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Ce travail, qui s'inscrit dans le projet FEEDLAME, fait suite aux résultats de précédentes études et aux remontées des acteurs de la filière qui alertent sur la dégradation de la santé des pieds des jeunes bovins (JB). Ce travail a été conduit en deux temps. Un questionnaire a été diffusé à destination des éleveurs engraisseurs de JB, et les 30 réponses reçues ont été analysées pour dresser la vision que ces éleveurs ont de la problématique des boiteries et de leurs impacts, sur leurs JB, sur leurs élevages, et sur eux-mêmes. Ensuite des relevés de lésions podales ont été réalisés sur des pieds de JB prélevés et parés dans 3 abattoirs, permettant l'obtention d'un premier échantillon de 2596 pieds de 649 JB. Les éleveurs accordaient de l'importance aux boiteries, les classant comme la deuxième affection impactant le plus leur élevage derrière les affections respiratoires. Leur impact économique notamment était connu et redouté. Les boiteries touchaient la quasi-totalité des élevages et leur nombre augmentait au cours de la période d'engraissement. Cependant la majorité des éleveurs était satisfaite de la situation actuelle de leurs élevages. Sur le terrain 99% des JB prélevés en abattoir étaient atteints par au moins une lésion podale, dont 38% qui étaient atteints par au moins une lésion podale assez sévère pour être susceptible de provoquer une boiterie. Ainsi, 1 JB sur 6 présentait de la dermatite digitale de stade M2, 1 JB sur 14 présentait une érosion de talon de niveau 3, et 1 JB sur 20 présentait une ouverture de ligne blanche de niveaux 3 ou 4. Les lésions les plus fréquentes étaient les dédoublements de la sole (88% des JB atteints) et les bleimes (82% des JB atteints). Si les éleveurs étaient bien informés des différents impacts possibles des boiteries sur leurs élevages, il ressort de cette étude la nécessité d'une amélioration de leur détection et du diagnostic des causes de boiterie, notamment d'origine podale, afin de diminuer leur prévalence actuellement très élevée.
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Ce travail, qui s'inscrit dans le projet FEEDLAME, fait suite aux résultats de précédentes études et aux remontées des acteurs de la filière qui alertent sur la dégradation de la santé des pieds des jeunes bovins (JB). Ce travail a été conduit en deux temps. Un questionnaire a été diffusé à destination des éleveurs engraisseurs de JB, et les 30 réponses reçues ont été analysées pour dresser la vision que ces éleveurs ont de la problématique des ...
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Actuellement en élevage laitier de vaches Montbéliardes, les mammites et les cétoses sont deux maladies majeures vis-à-vis desquelles les professionnels de la filière souhaitent progresser. Dans le cadre du programme de recherche appliquée MO3santé, une identification des gènes de résistance à ses maladies a été entreprise. Cependant, afin d'intégrer ces caractères de résistance dans un index génétique synthétique, le poids économique de ces maladies doit être estimé. Ainsi, cette étude conduite au sien de l'UMR BIOEPAR, présente une approche par modélisation permettant d'estimer l'impact technico-économique des cétoses et des mammites dans trois systèmes d'élevage de Montbéliardes. Pour cela, le simulateur de troupeau « Dairy Health Manager » est complété afin d'y intégrer un modèle de représentation dynamique temporelle de la cétose et ses effets à l'échelle de la vache. Ensuite, l'impact technico-économique est simulé selon le croisement de trois niveaux de fréquence des mammites et des cétoses. Les principaux résultats sont les suivants : 1) lorsque la fréquence des mammites passe d'un niveau bas à un niveau élevé, l'impact économique est de 9,8€/1000 L dans le système d'élevage représentatif du grand Ouest, 10,4€/1000 L dans le système AOP Comté et 13,2€/1000 L dans le système Massif central. 2) L'impact économique des cétoses est moins conséquent que celui des mammites, malgré le fait que la cétose entraîne des répercussions globalement plus importantes sur les performances animales. Ainsi, lorsque la fréquence des cétoses passe d'un niveau bas à un niveau haut, l'impact économique est de 0,9€/1000 L dans le système grand Ouest, de 1,9€/1000 L dans le système AOP Comté, et de 4,4€/ 1000 L dans le système Massif central. Ces résultats illustrent l'intérêt d'une stratégie de maîtrise des maladies mise en perspective dans le contexte d'élevage d'intervention. Ce travail permettra, par la suite du projet, d'ajuster la stratégie de sélection génétique des Montbéliardes.
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Actuellement en élevage laitier de vaches Montbéliardes, les mammites et les cétoses sont deux maladies majeures vis-à-vis desquelles les professionnels de la filière souhaitent progresser. Dans le cadre du programme de recherche appliquée MO3santé, une identification des gènes de résistance à ses maladies a été entreprise. Cependant, afin d'intégrer ces caractères de résistance dans un index génétique synthétique, le poids économique de ces ...
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Le suivi de reproduction est un service proposé par les vétérinaires en élevage laitier depuis plusieurs années. Il consiste en une approche du troupeau dans sa globalité par des visites régulières afin d'améliorer les performances de reproduction. De nombreuses études ont chiffré les gains liés à une amélioration ou au contraire, les pertes liées à une détérioration des performances de reproduction mais la rentabilité du suivi n'a pas été évaluée. Après avoir rappelé le déroulement en pratique d'un suivi de reproduction, l'objectif de cette étude était dans un premier temps de synthétiser les gains liés à l'amélioration des performances de reproduction et réciproquement, les pertes liées à la détérioration de ces mêmes performances. Dans un deuxième temps, le coût du suivi a été estimé en ajoutant au coût du suivi mensuel les coûts des traitements effectués sur les problèmes diagnostiqués. Nous avons estimé l'impact économique du suivi de reproduction dans six élevages de vaches Prim'Holstein d'une clientèle dans les Ardennes suivis pendant plusieurs années. Les résultats de notre étude montrent que le suivi permet d'améliorer les performances de reproduction dans tous les élevages pris en compte dans l'étude. Néanmoins, le coût du suivi et des traitements associés est supérieur aux gains générés par l'amélioration des performances de reproduction. Le suivi de reproduction n'est donc pas rentable d'un point de vue économique pour les éleveurs et il est associé dans notre étude à une perte allant de 16 à 25 euros par vache et par an. Toutefois, notre étude prend en compte uniquement l'effet bénéfique du suivi sur les performances de reproduction. Or, nous savons que l'instauration d'un suivi de reproduction a d'autres conséquences positives notamment grâce aux nombreux conseils donnés par le vétérinaire lors des visites mensuelles. Ces conseils peuvent aider un éleveur dans différents domaines (conduite du vêlage, alimentation, hygiène du bâtiment, médecine préventive, etc.) et donc augmenter les gains dans d'autres domaines que ceux liés directement aux performances de reproduction. L'estimation des effets globaux du suivi de reproduction mériterait une étude plus approfondie, dans plus d'élevage et dans différents systèmes de production.
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Le suivi de reproduction est un service proposé par les vétérinaires en élevage laitier depuis plusieurs années. Il consiste en une approche du troupeau dans sa globalité par des visites régulières afin d'améliorer les performances de reproduction. De nombreuses études ont chiffré les gains liés à une amélioration ou au contraire, les pertes liées à une détérioration des performances de reproduction mais la rentabilité du suivi n'a pas été ...
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La qualité de la matière grasse laitière préoccupe les industriels de l'agro-alimentaire car les consommateurs lui préfèrent de plus en plus les matières grasses d'origine végétale. Enrichir la matière grasse laitière en acides gras de type oméga 3 peut se faire en supplémentant l'alimentation des vaches avec de la graine de lin extrudée. Les effets zootechniques de cet aliment ont été observés durant huit mois dans quatre élevages laitiers. Une augmentation de la production laitière, une baisse du taux protéique et une baisse non significative du taux butyreux ont été notées. Les conséquences économiques de ce changement d'alimentation, tendent vers une augmentation de la recette laitière et des marges de culture végétale et une diminution des charges d'élevage, qui ne suffisent pas à compenser le surcoût alimentaire lié à l'emploi de la graine de lin extrudée. Trois des éleveurs ayant essayé cet aliment en sont satisfaits, au vu de l'état général et de la santé des animaux.
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La qualité de la matière grasse laitière préoccupe les industriels de l'agro-alimentaire car les consommateurs lui préfèrent de plus en plus les matières grasses d'origine végétale. Enrichir la matière grasse laitière en acides gras de type oméga 3 peut se faire en supplémentant l'alimentation des vaches avec de la graine de lin extrudée. Les effets zootechniques de cet aliment ont été observés durant huit mois dans quatre élevages laitiers. Une ...
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Cette étude avait pour objectifs d'améliorer la connaissance de la fréquence des troubles de santé affectant les JB durant l'engraissement, de déterminer leur effet sur les performances de croissance et d'abattage et d'estimer leur impact économique dans une exploitation type de la région Pays de la Loire. Des données concernant les troubles, la mortalité, les performances de croissance et d'abattage ont été collectées de septembre 2005 à juin 2007 dans 71 élevages des Pays de la Loire, représentant 1 239 jeunes bovins répartis en 105 lots. Les fréquences des troubles ainsi que la mortalité ont été décrites à l'échelle individuelle puis du lot. Les effets des troubles sur les performances de croissance et d'abattage ont été estimés par une méthode statistique de régression multivariée mixte. L'impact économique des troubles a été estimée par budget partiel dans une exploitation type de système engraisseur spécialisé (95 ha, 150 JB, revenu annuel net autour de 34,8 k€). Sur toute la période d'engraissement, le taux de mortalité total a été de 1,5 % et le taux de morbidité total de 21,8 %. Les troubles respiratoires ont été les plus importants, avec un taux de morbidité de 18,1 %. Les jeunes bovins qui ont eu des signes cliniques des troubles de santé ont des performances de croissance moins bonnes que les jeunes bovins sains, de 61 à 108 g/j sur la période d'engraissement pour les troubles respiratoires. Ceci se répercutait sur la durée d'engraissement, allongée pour les jeunes bovins malades de 44 à 59 jours. Les performances d'abattage sont peu affectées avec un classement des carcasses dégradé lors de troubles respiratoires d'intensité importante. Les troubles de santé avaient un impact économique important sur le revenu de l'exploitation-type, diminué respectivement de 11,4 et 26,3 % dans des situations sanitaires avec incidence modérée et incidence forte, par rapport à une situation avec incidence faible. Il serait intéressant de déterminer la fréquence de troubles de santé des jeunes bovins à l'échelle d'une exploitation pour juger de la plausibilité des situations sanitaires simulées dans l'estimation des répercussions économiques de ces troubles sur le revenu de l'exploitation.
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Cette étude avait pour objectifs d'améliorer la connaissance de la fréquence des troubles de santé affectant les JB durant l'engraissement, de déterminer leur effet sur les performances de croissance et d'abattage et d'estimer leur impact économique dans une exploitation type de la région Pays de la Loire. Des données concernant les troubles, la mortalité, les performances de croissance et d'abattage ont été collectées de septembre 2005 à juin ...
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V
L'ITAVI et la Chambre Régionale des Pays de la Loire ont réalisé une enquête en 2003 auprès d'éleveurs de dindes de chair afin de connaître leurs dépenses de santé et leurs pratiques de traitement. Pour répondre aux préoccupations de la filière quant à l'utilisation d'antibiotiques, les pratiques d'antibiothérapie ont cette année été analysées de manière plus détaillée. L'utilisation des thérapeutiques alternatives a en outre été étudiée avec précision et l'efficacité des traitements a été abordée. Les résultats de cette enquête ont également été comparés à ceux obtenus en 2001 dans une enquête du même type (ITAVI, Chambre Régionale des Pays de la Loire, Etat des lieux des pratiques vétérinaires et des dépenses de santé en élevage de dindes de chair, 2001). Il ressort que les dépenses de santé ont tendance à augmenter légèrement, que le poste antibiotiques a légèrement diminué sur la période, contrairement aux postes vaccination, adjuvants thérapeutiques et antiparasitaires qui ont évolué à la hausse. Les dépenses totales sont très dépendantes des postes majeurs que sont les antibiotiques (27,5% des dépenses totales) et les vaccins (25,6%). Il en ressort que les pratiques en matière d'antibiothérapie peuvent encore être améliorées : recours encore fréquent à l'automédication et à l'antibioprévention, utilisation de produits hors RCP... L'antibioprévention au démarrage ne semble pas empêcher le recours à des traitements antibiotiques curatifs en cours de lot. La prescription et la délivrance du médicament sont néanmoins de plus en lus contrôlés par les vétérinaires et les techniciens, et le recours aux quinolones de troisième génération semble avoir diminué. Les antibiotiques facteurs de croissance sont également de moins en moins utilisés dans l'aliment des dindes de chair. Une communication de ces résultats auprès des organisations de production et des éleveurs pourrait notamment permettre de corriger certaines pratiques d'antibiothérapie.
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L'ITAVI et la Chambre Régionale des Pays de la Loire ont réalisé une enquête en 2003 auprès d'éleveurs de dindes de chair afin de connaître leurs dépenses de santé et leurs pratiques de traitement. Pour répondre aux préoccupations de la filière quant à l'utilisation d'antibiotiques, les pratiques d'antibiothérapie ont cette année été analysées de manière plus détaillée. L'utilisation des thérapeutiques alternatives a en outre été étudiée avec ...
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