En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Filtrer

Filtrer

Type
Date
Auteur
Éditeur
Langue

Documents FIV 44 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
À l'heure actuelle, les prévalences de diverses maladies transmissibles au cours des différentes phases de la reproduction des carnivores domestiques sont encore peu connues et leurs conséquences sanitaires et médicales restent peu étudiées au sein des élevages canins et félins. Pourtant, plusieurs agents pathogènes peuvent être transmis au cours de l'accouplement, de la gestation ou lors de l'allaitement. Parmi ces agents, on retrouve notamment des agents viraux tels que le virus de l'herpesvirose canine, de l'immunodéficience féline ou encore de la leucose féline, des agents bactériens tels que Brucella canis et Mycoplasma canis mais aussi des parasites comme Neospora canis et Leishmania infantum ou encore une tumeur transmissible comme le Sarcome de Sticker. Les objectifs de ce travail sont de répertorier et présenter ces différents agents afin de mettre en évidence leurs voies de transmission et d'établir des mesures de dépistage et de prévention en vue de leur contrôle et leur maitrise en élevage. Ce travail montre également qu'une meilleure maitrise de ces agents pathogènes nécessite un renforcement de la réglementation qui reste encore insuffisante concernant le dépistage des animaux reproducteurs, de la semence ou la mise en place d'autres mesures de prévention obligatoires.[-]
À l'heure actuelle, les prévalences de diverses maladies transmissibles au cours des différentes phases de la reproduction des carnivores domestiques sont encore peu connues et leurs conséquences sanitaires et médicales restent peu étudiées au sein des élevages canins et félins. Pourtant, plusieurs agents pathogènes peuvent être transmis au cours de l'accouplement, de la gestation ou lors de l'allaitement. Parmi ces agents, on retrouve notamment ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Le virus de l'immunodéficience féline est un rétrovirus touchant les chats. Sa prévalence en Europe du Nord est assez faible. La particularité de ce virus est qu'il reste plusieurs années en latence au sein des cellules immunitaires de l'animal ; l'infection peut donc rester subclinique pendant plusieurs années, augmentant ainsi sa transmission entre les chats. Le stade terminal de la maladie, appelé stade de l'immunodéficience, n'est constaté que chez une minorité de chats infectés par le FIV. La plupart des chats infectés par le FIV vont donc avoir une espérance de vie semblable aux autres chats. La mise en place des traitements chez les chats infectés n'est recommandée que lorsque des signes d'immunodéficience sont mis en évidence. L'objectif de cette enquête a été d'effectuer un état des lieux des différentes conduites diagnostiques tenues par les refuges en France, concernant à la fois le dépistage de l'infection et la prise en charge après un résultat positif. La comparaison de ces résultats avec les dernières recommandations met en évidence une bonne conduite des refuges en ce qui concerne l'hébergement des chats. Cependant, les conduites diagnostiques ne suivent pas toujours les dernières recommandations. Le recours à l'euthanasie reste encore élevé, notamment lorsque le chat (supposé) infecté par le FIV présente un mauvais état général. Cependant, les chiffres concernant les adoptions sont encourageants. Une très grande majorité de refuges proposent des chats (supposés) infectés par le FIV à l'adoption et en moyenne deux tiers de ces chats sont adoptés.[-]
Le virus de l'immunodéficience féline est un rétrovirus touchant les chats. Sa prévalence en Europe du Nord est assez faible. La particularité de ce virus est qu'il reste plusieurs années en latence au sein des cellules immunitaires de l'animal ; l'infection peut donc rester subclinique pendant plusieurs années, augmentant ainsi sa transmission entre les chats. Le stade terminal de la maladie, appelé stade de l'immunodéficience, n'est constaté ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
Cette étude a pour but de concevoir la gestion pratique des rétroviroses dans un effectif de chats. La première partie est une mise à jour des connaissances sur les infections du chat par ces deux virus. La deuxième partie s'attache à décrire les moyens diagnostiques de ces infections ainsi que les méthodes d'interprétation des résultats de ceux-ci, en mettant l'accent sur le problème des faux positifs. La troisième partie présente la mise en place du protocole de dépistage de ces deux rétroviroses dans une SPA. Celle-ci se compose de 4 séries de tests Witness, à JO, JO+2 mois, JO+3 mois et JO+4 mois, complétés ou non par des tests en laboratoire. En fonction des résultats de ceux-ci, la répartition des groupes de chats entre les différents bâtiments disponibles est modifiée, et un dépistage systématique des nouveaux arrivants est progressivement mis en place. L'auteur met également en évidence les difficultés inhérentes à l'emploi des tests de détection rapide et à l'utilisation d'un protocole de ce type dans une collectivité.[-]
Cette étude a pour but de concevoir la gestion pratique des rétroviroses dans un effectif de chats. La première partie est une mise à jour des connaissances sur les infections du chat par ces deux virus. La deuxième partie s'attache à décrire les moyens diagnostiques de ces infections ainsi que les méthodes d'interprétation des résultats de ceux-ci, en mettant l'accent sur le problème des faux positifs. La troisième partie présente la mise en ...

Lire plus | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
Feline immunodeficiency virus (FIV) is classified as a member of the genus Lentivirus (subfamily Lentivirinae) of the Retroviridae family on basis of its morphology, biochemical characteristics, genomic organization, Mg'+ dependent reverse transcriptase, and nucleotide sequence homology with other members of this genus. Lentiviruses cause chronic, lifelong infections in their respective host species, which may be followed by a slowly progressive and degenerative disease. FIV was first isolated from a domestic cat suffering from an immunodeficiency syndrome reminiscent of AIDS in humans. Subsequently it was shown that upon FIV infection, domestic cats may develop an immunodeficiency syndrome, hallmarked by secondary and opportunistic infections. The clinical stages preceding the final stage of feline AIDS, are similar to those observed in humans with HIV infection: the acute stage is followed by the asymptomatic carrier (AC) stage, after which a persistent generalized lymphadenopathy (PGL) gradually leads to the stage of AIDS related complex (ARC). Then the animal develops full blown AIDS. The different stages of F1V infection of cats may often not be quite distinct and rapid transitions between the respective stages may be observed (see below). FIV infections occur virtually worldwide in domestic cats and to date three viral clades (A, B, and C) with partially overlapping geographical distributions have been identified on basis of env sequences.[-]
Feline immunodeficiency virus (FIV) is classified as a member of the genus Lentivirus (subfamily Lentivirinae) of the Retroviridae family on basis of its morphology, biochemical characteristics, genomic organization, Mg'+ dependent reverse transcriptase, and nucleotide sequence homology with other members of this genus. Lentiviruses cause chronic, lifelong infections in their respective host species, which may be followed by a slowly progressive ...

Lire plus | Consulter | Réserver

Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris Signaler une erreur