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Documents Biosécurité 50 résultats

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En 2016, la « Loi Santé Animale » paraît au Journal Officiel après plusieurs années de concertation. Ce règlement européen établit une classification des maladies animales transmissibles contre lesquelles des mesures de surveillance, de lutte et de gestion doivent être entreprises. Cet acte législatif ainsi que ceux rédigés dans la continuité permettent d'homogénéiser les mesures pour les états européens sur la gestion des maladies règlementées. Le règlement est applicable dans tous les états membres. En France, depuis 2013, la classification des « Dangers Sanitaires » regroupant l'ensemble des maladies animales transmissibles était établie mais depuis le 21 avril 2021, la nouvelle loi entraîne en France des modifications, notamment pour les maladies nouvellement sur la liste, comme la fièvre Q, une maladie qui n'a jamais fait l'objet de surveillance particulière. Pour être en conformité avec le règlement, des mesures doivent donc être créées afin de répondre aux critères exigés pour chaque catégorie. La LSA donne la possibilité aux états d'ajouter des mesures de surveillance et de lutte contre certaines maladies qu'ils jugeraient nécessaires après accord de la Commission. La France a donc créé deux listes regroupant les maladies animales règlementées dites d'intérêt national. Elles permettent de faire le lien entre la réglementation européenne et l'ancienne règlementation française afin de pouvoir se mettre à jour sans avoir à abaisser complètement le niveau de règlementation français actuel.[-]
En 2016, la « Loi Santé Animale » paraît au Journal Officiel après plusieurs années de concertation. Ce règlement européen établit une classification des maladies animales transmissibles contre lesquelles des mesures de surveillance, de lutte et de gestion doivent être entreprises. Cet acte législatif ainsi que ceux rédigés dans la continuité permettent d'homogénéiser les mesures pour les états européens sur la gestion des maladies règlementées. ...

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La maladie virale hémorragique du lapin (VHD) est une maladie systémique fatale. Depuis 2010, l'émergence d'un nouveau génotype a eu des répercussions majeures sur la dynamique des populations de Léporidés sauvages et sur la biodiversité ainsi que sur l'économie de la filière du lapin de chair. À l'échelle de la médecine individuelle, le défi diagnostique et l'absence de traitement étiologique ont des enjeux sur la prise en charge des lapins de compagnie cependant les données relatives manquent. Afin de disposer et d'analyser des informations relatives aux aspects épidémiologiques, aux statuts vaccinaux et aux pratiques cliniques, une enquête a été réalisée auprès de 211 cliniques pratiquant exclusivement ou non la médecine des Nouveaux Animaux de Compagnie. L'analyse rétrospective détaillée de 41 cas de VHD pris en charge et rapportés par les vétérinaires entre 2018 et 2023, montre notamment qu'une majorité des vétérinaires répondants utilisent peu les examens diagnostiques à leur disposition comme l'autopsie et les tests confirmatoires. Elle met aussi en évidence l'implication majoritaire du génotype 2 du virus dans la population étudiée et un faible taux d'échecs vaccinaux, ce qui n'est pas en faveur de l'éventuelle émergence d'une souche virale plus virulente. De plus, les lapins de compagnie de tous milieux et modes de vie peuvent être concernés, la vaccination et l'application de mesures de biosécurité sont donc indiquées pour tous les profils de lapins de compagnie.[-]
La maladie virale hémorragique du lapin (VHD) est une maladie systémique fatale. Depuis 2010, l'émergence d'un nouveau génotype a eu des répercussions majeures sur la dynamique des populations de Léporidés sauvages et sur la biodiversité ainsi que sur l'économie de la filière du lapin de chair. À l'échelle de la médecine individuelle, le défi diagnostique et l'absence de traitement étiologique ont des enjeux sur la prise en charge des lapins de ...

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L'avortement est une cause majoritaire d'interruption de gestation chez la jument et est donc une perte économique majeure. Les avortements infectieux en particulier peuvent être particulièrement problématiques puisque certains agents responsables sont contagieux. Il est donc particulièrement important pour l'éleveur de mettre en place des mesures en prévention de ces avortements ainsi que de savoir quand les suspecter et comment savoir agir. Ce travail récapitule les agents infectieux majoritairement responsables d'avortements chez la jument. Il donne ensuite, sous forme d'un guide pratique, des pistes aux éleveurs pour limiter l'incidence de ces avortements en passant par la sélection des reproducteurs, les mesures de biosécurité et les mesures prophylactiques à appliquer. Des conseils sont aussi donnés pour leur permettre de repérer précocement les placentites qui sont majoritairement responsables d'avortements grâce à un suivi assidu lors de la gestation des juments. Pour finir, les dernières parties donnent les pratiques à suivre une fois qu'un avortement a lieu dans le troupeau.[-]
L'avortement est une cause majoritaire d'interruption de gestation chez la jument et est donc une perte économique majeure. Les avortements infectieux en particulier peuvent être particulièrement problématiques puisque certains agents responsables sont contagieux. Il est donc particulièrement important pour l'éleveur de mettre en place des mesures en prévention de ces avortements ainsi que de savoir quand les suspecter et comment savoir agir. Ce ...

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Depuis 2019, le Laos et le Cambodge sont frappés par une épizootie de peste porcine africaine qui entraîne de lourdes pertes économiques, particulièrement dans les petits élevages ruraux familiaux. Une étude des connaissances, attitudes et pratiques des petits producteurs de porcs vis-à-vis de cette maladie est réalisée auprès de 382 éleveurs du Laos et du Cambodge. Il est mis en évidence un faible niveau de connaissance concernant les signes cliniques et les voies de transmission de la maladie, qui semble influencé par des facteurs socio-démographiques et contextuels comme le taux d'alphabétisation et l'expérience préalable d'un foyer dans sa ferme. Par ailleurs, bien que la peste porcine africaine soit perçue comme un risque important, les éleveurs considèrent dans l'ensemble les mesures de biosécurité comme inefficaces et plusieurs lacunes de biosécurité ont été identifiées. Les connaissances, les attitudes et les pratiques étant corrélées, il apparaît fondamental de mettre en place des campagnes de sensibilisation ciblées afin de permettre une meilleure compréhension de l'intérêt des mesures de biosécurité et de favoriser leur adoption.[-]
Depuis 2019, le Laos et le Cambodge sont frappés par une épizootie de peste porcine africaine qui entraîne de lourdes pertes économiques, particulièrement dans les petits élevages ruraux familiaux. Une étude des connaissances, attitudes et pratiques des petits producteurs de porcs vis-à-vis de cette maladie est réalisée auprès de 382 éleveurs du Laos et du Cambodge. Il est mis en évidence un faible niveau de connaissance concernant les signes ...

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Comprehensive reference on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates. Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases for Practitioners provides information on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates, along with information on applied epidemiology, acknowledging the One Health concept, and discussion on probabilities of disease outbreaks occurring and assesses the economic costs of treating those outbreaks, if applicable.
Divided into two sections, the book looks at the pathology of major aquatic taxa and their associated infectious diseases -parasitic, viral, and bacterial -and non-infectious diseases. Each includes an overview, their host range and transmission, signs and diagnosis, differentials, and treatment and management. These assets are accompanied by clinical signs-lesion differential charts.
Sample topics discussed in Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases include:
Echinoderms, including crinoidea (crinoids, sea lilies, feather stars, and asteroidea), sea stars/starfish, and ophiuroidea (brittle stars and basket stars)
Reptiles, including turtles (freshwater and marine), crocodilians, marine iguanas, and sea snakes
Pinnipeds, including otariidae (eared seals), odobenidae (walruses), phocidae (earless seals), mustelidae (otters), and sirenia (manatees and dugongs)
Tropical marine aquarium fish (damselfish, angelfish, gobies, wrasses, parrotfish, butterfly fish, and clownfish) and anemones.
A highly useful reference for veterinary practitioners, academic staff, and researchers, Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases is also suitable for those who are interested in aquatic veterinary medicine and serves as a companion to Fundamentals of Aquatic Veterinary Medicine, written by the same editorial team.[-]
Comprehensive reference on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates. Pathology and Epidemiology of Aquatic Animal Diseases for Practitioners provides information on the diseases and applied epidemiology of all aquatic animal taxa, including invertebrates and vertebrates, along with information on applied epidemiology, acknowledging the One Health concept, and discussion on ...

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Les mustélidés représentent la plus grande famille au sein des carnivores. Ils sont majoritairement de taille petite à modérée avec un corps allongé et de courtes extrémités. Ces animaux sont présents dans le monde entier, sauf en Australie et en Antarctique. Les quelques données disponibles sur leurs affections sont en général limitées aux infections ayant un impact sanitaire, comme la tuberculose bovine chez le blaireau européen, la rage chez plusieurs espèces ou encore la maladie de Carré, à l'origine du déclin marqué des populations de putois à pieds noirs, espèce menacée d'extinction. La maladie aléoutienne et plus récemment la Covid-19 ont fortement impacté les élevages de visons d'Amérique, et font peser une menace non évaluée sur le vison d'Europe, particulièrement menacé (LPO, 2022). Les causes traumatiques (notamment les chocs routiers) et les maladies infectieuses constituent les causes prédominantes de morbidité et de mortalité des mustélidés sauvages. Le respect strict des bonnes pratiques d'hygiène et des règles de biosécurité au sein des structures prenant en charge des mustélidés en détresse a pour but de garantir la maîtrise du risque de morsure et de transmission de zoonoses entre humains et animaux, même s'il n'existe pas de protocoles strictement adaptés à leur gestion. Tandis que certaines espèces de ce taxon s'avèrent prolifiques et sont même considérées comme nuisibles ou potentiellement nuisibles en raison des dégâts qu'on leur impute ou de leur rôle putatif de réservoirs de certains agents pathogènes, d'autres voient leurs populations décroître voire se trouver en danger critique d'extinction, à l'instar du vison d'Europe. Il est donc essentiel d'intégrer les mustélidés dans le cadre de la surveillance sanitaire des animaux sauvages qui soit partie prenante de l'approche « Une seule Santé »[-]
Les mustélidés représentent la plus grande famille au sein des carnivores. Ils sont majoritairement de taille petite à modérée avec un corps allongé et de courtes extrémités. Ces animaux sont présents dans le monde entier, sauf en Australie et en Antarctique. Les quelques données disponibles sur leurs affections sont en général limitées aux infections ayant un impact sanitaire, comme la tuberculose bovine chez le blaireau européen, la rage chez ...

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La biosécurité est un concept encore méconnu. Pourtant, en médecine vétérinaire, des mesures de biosécurité sont couramment appliquées afin d'éviter la circulation d'agents infectieux dans les cliniques. En milieu universitaire vétérinaire, du fait de la forte densité humaine et animale dans les cliniques, la biosécurité apparaît incontournable pour gérer au mieux le risque sanitaire. Or, à Oniris, jusqu'à récemment, la seule possibilité de débouché pour les bovins après leurs soins était l'autopsie. Pédagogiquement intéressante, cette voie de sortie ne nécessite cependant pas une application stricte de toutes les règles de biosécurité. Aujourd'hui, du fait des enjeux environnementaux et sociétaux qui bouleversent le monde, étudier sur des animaux destinés uniquement à l'autopsie, et qui peuvent potentiellement être soignés, n'est plus suffisant. L'objectif de ce travail est d'évaluer les mesures de biosécurité appliquées au sein de la clinique des ruminants, pour pouvoir proposer des améliorations et offrir d'autres voies de sortie aux animaux hospitalisés. Pour cela, des enquêtes ont été effectuées auprès de différents acteurs, à Oniris, dans d'autres facultés vétérinaires et sur le terrain. De nombreux facteurs de risque ont été relevés dans la clinique, mais des améliorations sont possibles. L'application des mesures de biosécurité doit être plus stricte et des modifications des infrastructures sont nécessaires, notamment via la rénovation et l'agrandissement de la clinique des ruminants. Un plan de contrôle de l'efficacité des mesures et de leur correcte application devra être mis en place afin de maintenir une gestion du risque sanitaire optimale sur le long terme.[-]
La biosécurité est un concept encore méconnu. Pourtant, en médecine vétérinaire, des mesures de biosécurité sont couramment appliquées afin d'éviter la circulation d'agents infectieux dans les cliniques. En milieu universitaire vétérinaire, du fait de la forte densité humaine et animale dans les cliniques, la biosécurité apparaît incontournable pour gérer au mieux le risque sanitaire. Or, à Oniris, jusqu'à récemment, la seule possibilité de ...

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Cette étude s'inscrit dans un contexte d'amélioration sanitaire de la filière porcine à Tahiti, en Polynésie française. Afin de proposer des plans de gestion de la brucellose porcine dans les élevages, une enquête des pratiques d'élevage dans 13 exploitations de l'île a d'abord montré que le niveau de biosécurité dans les élevages est faible, et de nombreuses pratiques potentiellement à risque vis-à-vis de la brucellose porcine ont été identifiées. Une enquête sérologique a mis en évidence la présence de brucellose porcine, d'actinobacillose porcine et de syndrome dysgénésique respiratoire porcin dans les élevages de l'île, sans pour autant déterminer une co-infection significative entre elles. Une corrélation positive a été identifiée entre la séroprévalence et le rang de portée des truies dans les élevages. Une association positive a été démontrée entre la séroprévalence en brucellose et certains troubles de la reproduction observés dans les élevages. Deux autres maladies testées, la maladie d'Aujeszky et la gastroentérite transmissible, n'ont pas été décelées dans les élevages. Ces résultats permettent d'avoir une meilleure connaissance des pratiques d'élevage ainsi que des maladies les affectant, dans le but d'établir, de budgétiser et d'évaluer plusieurs projets de gestion de la brucellose sur le territoire. Ces projets, associés à un plan d'accompagnement et de formation des éleveurs sur le long terme, seront ensuite transmis au ministère de l'agriculture polynésien pour une application pratique sur le territoire.[-]
Cette étude s'inscrit dans un contexte d'amélioration sanitaire de la filière porcine à Tahiti, en Polynésie française. Afin de proposer des plans de gestion de la brucellose porcine dans les élevages, une enquête des pratiques d'élevage dans 13 exploitations de l'île a d'abord montré que le niveau de biosécurité dans les élevages est faible, et de nombreuses pratiques potentiellement à risque vis-à-vis de la brucellose porcine ont été ...

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La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute une augmentation récente du nombre de cas de tuberculose bovine dans certaines régions de France. Il est donc impératif de faire un point sur la situation. L'étude a été menée sur 32 élevages de bovins allaitants du département français des Pyrénées-Atlantiques. Des entretiens en face à face ont permis aux éleveurs de répondre à un questionnaire, une partie centrée sur les pratiques d'élevage et de biosécurité, et une autre centrée sur leur perception de la tuberculose bovine. Les données recueillies ont été analysées par analyse factorielle mixte de données (AFDM) et classification hiérarchique afin d'établir des profils d'éleveurs. Du au faible nombre d'éleveurs enquêtés, seulement deux clusters sont obtenus à partir de la classification hiérarchique sur l'AFDM. Chaque élevage est ainsi réparti dans un des clusters selon les pratiques et perceptions de l'éleveur. Les principales variables permettant de discriminer ces profils d'éleveurs sont la taille de l'élevage et certains facteurs qui y sont directement liés (nombre de visites, etc) ainsi que leur perception du risque vis-à-vis de certaines voies d'introduction (visiteurs, transhumance) ou encore leur confiance dans les mesures mises en place (gestion de la lutte, fiabilité de l'intradermo-tuberculination, etc). Cette étude apporte des premières bases afin de mieux connaitre la réalité du terrain et de pouvoir adapter les mesures de biosécurité et de lutte aux différents profils.[-]
La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute ...

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A complete and authoritative reference covering the management of gamebirds and exhibition Galliformes in health and disease.
In Gamebird Medicine and Management, a team of distinguished professionals deliver a comprehensive discussion of gamebirds and exhibition Galliformes for veterinary practitioners, gamebird producers, breeders and conservationists, as well as other avian health professionals. The book covers common diseases affecting gamebirds and offers management and production information not found in other resources.
The authors combine relevant material from avian veterinarians, commercial production professionals, and experts from the conservation and captive breeding sectors, that enables veterinarians, gamebird producers, and conservationists to develop diagnostic and treatment plans for small or large gamebird flocks.
Readers will also find:
Thorough introductions to laws and regulations governing gamebirds in the United States
In-depth examinations of the anatomy and physiology of gamebirds
Comprehensive explorations of the medical management of gamebirds
Information on treating dermatological, musculoskeletal, neurological, digestive, and respiratory diseases affecting gamebirds
A practical, step-by-step necropsy guide
An engaging photo collection of gamebird and exhibition Galliformes diseases
Perfect for veterinary practitioners, gamebird producers, and conservationists, Gamebird Medicine and Management will also earn a place in the libraries of zoo veterinarians and staff.[-]
A complete and authoritative reference covering the management of gamebirds and exhibition Galliformes in health and disease.
In Gamebird Medicine and Management, a team of distinguished professionals deliver a comprehensive discussion of gamebirds and exhibition Galliformes for veterinary practitioners, gamebird producers, breeders and conservationists, as well as other avian health professionals. The book covers common diseases affecting ...

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Large Animal Medicine for Veterinary Technicians provides comprehensive guidance on caring for horses, cattle, camelids, small ruminants, pigs, and other farm animals. Reflecting the topics required by the American Veterinary Medical Association (AMVA), this practical resource covers hospital biosecurity, restraint, physical examinations, clinical and diagnostic procedures, reproduction, nutrition, disease, and more. Detailed chapters written by expert contributors contain numerous full-color images, clinical applications, self-review questions, and accurate, species-specific information. The second edition features revised and new content throughout, including brand-new chapters on common surgical procedures and general anesthesia, dentistry, and popular hobby farm animals such as fowl, poultry, and pet pigs. Updated and expanded sections on neonatology, diagnostics, and imaging are supported by a wealth of new images and examples. Covering the skills and knowledge necessary for success in both Veterinary Technician Specialty (VTS) programs and in clinical practice, this must-have guide :
- Offers new coverage of imaging and diagnostic technologies such as dynamic endoscoping and the use of treadmills
- Contains more than 500 high-quality color images, multiple-choice questions with answers, and a glossary of terms
- Features a range of pedagogical tools including learning objectives, clinical case problems, charts and diagrams, and “Technician Tip” boxes
- Includes a significantly expanded companion website with self-review questions, case studies, PowerPoint slides, and an image bank to aid in breed identification
- Authored and edited by experienced trainers and certified veterinary technicians,
Large Animal Medicine for Veterinary Technicians, Second Edition is an invaluable reference for all students, educators, and working professionals in the field. [-]
Large Animal Medicine for Veterinary Technicians provides comprehensive guidance on caring for horses, cattle, camelids, small ruminants, pigs, and other farm animals. Reflecting the topics required by the American Veterinary Medical Association (AMVA), this practical resource covers hospital biosecurity, restraint, physical examinations, clinical and diagnostic procedures, reproduction, nutrition, disease, and more. Detailed chapters written by ...

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La montée en alpage de ruminants est une activité ancestrale. Toutefois, cette pratique peut présenter certains risques sanitaires puisqu'il est possible que les animaux de plusieurs éleveurs soient regroupés afin d'en mutualiser la surveillance et les soins, et des contacts entre animaux domestiques et sauvages sont régulièrement observés. Toutefois, les types d'alpage existants et pratiques des éleveurs sont relativement peu connus à l'échelle nationale. L'objectif de cette thèse était de mieux comprendre les pratiques d'alpage en Haute-Savoie, et d'identifier les facteurs de risque sanitaire présents en alpage et leur perception par les alpagistes. Dans ce cadre, nous avons réalisé 17 entretiens semi-directifs auprès de 16 alpagistes (éleveurs et/ou gestionnaires de groupement) et du Groupement de Défense Sanitaire de Haute-Savoie. Ces entretiens ont montré que les pratiques, ainsi que les enjeux et risques perçus par les alpagistes,étaient variés. Toutefois, la perception du risque sanitaire lié au contact des animaux domestiques avec des animaux sauvages semble importante, tandis que le risque lié au mélange de troupeaux domestiques d'origines différentes est généralement considéré comme faible ou inexistant par les alpagistes interrogés. Les alpagistes ont également souligné les nombreuses autres problématiques auxquelles ils doivent faire face dans leur pratique de l'alpage, à savoir principalement le tourisme, la gestion des ressources en eau et la prédation. Chaque acteur de l'alpage devrait avoir une meilleure conscience des risques pris, des mesures de biosécurité qu'il faudrait mettre en place pour les réduire et leurs limites. Les problématiques soulevées dans cette étude constituent des pistes pour approfondir ce sujet auprès d'autres acteurs de ce milieu, voire dans d'autres zones d'alpage pouvant avoir des caractéristiques différentes.[-]
La montée en alpage de ruminants est une activité ancestrale. Toutefois, cette pratique peut présenter certains risques sanitaires puisqu'il est possible que les animaux de plusieurs éleveurs soient regroupés afin d'en mutualiser la surveillance et les soins, et des contacts entre animaux domestiques et sauvages sont régulièrement observés. Toutefois, les types d'alpage existants et pratiques des éleveurs sont relativement peu connus à l'échelle ...

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La biosécurité est une notion ayant fait son apparition dans les années 1990, décrivant les principes et mesures permettant de limiter l'introduction et la propagation d'agents pathogènes dans un troupeau et protéger ainsi la santé animale et humaine. Après plusieurs épizooties d'importance en France en élevage industriel, la biosécurité y a été progressivement réglementée, en élevages avicoles et porcins majoritairement. En élevage bovin, la réglementation n'est pas aussi stricte et peu de mesures de biosécurité sont actuellement mises en œuvre. Dans le contexte épidémiologique de tuberculose dans certaines zones de France, les mesures de biosécurité en élevage sont pourtant indispensables.Après avoir expliqué la notion de biosécurité, détaillé les mécanismes expliquant les différences d'application de biosécurité selon les filières et les mesures spécifiques dans la lutte contre la tuberculose, cette thèse présente une étude portant sur l'évaluation des connaissances, des pratiques et des perceptions sur la biosécurité de vétérinaires en clientèle rurale et de représentants des GDS de deux départements aux profils contrastés. Cette thèse a notamment permis d'explorer la perception de ces acteurs pour comprendre en partie les freins et leviers à l'application de la biosécurité en élevage bovin, via la réalisation d'entretiens semi-directifs. Les résultats ont montré une bonne connaissance théorique de la biosécurité par les vétérinaires ruraux et les représentants des GDS, particulièrement de la biosécurité externe par rapport à la biosécurité interne. Les mesures de biosécurité en élevage n'étaient pas appliquées de la même manière par tous les vétérinaires et les éleveurs de la clientèle (désinfection de bottes, réutilisation de seringues, port de gants, passage par le pédiluve, etc.). Les principaux freins cités par les vétérinaires et les représentants des GDS étaient l'absence de matériel en élevage, l'habitude, le manque de temps et les limites financières pour les éleveurs. Les vétérinaires ont également identifié l'absence de mesures mises en place par les éleveurs comme frein à leur propre application de mesures en élevage. Le rôle de conseil du vétérinaire était clairement identifié par ces derniers mais non mis en application en élevage, ceux-ci attendant que les éleveurs appliquent des mesures de biosécurité dans leur élevage avant de les appliquer eux-mêmes. Les vétérinaires avaient des attentes envers les GDS et inversement, mais ces attentes respectives ne semblaient pas connues par les deux partis. Plusieurs solutions pour pallier les freins identifiés peuvent être investiguées et proposées, comme la mise en place de protocoles standardisés dans l'application de mesures de biosécurité par les vétérinaires ou une sensibilisation des vétérinaires à leur rôle de conseil en élevage.[-]
La biosécurité est une notion ayant fait son apparition dans les années 1990, décrivant les principes et mesures permettant de limiter l'introduction et la propagation d'agents pathogènes dans un troupeau et protéger ainsi la santé animale et humaine. Après plusieurs épizooties d'importance en France en élevage industriel, la biosécurité y a été progressivement réglementée, en élevages avicoles et porcins majoritairement. En élevage bovin, la ...

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- Intérêts de la mise en place d'une démarche biosécurité dans les cliniques vétérinaires
- Les bonnes pratiques de biosécurité recommandées dans les cliniques vétérinaires
- Les maladies professionnelles zoonotiques : réglementation du travail
- Les maladies émergentes susceptibles d'affecter les cliniques vétérinaires recevant des animaux de compagnie
- Zoonoses parasitaires de chien et du chat : risques et mesures de biosécurité
- Contrôler la mise en œuvre des mesures de biosécurité
- Comment faire appliquer des procédures de biosécurité dans une structure vétérinaire
- Biosécurité en élevage canin et félin : le maillon faible à améliorer ?
- L'hygiène des mains sauve des vies en médecine vétérinaire aussi
- Les principaux équipements de protection individuelle indispensable en clinique vétérinaire
- Fiche - Quand porter des gants non stériles ?
- Fiche - Quand porter des gants stériles ?
Nettoyage et désinfection des dispositifs et des surfaces
- Comment nettoyer et désinfecter : définition, objectif et méthode
- Fiche - Désinfection du téléphone et de l'ordinateur en clinique vétérinaire
- Nettoyage et désinfection : comment concilier réglementation, efficacité, économie et responsabilité environnementale ?
- Les produits biocides et la réglementation en environnement vétérinaire
- Fiche - Désinfection du matériel de chirurgie
- Fiche - Nettoyer et désinfecter les principaux dispositifs médicaux
- Fiche - Comment nettoyer et désinfecter les endoscopes flexibles et les sondes endotrachéales
- Fiche - Comment administrer les médicaments anticancéreux par voie intraveineuse
- Fiche - Conseils pour l'hospitalisation des animaux recevant des agents anticancéreux
Gestion des déchets et des cadavres
- Règlementation - Les déchets d'activité de soins dans la pratique vétérinaire des animaux de compagnie

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- Intérêts de la mise en place d'une démarche biosécurité dans les cliniques vétérinaires
- Les bonnes pratiques de biosécurité recommandées dans les cliniques vétérinaires
- Les maladies professionnelles zoonotiques : réglementation du travail
- Les maladies émergentes susceptibles d'affecter les cliniques vétérinaires recevant des animaux de compagnie
- Zoonoses parasitaires de chien et du chat : risques et mesures de biosécurité
- Contrôler ...

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La Fièvre Porcine africaine est une maladie virale mortelle affectant les suidés et qui tend à se propager rapidement en Europe et dans le monde depuis le début du siècle. Les pays encore indemnes se doivent de mettre en place des mesures de prévention strictes car l'introduction du virus a de graves conséquences économiques pour les pays. Une surveillance accrue de la faune sauvage, des mesures de biosécurité en élevages ainsi que des campagnes de sensibilisation ont été initiées en France, pays voisin de la Belgique, récemment contaminée et de la Sardaigne où la maladie est endémique. De nombreuses mesures très coûteuses sont imposées aux éleveurs. Les vétérinaires ont un rôle de conseil dans leur mise en place. Les chasseurs sont impliqués dans la surveillance de la faune sauvage. Les institutions mettent à disposition un grand nombre de supports de communication afin de sensibiliser sur la maladie et sur les gestes à adopter.[-]
La Fièvre Porcine africaine est une maladie virale mortelle affectant les suidés et qui tend à se propager rapidement en Europe et dans le monde depuis le début du siècle. Les pays encore indemnes se doivent de mettre en place des mesures de prévention strictes car l'introduction du virus a de graves conséquences économiques pour les pays. Une surveillance accrue de la faune sauvage, des mesures de biosécurité en élevages ainsi que des campagnes ...

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Maladies des abeilles

Boucher, Samuel | 2ème édition | Éditions France Agricole | 2021

Livre | Cote : R-01-01-02

Quelles sont les principales affections des abeilles mellifères ? Pourquoi une abeille tombe-t-elle malade ? Quels sont les liens entre l'environnement dans lequel vit une colonie et sa santé ? Comment poser un diagnostic ? Ce manuel répond à l'ensemble des questions que se posent les apiculteurs désireux de mieux comprendre la santé de leurs colonies. L'ouvrage s'adresse également à tous les techniciens sanitaires apicoles et aux vétérinaires en charge du suivi de ruchers. L'ensemble des affections est présenté sous forme de 30 fiches pratiques : Principales maladies bactériennes ; Principales maladies virales ; Principales maladies et affections parasitaires ; Principaux autres ennemis d'Apis mellifera ; Principales intoxications chez les insectes. Chaque fiche s'organise de la façon suivante : Importance de la maladie, abeilles concernées ; Symptômes et lésions ; Diagnostic ; Origine ; Pronostic ; Transmission ; Prévention ; Prévention ; Traitement. Très illustré, ce manuel, pratique et original, offre donc une description très documentée des maladies et autres affections de l'abeille. Il insiste, chose nouvelle, sur la biosécurité au rucher et explique l'organisation de l'encadrement du sanitaire en apiculture en France. (4e de couverture).[-]
Quelles sont les principales affections des abeilles mellifères ? Pourquoi une abeille tombe-t-elle malade ? Quels sont les liens entre l'environnement dans lequel vit une colonie et sa santé ? Comment poser un diagnostic ? Ce manuel répond à l'ensemble des questions que se posent les apiculteurs désireux de mieux comprendre la santé de leurs colonies. L'ouvrage s'adresse également à tous les techniciens sanitaires apicoles et aux vétérinaires ...

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"L'émergence, la réémergence ou même la persistance de certaines maladies animales autant à l'échelle locale qu'internationale constitue l'un des principaux facteurs limitants dans le champ des productions animales. En réponse à ces enjeux, dans son code zoosanitaire pour les animaux terrestre, l'OIE recommande à ses pays membres l'application stricte de mesures de biosécurité et insiste sur l'importance de l'adoption d'une logique de formation et de sensibilisation de tous les acteurs du domaine de la santé animale sur à la mise en place de telles mesures en élevage. Le Réseau Méditerranéen de Santé Animale oeuvre aussi, au travers de projets collaboratifs entre ses propres membres, au renforcement des moyens et des mesures de prévention et de lutte contre les maladies animales dans la région méditerranéenne. Pour s'inscrire dans cette dynamique, en tant que centres collaborateurs de l'OIE et en tant qu'institutions relevant de pays membres du Réseau Méditerranéen de Santé Animale (REMESA), l'École Nationale des Services vétérinaires (ENSV-FVI France) et le Centre National de Veille Zoosanitaire (CNVZ-Tunisie) se sont réuni pour élaborer une formation opérationnelle sur le thème de la biosécurité en élevage à destination des vétérinaires des pays du REMESA. Le travail réalisé dans le cadre de cette thèse a notamment abouti à la création d'un dispositif de formation fondé sur la méthode pédagogique dite des « mises en situation » en s'appuyant sur des cas concrets rencontrés en filière volailles et ruminants. L'objectif étant pour les participants, d'être in fine capables de conseiller les éleveurs de leur clientèle sur la mise en oeuvre de mesures de biosécurité dans leurs élevages.   The outbreak or even the persistence of some animal diseases, both at the local and international level, is one of the main limiting factors in the field of animal productions. Regarding these challenges, the OIE recommends the implementation of biosecurity measures to its member countries and insists on the importance of adopting a mindset promoting training and of raising awareness in animal health communities regarding implementation of such measures. The Mediterranean Animal Health Network also works, through collaborative projects between its own members, toward strengthening the prevention and control of animal diseases in the Mediterranean region. Engaging themselves in this kind of dynamic and as OIE collaborating centers and institutions belonging to member countries of the Mediterranean Animal Health Network (REMESA), the National School of Veterinary Services (ENSVFVI France) and the National Zoosanitary Watch Center (CNVZ-Tunisia) came together in order to develop operational training on the theme of biosecurity in farms for veterinarians from REMESA member countries. The work carried out within the framework of this thesis resulted in the development of a training system relying on the teaching method known as ""scenarios"" which are based on real-life cases encountered in the poultry and ruminants' sectors. The objective being for the participants, to be able to advise their farmer clients on the implementation of biosecurity measures in their farms."[-]
"L'émergence, la réémergence ou même la persistance de certaines maladies animales autant à l'échelle locale qu'internationale constitue l'un des principaux facteurs limitants dans le champ des productions animales. En réponse à ces enjeux, dans son code zoosanitaire pour les animaux terrestre, l'OIE recommande à ses pays membres l'application stricte de mesures de biosécurité et insiste sur l'importance de l'adoption d'une logique de formation ...

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La leucose bovine enzootique (LBE) est une maladie présente dans le monde entier. L'agent pathogène responsable de cette maladie est le virus leucémogène bovin (BLV). Ce virus se transmet d'un individu à un autre par voie iatrogène ou via des insectes piqueurs. Il a la particularité d'infecter de manière permanente les bovins touchés qui peuvent alors développer la maladie sous plusieurs formes. Une majorité des bovins ne déclarera jamais la maladie, une faible part développera une lymphocytose persistante et enfin une très faible minorité déclenchera un lymphosarcome. Il n'existe à ce jour pas de traitement contre le BLV ni de vaccin. La Réunion est un territoire où la leucose n'a pas été éradiquée dans les années 1990 contrairement à la métropole car la prévalence d'animaux infectés était alors trop importante sur l'île pour envisager une éradication économiquement viable pour les éleveurs. L'objet de cette étude est de décrire les résultats de la campagne de prophylaxie de 2018 et d'évaluer les mesures de biosécurité appliquées dans six élevages réunionnais grâce à un questionnaire. Les résultats de la campagne de prophylaxie 2018 révèlent que 34,5 % des bovins de plus de 12 mois étaient infectés ainsi que 47,4 % des cheptels. Les résultats sont cependant différents selon l'appartenance ou non des cheptels à des coopératives laitière ou allaitante. Ainsi, 100 % des cheptels laitiers détenaient au moins un bovin infecté et 80 % des bovins laitiers de plus de 12 mois étaient infectés. Les élevages provenant du groupement allaitant étaient 55 % à détenir au moins un bovin infecté et la prévalence intra-troupeau était de 15 %. Concernant les élevages n'adhérent à aucun groupement, 38 % des cheptels n'étaient pas indemnes et 23 % des bovins étaient infectés. Les résultats des réponses au questionnaire ont mis en lumière des facteurs de risque de transmission de la leucose au sein des élevages interrogés. Les points critiques identifiés sont entre autres l'utilisation de matériel normalement réservé à un usage unique sur différents animaux pouvant contaminer des animaux sains par du sang de bovin infecté ou encore l'introduction de bovins sans contrôle systématique du statut infecté ou non par le BLV. La gestion des insectes piqueurs dans les exploitations est également à ne pas négliger dans la transmission du virus de la LBE à la Réunion.[-]
La leucose bovine enzootique (LBE) est une maladie présente dans le monde entier. L'agent pathogène responsable de cette maladie est le virus leucémogène bovin (BLV). Ce virus se transmet d'un individu à un autre par voie iatrogène ou via des insectes piqueurs. Il a la particularité d'infecter de manière permanente les bovins touchés qui peuvent alors développer la maladie sous plusieurs formes. Une majorité des bovins ne déclarera jamais la ...

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Les épizooties d'influenza aviaire hautement pathogène ayant touché les élevages avicoles français en 2015-2016, 2016-2017 et plus récemment en 2020-2021, avec d'importantes conséquences à la fois sanitaires et économiques, ont mis en lumière l'importance de la gestion de la biosécurité en aviculture. L'arrêté du 8 février 2016 a instauré un cadre réglementaire strict et de nouvelles mesures à respecter en élevage. Les contrôles officiels réalisés ont mis en évidence des manquements dans l'observance de la nouvelle réglementation. Toutefois, peu d'études ont été réalisées dans les élevages en circuit court. L'objectif de cette thèse est d'analyser le fonctionnement des élevages de volailles en circuit court afin de mettre en évidence les problématiques de biosécurité en lien avec leur mode de production. Cette étude s'est basée sur des entretiens semi-directifs menés auprès de 20 éleveurs de poules pondeuses, volailles de chair maigre et palmipèdes gras produisant en circuit court, répartis au sein de sept départements du Sud-Ouest. Ces entretiens ont montré que la volonté d'authenticité, de respect du bien-être animal, la maîtrise des objectifs de production et de commercialisation ainsi que la communication directe avec la clientèle sont des valeurs centrales pour les éleveurs. Les élevages enquêtés comportaient fréquemment des productions diversifiées, avec différents types de productions de volailles voire d'autres espèces, ou la présence de cultures. Les éleveurs décrivaient diverses difficultés quant à l'application des normes de biosécurité, notamment économiques, de gestion d'espace ou de temps, en lien avec leur grand nombre de bandes et leur activité diversifiée. Des problématiques concernant les visites par la clientèle ont également été soulevées. La perception du risque autour des voies d'entrées en élevage du virus influenza aviaire variait selon les éleveurs, ainsi que l'utilité et l'efficacité perçue des mesures de biosécurité. Certains éleveurs jugeaient les normes comme trop imprécises ou équivoques ce qui pouvait notamment poser problème lors des contrôles officiels ; la réglementation a également été décrite comme pénalisante pour les élevages en circuit court et plus adaptée aux exploitations en filière organisée. Chaque acteur de la filière avicole doit avoir une bonne observance des mesures de biosécurité afin de permettre une lutte efficace contre le virus influenza aviaire et prévenir de futures épizooties. Cela concerne également les élevages en circuit court, qui semblent ici rencontrer des difficultés dans l'appropriation et l'application de la nouvelle réglementation, parfois du fait de spécificités propres à leur mode de production. Les problématiques soulevées dans cette étude constituent des pistes dans la recherche de facteurs d'observance des pratiques de biosécurité en circuit court.[-]
Les épizooties d'influenza aviaire hautement pathogène ayant touché les élevages avicoles français en 2015-2016, 2016-2017 et plus récemment en 2020-2021, avec d'importantes conséquences à la fois sanitaires et économiques, ont mis en lumière l'importance de la gestion de la biosécurité en aviculture. L'arrêté du 8 février 2016 a instauré un cadre réglementaire strict et de nouvelles mesures à respecter en élevage. Les contrôles officiels ...

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Les contrôles à l'introduction sont un des moyens de surveillance sanitaire du GDS à l'échelle départementale. Une vision d'ensemble de la situation du cheptel du Tarn-et-Garonne a été établie en synthétisant les résultats des dépistages à l'introduction de bovins de 2009 à 2019. Le taux de positivité vis-à-vis des différentes maladies dépistées a été évalué : les animaux introduits sont peu porteurs de BVD (0,3% en 2019) et d'IBR (0,1% en 2019). La néosporose (5,2% en 2019) et la paratuberculose (2,3% en 2019) sont plus représentées. Des facteurs associés à un risque augmenté de positivité ont été identifiés : un bovin de moins de 1 an a respectivement 2 ou 3 fois plus de risque d'être testé positif pour la BVD ou l'IBR à l'introduction qu'un bovin plus âgé. L'impact d'une positivité aux tests réalisés sur une réforme anticipée a été étudié. Ces travaux ouvrent sur une perspective d'observation en continu des résultats de ces contrôles pour améliorer la surveillance des élevages.[-]
Les contrôles à l'introduction sont un des moyens de surveillance sanitaire du GDS à l'échelle départementale. Une vision d'ensemble de la situation du cheptel du Tarn-et-Garonne a été établie en synthétisant les résultats des dépistages à l'introduction de bovins de 2009 à 2019. Le taux de positivité vis-à-vis des différentes maladies dépistées a été évalué : les animaux introduits sont peu porteurs de BVD (0,3% en 2019) et d'IBR (0,1% en ...

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"La recrudescence de foyers de tuberculose bovine en France et notamment en région Nouvelle-Aquitaine a conduit à réaliser une série de 18 visites dans les EPLFPA de la région possédant au moins un atelier bovin. Ces visites visaient à y réaliser des diagnostiques biosécurité puis à proposer des pistes d'amélioration. Les résultats montrent une hétérogénéité de la situation, avec un score global de biosécurité faible, faible à moyen, moyen, moyen à élevé, élevé et élevé à très élevé pour respectivement 2, 2, 4, 6, 3 et 1 exploitations. L'extrapolation des résultats aux élevages hors EPLEFPA est proposée pour les critères suivants: tenues des personnels, traçabilité, contacts avec la faune sauvage, mutualisation des matériels ... La biosécurité est enfin envisagée au regard d'enjeux plus larges (bien-être animal, utilisation d'antibiotiques ...). En conclusion, une politique nationale est proposée, s'appuyant sur trois idées: repenser la biosécurité en élevage bovin; développer une culture biosécurité acceptée par tous; intégrer la biosécurité aux plans de développement agricole   Due to the resurgence of outbreaks of bovine tuberculosis in France, particularly in the New-Aquitaine, we conducted 18 farm visits in the EPLFPA with at least a bovine operation, to evaluate biosecurity level of the farm. The biosecurity level was heterogeneous, with a global biosecurity scoring low, low to medium, medium, medium to high, high, high to very high for 2, 2, 4, 6, 3 and 1 farms, respectively. Extrapolation of the results to farms outside of EPLEFPA is suggested for thefollowing criteria: farm workers equipment, traceability, contacts with wild animals, equipment sharing... Biosecurity was also described as linked to other stakes such as animal welfare or antimicrobial use. In conclusion, a national policy is proposed, based on three key ideas: rethinking biosecurity in cattle breedingnot only as an application of swine and poultry mainstream; developing a biosecurity culture accepted by alland integrating biosecurity to national agricultural development plans"[-]
"La recrudescence de foyers de tuberculose bovine en France et notamment en région Nouvelle-Aquitaine a conduit à réaliser une série de 18 visites dans les EPLFPA de la région possédant au moins un atelier bovin. Ces visites visaient à y réaliser des diagnostiques biosécurité puis à proposer des pistes d'amélioration. Les résultats montrent une hétérogénéité de la situation, avec un score global de biosécurité faible, faible à moyen, moyen, ...

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L'objectif de ce travail était de développer un système de notation de la biosécurité en élevage de chiens et de chats, à travers l'étude de différents paramètres d'hygiène et de prophylaxie médicale. Après avoir déterminé quels critères permettaient une évaluation pertinente de la biosécurité interne d'une part, et de la biosécurité externe d'autre part, des points ont été attribués à chacun d'eux, selon leur importance relative. Un fichier Excel a ensuite été réalisé pour permettre une application plus aisée du questionnaire, avec des réponses pré-enregistrées aboutissant au cumul automatique des points, et à la note finale. De plus, le fichier fournit une représentation graphique des résultats obtenus par l'élevage évalué, en comparaison avec la moyenne obtenue pour d'autres élevages. La deuxième partie de cette étude avait pour but d'appliquer ce système de notation de manière rétrospective aux élevages de chiens et de chats visités par l'Ecole Vétérinaire de Toulouse depuis l'année 2015, à partir du recoupement des informations déjà disponibles sous diverses formes. Le manque de réponses disponibles n'a autorisé qu'une analyse partielle de la biosécurité pour ces élevages. Une large distribution du questionnaire ainsi que son remplissage complet seraient alors nécessaires afin de comparer les pratiques de biosécurité entre les élevages de chiens et les élevages de chats dans une future étude française ou internationale.   The aim of this work was to develop an assessment system of biosecurity in canine and feline facilities, via the evaluation of several hygiene and husbandry parameters. Relevant criterias were chosen in order to evaluate internal and external biosecurity and points were attributed to each of them according to their relative importance. Then, an Excel file was created to allow easier application of the questionnaire, with pre-recorded responses leading to automatic accumulation of points, and to the final score. In addition, the file provides a graphical representation of the breeder's results, in comparison with the average values obtained for other facilities. The second part of this study aimed to apply this scoring system to the canine and feline facilities which were visited by the Veterinary School of Toulouse since 2015. This retrospective study was conducted from the cross-checking of various informations that were already available. The lack of available answers necessitated the removal of many questions from the initial questionnaire, thus allowing only a partial biosecurity analysis for these facilities. Wide spread of the questionnaire and its complete full filling would be necessary in order to compare the biosecurity practices between dog et cat breeders, in France and in other countries[-]
L'objectif de ce travail était de développer un système de notation de la biosécurité en élevage de chiens et de chats, à travers l'étude de différents paramètres d'hygiène et de prophylaxie médicale. Après avoir déterminé quels critères permettaient une évaluation pertinente de la biosécurité interne d'une part, et de la biosécurité externe d'autre part, des points ont été attribués à chacun d'eux, selon leur importance relative. Un fichier ...

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L'introduction d'un ou plusieurs bovins au sein d'un cheptel est un évènement complexe. C'est un acte faisant suite à un achat dans la plupart des cas, touchant toutes les catégories d'âge, qui est soumis aux lois mais qui présente des exceptions à la règle avec le statut particulier de l'animal, en termes de transport ou de garantie par exemple. Deux éléments sont très importants et à la portée de l'éleveur : le billet de garantie conventionnelle qui apporte des sécurités supplémentaires à l'acheteur et la mise en quarantaine des animaux introduits, même si les éleveurs possèdent des difficultés justifiées pour la mettre en œuvre. Les risques liés à l'introduction d'animaux sont essentiellement représentés par les maladies infectieuses. Celles-ci sont parfois règlementées, c'est-à-dire que l'État considère les risques sanitaire et zootechnique de ces affections. Elles peuvent également être non règlementées mais présenter un risque important pour la qualité de production d'un élevage atteint. Ce document, sans être exhaustif, essaye de décrire le plus large panel d'affections possible. D'autres risques interviennent lors d'introduction. Pour les accidents lors du transport, les responsabilités sont clairement décrites par la loi. Par contre, pour les défauts de conformité, la loi n'apporte que peu de réponse et les solutions se trouvent dans la jurisprudence, sous condition qu'un tel litige ait déjà été jugé. Le vétérinaire a son rôle à jouer dans l'accompagnement de l'éleveur pour la gestion des introductions. Il intervient déjà en tant que vétérinaire sanitaire pour la réalisation des prophylaxies obligatoires qui permettent de garantir un statut sanitaire au cheptel. De par sa connaissance des maladies ayant un impact économique fort et sa maitrise des analyses, il peut conseiller l'éleveur sur les choix des maladies contre lesquelles l'éleveur doit se prémunir. Enfin, il peut guider l'éleveur lorsque celui-ci se sent lésé suite à un achat ne répondant pas aux critères fixés. De plus, certains vétérinaires sont amenés à réaliser des expertises lors de litige entre un acheteur et un vendeur.[-]
L'introduction d'un ou plusieurs bovins au sein d'un cheptel est un évènement complexe. C'est un acte faisant suite à un achat dans la plupart des cas, touchant toutes les catégories d'âge, qui est soumis aux lois mais qui présente des exceptions à la règle avec le statut particulier de l'animal, en termes de transport ou de garantie par exemple. Deux éléments sont très importants et à la portée de l'éleveur : le billet de garantie conv...

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100 % biosécurité

Collectif d'auteurs | SNGTV | 2017

N°spécial | Cote : 103550

- La biosécurité pour réduire la contamination croisée des agents pathogènes entre l'Homme et l'animal
- Lutte contre la tuberculose bovine : protocole d'évaluation des mesures de biosécurité
- Vendre la biosécurité : conseils et formations pour les éleveurs et autres intervenants en élevage
- La biosécurité en filière équine : un point sur les besoins

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