temps passé empreint de nostalgie, ces animaux portent aujourd'hui des enjeux à la fois économiques, sociaux, écologiques et culturels. Il s'agit d'un patrimoine vivant issu d'une longue aventure humaine. La préservation et la transmission de cette richesse irremplaçable seront au cœur de l'agriculture de demain.[-]
4e de couverture :Races bretonnes, une histoire bien vivante raconte la naissance, la quasi-disparition et le sauvetage de la vache Bretonne Pie-Noir et de la Froment du Léon, du mouton d'Ouessant et du Landes de Bretagne ou de la chèvre des Fossés. Le livre évoque aussi le triste sort du poney d'Ouessant, du bidet breton, de la vache de Carhaix et d'autres races éteintes. 250 documents, dont beaucoup sont inédits, illustrent un récit qui couvre ...

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Les ferrures orthopédiques sont au cœur de la pratique de l'orthopédie vétérinaire, et elles ne cessent d'évoluer dans le temps, par leurs formes, leurs matières premières, leurs indications pour les principales affections orthopédiques. La maréchalerie et l'orthopédie vétérinaire sont étroitement liées, et ainsi, vétérinaires et maréchaux-ferrants travaillent main dans la main pour proposer le traitement orthopédique le plus adapté à chaque cheval lors d'affection du système locomoteur. Le musée de Vetagro Sup contient une collection de fer à cheval d'âges variés et de toutes formes. Cette thèse vise à reconnaitre et classer les fers orthopédiques de cette collection grâce à la littérature du XXe siècle disponible. Quinze fers à cheval ont été sélectionnés et étudiés. Ce travail vise à expliquer concisément sous forme de fiches les effets biomécaniques du fer en question sur le pied, ainsi que ses indications pour le traitement orthopédique des principales affections du pied du cheval. Puis, une comparaison est réalisée avec les fers actuels du même type s'ils sont toujours utilisés, afin de caractériser leur évolution dans le temps.[-]
Les ferrures orthopédiques sont au cœur de la pratique de l'orthopédie vétérinaire, et elles ne cessent d'évoluer dans le temps, par leurs formes, leurs matières premières, leurs indications pour les principales affections orthopédiques. La maréchalerie et l'orthopédie vétérinaire sont étroitement liées, et ainsi, vétérinaires et maréchaux-ferrants travaillent main dans la main pour proposer le traitement orthopédique le plus adapté à chaque ...

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L'histoire de la science est émaillée de vies de scientifiques illustres, comme Charles Darwin, Marie Curie ou Albert Einstein, qui ont relaté leur passion pour la recherche et évoqué les émotions qui y ont contribué. De manière générale, tous les chercheurs connaissent le plaisir intellectuel associé à leur activité professionnelle. La plupart s'engagent avec ferveur dans leurs travaux et prennent à cœur de convaincre la communauté et/ou le grand public de leur pertinence et de leur importance. Peu de chercheurs reconnaissent cependant que leurs émotions peuvent avoir une incidence sur la façon dont ils abordent leur objet de recherche, ni sur la manière dont ils la pratiquent.
Les émotions modifient-elles le choix de l'objet d'étude ou celui des outils ? Influencent elles la lecture et l'interprétation des résultats ou des faits scientifiques ? Le chercheur doit-il ou peut-il contrôler ses émotions ou tenter de les mettre à distance ? Faut-il au contraire leur accorder une place dans le processus même de la recherche ? Une émotion est-elle une source appropriée de la connaissance scientifique ? Comment évaluer les émotions ? C'est à toutes ces questions que cet ouvrage propose de répondre.
DOI : 10.35690/978-2-7592-3548-3[-]
L'histoire de la science est émaillée de vies de scientifiques illustres, comme Charles Darwin, Marie Curie ou Albert Einstein, qui ont relaté leur passion pour la recherche et évoqué les émotions qui y ont contribué. De manière générale, tous les chercheurs connaissent le plaisir intellectuel associé à leur activité professionnelle. La plupart s'engagent avec ferveur dans leurs travaux et prennent à cœur de convaincre la communauté et/ou le ...

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Brochiure de l'exposition " Le vétérinaire de campagne, une icône culturelle ?" présentée au congrès du SNGTV à la Cité des Congrès de Nantes, 18-20 mai 2022

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En 1813, dans un contexte de pénurie de vétérinaires, Napoléon signe le décret de Moscou, modifiant l'enseignement vétérinaire. L'école d'Alfort devient l'unique école de première classe du pays, formant des maréchaux vétérinaires en trois années d'études mais regroupant également les meilleurs éléments pour leur proposer une formation de deux ans supplémentaires permettant d'obtenir le diplôme de médecin vétérinaire. Après avoir décrit une vue d'ensemble du contexte historique du début du XIXème siècle avec ses nombreux changements politiques et ses reformes de l'enseignement vétérinaire, de la condition de la profession vétérinaire en France, de son combat face aux empiriques, et surtout des critères de sélection de ses élèves, de leur vie au sein de l'École et de leur enseignement rigoureux ainsi que les examens qui les sanctionnaient, cette thèse s'intéresse aux élèves de l'école d'Alfort. Dans un intérêt à la fois sociologique et historique, cette thèse décrit et analyse les caractéristiques de 838 élèves admis entre 1813 et 1824, et pour certains, diplômés entre 1815 et 1828. Elle s'appuie sur la construction d'un fichier Excel, à partir du recueil d'informations dans les archives départementales du Val-de-Marne. Les analyses montrent que les élèves-maréchaux étaient majoritairement âgés d'entre 17 et 20 ans conformément aux conditions d'admission, les élèves-médecins d'entre 19 et 23 ans, avec une augmentation progressive sur la période pour ces derniers. La proportion d'élèves militaires était plus importante parmi les élèves-médecins (13,9%) que parmi les élèves-maréchaux (8,3%). Ces élèves étaient moins nombreux que prévu par les textes. Par ailleurs, les élèves boursiers représentaient 27,3% des élèves-maréchaux et 58,3% des élèves-médecins. La durée des études était respectivement de 3 et 2 ans pour 52% des élèves-maréchaux et des élèves-médecins. Le taux de vétérances était plus faible qu'attendu, 16% des élèves-maréchaux et 4,4% des élèves médecins, pouvant s'expliquer par la possibilité de rattraper son redoublement qu'il existait à cette époque. De plus, les vétérances étaient plus rares chez les élèves-maréchaux poursuivant leurs études en tant que médecin-vétérinaire. Enfin, le diplôme de maréchal-vétérinaire a été attribué dès 1813 et celui de médecin-vétérinaire à partir de 1815. Le taux de diplomation global pour le diplôme de maréchal-vétérinaire est de 58% et celui pour le diplôme de médecin-vétérinaire est de 48,6%. Le nombre total de diplômes attribués par l'école d'Alfort a diminué lors du passage au diplôme unique de vétérinaire en 1825, en passant d'un total de 46,5 diplômes par an à 26,5.[-]
En 1813, dans un contexte de pénurie de vétérinaires, Napoléon signe le décret de Moscou, modifiant l'enseignement vétérinaire. L'école d'Alfort devient l'unique école de première classe du pays, formant des maréchaux vétérinaires en trois années d'études mais regroupant également les meilleurs éléments pour leur proposer une formation de deux ans supplémentaires permettant d'obtenir le diplôme de médecin vétérinaire. Après avoir décrit une vue ...

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L'histoire célèbre les victoires que les médecins ont remportées sur les maladies. Mais elle néglige leurs patients dont les troubles, les souffrances ou les plaintes ont inauguré de nouveaux diagnostics, remis en cause certaines théories médicales ou ouvert des perspectives thérapeutiques inédites. Ciselés comme des nouvelles, ces récits de patients zéro racontent une autre histoire de la médecine : une histoire " par en bas ", dans laquelle des malades qui parfois s'ignorent et des patients comptés trop souvent pour zéro prennent la place des mandarins et des héros.
Parmi ces " cas ", certains sont célèbres, comme le petit Joseph Meister, qui permit au vaccin antirabique de Pasteur de franchir le cap de l'expérimentation humaine, ou Phineas Gage, dont le crâne perforé par une barre à mine révéla les fonctions du lobe frontal. La plupart sont oubliés ou méconnus, comme Auguste Deter, qui fit la renommée d'Aloïs Alzheimer, Mary Mallon, la plus saine des porteurs sains, qui ne souffrit jamais de la typhoïde qu'elle dissémina autour d'elle, ou Henrietta Lacks, atteinte d'un cancer foudroyant, dont les cellules dotées d'un pouvoir de prolifération exceptionnel éveillèrent la quête du gène de l'immortalité en voyageant autour du monde. À travers eux, ce livre interroge les errements, les excès et les dérives de la médecine d'hier à aujourd'hui.
Des origines foraines de l'anesthésie générale aux recherches génétiques ou neurobiologiques les plus actuelles en passant par les premières expériences de réassignation sexuelle, il tente de rendre justice aux miraculés, aux cobayes ou aux martyrs dont la contribution au progrès de la connaissance et du soin a été aussi importante que celle de leurs médecins, illustres ou non.
Prix La Science se livre 2021 [site de l'éditeur][-]
L'histoire célèbre les victoires que les médecins ont remportées sur les maladies. Mais elle néglige leurs patients dont les troubles, les souffrances ou les plaintes ont inauguré de nouveaux diagnostics, remis en cause certaines théories médicales ou ouvert des perspectives thérapeutiques inédites. Ciselés comme des nouvelles, ces récits de patients zéro racontent une autre histoire de la médecine : une histoire " par en bas ", dans laquelle ...

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La folle histoire des virus

Louis, Tania | HumenSciences | 2021

Livre | Cote : U-03-00-101

La véritable histoire des virus comme on ne vous l'a jamais racontée !
Des virus, on connaît souvent le pire, voici qu'un livre nous en révèle toutes les facettes.
Savez-vous par exemple que ce sont des virus qui ont permis à notre espèce humaine de fabriquer un placenta, ou que certains d'entre eux nous aident à nous défendre contre d'autres virus ? Deux avantages décisifs dans l'évolution. Alors, ennemis ou alliés ? Une chose est sûre, les virus sont bien plus anciens que l'humanité. Insolites, fascinants, incasables, ils excitent la curiosité des chercheurs.On en connaît des minuscules et des cinquante fois plus gros, certains parasitent leurs propres congénères, d'autres, comme le SARS-CoV-2, sautent la barrière d'espèce pour nous contaminer. D'ailleurs, comment les classer : sont-ils même des êtres vivants ? Et demain, que nous réservent-ils ? [4ème de couv.][-]
La véritable histoire des virus comme on ne vous l'a jamais racontée !
Des virus, on connaît souvent le pire, voici qu'un livre nous en révèle toutes les facettes.
Savez-vous par exemple que ce sont des virus qui ont permis à notre espèce humaine de fabriquer un placenta, ou que certains d'entre eux nous aident à nous défendre contre d'autres virus ? Deux avantages décisifs dans l'évolution. Alors, ennemis ou alliés ? Une chose est sûre, les ...

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Ce travail bibliographique retrace l'évolution des antiparasitaires externes vétérinaires au gré des avancées scientifiques et techniques et des modifications de la réglementation du médicament ces cinquante dernières années. Des progrès significatifs ont été faits sur l'innocuité des principes actifs pour l'animal et pour l'Homme, sur la galénique, sur la facilité de traitement, et sur l'efficacité des traitements contre certains parasites. Les attentes sociétales concernant la sécurité des aliments et la protection environnementale ont accompagné l'évolution des antiparasitaires externes. Leur retranscription dans la réglementation du médicament vétérinaire a amélioré la qualité et la sécurité les antiparasitaires externes et a conduit à un meilleur contrôle des résidus ainsi qu'une meilleure prise en compte du risque écotoxique. Mais elle a aussi participé à la forte réduction du nombre d'options thérapeutiques disponibles chez les animaux de rente et chez les espèces mineures en particulier. Les résistances aux antiparasitaires externes sont en constante progression et la toxicité environnementale reste préoccupante malgré les progrès réalisés. Il est dès lors nécessaire de raisonner l'usage des antiparasitaires et de les intégrer dans un plan de contrôle associant des mesures de gestion globale du parasitisme externe et de nouvelles solutions qui restent à développer, telles que la phytothérapie, la lutte biologique ou la vaccination.[-]
Ce travail bibliographique retrace l'évolution des antiparasitaires externes vétérinaires au gré des avancées scientifiques et techniques et des modifications de la réglementation du médicament ces cinquante dernières années. Des progrès significatifs ont été faits sur l'innocuité des principes actifs pour l'animal et pour l'Homme, sur la galénique, sur la facilité de traitement, et sur l'efficacité des traitements contre certains parasites. Les ...

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La lutte contre les parasitoses animales est au cœur des préoccupations d'hier et d'aujourd'hui. À travers une comparaison de l'offre thérapeutique antiparasitaire interne entre 1970 et 2020 fondée sur des recherches bibliographiques, nous avons étudié l'évolution de la pharmacopée et ses transformations. Ce travail souligne les progrès scientifiques et techniques constatés en termes d'efficacité, de galénique et de toxicité pour l'animal et pour l'Homme. En réponse aux attentes sociétales sur la sécurité du consommateur et les préoccupations écologiques, la mise en place d'un cadre réglementaire permet d'améliorer la qualité et la sécurité des médicaments vétérinaires. Cette évolution se fait néanmoins au détriment de la disponibilité du médicament antiparasitaire interne, devenu une gageure chez certaines espèces mineures et notamment des animaux de rente. En conséquence de l'usage intensif de ces substances, l'émergence des résistances aux antiparasitaires internes et la prise en compte de l'écotoxicité des antiparasitaires vétérinaires deviennent les freins majeurs à l'emploi de ces médicaments, mais aussi les moteurs de l'évolution future de la pharmacopée. L'usage des antiparasitaires est désormais à raisonner dans une optique de gestion globale du parasitisme interne, intégrant la mise en place de nouveaux schémas thérapeutiques et d'évolution zootechniques. L'ajout de nouvelles solutions thérapeutiques comme la phytothérapie, la lutte biologique ou la vaccination porte les clefs de l'avenir des antiparasitaires internes.[-]
La lutte contre les parasitoses animales est au cœur des préoccupations d'hier et d'aujourd'hui. À travers une comparaison de l'offre thérapeutique antiparasitaire interne entre 1970 et 2020 fondée sur des recherches bibliographiques, nous avons étudié l'évolution de la pharmacopée et ses transformations. Ce travail souligne les progrès scientifiques et techniques constatés en termes d'efficacité, de galénique et de toxicité pour l'animal et ...

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V
Coévolution des filières caprines laitière et fermière et leur histoire en Rhône-Alpes
M. Napoleone, Y. Lefrileux

Bourgogne caprine, terre de traditions, et Franche-Comté
J.C. Le Jaouen

Centre-Val de Loire : la région des cinq AOP
B. Leboeuf, C. Gourinel, P. Desbons, M. Cleurennec

Histoire caprine du Grand Ouest français, une terre des chèvres entre tradition fermière et industrie fromagère mondialisée – Introduction et contexte
F. Jénot, L. Denonfoux, C. Goscianski, L. Le Caro, J. Billant, J. Chèvre, M. d'Halluin, C. Delaporte, F. Thuault, J.N. Passal

Poitou-Charentes, l'épicentre caprin de l'Ouest
F. Jénot, L. Denonfoux

Le lait de chèvre en région Pays-de-la-Loire : une histoire récente et forte
C. Goscianski

Histoire caprine de la Bretagne, une région majeure en devenir
L. Le Caro

L'histoire caprine de Dordogne et Lot-et-Garonne : entre collecte picto-charentaise et relocalisation autour du Cabécou du Périgord
J. Billant, J. Chèvre, M. d'Halluin, C. Delaporte, F. Jénot

Histoire caprine succincte des Pyrénées
J.N. Passal, F. Thuault

Histoire caprine du Grand Ouest français – Conclusion : une filière caprine bicéphale, fermière et industrielle, qui a connu une double réussite en 60 ans et se réinterroge sur son avenir
F. Jénot, L. Denonfoux, C. Goscianski, L. Le Caro, J. Billant, J. Chèvre, M. d'Halluin, C. Delaporte, F. Thuault, J.N. Passal

Histoires de fromages au pays des Cabécous
J.C. Le Jaouen

Diversité et atouts de la filière caprine pour le futur ? Esquisse d'un bilan et des perspectives pour le secteur caprin français et ses bassins de production
F. Jénot, B. Leboeuf, J.C. Le Jaouen, M. Napoleone[-]
Coévolution des filières caprines laitière et fermière et leur histoire en Rhône-Alpes
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Centre-Val de Loire : la région des cinq AOP
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Le XIXe siècle fut marqué par une évolution majeure de la pharmacie. Jusqu'alors, les thérapeutes, qu'ils soignent les hommes ou les animaux, utilisaient des produits naturels, issus des règnes végétaux, animaux, et minéraux. A partir du XVe siècle, les médecins prirent conscience de l'importance de la connaissance de la composition des plantes pour faire progresser la thérapeutique, mais ils étaient astreints aux limites de la chimie. Ce n'est qu'à compter de la fin du XVIIIe siècle que les progrès de cette science permirent aux chimistes de s'atteler à la recherche des principes actifs des plantes. Le développement de l'expérimentation permit de déterminer précisément les effets de chacune des molécules extraites et de mêler judicieusement les corps au sein des formules. L'extraction des principes actifs permit également d'administrer les substances avec plus de précision. Les médicaments étaient jusqu'alors administrés exclusivement par voie per-os. La compréhension des mécanismes de l'absorption et de la diffusion dans le corps fut à l'origine du développement des injections, qu'elles soient intra-veineuses, sous-cutanées ou intra-musculaires. Les progrès en chimie organique menèrent enfin à la synthèse de molécules à des fins thérapeutiques. La chimiothérapie, une thérapie étiologique ciblée, succédait ainsi à la polypharmacie. La pharmacie connut l'industrialisation indispensable à la production de ces molécules complexes.[-]
Le XIXe siècle fut marqué par une évolution majeure de la pharmacie. Jusqu'alors, les thérapeutes, qu'ils soignent les hommes ou les animaux, utilisaient des produits naturels, issus des règnes végétaux, animaux, et minéraux. A partir du XVe siècle, les médecins prirent conscience de l'importance de la connaissance de la composition des plantes pour faire progresser la thérapeutique, mais ils étaient astreints aux limites de la chimie. Ce n'est ...

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Ce travail aborde les interrelations entre la chasse et le pouvoir dans le territoire de la France, entre le XIIe et le XVIIIe siècle. La chasse est étudiée dans sa pratique directe, et dans ses représentations. Dans une première partie historique et juridique, « la chasse pouvoir des souverains ? », il est montré comment la chasse participe à la hiérarchisation de la société par une certaine pratique noble qui légitimise l'ascendant d'une partie de la population sur une autre. Le travail explore comment cette chasse-là a été historiquement monopolisée par les plus puissants, puis comment les pratiquants de ces chasses, pour justifier ce privilège, ont valorisé leur pratique en la modelant par des règles (sur le gibier chassé, la technique utilisée, l'objectif non alimentaire de la chasse) jusqu'à en faire un élément identitaire, distinctif. Dans ce contexte, le pouvoir de chasser détenu par l'élite se transforme en devoir (symbolique, de moyens) de chasser. Dans une seconde partie s'appuyant sur le domaine de l'histoire de l'art, le travail analyse le rôle de l'image de la chasse dans le discours sur le pouvoir. À partir des exemples tirés de nombreux domaines de représentations (le cérémonial, le spectacle, les portraits en chasseurs, les figurations de scènes de chasse, le modelage du territoire et du paysage, le décor domestique …), les ressorts qui permettent à l'activité cynégétique de pouvoir agir comme reflet ou outil de pouvoir sont étudiés.[-]
Ce travail aborde les interrelations entre la chasse et le pouvoir dans le territoire de la France, entre le XIIe et le XVIIIe siècle. La chasse est étudiée dans sa pratique directe, et dans ses représentations. Dans une première partie historique et juridique, « la chasse pouvoir des souverains ? », il est montré comment la chasse participe à la hiérarchisation de la société par une certaine pratique noble qui légitimise l'ascendant d'une ...

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L'injection est un acte pratiqué quotidiennement par le vétérinaire praticien de nos jours mais cela n'a pas toujours été le cas. Aux commencements de la médecine vétérinaire, ce qui se rapprochait le plus de l'injection était le lavement et l'homme a développé des outils permettant d'effectuer cet acte. Si l'outil initial était rudimentaire, composé d'une vessie rattachée à une canule en roseau ou à un os creux, ce dernier a rapidement évolué pour se rapprocher de la grosse seringue appelée clystère qui était si commune dans les fermes jusqu'au milieu du XXe siècle. Avec la découverte de la circulation sanguine, l'outil se perfectionna encore afin de pouvoir réaliser des transfusions, des injections intraveineuses et enfin des injections sous-cutanées. Charles-Gabriel Pravaz créa la première seringue propre à réaliser des injections au travers de la peau, qui évolua pour devenir la seringue à usage unique telle que nous la connaissons aujourd'hui et qui s'est développée au milieu du XXe siècle. Les premières injections intraveineuses sur l'animal eurent lieu au XVIIe siècle et il fallut attendre le XIXe siècle pour qu'elles soient remises en oeuvre, uniquement à titre expérimental. C'est l'avènement de principes actifs purifiés, soit issus d'extraction des plantes, soit synthétisés par génie chimique, qui devait conduire au développement de ces injections au cours du XXe siècle.[-]
L'injection est un acte pratiqué quotidiennement par le vétérinaire praticien de nos jours mais cela n'a pas toujours été le cas. Aux commencements de la médecine vétérinaire, ce qui se rapprochait le plus de l'injection était le lavement et l'homme a développé des outils permettant d'effectuer cet acte. Si l'outil initial était rudimentaire, composé d'une vessie rattachée à une canule en roseau ou à un os creux, ce dernier a rapidement évolué ...

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Le chien, compagnon de vie de l'Homme depuis plus de dix mille ans, est l'espèce de mammifère qui présente la plus grande diversité morphologique. Même si les races ont été sélectionnées et fixées depuis seulement un à deux siècles, la représentation des chiens dans la peinture montre qu'il existait déjà plusieurs types de chiens à la Renaissance. A partir de plus de deux cent tableaux peints entre 1450 et 1715 par des peintres européens, la population canine de cette époque a été caractérisée en fonction de différents critères morphologiques puis de quelques analyses morphométriques. Cette étude préliminaire, qui n'a pas l'ambition d'être exhaustive, permet, d'une part, de confirmer l'existence de morphotypes déjà bien différenciés dès la Renaissance et, d'autre part, de décrire les modes de représentation des chiens à côté de l'homme.   The dog, who has been our most loyal companion for tens of thousands of years, is the mammal species with the richest diversity in terms of morphology. Even though breeds were selected and their standards established during the last couple of centuries, the representation of dogs in paintings clearly shows that numerous racial types existed at the Renaissance. Through the study of more than 200 paintings painted between 1450 and 1715 by european masters, the canine population of the Renaissance was characterized according to different morphological criteria and some morphometrical analysis. This preliminar study, which has no ambition to be exhaustive, enables us to confirm the existence of already well-differentiated morphotypes, but also to describe the ways dogs were represented with humans[-]
Le chien, compagnon de vie de l'Homme depuis plus de dix mille ans, est l'espèce de mammifère qui présente la plus grande diversité morphologique. Même si les races ont été sélectionnées et fixées depuis seulement un à deux siècles, la représentation des chiens dans la peinture montre qu'il existait déjà plusieurs types de chiens à la Renaissance. A partir de plus de deux cent tableaux peints entre 1450 et 1715 par des peintres européens, la ...

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- L'ermitage en forêt de Mormal
- A propos du culte de Notre Dame des mouches à Avesnes
- Philippe-François Renaut (1686-1755), un homme dans la tourmente spéculative du Nouveau Monde
- La maroillaise et sa disparition
- Ivan Timofeev, des steppes de Russie aux bocages de l'Avesnois et des héros russes dans la Résistance française
- 26 septembre 1959, Charles de Gaulle s'arrête à Avesnes/Helpe...

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Le Musée d'Histoire de l'Enseignement Vétérinaire de Lyon (MHEVL), créé en 2012 au sein de VetAgro Sup, Campus vétérinaire de Lyon, expose plus de 1300 pièces consacrées à l'enseignement vétérinaire au cours de l'Histoire. Ce travail de thèse a permis de mettre en valeur le caractère exceptionnel des collections exposées et conservées au sein de ce musée, par le biais d'un inventaire rétrospectif détaillé de 1341 pièces, contenant toutes les informations essentielles sur celles-ci, ainsi que des numérisations en haute définition. Ce travail met également en lumière l'histoire des collections du MHEVL, ainsi que les différentes techniques de préparation des pièces d'anatomie au cours des siècles. Ce travail a également permis d'élaborer des affiches pédagogiques et de nouvelles étiquettes d'exposition afin de proposer la meilleure expérience possible aux visiteurs du musée. Des solutions visant à améliorer la conservation des pièces sont également proposées.[-]
Le Musée d'Histoire de l'Enseignement Vétérinaire de Lyon (MHEVL), créé en 2012 au sein de VetAgro Sup, Campus vétérinaire de Lyon, expose plus de 1300 pièces consacrées à l'enseignement vétérinaire au cours de l'Histoire. Ce travail de thèse a permis de mettre en valeur le caractère exceptionnel des collections exposées et conservées au sein de ce musée, par le biais d'un inventaire rétrospectif détaillé de 1341 pièces, contenant toutes les ...

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L'histoire de la relation entre le chat et l'Homme commence il y a environ 10 000 ans dans le Croissant Fertile. Il est alors l'animal utile protégeant les récoltes des premiers agriculteurs. Puis les Egyptiens le sacralisent en l'élevant au rang de déité, lui accordant de nombreux privilèges et cultes. Cette période faste pour le chat se termine avec le Moyen Âge où il devient un démon redouté par tous. L'Eglise catholique ordonne sa chasse et sa persécution. A partir de la Renaissance, les changements sociétaux et philosophiques permettent enfin au chat de retrouver une place d'animal utile dans les fermes et une nouvelle place d'animal de compagnie parmi les classes sociales supérieures. L'engouement qu'il entraîne permet le développement des chats de race. Peu à peu, des lois sont votées pour encadrer et protéger les animaux de compagnie dans toute l'Europe et en France, la proclamation de la Déclaration universelle des droits de l'animal en 1978 couronnant ces efforts. Afin d'évaluer la perception du chat par la population française en 2020, un questionnaire a été créé puis diffusé. Grâce à 1392 réponses, des tendances se sont dégagées. Le chat est considéré comme un animal de compagnie par l'ensemble de l'échantillon. En revanche, le chat est davantage perçu comme un membre de la famille par les propriétaires de chat. Ces derniers éprouvent un attachement émotionnel bien plus fort que les autres répondants, ce qui se retrouve dans de nombreux résultats. Ainsi, le chat a trouvé une place pérenne dans notre société en tant qu'animal de compagnie, détrônant même le chien pour la place du carnivore domestique le plus présent en France.[-]
L'histoire de la relation entre le chat et l'Homme commence il y a environ 10 000 ans dans le Croissant Fertile. Il est alors l'animal utile protégeant les récoltes des premiers agriculteurs. Puis les Egyptiens le sacralisent en l'élevant au rang de déité, lui accordant de nombreux privilèges et cultes. Cette période faste pour le chat se termine avec le Moyen Âge où il devient un démon redouté par tous. L'Eglise catholique ordonne sa chasse et ...

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Varia n° 12

Société d'Ethnozootechnie | Société d'Ethnozootechnie | 2020

N°spécial | Cote : 101100 - 107

Le lait de chamelle, de la tradition à la modernité
G. Konuspayeva, B. Faye

De la dune à l'étable : la seconde domestication du chameau
B. Faye, G. Konuspayeva

Témoignage d'un jeune garçon sur la conduite des troupeaux de moutons dans un village de l'Hérault au début du XXe siècle
C. Le Bœuf

Les animaux et l'élevage dans les toponymes des Préalpes franco-suisses
E. Verrier

La maladie animale entre visions ontologique et fonctionnelle en élevage biologique
J. Cabaret, C. Nicourt

Statistiques relatives à l'élevage ovin sur l'île d'Ouessant dans la seconde moitié du XIXe siècle
G. Tronson

Images et usages du crabe au sein de la population Guadeloupéenne
G. Alexandre, A. Daisir, A. Cheval, A. Larade, C. Feidt

D'Isabelle à isabelle
R. Triquet

Les centres de soins aux animaux de la faune sauvage : une zootechnie appliquée à la préparation d'une réinsertion en milieu naturel
P. Arné, C. Le Barzici, V. Risco-Castillo, J.F. Courreau

La consanguinité dans une race bovine à très faible effectif, l'aurochs-reconstitué : premiers résultats en France
Q. Blond, C. Guintard

La morphologie des chiens du Néolithique à la période moderne en France d'après les ossements archéologiques
I. Rodet-Belardbi, V. Forest[-]
Le lait de chamelle, de la tradition à la modernité
G. Konuspayeva, B. Faye

De la dune à l'étable : la seconde domestication du chameau
B. Faye, G. Konuspayeva

Témoignage d'un jeune garçon sur la conduite des troupeaux de moutons dans un village de l'Hérault au début du XXe siècle
C. Le Bœuf

Les animaux et l'élevage dans les toponymes des Préalpes franco-suisses
E. Verrier

La maladie animale entre visions ontologique et fonctionnelle en ...

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Après de brillantes études à l'École vétérinaire d'Alfort, Edmond Nocard (1850-1903) a débuté sa carrière en tant que clinicien puis enseignant de pathologie chirurgicale au sein de cette école, où il exercera jusqu'à sa mort. Formé aux méthodes de la microbiologie naissante dans le laboratoire de Louis Pasteur, il lui a apporté ses connaissances en médecine vétérinaire et a été l'un de ses disciples les plus brillants et respectés. Par ses travaux sur les agents de diverses maladies contagieuses animales qui constituent de très belles illustrations de la méthode pasteurienne, Nocard a véritablement fondé la microbiologie vétérinaire. Il est d'ailleurs le « découvreur » de multiples pathogènes dont certains portent encore son nom. Mais c'est à ses recherches appliquées à la prophylaxie de deux zoonoses, la tuberculose et la morve, qu'il doit véritablement son succès. Son active participation de travaux de Roux sur la sérothérapie de la diphtérie et ses fonctions directoriales au sein d'Alfort et du Laboratoire de Recherche en santé animale, premier en son genre dans le monde entier, lui apporteront définitivement la gloire. Vétérinaire et Pasteurien, mais aussi membre de nombreux comités d'hygiène, Edmond Nocard apportera enfin sa précieuse contribution dans la construction règlementaire de l'hygiène publique et la mise en place de règlements de police sanitaire.[-]
Après de brillantes études à l'École vétérinaire d'Alfort, Edmond Nocard (1850-1903) a débuté sa carrière en tant que clinicien puis enseignant de pathologie chirurgicale au sein de cette école, où il exercera jusqu'à sa mort. Formé aux méthodes de la microbiologie naissante dans le laboratoire de Louis Pasteur, il lui a apporté ses connaissances en médecine vétérinaire et a été l'un de ses disciples les plus brillants et respectés. Par ses ...

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