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Le shiatsu est une technique de massothérapie japonaise qui vise à harmoniser les éléments du corps et le Ki pour restaurer l'équilibre entre le Yin et le Yang, en appliquant des pressions « tsu » des doigts « shia », d'où son autre nom : acupression. Cette thèse explore l'utilisation peu documentée du shiatsu dans le domaine équin. Elle décrit la clientèle d'une praticienne en shiatsu, illustre sur cinq cas les effets du shiatsu ressentis par les propriétaires et objectivés à l'aide de questionnaires, incluant quinze shiatsu ki, et présente les indications, effets potentiels, contre-indications et effets secondaires du shiatsu identifié lors d'une enquête auprès de quinze shiatsu ki ayant répondu à un questionnaire en ligne. Ce travail révèle une clientèle plutôt orientée vers des chevaux de loisir, en activité et hébergés au pré. Les motifs d'appel incluent principalement de la prévention ou le bien-être, des symptômes locomoteurs, comportementaux et dermatologiques divers. L'étude expérimentale, suggère une amélioration subjective des chevaux après un shiatsu pour leur propriétaire et une amélioration globale dans le travail lors de l'évaluation chiffrée. Le nombre de données est néanmoins très faible et il serait nécessaire de recruter un plus grand nombre de sujets pour conclure. Les qualités majeures du shiatsu rapportées par la bibliographie et par les shiatsu ki interrogés sont une approche holistique de l'animal, douce, non invasive, en collaboration avec le cheval, avec une prise en compte de son état émotionnel et de ses conditions de vie générales.[-]
Le shiatsu est une technique de massothérapie japonaise qui vise à harmoniser les éléments du corps et le Ki pour restaurer l'équilibre entre le Yin et le Yang, en appliquant des pressions « tsu » des doigts « shia », d'où son autre nom : acupression. Cette thèse explore l'utilisation peu documentée du shiatsu dans le domaine équin. Elle décrit la clientèle d'une praticienne en shiatsu, illustre sur cinq cas les effets du shiatsu ressentis par ...

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Le cannabidiol (CBD) est un phytocannabinoïde non psychotrope de la plante Cannabis sativa L. Le cannabidiol est devenu populaire au cours des dernières années, d'abord dans la médecine humaine, puis récemment en médecine vétérinaire. Les propriétés thérapeutiques pour certaines indications ont été prouvées en médecine humaine mais, de nouvelles recherches sont nécessaires en médecine vétérinaire car peu nombreuses. Les produits contenant du CBD sur le marché sont de plus en plus nombreux et principalement achetés sur Internet. Cependant, il existe un flou juridique encore aujourd'hui en France sur ces produits ce qui ne permet pas aux acheteurs une utilisation médicale raisonnée. Cette étude a utilisé un sondage en ligne. L'objectif consiste à évaluer, en 2023, l'approvisionnement et la perception du cannabidiol des propriétaires d'animaux de compagnie et l'utilisation sur leurs animaux en France. Parmi les 225 participants au questionnaire, 148 personnes n'ont jamais utilisé de CBD sur leurs animaux et 77 personnes en ont déjà utilisé sur un ou plusieurs de leurs animaux. Soit en tout 108 animaux (principalement des chiens) enregistrés ont déjà reçu du CBD par voie orale sous forme d'huile, généralement pendant une durée de plus de 2 mois. Parmi les utilisateurs, la grande majorité des propriétaires estime que le CBD est efficace et ils ont signalé que des effets secondaires minimes ou absents contrairement aux non-utilisateurs sont beaucoup plus mitigés et méfiants. La plupart des propriétaires sont bien informés des propriétés thérapeutiques, en grande partie via internet. Mais son utilisation par les propriétaires reste anarchique. C'est pourquoi, ils souhaiteraient plus de recommandations auprès des vétérinaires. Compte tenu de ces informations, les vétérinaires ont un rôle de conseil à jouer dans l'utilisation et la compréhension correcte du cannabidiol par les propriétaires, ainsi que de plaider en faveur de plus d'études fondées sur des preuves pour évaluer l'efficacité du CBD chez les animaux. Compte tenu de ces informations, il revient au vétérinaire d'assumer un rôle de conseiller en orientant les propriétaires vers une utilisation adéquate du CBD et en favorisant une compréhension approfondie. De plus, ils ont la responsabilité de plaider en faveur de davantage de recherches fondées sur des preuves afin d'évaluer l'efficacité du CBD chez les animaux.[-]
Le cannabidiol (CBD) est un phytocannabinoïde non psychotrope de la plante Cannabis sativa L. Le cannabidiol est devenu populaire au cours des dernières années, d'abord dans la médecine humaine, puis récemment en médecine vétérinaire. Les propriétés thérapeutiques pour certaines indications ont été prouvées en médecine humaine mais, de nouvelles recherches sont nécessaires en médecine vétérinaire car peu nombreuses. Les produits contenant du CBD ...

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Les spécialités pharmaceutiques à base d'anticorps monoclonaux ne trouvent à ce jour que deux applications chez les animaux de compagnie : la gestion de la douleur liée à l'arthrose chez le chien (Librela) et le chat (Solensia), ainsi que la gestion du prurit lié à la dermatite atopique canine (Cytopoint). Des essais cliniques ont été réalisés, mais nous ne disposons à l'heure actuelle que de peu de retours quant aux résultats obtenus sur le terrain en termes d'efficacité, mais aussi quant aux modalités d'utilisation par les vétérinaires. Ainsi, nous nous sommes proposé d'une part de recueillir les pratiques des vétérinaires à l'égard des médicaments à base d'anticorps monoclonaux, et d'autre part de recueillir les résultats obtenus sur leur patientèle. Les pratiques d'utilisation des trois anticorps monoclonaux présentent majoritairement des points communs et quelques différences : Librela et Solensia sont fréquemment utilisés en première intention dans la gestion de la douleur liée à l'arthrose, surtout sur des animaux avec insuffisance organique. Le Cytopoint est plus souvent prescrit en seconde intention dans la gestion du prurit lié à la dermatite atopique canine. Ils sont tous trois souvent utilisés en association avec d'autres thérapies. Concernant leur action, ils sont jugés très efficaces, avec une efficacité maximale atteinte le plus souvent après deux injections pour le Librela, une injection pour le Cytopoint. Toutefois, la réponse à ces traitements présente une variabilité interindividuelle, et l'efficacité semble diminuer au cours des injections.[-]
Les spécialités pharmaceutiques à base d'anticorps monoclonaux ne trouvent à ce jour que deux applications chez les animaux de compagnie : la gestion de la douleur liée à l'arthrose chez le chien (Librela) et le chat (Solensia), ainsi que la gestion du prurit lié à la dermatite atopique canine (Cytopoint). Des essais cliniques ont été réalisés, mais nous ne disposons à l'heure actuelle que de peu de retours quant aux résultats obtenus sur le ...

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La gestion du péripartum fait l'objet de nombreuses études, dont peu portent spécifiquement sur la prise en charge de la douleur chez les bovins. Or, la douleur a de nombreuses conséquences néfastes sur les performances (production laitière, transfert immunitaire, immunité…). Le recours à certains analgésiques a démontré des bénéfices. Dans cette enquête, les objectifs sont de faire un état des lieux des attitudes des éleveurs d'une clientèle donnée vis-à-vis de la douleur en péripartum, afin de contribuer in fine à la sensibilisation des éleveurs à la bonne détection et prise en charge de la douleur en péripartum. L'enquête s'est déroulée sur l'hiver 2022-2023, elle a sollicité 120 éleveurs et a permis d'avoir le retour d'expérience de 34 éleveurs. L'enquête a permis de mettre en évidence une certaine sensibilité des éleveurs aux douleurs en péripartum, plus marquée dans la population féminine, avec cependant des freins à la prise en charge des douleurs. Ces freins peuvent en partie être levés par une sensibilisation à la détection des signes indicateurs de douleur, une délivrance d'informations quant à l'usage d'analgésiques en péripartum et ses bénéfices à court et long terme, dont les éleveurs sont demandeurs. La réalisation de support d'informations, dont les éleveurs sont demandeurs, va favoriser le partenariat entre l'éleveur et son vétérinaire dans la prise en charge de la douleur des bovins en péripartum.[-]
La gestion du péripartum fait l'objet de nombreuses études, dont peu portent spécifiquement sur la prise en charge de la douleur chez les bovins. Or, la douleur a de nombreuses conséquences néfastes sur les performances (production laitière, transfert immunitaire, immunité…). Le recours à certains analgésiques a démontré des bénéfices. Dans cette enquête, les objectifs sont de faire un état des lieux des attitudes des éleveurs d'une clientèle ...

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La profession vétérinaire s'est construite au cours d'un long processus de professionnalisation semé de difficultés diverses telles que la concurrence avec des professions proches (appelées les empiriques à l'époque). En outre, l'étude de ces évolutions permet de mettre en lumière les problématiques passées des praticiens, ce qui permet par la suite de mieux comprendre les problématiques actuelles ressenties par nos confrères. L'étude d'entretiens semi-directifs menés auprès de confrères volontaires nous a ainsi permis de dresser les problématiques liées à l'évolution de la société de façon globale. Ainsi, nous retiendrons les difficultés de recrutement, les changements de relation avec la clientèle ou encore l'apparition d'une cohabitation entre différentes générations de vétérinaires, peu présents il y a encore quelques dizaines d'années.[-]
La profession vétérinaire s'est construite au cours d'un long processus de professionnalisation semé de difficultés diverses telles que la concurrence avec des professions proches (appelées les empiriques à l'époque). En outre, l'étude de ces évolutions permet de mettre en lumière les problématiques passées des praticiens, ce qui permet par la suite de mieux comprendre les problématiques actuelles ressenties par nos confrères. L'étude d...

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De nombreux étudiants en école vétérinaire sont attirés par la perspective de travailler avec la faune sauvage, mais peu finissent par exercer dans ce domaine. Des études indiquent cette forte attirance et un état des lieux des enseignements dispensés actuellement au sein des écoles vétérinaires françaises suggère cependant que le manque de formation spécifique pourrait expliquer l'abandon de ce projet par les étudiants. Néanmoins, une évolution progressive de cette formation est perceptible. Une enquête menée auprès de vétérinaires impliqués dans la faune sauvage non captive a réuni 145 réponses, révélant une grande diversité de profils par la variété des activités et des statuts. Cette diversité complique l'identification et la définition du vétérinaire faune sauvage. L'enquête pointe également les défis rencontrés dans ce domaine, tels que les problèmes de rémunération et l'accès restreint à des formations complémentaires. La restructuration des programmes de formation en médecine vétérinaire, axée sur la faune sauvage, apparaît comme une piste prometteuse pour encourager davantage d'étudiants à s'engager dans ce secteur spécifique.[-]
De nombreux étudiants en école vétérinaire sont attirés par la perspective de travailler avec la faune sauvage, mais peu finissent par exercer dans ce domaine. Des études indiquent cette forte attirance et un état des lieux des enseignements dispensés actuellement au sein des écoles vétérinaires françaises suggère cependant que le manque de formation spécifique pourrait expliquer l'abandon de ce projet par les étudiants. Néanmoins, une évolution ...

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Les chiens prennent une place de plus en plus importante dans les foyers français, pourtant, les refuges sont toujours pleins. Par ailleurs, la vie en refuge est particulièrement difficile pour les chiens, qui parfois y risquent leur vie, rendant la problématique de l'adoption d'autant plus essentielle. Ce travail, à travers une étude bibliographique ainsi que deux enquêtes préliminaires menées auprès de personnes ayant un chien et d'associations françaises prenant en charge des chiens, vise à essayer de répondre à la problématique de l'adoption en refuge en France : comment l'encourager et la favoriser ? Il a permis de faire émerger des pistes de réflexion ainsi que de proposition concrètes visant à encourager et favoriser l'adoption des chiens placés en refuge, notamment en réalisant des partenariats avec des étudiants vétérinaires ou élèves éducateurs, favoriser l'utilisation des familles d'accueil ou encore via des évènements afin de sensibiliser la population à l'importance de l'adoption.[-]
Les chiens prennent une place de plus en plus importante dans les foyers français, pourtant, les refuges sont toujours pleins. Par ailleurs, la vie en refuge est particulièrement difficile pour les chiens, qui parfois y risquent leur vie, rendant la problématique de l'adoption d'autant plus essentielle. Ce travail, à travers une étude bibliographique ainsi que deux enquêtes préliminaires menées auprès de personnes ayant un chien et d'as...

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Dans un contexte où l'agriculture traverse une crise écologique, économique et sociale sans précédent, l'agroécologie est un cadre pertinent pour repenser la transition des systèmes agricoles, et, plus largement, alimentaires. Le vétérinaire a un rôle important à jouer dans cette dynamique de transition. Un état des lieux des connaissances, attitudes et pratiques agroécologiques des vétérinaires ruraux a été réalisé par l'intermédiaire d'enquêtes. Une typologie des 145 vétérinaires ayant répondu a permis de définir cinq catégories. Les enquêtes ont mis en évidence une prise de conscience globale des enjeux actuels de l'élevage chez les vétérinaires comme chez les étudiants. Les praticiens sont aux prémices d'une réflexion agroécologique : 6,9% ont une démarche agroécologique avancée, mais 95,9% s'accordent à dire que c'est une orientation pertinente des élevages de demain, et 74,5% sont très favorables à son intégration dans les formations initiales et continues.[-]
Dans un contexte où l'agriculture traverse une crise écologique, économique et sociale sans précédent, l'agroécologie est un cadre pertinent pour repenser la transition des systèmes agricoles, et, plus largement, alimentaires. Le vétérinaire a un rôle important à jouer dans cette dynamique de transition. Un état des lieux des connaissances, attitudes et pratiques agroécologiques des vétérinaires ruraux a été réalisé par l'intermédiaire ...

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Dans cette étude est réalisé un état des lieux de l'évolution de l'espérance de vie de nos compagnons du quotidien, les chiens et les chats, en France entre 2003 et 2020. Elle répond à un manque de travaux dans notre pays sur le sujet, et fournit notamment des informations nouvelles sur les facteurs pouvant influencer l'espérance de vie chez ces deux espèces. Notre travail repose sur une enquête réalisée sur une population représentative de la population française sur une période de dix-sept ans, par le biais d'un questionnaire exhaustif fournissant des données sur les animaux comme sur les propriétaires. Ce que nous retenons est que si le chien connait bien une croissance de son espérance de vie, ce n'est rien comparé au chat qui gagne près de deux ans et demi en dix-sept ans. Il semble émerger également que la vie en ville, et surtout dans de grosses agglomérations comme Paris, sont favorablement corrélées avec une augmentation de l'espérance de vie, surtout pour les chats. Une étude analytique multivariée plus poussée reste nécessaire afin d'analyser plus en détail les corrélations qui pourraient exister entre les différents facteurs.[-]
Dans cette étude est réalisé un état des lieux de l'évolution de l'espérance de vie de nos compagnons du quotidien, les chiens et les chats, en France entre 2003 et 2020. Elle répond à un manque de travaux dans notre pays sur le sujet, et fournit notamment des informations nouvelles sur les facteurs pouvant influencer l'espérance de vie chez ces deux espèces. Notre travail repose sur une enquête réalisée sur une population représentative de la ...

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L'éducation thérapeutique du patient, un concept bien établi en médecine humaine, a été initialement développée pour les patients atteints de diabète et est désormais étendue à d'autres maladies chroniques telles que la dermatite atopique. Cette approche est conçue pour aider les patients et leurs proches à gérer efficacement ces affections au quotidien. Récemment, l'éducation thérapeutique a également été appliquée en médecine vétérinaire, mais elle concerne principalement les propriétaires de carnivores domestiques, qui sont responsables de la gestion des maladies et des traitements de leurs animaux. Il est envisageable d'appliquer ce concept à d'autres maladies chroniques et à différentes espèces animales. Par exemple, les équidés en France, au nombre d'un million trente-cinq mille, sont touchés par diverses maladies chroniques, ce qui en fait une population pertinente pour le développement de l'éducation thérapeutique. L'objectif de cette thèse est d'évaluer les connaissances en matière d'éducation thérapeutique parmi les propriétaires d'équidés et les vétérinaires, tout en identifiant les besoins, les attentes et les possibilités d'amélioration. Les résultats montrent que bien que les connaissances en éducation thérapeutique soient limitées à un niveau faible à moyen, les propriétaires et les vétérinaires reconnaissent son importance. Notamment, certaines maladies suscitent un intérêt majeur. L'enquête met aussi en évidence une préférence partagée pour un faible nombre de séances et de courte durée. En ce qui concerne le format, les propriétaires préfèrent les vidéos, tandis que les vétérinaires se montrent moins à l'aise, suggérant ainsi un besoin d'amélioration.[-]
L'éducation thérapeutique du patient, un concept bien établi en médecine humaine, a été initialement développée pour les patients atteints de diabète et est désormais étendue à d'autres maladies chroniques telles que la dermatite atopique. Cette approche est conçue pour aider les patients et leurs proches à gérer efficacement ces affections au quotidien. Récemment, l'éducation thérapeutique a également été appliquée en médecine vétérinaire, mais ...

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Internet est devenu l'outil technologique le plus utilisé au quotidien dans le monde, offrant une multitude de fonctionnalités essentielles. Cette étude révèle son rôle majeur dans le domaine de la formation, souvent sous-estimé. Les jeunes générations l'ont adopté pour rechercher des informations, partager des connaissances et organiser leur vie étudiante. Les réseaux sociaux ont amplifié cette tendance, créant de nouvelles formes d'apprentissage collaboratif et améliorant les échanges entre pairs et experts. Cette évolution est également observée parmi les professionnels de la médecine vétérinaire en France, qui cherchent des moyens spécialisés pour perfectionner leur formation. Dans le domaine complexe des intoxications, les vétérinaires français réclament des ressources de formation efficaces et précises. C'est dans ce contexte qu'une initiative a émergé : une plateforme dédiée aux toxiques. Cette plateforme propose des vidéos courtes et ciblées, répondant ainsi aux besoins spécifiques de cette communauté. Cette étude met en lumière l'impact d'internet sur l'éducation, tout en soulignant les opportunités qu'il offre pour des formations plus ciblées et accessibles.[-]
Internet est devenu l'outil technologique le plus utilisé au quotidien dans le monde, offrant une multitude de fonctionnalités essentielles. Cette étude révèle son rôle majeur dans le domaine de la formation, souvent sous-estimé. Les jeunes générations l'ont adopté pour rechercher des informations, partager des connaissances et organiser leur vie étudiante. Les réseaux sociaux ont amplifié cette tendance, créant de nouvelles formes d'ap...

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Les maladies infectieuses d'origine bactérienne et virale constituent un enjeu de santé majeur, en médecine humaine comme en médecine vétérinaire. L'émergence de résistances aux traitements conventionnels nécessite la mise en place de nouvelles stratégies de lutte. La phytothérapie est une thérapeutique alternative évoquée dans le plan Eco Antibio 2 pour limiter le recours aux antibiotiques, mais elle semble peu utilisée en clinique vétérinaire. Nous présentons en premier lieu les grands principes de la phytothérapie. Puis, nous nous intéressons à plusieurs plantes présentant des propriétés antibactériennes et antivirales. Si les études in vitro sont nombreuses, des études cliniques chez les carnivores domestiques semblent nécessaires pour préciser les conditions d'utilisation des plantes chez ces espèces. Enfin, nous présentons les résultats des enquêtes menées auprès des praticiens canins et des étudiants vétérinaires sur l'utilisation de la phytothérapie. La majorité présentent un intérêt pour cette thérapeutique, et son usage semble répandu en clinique y compris pour la prise en charge de maladies infectieuses, bien que certains freins à son développement persistent.[-]
Les maladies infectieuses d'origine bactérienne et virale constituent un enjeu de santé majeur, en médecine humaine comme en médecine vétérinaire. L'émergence de résistances aux traitements conventionnels nécessite la mise en place de nouvelles stratégies de lutte. La phytothérapie est une thérapeutique alternative évoquée dans le plan Eco Antibio 2 pour limiter le recours aux antibiotiques, mais elle semble peu utilisée en clinique vétérinaire. ...

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Cette thèse explore l'engagement des vétérinaires français dans la prise en charge des animaux sauvages non captifs. Elle a enquêté auprès de cent vingt-six établissements de soins vétérinaires pour comprendre leurs motivations, les obstacles qu'ils rencontrent et les perspectives liées à leur implication dans le sauvetage des animaux sauvages en détresse. Les résultats montrent que les vétérinaires ayant répondu ont une forte volonté de s'engager dans cette cause. Cependant, des obstacles tels que le manque de connaissances, de compétences, et des contraintes logistiques et réglementaires sont identifiés. Pour encourager leur participation, l'étude suggère la création de formations spécifiques et la centralisation des ressources. En fin de compte, cette thèse souligne l'importance de renforcer la collaboration entre les vétérinaires et les centres de soins pour améliorer la prise en charge de la faune sauvage et contribuer à la préservation de la biodiversité.[-]
Cette thèse explore l'engagement des vétérinaires français dans la prise en charge des animaux sauvages non captifs. Elle a enquêté auprès de cent vingt-six établissements de soins vétérinaires pour comprendre leurs motivations, les obstacles qu'ils rencontrent et les perspectives liées à leur implication dans le sauvetage des animaux sauvages en détresse. Les résultats montrent que les vétérinaires ayant répondu ont une forte volonté de ...

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En France, la stérilisation précoce (avant l'âge de 16 semaines) des chatons est une pratique controversée. L'objectif de cette étude était d'acquérir des connaissances sur les motivations des éleveurs félins à pratiquer (ou non) la stérilisation précoce sur les chatons ainsi que de connaître le point de vue des vétérinaires praticiens sur cette pratique. Parmi les 567 éleveurs félins ayant répondu à une enquête en ligne, 68% ont déclaré pratiquer la stérilisation précoce de façon systématique et 24% jamais. Parmi les arguments donnés pour réaliser une stérilisation précoce (n=1731), 17% étaient liés au confort de l'éleveur, 43% à celui du futur propriétaire et 40% au bien-être de l'animal. Les raisons les plus fréquemment citées sont d'éviter la mise à la reproduction par les futurs propriétaires (81%) et que l'animal supporterait mieux l'intervention lorsqu'il est jeune (70%). Les arguments avancés pour ne pas pratiquer la stérilisation avant l'adoption (n=332) étaient principalement liés aux futurs propriétaires (43%), secondairement au bien-être des chatons (40%), et à l'éleveur (17%). Les raisons les plus fréquentes étaient l'impact négatif sur la santé du chaton (51%), sur la croissance du chaton (33%) ou le fait que la stérilisation précoce était jugée inutile (31%). La majorité (54%) des 126 vétérinaires interrogés est favorable à la stérilisation précoce. Les chatons stérilisés précocement ne représentent que 10% des chats stérilisés. 81,1% des vétérinaires (n=53) pratiquent la stérilisation précoce quelle que soit la race du chaton. Seulement 19 % des vétériniares appliquent une bonne durée de jeûne chez les chatons. . Pour 96% des vétérinaires, la technique chirurgicale ne diffère pas entre la SP et la SC (n=49 réponses), 86% utilisent un abord par la ligne blanche dans les deux cas et 100% d'entre eux posent des fils de suture sur l'utérus lors de la stérilisation classique et lors de la stérilisation précoce. Globalement, les vétérinaires (93% pour la castration et 74% pour l'ovariectomie) constatent que la stérilisation précoce, en terme de difficulté de réalisation, n'est pas significativement plus difficile que la stérilisation classique. 91% des vétériniares affirment que le prix de la stérilisation est inchangé quel que soit l'âge du chat. La majorité des vétérinaires (58%) remarque que, par rapport à une intervention sur un animal plus âgé, le réveil et la récupération post opératoires après la stérilisation précoce est plus rapide. Les vétérinaires (34%) qui sont mitigés vis-à-vis de la stérilisation précoce mettent en avant le manque de recul sur les conséquences sur la santé des chatons à long terme. Cependant 100% des vétérinaires affirment que selon eux, la stérilisation précoce n'induit pas une augmentation du risque de tumeurs mammaires chez la chatte, que cette pratique n'est pas associée à une augmentation du risque de développement de tumeurs autres que mammaires, ni à l'augmentation du risque d'apparition de troubles orthopédiques ou de prise de poids en comparaison avec la stérilisation classique.[-]
En France, la stérilisation précoce (avant l'âge de 16 semaines) des chatons est une pratique controversée. L'objectif de cette étude était d'acquérir des connaissances sur les motivations des éleveurs félins à pratiquer (ou non) la stérilisation précoce sur les chatons ainsi que de connaître le point de vue des vétérinaires praticiens sur cette pratique. Parmi les 567 éleveurs félins ayant répondu à une enquête en ligne, 68% ont déclaré ...

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La médecine préventive est une médecine pluridisciplinaire s'étant développée grâce à l'évolution de la place de l'animal. Mais les propriétaires restent encore peu informés sur toutes les thématiques la composant. La première partie de ce travail consistait en une enquête auprès des propriétaires avec trois objectifs : étudier leurs connaissances sur le sujet ; évaluer leur intérêt envers cette discipline, les sources d'informations utilisées pour se renseigner et leurs habitudes quant à l'utilisation d'Internet ; recueillir leurs avis et leurs attentes concernant la création d'un site internet. La deuxième partie de ce travail consistait en la création d'un site Internet dédié à la médecine préventive et destiné aux propriétaires, ayant pour objectif d'informer les propriétaires et corriger les lacunes identifiées. Le même travail a été réalisé auprès des propriétaires de chats dans un travail collaboratif avec ARIZZI Nelly, de nombreuses parties étant communes aux deux sujets.[-]
La médecine préventive est une médecine pluridisciplinaire s'étant développée grâce à l'évolution de la place de l'animal. Mais les propriétaires restent encore peu informés sur toutes les thématiques la composant. La première partie de ce travail consistait en une enquête auprès des propriétaires avec trois objectifs : étudier leurs connaissances sur le sujet ; évaluer leur intérêt envers cette discipline, les sources d'informations utilisées ...

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La médecine préventive est une médecine pluridisciplinaire s'étant développée grâce à l'évolution de la place de l'animal. Mais les propriétaires restent encore peu informés sur toutes les thématiques la composant. La première partie de ce travail consistait en une enquête auprès des propriétaires avec trois objectifs: étudier leurs connaissances sur le sujet, évaluer leur intérêt envers cette discipline, les sources d'informations utilisées pour se renseigner et leurs habitudes quant à l'utilisation d'Internet, recueillir leurs avis et leurs attentes concernant la création d'un site Internet. La deuxième partie de ce travail consistait en la création d'un site Internet dédié à la médecine préventive et destiné aux propriétaires, ayant pour objectif d'informer les propriétaires et corriger les lacunes identifiées. Le même travail a été réalisé auprès des propriétaires de chiens dans un travail collaboratif avec DHAUSSY Clélia, de nombreuses parties étant communes aux deux sujets.[-]
La médecine préventive est une médecine pluridisciplinaire s'étant développée grâce à l'évolution de la place de l'animal. Mais les propriétaires restent encore peu informés sur toutes les thématiques la composant. La première partie de ce travail consistait en une enquête auprès des propriétaires avec trois objectifs: étudier leurs connaissances sur le sujet, évaluer leur intérêt envers cette discipline, les sources d'informations utilisées ...

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Depuis 2019, le Laos et le Cambodge sont frappés par une épizootie de peste porcine africaine qui entraîne de lourdes pertes économiques, particulièrement dans les petits élevages ruraux familiaux. Une étude des connaissances, attitudes et pratiques des petits producteurs de porcs vis-à-vis de cette maladie est réalisée auprès de 382 éleveurs du Laos et du Cambodge. Il est mis en évidence un faible niveau de connaissance concernant les signes cliniques et les voies de transmission de la maladie, qui semble influencé par des facteurs socio-démographiques et contextuels comme le taux d'alphabétisation et l'expérience préalable d'un foyer dans sa ferme. Par ailleurs, bien que la peste porcine africaine soit perçue comme un risque important, les éleveurs considèrent dans l'ensemble les mesures de biosécurité comme inefficaces et plusieurs lacunes de biosécurité ont été identifiées. Les connaissances, les attitudes et les pratiques étant corrélées, il apparaît fondamental de mettre en place des campagnes de sensibilisation ciblées afin de permettre une meilleure compréhension de l'intérêt des mesures de biosécurité et de favoriser leur adoption.[-]
Depuis 2019, le Laos et le Cambodge sont frappés par une épizootie de peste porcine africaine qui entraîne de lourdes pertes économiques, particulièrement dans les petits élevages ruraux familiaux. Une étude des connaissances, attitudes et pratiques des petits producteurs de porcs vis-à-vis de cette maladie est réalisée auprès de 382 éleveurs du Laos et du Cambodge. Il est mis en évidence un faible niveau de connaissance concernant les signes ...

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Le comité technique national des boiteries des bovins vient de faire évoluer les définitions françaises des lésions podales des bovins. L'objectif de cette étude est de vérifier l'accord entre les observateurs sur l'utilisation de ces définitions pour noter des lésions podales. Un « guide de notation des lésions podales des bovins » a été édité pour indiquer la définition des lésions et leurs niveaux de gravité. L'accord entre les observateurs a été vérifié sur 354 lésions à l'aide d'un questionnaire, comprenant 287 photographies, auquel ont répondu dix étudiants vétérinaires, neuf vétérinaires et six pédicures bovins. L'accord entre les vétérinaires et les pédicures sur le nom des lésions est similaire. L'utilisation du guide permet d'augmenter l'accord entre les observateurs non expérimentés sur le choix du nom des lésions et sur l'évaluation du niveau de gravité. L'accord est bon pour les lésions à l'origine de boiteries (ouverture de la ligne blanche, ulcère typique de la sole, dermatite digitale) mais faible pour les lésions qui n'en provoquent pas (bleimes, érosion de la corne du talon). Deux outils pédagogiques ont été développés : un jeu de cartes type « memory » et un questionnaire interactif en ligne pour aider à la reconnaissance des lésions. Ces outils vont aider à la formation des étudiants vétérinaires et pédicures bovins et ainsi contribuer à l'harmonisation de la notation des lésions podales des bovins.[-]
Le comité technique national des boiteries des bovins vient de faire évoluer les définitions françaises des lésions podales des bovins. L'objectif de cette étude est de vérifier l'accord entre les observateurs sur l'utilisation de ces définitions pour noter des lésions podales. Un « guide de notation des lésions podales des bovins » a été édité pour indiquer la définition des lésions et leurs niveaux de gravité. L'accord entre les observateurs a ...

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Souvent controversés, les stupéfiants vétérinaires ou humains sont indispensables dans l'arsenal thérapeutique de tout praticien, que ce soit notamment en anesthésie ou en gestion de la douleur chez nos animaux de compagnie. Leurs caractéristiques leur valent une classification et une législation propre, en perpétuelle évolution. Il a, en premier lieu, été dressé un état des lieux des stupéfiants disponibles et utilisables en pratique clinique, avec ou sans autorisation sur le marché vétérinaire, ainsi qu'un bref point sur la réglementation actuelle. En deuxième lieu, une attention particulière a été accordée aux données de pharmacovigilance disponibles auprès de l'ANSES et du CAPAE-Ouest. Ces données ont permis de connaître les différentes habitudes de prescription des stupéfiants par les cliniciens vétérinaires, ainsi que leurs principaux effets indésirables. Enfin, en dernier lieu, une enquête a été menée auprès des vétérinaires praticiens. Les points de réglementation ont permis de mettre en évidence d'importantes lacunes tant au niveau des connaissances théoriques que pratiques, telles que l'absence de connaissance de l'ordonnance sécurisée, des défauts de stockage des stupéfiants, ou encore une non-rédaction des documents d'approvisionnement. Cette enquête, sur le volet pharmacovigilance, a permis de confronter les données obtenues à celles précédemment obtenues auprès de l'ANSES et du CAPAE-Ouest.[-]
Souvent controversés, les stupéfiants vétérinaires ou humains sont indispensables dans l'arsenal thérapeutique de tout praticien, que ce soit notamment en anesthésie ou en gestion de la douleur chez nos animaux de compagnie. Leurs caractéristiques leur valent une classification et une législation propre, en perpétuelle évolution. Il a, en premier lieu, été dressé un état des lieux des stupéfiants disponibles et utilisables en pratique clinique, ...

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Le chien occupe une place prépondérante dans la société depuis des milliers d'années. De nos jours, 356 races sont reconnues officiellement par la Fédération Cynologique Internationale. Les races canines brachycéphales, très populaires depuis de nombreuses années auprès du public et connues pour être prédisposées au syndrome brachycéphale, sont au cœur des questionnements relatifs à la santé et au bien-être animal. De nombreux pays ont interdit l'élevage de ces races ou l'envisagent. Ce travail s'est intéressé à l'élevage de ces races et au Syndrome Obstructif des Races Brachycéphales (ou SORB). Il s'inscrit dans la continuité de celui du Docteur PALMIER, réalisé en 2019, par l'analyse des nouveaux résultats obtenus au test BREATH, ou Brachycephalic Exercice Aptitude Test for Health, mis au point par la Société Centrale Canine. Ce travail dresse un état des lieux de la sensibilisation au SORB des propriétaires de chiens brachycéphales et recueille leur expérience avec leur compagnon. Les connaissances, l'expérience et les opinions, à la fois sur le SORB et le BREATH, des vétérinaires français exerçant en clientèle canine, ont été recueillies et ont fait l'objet d'une analyse dans une optique d'amélioration de la santé des races.[-]
Le chien occupe une place prépondérante dans la société depuis des milliers d'années. De nos jours, 356 races sont reconnues officiellement par la Fédération Cynologique Internationale. Les races canines brachycéphales, très populaires depuis de nombreuses années auprès du public et connues pour être prédisposées au syndrome brachycéphale, sont au cœur des questionnements relatifs à la santé et au bien-être animal. De nombreux pays ont interdit ...

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Face à un nombre croissant d'industriels et de références d'aliments sur le marché du petfood, il est parfois difficile pour les propriétaires de faire un choix parmi la multitude d'aliments proposés, et de déterminer en quelle(s) marque(s) placer leur confiance. Par ailleurs, l'étiquette et le site internet du fabricant sont souvent les seules sources d'informations dont disposent les propriétaires pour évaluer la qualité d'un aliment. Ce travail a permis la création d'une grille d'évaluation de la créance préjugée qu'il est possible d'avoir dans une entreprise. Pour ce faire, 51 critères objectifs ont été rassemblés, concernant à la fois les informations publiques disponibles à propos de l'industriel et de son aliment, les caractéristiques de l'entreprise, sa politique qualité et matières premières, son processus de fabrication, et enfin les contrôles et analyses réalisés sur les croquettes. Afin de mettre en application cette grille d'évaluation, huit industriels ont été interrogés, quatre produisant des marques vétérinaires, et quatre produisant des marques régionales. Les marques vétérinaires obtiennent un score similaire, supérieur à 80 %, et sont donc considérées comme à haut niveau de créance. Les résultats sont plus nuancés pour les marques régionales, puisque d'eux d'entre elles obtiennent un niveau de créance préjugée intermédiaire et les deux autres un niveau élevé. Les principaux éléments discriminants concernent surtout les analyses réalisées sur le produit fini, notamment les contrôles qualité et les essais des aliments en chenil et chatterie lorsque l'industriel en est pourvu.[-]
Face à un nombre croissant d'industriels et de références d'aliments sur le marché du petfood, il est parfois difficile pour les propriétaires de faire un choix parmi la multitude d'aliments proposés, et de déterminer en quelle(s) marque(s) placer leur confiance. Par ailleurs, l'étiquette et le site internet du fabricant sont souvent les seules sources d'informations dont disposent les propriétaires pour évaluer la qualité d'un aliment. Ce ...

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La dermatologie canine occupe une place importante dans l'activité des vétérinaires praticiens généralistes en France. Ce travail avait pour but d'étudier, dans un premier temps, les articles nationaux et internationaux concernant la prévalence des dermatoses canines, la conduite de la démarche diagnostique en dermatologie et les difficultés et attentes rencontrées. Puis, dans un deuxième temps, l'étude de 830 questionnaires complétés par des vétérinaires praticiens a permis de souligner l'importance de la dermatologie dans l'activité des vétérinaires praticiens généralistes en France (10% à 30% des consultations), de mettre en évidence les premiers motifs de consultation de dermatologie canine (prurit, croûtes, alopécie et nodules), de rapporter les dermatoses les plus fréquentes (les ectoparasitoses, les dermatoses par hypersensibilités, les pyodermites et les tumeurs), d'identifier les examens complémentaires les plus réalisés (raclage cutané, cytologie et brossage) et les traitements les plus prescrits (antiparasitaires, traitements locaux, antibiotiques et corticoïdes) et de mettre en lumière les difficultés rencontrées (réalisation des examens complémentaires, manque de temps, communication avec le propriétaire) et les attentes des vétérinaires (disponibilité de certaines formations).[-]
La dermatologie canine occupe une place importante dans l'activité des vétérinaires praticiens généralistes en France. Ce travail avait pour but d'étudier, dans un premier temps, les articles nationaux et internationaux concernant la prévalence des dermatoses canines, la conduite de la démarche diagnostique en dermatologie et les difficultés et attentes rencontrées. Puis, dans un deuxième temps, l'étude de 830 questionnaires complétés par des ...

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La féminisation du milieu vétérinaire peut s'expliquer en partie par l'essor du droit des femmes au XXème siècle. En parallèle, la lutte contre le sexisme est devenu un enjeu majeur ces dernières années, notamment dans le milieu professionnel. Les milieux universitaires sont également des lieux où du sexisme peut régner notamment en formation de santé. Le sexisme, sous toutes ses formes, peut engendrer des effets sur la santé psychique et physique ainsi que sur l'estime de soi. Le bien-être des vétérinaires est un sujet qui devient capital avec le nombre de reconversion et le manque de vétérinaires. L'objectif de cette étude est d'établir un état des lieux du sexisme en école vétérinaire via une enquête sociologique adressée aux étudiantes. Cette étude recense à la fois les témoignages des situations sexistes vécues par les étudiantes et les attentes qu'elles ont vis-à-vis de leurs écoles.[-]
La féminisation du milieu vétérinaire peut s'expliquer en partie par l'essor du droit des femmes au XXème siècle. En parallèle, la lutte contre le sexisme est devenu un enjeu majeur ces dernières années, notamment dans le milieu professionnel. Les milieux universitaires sont également des lieux où du sexisme peut régner notamment en formation de santé. Le sexisme, sous toutes ses formes, peut engendrer des effets sur la santé psychique et ...

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Cette thèse s'inscrit dans le cadre d'une démarche qualité menée par le Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort pour les Animaux de compagnie (ChuvA-Ac), dans le but d'améliorer la satisfaction de sa clientèle. Une revue de la littérature concernant les différentes méthodes d'analyses de données issues d'enquêtes de satisfaction a été entreprise. Une nouvelle méthode d'analyses de données issues d'enquêtes de satisfaction, la méthode « SATI-3D » reposant sur la notion de fraction de risque attribuable en épidémiologie, a été présentée. Une enquête de satisfaction auprès de clients du ChuvA-Ac a été réalisée, en se basant sur le parcours client au sein de l'établissement. Pour chaque étape du parcours client, les répondants devaient renseigner leur niveau de satisfaction concernant une liste d'éléments préalablement définis. Au total, 317 clients du ChuvA-Ac ont répondu à l'enquête. Les résultats ont été analysés à l'aide de la méthode Sati-3D, permettant de mettre en évidence les éléments ayant une contribution pratique significative à la satisfaction globale. En croisant l'importance de la contribution pratique avec le niveau de satisfaction des éléments, nous avons élaboré une liste des éléments à améliorer en priorité pour optimiser l'amélioration de la satisfaction clientèle.[-]
Cette thèse s'inscrit dans le cadre d'une démarche qualité menée par le Centre hospitalier universitaire vétérinaire d'Alfort pour les Animaux de compagnie (ChuvA-Ac), dans le but d'améliorer la satisfaction de sa clientèle. Une revue de la littérature concernant les différentes méthodes d'analyses de données issues d'enquêtes de satisfaction a été entreprise. Une nouvelle méthode d'analyses de données issues d'enquêtes de satisfaction, la ...

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Depuis les années 1990, les populations de vautours ont connu un fort déclin à travers le monde. Les enquêtes menées ont mis en évidence l'implication des médicaments vétérinaires dans ce déclin avec une exposition des populations à des résidus écotoxiques. Bien que quatre espèces de vautours se reproduisent en France depuis la fin du 20e siècle, leur situation et notamment celle du Vautour moine reste très précaire. Il apparaît donc indispensable de maîtriser les causes pouvant entraîner une diminution des populations et notamment de leur assurer des ressources alimentaires sûres. Ce manuscrit s'articule en deux parties. Premièrement, une partie bibliographique, qui fait tout d'abord le point sur les connaissances concernant la biologie du Vautour moine, puis décrit les phénomènes amenant à la formation de résidus écotoxiques et revient finalement sur les historiques d'empoisonnements de charognards par des résidus de médicaments vétérinaires. Deuxièmement, une partie expérimentale, basée sur une enquête à destination des vétérinaires exerçant dans les zones de reproduction du Vautour moine. L'objectif de ce travail était de connaître les habitudes des vétérinaires français exerçant dans les zones de reproduction du Vautour moine en termes de traitements réalisés chez les ruminants. Ainsi, le questionnaire diffusé en ligne abordait d'abord la présentation de l'activité des vétérinaires (part de rurale, nombre d'élevages et d'animaux suivis) puis pour chaque catégorie de médicaments il permettait de faire ressortir les molécules les plus utilisées et leur fréquence d'utilisation. La partie commentaire libre en fin de questionnaire a permis de mieux comprendre l'usage des traitements fait par les vétérinaires en pratique sur le terrain. Le taux de réponse était de 5,25 % avec une majorité de réponses pour la région des Grands Causses. L'oxytétracycline est l'antibiotique le plus utilisé dans les Baronnies Provençales et les Gorges du Verdon, alors que dans les Grands Causses la benzylpénicilline et la dihydrostreptomycine sont plus utilisées. Concernant les anti-inflammatoires, l'acide tolfénamique est majoritairement utilisé, l'usage du méloxicam reste assez faible et le diclofénac, très toxique, n'est pas autorisé. Dans les Grands Causses et les Baronnies Provençales, l'anti-parasitaire externe le plus fréquemment utilisé est la deltaméthrine, dans le Verdon le phoxime est préféré. L'oxyclosanide est l'anti-parasitaire interne le plus employé dans les Grands Causses. Concernant les endectocides, la famille des avermectines est la plus utilisée et au sein de cet famille l'ivermectine est l'endectocide le plus utilisé par les vétérinaires des trois régions. Enfin, l'euthanasiant le plus utilisé dans les régions étudiées est le pentobarbital sodique. L'étude a ainsi permis de dresser un premier inventaire des traitements les plus utilisés par les vétérinaires ruraux français dans les zones de reproduction du Vautour moine et de le comparer aux historiques d'empoisonnements par des résidus écotoxiques. Elle pourra servir de base pour d'autres projets de recherche afin de vérifier si les traitements identifiés circulent dans les populations de vautours françaises et s'ils peuvent être associés à des cas d'intoxication de la faune sauvage.[-]
Depuis les années 1990, les populations de vautours ont connu un fort déclin à travers le monde. Les enquêtes menées ont mis en évidence l'implication des médicaments vétérinaires dans ce déclin avec une exposition des populations à des résidus écotoxiques. Bien que quatre espèces de vautours se reproduisent en France depuis la fin du 20e siècle, leur situation et notamment celle du Vautour moine reste très précaire. Il apparaît donc in...

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La profession vétérinaire est en proie depuis plusieurs années à des difficultés de recrutement. Cette tension constitue ainsi un enjeu majeur tant au niveau du management des structures de soins vétérinaires qu'au niveau plus global de la profession. Les recruteurs se questionnent régulièrement sur les attentes des candidats, n'arrivant souvent pas à les cerner. C'est pourquoi une enquête a été réalisée auprès des candidats/recrutés vétérinaires praticiens, salariés ou collaborateurs libéraux via un questionnaire, permettant d'étudier et d'analyser leurs attentes. Les critères de choix d'un poste ainsi que le processus de recrutement ont été étudiés. G. Chevalier avait initié en 2018, une première enquête auprès des recruteurs. Il convenait donc de confronter et assembler les résultats de ces deux études afin de proposer des recommandations concernant le processus de recrutement et un éclairage sur les attentes des candidats. La présente enquête montre que les cinq critères les plus importants lors du choix d'un poste sont : le type d'activité, l'ambiance au travail, la localisation géographique, le temps de travail et le salaire. Les critères regroupant l'équilibre vie professionnelle et vie personnelle sont primordiaux. Les mêmes critères ont également été retrouvés lorsqu'il était demandé de se projeter 10 ans plus tard. Au contraire, les cinq critères semblant moins importants sont : le logement à disposition, le site internet, les avantages proposés, les locaux sur un seul site et l'accessibilité en transport. La bonne construction des annonces et la réputation d'une structure sont des critères importants pour les candidats, au moment de la sélection des annonces. Les conditions de travail et le niveau de rémunération sont pour les candidats, les principales causes d'échec de recrutement. Il convient donc pour les structures de développer leur marque employeur.[-]
La profession vétérinaire est en proie depuis plusieurs années à des difficultés de recrutement. Cette tension constitue ainsi un enjeu majeur tant au niveau du management des structures de soins vétérinaires qu'au niveau plus global de la profession. Les recruteurs se questionnent régulièrement sur les attentes des candidats, n'arrivant souvent pas à les cerner. C'est pourquoi une enquête a été réalisée auprès des candidats/recrutés vé...

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Ce travail propose une étude bibliographique sur la pathologie, la gestion en captivité et le contexte de conservation des différentes espèces de babouins : Papio papio, Papio hamadryas, Papio ursinus, Papio anubis, Papio cynocephalus, Papio kindae, ainsi que leurs hybrides. Les informations récoltées dans cette partie seront utilisées dans le cadre de l'élaboration d'un guide de bonnes pratiques vétérinaires pour l'élevage de ces espèces en collaboration avec le coordinateur du programme d'élevage européen, ce guide étant actuellement en cours de rédaction. Dans une deuxième partie, une enquête a été menée auprès des 65 parcs concernés par l'EEP Guinea baboon, portant sur leurs pratiques vétérinaires, les moyens de prévention, de diagnostic et de gestion des différentes affections pathologiques rencontrées, les techniques d'anesthésie et de contention, la gestion de l'alimentation. Les informations ainsi obtenues, complétées par des rapports d'autopsie et fiches d'alimentation ont été analysées et comparées aux données de la littérature scientifique, dans le but de produire un document de synthèse pertinent dans le cadre des Husbandry guidelines. Une prédominance des troubles digestifs, notamment d'origine parasitaires a pu être mise en évidence, suivie par les affections néonatales en lien notamment avec des problèmes comportementaux, devant les fractures et morsures associées aux agressions. L'épilepsie, dont la gestion est difficile, est également souvent décrite, en particulier au Parc Zoologique de Paris. Cette dernière affection est peu étudiée chez les babouins captifs, et pourrait faire l'objet d'une étude ultérieure afin d'en améliorer la prise en charge.[-]
Ce travail propose une étude bibliographique sur la pathologie, la gestion en captivité et le contexte de conservation des différentes espèces de babouins : Papio papio, Papio hamadryas, Papio ursinus, Papio anubis, Papio cynocephalus, Papio kindae, ainsi que leurs hybrides. Les informations récoltées dans cette partie seront utilisées dans le cadre de l'élaboration d'un guide de bonnes pratiques vétérinaires pour l'élevage de ces espèces en ...

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Le syndrome coryza du chat est dû à divers agents pathogènes (herpèsvirus FHV-1, calicivirus FVC, Chlamydia felis et Bordetella Bronchiseptica) entrainant des signes cliniques respiratoires, oculaires et buccaux. Sa prévalence est très élevée au sein des collectivités, telles que les refuges. Dans ces structures, où le taux de renouvellement est important, la prévention de cette maladie contagieuse et la prise en charge des animaux atteints sont primordiales. Une enquête concernant les refuges de la Société Protectrice des animaux et des refuges indépendants a été réalisée. Un état des lieux de la situation du coryza et des principales mesures de prévention et de prise en charge des animaux affectés a été effectué. D'après cette étude, le coryza a une forte prévalence et touche principalement les chatons de moins de 2 mois et les chats en quarantaine. Les mesures de prise en charge des individus atteints sont satisfaisantes. Cependant, concernant la prévention de ce syndrome, quelques protocoles devraient être corrigés notamment la vaccination et le placement en quarantaine des nouveaux arrivants. Toutefois, les principales mesures de prévention sont globalement bien menées.[-]
Le syndrome coryza du chat est dû à divers agents pathogènes (herpèsvirus FHV-1, calicivirus FVC, Chlamydia felis et Bordetella Bronchiseptica) entrainant des signes cliniques respiratoires, oculaires et buccaux. Sa prévalence est très élevée au sein des collectivités, telles que les refuges. Dans ces structures, où le taux de renouvellement est important, la prévention de cette maladie contagieuse et la prise en charge des animaux atteints sont ...

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Comme de nombreux autres pays, le Sénégal compte des millions de chiens locaux, vivant la plupart du temps dans la rue même s'ils possèdent un propriétaire. Le statut domestique de ces chiens ne fait pas débat, en revanche il existe parmi eux différents stades de proximité et de dépendance vis-à-vis de leur maître et de l'homme en général. Cette étude s'est penchée sur l'origine historique de ces chiens, probablement arrivés au Sénégal en suivant les migrations humaines. Elle porte surtout sur le morphotype, le phénotype, et les comportements intra- et inter-spécifiques actuels de ces chiens, en étudiant une centaine d'individus vivant dans la ville de Nianing, sur la Petite Côte du Sénégal, à environ 90 km au sud de Dakar. Une attention spéciale a été apportée à la description de leur état de santé apparent, ainsi qu'à la médicalisation de ces chiens, notamment dans le contexte de la lutte contre la rage, encore présente au Sénégal. Cette étude est une description, dans un but de les faire connaître et de participer à la recherche sur ces chiens et sur les chiens en général, d'une population représentative des chiens des rues du Sénégal.[-]
Comme de nombreux autres pays, le Sénégal compte des millions de chiens locaux, vivant la plupart du temps dans la rue même s'ils possèdent un propriétaire. Le statut domestique de ces chiens ne fait pas débat, en revanche il existe parmi eux différents stades de proximité et de dépendance vis-à-vis de leur maître et de l'homme en général. Cette étude s'est penchée sur l'origine historique de ces chiens, probablement arrivés au Sénégal en ...

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Cette étude rétrospective concernant 184 propriétaires de chiens atteints d'otite externe permet de mettre en évidence l'impact important des otites externes canines sur la qualité de vie du propriétaire mais également des chiens atteints. Cette étude met également en évidence l'observance moyenne dans les traitements d'otites externes canines, pouvant expliquer une partie des échecs des traitements et des passages à la chronicité. Dans cette étude, l'observance est corrélée à la qualité de vie : plus cette dernière est dégradée, plus l'observance est mitigée et vice versa. De plus, l'impact particulier du traitement sur la qualité de vie du chien et du propriétaire, et a fortiori sur l'observance est mis en lumière. Ainsi, cette étude justifie l'intérêt particulier d'employer des traitements hebdomadaires ou mensuels appliqués par le vétérinaire. Elle souligne également l'importance d'évaluer les qualités de vie du propriétaire et de son chien, ainsi que d'inclure le propriétaire dans le schéma thérapeutique.[-]
Cette étude rétrospective concernant 184 propriétaires de chiens atteints d'otite externe permet de mettre en évidence l'impact important des otites externes canines sur la qualité de vie du propriétaire mais également des chiens atteints. Cette étude met également en évidence l'observance moyenne dans les traitements d'otites externes canines, pouvant expliquer une partie des échecs des traitements et des passages à la chronicité. Dans cette ...

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L'attrapage est une étape à risque car elle représente un flux de personnes et de véhicules. Afin d'y décrire l'état de biosécurité, quarante éleveurs de poulets ont été enquêtés en région Nouvelle-Aquitaine, sur leurs connaissances attitudes et pratiques. Un défaut d'observance a été révélé, avec des points faibles sur la décontamination des mains et chaussures, et sur le changement de tenue. 35% des éleveurs ne perçoivent pas de différence de risque entre un ramassage total et multiple, et aucune différence du niveau de biosécurité n'a été observée entre ces deux situations. Les enlèvements multiples nécessitent dans 43% des cas au moins trois chantiers, et s'étalent en moyenne sur 3,8 jours. Presque tous les éleveurs font appel à des attrapeurs professionnels (n=38), qui ont une meilleure biosécurité que les proches (n=9). Quatre profils d'éleveurs ont été identifiés sur la base de leurs connaissances et attitudes, mais aucune différence de biosécurité n'a été révélée entre eux.   L'attrapage est une étape à risque car elle représente un flux de personnes et de véhicules. Afin d'y décrire l'état de biosécurité, quarante éleveurs de poulets ont été enquêtés en région Nouvelle-Aquitaine, sur leurs connaissances attitudes et pratiques. Un défaut d'observance a été révélé, avec des points faibles sur la décontamination des mains et chaussures, et sur le changement de tenue. 35% des éleveurs ne perçoivent pas de différence de risque entre un ramassage total et multiple, et aucune différence du niveau de biosécurité n'a été observée entre ces deux situations. Les enlèvements multiples nécessitent dans 43% des cas au moins trois chantiers, et s'étalent en moyenne sur 3,8 jours. Presque tous les éleveurs font appel à des attrapeurs professionnels (n=38), qui ont une meilleure biosécurité que les proches (n=9). Quatre profils d'éleveurs ont été identifiés sur la base de leurs connaissances et attitudes, mais aucune différence de biosécurité n'a été révélée entre eux.[-]
L'attrapage est une étape à risque car elle représente un flux de personnes et de véhicules. Afin d'y décrire l'état de biosécurité, quarante éleveurs de poulets ont été enquêtés en région Nouvelle-Aquitaine, sur leurs connaissances attitudes et pratiques. Un défaut d'observance a été révélé, avec des points faibles sur la décontamination des mains et chaussures, et sur le changement de tenue. 35% des éleveurs ne perçoivent pas de différence de ...

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L'objectif de ce travail est de faire le point sur les pratiques actuelles concernant le diagnostic et le traitement de l'endométrite chez les bovins par les vétérinaires et les éleveurs français. Deux sondages en ligne ont été menés et des réponses ont été reçues de 230 vétérinaires et de 227 agriculteurs. Le diagnostic d'endométrite a été posé par 84 % des vétérinaires par l'observation des sécrétions vaginales avec un gant et 61 % par la palpation transrectale. Le traitement de l'endométrite, pour 84% des vétérinaires, se fait par une antibiothérapie intra-utérine mais aussi par l'utilisation de prostaglandines pour 65% des vétérinaires et 45% des éleveurs. 21% des vétérinaires et des éleveurs traitent l'endométrite par une antibiothérapie générale. Un tiers des vétérinaires et plus de 10% des éleveurs ont recours aux médecines complémentaires pour traiter l'endométrite. Les recommandations actuelles de la littérature internationale conseillent le diagnostic par toucher vaginal et le traitement par antibiothérapie intra-utérine et excluent la palpation transrectale et l'administration de prostaglandines F2?. Une communication renouvelée auprès des professionnels et des travaux scientifiques pour évaluer de nouvelles options thérapeutiques (arôme et phytothérapie notamment) seraient donc utiles. L'objectif de ce travail est de faire le point sur les pratiques actuelles concernant le diagnostic et le traitement de l'endométrite chez les bovins par les vétérinaires et les éleveurs français. Deux sondages en ligne ont été menés et des réponses ont été reçues de 230 vétérinaires et de 227 agriculteurs. Le diagnostic d'endométrite a été posé par 84 % des vétérinaires par l'observation des sécrétions vaginales avec un gant et 61 % par la palpation transrectale. Le traitement de l'endométrite, pour 84% des vétérinaires, se fait par une antibiothérapie intra-utérine mais aussi par l'utilisation de prostaglandines pour 65% des vétérinaires et 45% des éleveurs.[-]
L'objectif de ce travail est de faire le point sur les pratiques actuelles concernant le diagnostic et le traitement de l'endométrite chez les bovins par les vétérinaires et les éleveurs français. Deux sondages en ligne ont été menés et des réponses ont été reçues de 230 vétérinaires et de 227 agriculteurs. Le diagnostic d'endométrite a été posé par 84 % des vétérinaires par l'observation des sécrétions vaginales avec un gant et 61 % par la ...

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La gestion de la douleur est un aspect fondamental de la prise en charge peropératoire des lapins car elle permet à la fois de limiter le risque de complications mais également un rétablissement et un retour à l'état normal plus rapides. Cependant, la médicalisation des lapins de compagnie étant un phénomène plutôt récent, la formation ainsi que l'exposition aux cas des vétérinaires est relativement disparate. Par conséquent, la prise en charge analgésique peut être sujette à des difficultés. Une étude récente a recensé ces difficultés chez les vétérinaires anglo-saxons mais aucune étude n'a encore été réalisée sur le sujet en France. Ce travail représente une base de données inédite qui dresse un état des lieux de la pratique vétérinaire française concernant l'analgésie des lapins en contexte peropératoire. Les difficultés rencontrées par les vétérinaires sont ainsi mises en évidence, ce qui pourrait permettre d'envisager des pistes d'amélioration, afin de mieux cerner les besoins des praticiens en matière de reconnaissance et de traitement de la douleur des lapins.[-]
La gestion de la douleur est un aspect fondamental de la prise en charge peropératoire des lapins car elle permet à la fois de limiter le risque de complications mais également un rétablissement et un retour à l'état normal plus rapides. Cependant, la médicalisation des lapins de compagnie étant un phénomène plutôt récent, la formation ainsi que l'exposition aux cas des vétérinaires est relativement disparate. Par conséquent, la prise en charge ...

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Ce travail a pour objectif de réaliser une analyse didactique de l'enseignement de la réglementation en matière de pharmacie vétérinaire en vue de proposer des améliorations pédagogiques pour en faciliter l'apprentissage par les étudiants vétérinaires.
La première partie s'intéresse à différents aspects de la pédagogie dans le cursus vétérinaire pour envisager les appréhensions et difficultés des étudiants à l'égard de cette discipline et ouvrir sur des pistes de réflexion à propos des modalités d'évolution de cet enseignement. Une seconde partie est dédiée à l'enquête réalisée dans le cadre de ce travail. Les modalités de cette enquête ainsi que les questions posées sont justifiées puis les résultats obtenus sont présentés et discutés. Des pistes d'améliorations pédagogiques sont finalement proposées dans le but de faciliter l'apprentissage de la réglementation en matière de pharmacie vétérinaire.[-]
Ce travail a pour objectif de réaliser une analyse didactique de l'enseignement de la réglementation en matière de pharmacie vétérinaire en vue de proposer des améliorations pédagogiques pour en faciliter l'apprentissage par les étudiants vétérinaires.
La première partie s'intéresse à différents aspects de la pédagogie dans le cursus vétérinaire pour envisager les appréhensions et difficultés des étudiants à l'égard de cette discipline et ouvrir ...

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De nos jours, l'ostéopathie est une thérapie complémentaire en grande progression chez les hommes et leurs animaux domestiques ou animaux d'élevage, mais elle est mal connue dans le monde vétérinaire. Cette médecine n'utilise pas de médicaments. Ceci la rend particulièrement intéressante dans le cadre des animaux d'élevages car elle permet de réduire l'usage des médicaments, et de réaliser des soins qui n'impliquent pas de temps d'attente pour la production donc moins de pertes économiques pour les éleveurs. Chez les bovins, le syndrome de la vache couchée est une situation où l'allopathie seule parvient difficilement à guérir l'animal, notamment lorsque cela dure depuis plusieurs jours, et où l'ostéopathie peut amener à la guérison. / Pour ce travail, deux enquêtes ont été menées avec un taux de réponse de 100%. La première enquête nous a permis d'étudier les caractéristiques de la population vétérinaire pratiquant de l'ostéopathie sur les bovins, de les comparer à la population vétérinaire globale en France et de connaitre le cadre de cette pratique vétérinaire. Nous avons établi que la population vétérinaire ostéopathe est composée majoritairement de femmes à pratique vétérinaire générale mixte à dominante non bovine. La deuxième enquête nous a permis de déterminer les circonstances d'intervention dans le cadre d'une vache couchée et l'apport de l'ostéopathie dans cette situation. Nous avons établi que les vétérinaires interrogés font la distinction entre les cas relevant de l'ostéopathie et ceux relevant de l'allopathie seule et que l'animal est examiné dans son ensemble. L'ostéopathie semble bénéfique pour accélérer la guérison des vaches couchées mais les soins des éleveurs au chevet de leur animal sont aussi très importants.[-]
De nos jours, l'ostéopathie est une thérapie complémentaire en grande progression chez les hommes et leurs animaux domestiques ou animaux d'élevage, mais elle est mal connue dans le monde vétérinaire. Cette médecine n'utilise pas de médicaments. Ceci la rend particulièrement intéressante dans le cadre des animaux d'élevages car elle permet de réduire l'usage des médicaments, et de réaliser des soins qui n'impliquent pas de temps d'attente pour ...

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L'utilisation des médecines complémentaires se développant en France, des travaux sont nécessaires pour évaluer leur utilisation ainsi que leur efficacité. Le premier objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux de l'utilisation des médecines alternatives par les éleveurs et vétérinaires afin de dessiner plusieurs profils d'individus. Ces profils pourraient permettre une meilleure formation et utilisation de ces médecines, en particulier dans le cadre de la reproduction. Le deuxième objectif était d'évaluer l'efficacité d'un produit phytothérapeutique (UTEROPHYT® – Savetis) en élevage via une étude terrain. Après avoir revu les dernières actualités concernant la métrite ainsi que l'état des connaissances et de la réglementation liées à l'utilisation des médecines alternatives, le travail d'enquête a permis de mettre en avant une corrélation entre l'utilisation des médecines alternatives et la formation à ce sujet. En effet, un vétérinaire ou un éleveur mieux formé utilisera plus ce type de médecine, dans plus de catégories d'affections, que ceux qui ne sont pas formés mais souhaitent en utiliser un peu. Enfin, la plupart des personnes qui ne l'utilisent pas évoquent des raisons de manque d'efficacité ou de formation. L'étude cas-témoin a été réalisée sur 117 bovins dans deux élevages. Elle visait à comparer l'incidence des métrites entre un lot « essai » ayant reçu un traitement phytothérapeutique (UTEROPHYT®, Savetis) à visée préventive et un lot « témoin » ayant reçu un placebo. L'incidence globale des métrites observée (10%) a été largement inférieure à l'incidence théorique (37,5%) utilisée pour calculer le nombre d'animaux à inclure dans l'essai ce qui ne nous a pas permis de conclure avec une rigueur statistique sur l'efficacité du produit. Ce travail peut constituer un premier essai de preuve d'efficacité du produit, devant être continué avec une étude incluant plus d'individus.[-]
L'utilisation des médecines complémentaires se développant en France, des travaux sont nécessaires pour évaluer leur utilisation ainsi que leur efficacité. Le premier objectif de ce travail était de réaliser un état des lieux de l'utilisation des médecines alternatives par les éleveurs et vétérinaires afin de dessiner plusieurs profils d'individus. Ces profils pourraient permettre une meilleure formation et utilisation de ces médecines, en ...

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Posséder et s'occuper d'un animal de compagnie, au même titre que le fait de s'occuper de la gestion d'un foyer et de ses occupants, représente un investissement physique, émotionnel et temporel. Ces deux activités génèrent une charge mentale, c'est-à-dire une préoccupation et une anticipation permanente des différentes tâches à réaliser pour le foyer et l'animal de la maison. De manière générale, la charge mentale est plus ou moins bien répartie entre les deux personnes d'un couple hétérosexuel. Bien que la charge mentale domestique soit documentée et étudiée de manière conséquente, ce n'est pas le cas de la charge mentale associée aux animaux de compagnie. L'objectif de cette étude est de déterminer l'importance de cette charge via une enquête sociologique et un système de score de charge mentale. Ce score permet d'établir des grades de charge mentale, et ainsi de déterminer les profils des personnes qui ont une charge mentale faible, équilibrée ou forte par rapport à l'autre personne du couple. Cette étude permet aussi de savoir si cette charge mentale est à considérer avec la même importance que la charge mentale domestique pour améliorer sa considération et sa répartition.[-]
Posséder et s'occuper d'un animal de compagnie, au même titre que le fait de s'occuper de la gestion d'un foyer et de ses occupants, représente un investissement physique, émotionnel et temporel. Ces deux activités génèrent une charge mentale, c'est-à-dire une préoccupation et une anticipation permanente des différentes tâches à réaliser pour le foyer et l'animal de la maison. De manière générale, la charge mentale est plus ou moins bien ...

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La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute une augmentation récente du nombre de cas de tuberculose bovine dans certaines régions de France. Il est donc impératif de faire un point sur la situation. L'étude a été menée sur 32 élevages de bovins allaitants du département français des Pyrénées-Atlantiques. Des entretiens en face à face ont permis aux éleveurs de répondre à un questionnaire, une partie centrée sur les pratiques d'élevage et de biosécurité, et une autre centrée sur leur perception de la tuberculose bovine. Les données recueillies ont été analysées par analyse factorielle mixte de données (AFDM) et classification hiérarchique afin d'établir des profils d'éleveurs. Du au faible nombre d'éleveurs enquêtés, seulement deux clusters sont obtenus à partir de la classification hiérarchique sur l'AFDM. Chaque élevage est ainsi réparti dans un des clusters selon les pratiques et perceptions de l'éleveur. Les principales variables permettant de discriminer ces profils d'éleveurs sont la taille de l'élevage et certains facteurs qui y sont directement liés (nombre de visites, etc) ainsi que leur perception du risque vis-à-vis de certaines voies d'introduction (visiteurs, transhumance) ou encore leur confiance dans les mesures mises en place (gestion de la lutte, fiabilité de l'intradermo-tuberculination, etc). Cette étude apporte des premières bases afin de mieux connaitre la réalité du terrain et de pouvoir adapter les mesures de biosécurité et de lutte aux différents profils.[-]
La biosécurité et les risques liés à la tuberculose bovine en élevage de bovin allaitant peuvent être évalués par l'analyse des pratiques d'élevage et des perceptions qu'ont les éleveurs sur la maladie. Les pratiques en élevage de bovins allaitant étant fortement marquées par de nombreuses habitudes et coutumes culturelles, et dans le souci de perpétuer un patrimoine local, les pratiques et facteurs de risques sont variés. A ce cadre s'ajoute ...

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Entre méfiance envers l'industrie du petfood, influence des réseaux sociaux et volonté de manger mieux, les français semblent de plus en plus adeptes de la nourriture non industrielle, que ce soit pour eux ou leurs animaux. Le BARF, vu comme une alternative plus saine, plus proche de la nature de carnivore de leurs compagnons domestiques, laisse toutefois les vétérinaires sceptiques quant à son adéquation aux besoins nutritionnels ou aux risques sanitaires associés. L'absence de données scientifiques claires sur les bénéfices et l'innocuité du BARF conduit de nombreux organismes vétérinaires ou de santé à déconseiller son utilisation. Réciproquement, si les praticiens sont toujours vus par les propriétaires comme les interlocuteurs de choix en nutrition animale, les BARFeurs évoquent clairement leur manque de confiance envers ces derniers. Ces propriétaires se démarquent d'ailleurs de la population globale et sont souvent plus jeunes et très actifs sur Internet. La grande diversité existant dans la mise en place des régimes BARF ainsi que le développement de la vente en ligne de repas tout prêts entraînent parfois la distribution par certains adeptes de rations déséquilibrées. Il est donc primordial que les vétérinaires s'intéressent aux pratiques actuelles et prêtent attention à la conduite alimentaire de leurs patients. Les praticiens semblent par ailleurs conscients des tendances et montrent leur intérêt face aux régimes non conventionnels.[-]
Entre méfiance envers l'industrie du petfood, influence des réseaux sociaux et volonté de manger mieux, les français semblent de plus en plus adeptes de la nourriture non industrielle, que ce soit pour eux ou leurs animaux. Le BARF, vu comme une alternative plus saine, plus proche de la nature de carnivore de leurs compagnons domestiques, laisse toutefois les vétérinaires sceptiques quant à son adéquation aux besoins nutritionnels ou aux risques ...

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Le dépistage de la COVID-19 est plus que jamais un sujet d'actualité quand, chaque jour, des centaines de milliers de nouveaux cas sont détectés à travers le monde. Les tests de dépistage du SARS-CoV-2 sont indispensables et pourtant encore imparfaits. Ce manuscrit s'articule en deux parties. Premièrement, une partie bibliographique, qui fait le point sur les connaissances actuelles autour de la détection olfactive canine au service de l'Homme et plus particulièrement autour de la détection olfactive canine du SARS-CoV-2. Les résultats observés sont très prometteurs puisque la détection olfactive canine aurait une fiabilité proche de celle du test par RT-PCR. Deuxièmement une partie expérimentale, basée sur une enquête à destination du grand public à travers le Globe. Aucune enquête visant à évaluer le positionnement du grand public à travers le monde vis-à-vis de la détection olfactive canine de la COVID-19 n'avait encore été entreprise. Un questionnaire a été élaboré par l'équipe française Nosaïs, par la suite traduit en six autres langues et diffusé à travers les continents avec l'aide notable de l'OMS. Même si le manque de représentativité des échantillons n'a pas permis d'avoir recours à l'inférence, quelques grandes tendances ont pu être extraites des résultats des questionnaires. La grande majorité des répondants à travers le monde présente un grand engouement et une totale acceptation de la détection olfactive canine de la COVID-19. Les répondants chinois se placent cependant à l'opposé de ces observations en s'opposant à la mise en place de cette méthode de dépistage. Les répondants russes sont plus mitigés, puisqu'ils ne montrent pas un grand intérêt pour cette méthode, mais ne s'opposent pas pour autant à son utilisation. Les commentaires laissés par les répondants à la fin des questionnaires ont permis de cibler leurs inquiétudes, qui sont majoritairement d'ordre éthique et scientifique. Les résultats de cette étude pourraient inciter les gouvernements de nombre de pays à autoriser la mise en oeuvre de la détection olfactive canine pour le dépistage de la COVID-19 ou d'autres maladies dans le cas de futures pandémies. Les résultats pourraient en outre servir de base pour de futures études sur le positionnement du grand public vis-à-vis de la détection olfactive canine.[-]
Le dépistage de la COVID-19 est plus que jamais un sujet d'actualité quand, chaque jour, des centaines de milliers de nouveaux cas sont détectés à travers le monde. Les tests de dépistage du SARS-CoV-2 sont indispensables et pourtant encore imparfaits. Ce manuscrit s'articule en deux parties. Premièrement, une partie bibliographique, qui fait le point sur les connaissances actuelles autour de la détection olfactive canine au service de l'Homme ...

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La biosécurité est une notion ayant fait son apparition dans les années 1990, décrivant les principes et mesures permettant de limiter l'introduction et la propagation d'agents pathogènes dans un troupeau et protéger ainsi la santé animale et humaine. Après plusieurs épizooties d'importance en France en élevage industriel, la biosécurité y a été progressivement réglementée, en élevages avicoles et porcins majoritairement. En élevage bovin, la réglementation n'est pas aussi stricte et peu de mesures de biosécurité sont actuellement mises en œuvre. Dans le contexte épidémiologique de tuberculose dans certaines zones de France, les mesures de biosécurité en élevage sont pourtant indispensables.Après avoir expliqué la notion de biosécurité, détaillé les mécanismes expliquant les différences d'application de biosécurité selon les filières et les mesures spécifiques dans la lutte contre la tuberculose, cette thèse présente une étude portant sur l'évaluation des connaissances, des pratiques et des perceptions sur la biosécurité de vétérinaires en clientèle rurale et de représentants des GDS de deux départements aux profils contrastés. Cette thèse a notamment permis d'explorer la perception de ces acteurs pour comprendre en partie les freins et leviers à l'application de la biosécurité en élevage bovin, via la réalisation d'entretiens semi-directifs. Les résultats ont montré une bonne connaissance théorique de la biosécurité par les vétérinaires ruraux et les représentants des GDS, particulièrement de la biosécurité externe par rapport à la biosécurité interne. Les mesures de biosécurité en élevage n'étaient pas appliquées de la même manière par tous les vétérinaires et les éleveurs de la clientèle (désinfection de bottes, réutilisation de seringues, port de gants, passage par le pédiluve, etc.). Les principaux freins cités par les vétérinaires et les représentants des GDS étaient l'absence de matériel en élevage, l'habitude, le manque de temps et les limites financières pour les éleveurs. Les vétérinaires ont également identifié l'absence de mesures mises en place par les éleveurs comme frein à leur propre application de mesures en élevage. Le rôle de conseil du vétérinaire était clairement identifié par ces derniers mais non mis en application en élevage, ceux-ci attendant que les éleveurs appliquent des mesures de biosécurité dans leur élevage avant de les appliquer eux-mêmes. Les vétérinaires avaient des attentes envers les GDS et inversement, mais ces attentes respectives ne semblaient pas connues par les deux partis. Plusieurs solutions pour pallier les freins identifiés peuvent être investiguées et proposées, comme la mise en place de protocoles standardisés dans l'application de mesures de biosécurité par les vétérinaires ou une sensibilisation des vétérinaires à leur rôle de conseil en élevage.[-]
La biosécurité est une notion ayant fait son apparition dans les années 1990, décrivant les principes et mesures permettant de limiter l'introduction et la propagation d'agents pathogènes dans un troupeau et protéger ainsi la santé animale et humaine. Après plusieurs épizooties d'importance en France en élevage industriel, la biosécurité y a été progressivement réglementée, en élevages avicoles et porcins majoritairement. En élevage bovin, la ...

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Dans un premier temps, ce manuscrit fait état du nombre d'animaux en France, en augmentation en ce qui concerne les animaux de compagnie, mais en diminution pour les animaux de rente et les chevaux. Cependant, il est à noter que le nombre de bovins par exploitation tend à augmenter. Ceci a des conséquences directes sur la répartition des vétérinaires sur le territoire français. Le nombre de vétérinaires canins est en augmentation, avec une présence plus importante au Sud qu'au Nord, contrairement aux vétérinaires ruraux qui sont de moins en moins nombreux avec une diminution en moyenne de 5 à 25% sur le territoire. En ce qui concerne le mode d'exercice, l'association est majoritaire mais le salariat est en augmentation. Le milieu rural subit une désertification du fait de sa faible attractivité et du fait de l'obligation de faire des gardes, ce qui est dû à la clientèle mixte ou à l'éloignement des autres structures en clientèle canine. La clientèle évolue depuis quelques années avec l'essor d'internet et des réseaux sociaux, biais par lesquels ils s'informent souvent avant de consulter un vétérinaire. Dans un second temps, notre travail a consisté à analyser les réponses d'un questionnaire diffusé au sein de la profession vétérinaire, qui ciblait les vétérinaires de zones rurales et périurbaines, soit les cliniques et cabinets des villes de moins de 30 000 habitants (hors Ile-de -France). En moyenne, les cliniques ayant répondu sont des cliniques mixtes exerçant 47% en canine, 41% en rurale et 8% en équine. Lorsque la rurale est minoritaire, c'est en grande partie dû à la faible demande, au fait que les élevages soient éloignés et que la rurale soit considérée comme moins rémunératrice que la canine. En ce qui concerne la rurale, les praticiens constatent une diminution du nombre d'exploitations mais une nouvelle clientèle apparait : la rurale de compagnie. D'après les vétérinaires interrogés, les exigences d'évolution des structures de soins vétérinaires se sont accrues depuis 5 ans en moyenne, et se traduisent par l'essor des médecines alternatives, la consolidation des structures de soins vétérinaires et le début de la télémédecine.[-]
Dans un premier temps, ce manuscrit fait état du nombre d'animaux en France, en augmentation en ce qui concerne les animaux de compagnie, mais en diminution pour les animaux de rente et les chevaux. Cependant, il est à noter que le nombre de bovins par exploitation tend à augmenter. Ceci a des conséquences directes sur la répartition des vétérinaires sur le territoire français. Le nombre de vétérinaires canins est en augmentation, avec une ...

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La sortie de l'école vétérinaire représente souvent une source d'incertitude et d'angoisse pour les jeunes professionnels. Aujourd'hui, face à l'évolution de la profession, les vétérinaires doivent s'adapter et développer leurs compétences extra-cliniques, qui apparaissent de plus en plus importantes. Suivant le même courant, les matières extra-cliniques prennent de plus en plus de place au sein du cursus vétérinaire. Ainsi, la réalisation d'un guide de sortie d'école vétérinaire regroupant toutes les informations extra-cliniques utiles permettrait d'aider et d'accompagner les jeunes vétérinaires arrivant dans la vie professionnelle. Ce guide serait composé de fiches pratiques, et a vocation à être le plus exhaustif possible. Cette thèse représente une première étape dans la réalisation de ce guide. L'enquête réalisée dans le cadre de cette thèse a pour objectif de connaitre précisément ce qui pourrait être utile aux jeunes vétérinaires, afin de créer un guide qui corresponde à leurs attentes. Elle nous a permis de définir le contenu souhaité par les étudiants vétérinaires et par les vétérinaires ayant participé. Elle permet de cibler les fiches à prioriser : elles seront écrites en premier et occuperont une place plus importante au sein du guide. Les résultats obtenus à cette enquête ont montré le grand intérêt accordé à l'idée de créer un guide de sortie d'école, ont confirmé que l'immense majorité des sujets proposés intéressaient bien les répondants, et ont révélé les sujets qui intéressaient le plus les répondants. L'analyse de cette enquête nous a permis d'adapter la liste des fiches afin qu'elle réponde au mieux aux attentes des répondants. Ainsi, nous avons créé de nouveaux sujets de fiches, nous avons élargi le champ de certains sujets trop spécifiques, et nous avons redécoupé certains sujets en raison de leur caractère trop général.[-]
La sortie de l'école vétérinaire représente souvent une source d'incertitude et d'angoisse pour les jeunes professionnels. Aujourd'hui, face à l'évolution de la profession, les vétérinaires doivent s'adapter et développer leurs compétences extra-cliniques, qui apparaissent de plus en plus importantes. Suivant le même courant, les matières extra-cliniques prennent de plus en plus de place au sein du cursus vétérinaire. Ainsi, la réalisation d'un ...

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La piroplasmose équine est une maladie parasitaire vectorisée par les tiques. Pour prévenir l'infection, il est essentiel d'identifier les espèces de tiques impliquées et de connaître leur biologie et leur écologie. Dans un premier temps, une étude bibliographique a été réalisée pour permettre une vision globale sur les tiques, leur rôle vecteur et les moyens de lutte contre ces ectoparasites. Dans un deuxième temps, nous avons participé à une enquête dans des élevages de chevaux de trait dans le Cantal sud et le Cantal nord/Puy-de-Dôme. L'objectif de cette étude était de déterminer des associations statistiques voire causales entre des expositions d'intérêt et l'infestation des chevaux par les tiques. L'enquête s'est déroulée en avril 2021. La base de données a porté sur des questionnaires remplis par l'éleveur ainsi que des collectes de tiques sur les chevaux et dans les pâtures. Les espèces de tiques retrouvées dans les pâtures et sur les chevaux sont Ixodes ricinus, Dermacentor reticulatus et D. marginatus. Les expositions d'intérêt évaluées ont été les caractéristiques individuelles (âge, race, robe), les pratiques d'élevage (antiparasitaires externe et interne, ivermectine et moxidectine) et l'environnement (présence de tiques, d'une zone boisée ou d'un cours d'eau dans la pâture). L'élevage n'a pas été pris en compte comme exposition d'intérêt dans le modèle statistique. L'analyse statistique a révélé que les expositions d'intérêts race et utilisation de moxidectine étaient associées à l'infestation des chevaux par les tiques. Les races Comtois, Trait breton et Croisés semblent plus infestées que les Ardennais. Les chevaux traités à la moxidectine semblent moins infectés que les chevaux non traités.[-]
La piroplasmose équine est une maladie parasitaire vectorisée par les tiques. Pour prévenir l'infection, il est essentiel d'identifier les espèces de tiques impliquées et de connaître leur biologie et leur écologie. Dans un premier temps, une étude bibliographique a été réalisée pour permettre une vision globale sur les tiques, leur rôle vecteur et les moyens de lutte contre ces ectoparasites. Dans un deuxième temps, nous avons participé à une ...

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L'objectif de cette a été de savoir si la personnalité du propriétaire de chien était reliée au type d'alimentation donnée à son chien. La première partie contient un bref résumé de l'évolution de la relation Homme-Animal à travers l'histoire, une retranscription des modes alimentaires pour chien et une explication des bases de la théorie du Big-Five permettant une description de la personnalité. Cette première partie a aidé à affiner nos hypothèses, testées via un questionnaire détaillé dans la seconde partie. Le fait de donner une alimentation non conventionnelle à son animal semblerait liée à la personnalité du propriétaire, notamment à son agréabilité, son régime alimentaire et à sa confiance envers les vétérinaires. Davantage de recherches seraient nécessaires pour valider ces résultats.[-]
L'objectif de cette a été de savoir si la personnalité du propriétaire de chien était reliée au type d'alimentation donnée à son chien. La première partie contient un bref résumé de l'évolution de la relation Homme-Animal à travers l'histoire, une retranscription des modes alimentaires pour chien et une explication des bases de la théorie du Big-Five permettant une description de la personnalité. Cette première partie a aidé à affiner nos ...

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Les vétérinaires dans leur pratique courante sont souvent confrontés à des maladies inflammatoires chroniques telles que l'arthrose, les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin chez le chien ou la stomatite chronique féline chez le chat par exemple. L'arsenal thérapeutique dit « conventionnel » contre ces maladies comprend les anti-inflammatoires non stéroïdiens , les glucocorticoïdes voire les imnunomodulateurs. Afin d'éviter certains effets secondaires pouvant s'avérer délétères sur des animaux déjà affaiblis, certains vétérinaires praticiens s'orientent vers les médecines non conventionnelles réputées douces et naturelles. Dans cette étude, une enquête a été réalisée auprès des vétérinaires praticiens afin de déterminer les modalités d'utilisation de ces médecines non conventionnelles (surtout de la phyto-aromathérapie) dans la gestion de ces inflammations chroniques. Les résultats montrent que les praticiens formés la prescrivent en thérapie alternative et d'autres en thérapie complémentaire. Une grande variété de plantes est utilisée mais le curcuma, le cassis et la reine des prés sont les plus prescrites. La forme galénique la plus prescrite est l'extrait de plantes standardisées. Concernant l'efficacité du traitement phytothérapique, elle est rapportée comme très bonne selon les praticiens contre une efficacité moyenne des molécules conventionnelles. De nouvelles études scientifiques sur des protocoles combinant allopathie, phytothérapie ou d'autres médecines non conventionnelles (ostéopathie, laserthérapie) seraient envisageables à l'avenir afin d'apporter de nouveaux éléments objectifs permettant de justifier leur prescription par les praticiens.[-]
Les vétérinaires dans leur pratique courante sont souvent confrontés à des maladies inflammatoires chroniques telles que l'arthrose, les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin chez le chien ou la stomatite chronique féline chez le chat par exemple. L'arsenal thérapeutique dit « conventionnel » contre ces maladies comprend les anti-inflammatoires non stéroïdiens , les glucocorticoïdes voire les imnunomodulateurs. Afin d'éviter certains ...

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La maladie parodontale est l'une des affections les plus répandues chez les chiens et n'est pas sans conséquence sur leur santé et leur bien-être. Actuellement le meilleur moyen de lutter contre cette maladie est une prophylaxie bucco-dentaire correctement réalisée dont la référence est un brossage dentaire quotidien. Pourtant cette prophylaxie semble être peu réalisées en France. Cette étude a pour but de quantifier, de comprendre, et de proposer des solutions adaptées afin d'augmenter la prévalence de propriétaires réalisant une prophylaxie bucco-dentaire auprès de leur animal. Il en ressort que près de 87% des propriétaires de chien adulte ont déjà essayé de mettre en place une prophylaxie bucco-dentaire mais seulement 27% ont déjà essayé de brosser les dents de leur chien. Près de 45% des propriétaires pourraient être motivés à mettre en place cette prophylaxie à la suite d'explications fournies oralement par le vétérinaire. Par ailleurs un tiers des personnes interrogées seraient favorables pour recevoir un rappel mensuel par mail ou par sms.[-]
La maladie parodontale est l'une des affections les plus répandues chez les chiens et n'est pas sans conséquence sur leur santé et leur bien-être. Actuellement le meilleur moyen de lutter contre cette maladie est une prophylaxie bucco-dentaire correctement réalisée dont la référence est un brossage dentaire quotidien. Pourtant cette prophylaxie semble être peu réalisées en France. Cette étude a pour but de quantifier, de comprendre, et de ...

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La demande sociétale pour un système d'élevage plus favorable au bien-être des porcs est abordée par la législation au niveau européen. L'outil O'porctunité vise à évaluer le bien-être des truies dans les élevages. Le système d'auto-évaluation est basé sur une grille simplifiée, optimisée et mise à jour de Welfare Quality®. L'enquête avec essai de l'outil qui a été menée montre que celui-ci s'est avéré facile d'utilisation selon 75% des éleveurs interrogés et permettant une évaluation du cheptel en moins de deux heures pour la moitié des élevages concernés. Il apparait cependant que certaines évaluations pourraient être améliorées.   Societal demand for more welfare friendly swine rearing systems is being tackled by legislation at the European level. The tool named O'porctunité aims at providing stakeholders with a mean to assess sow welfare on farms. The self-assessment system is based on a simplified, optimized and updated Welfare Quality® grid. We performed a field test that revealed the tool was perceived easy to use for over 75% of breeders included in the study and enabling to assess their sows welfare in less than 2 hours for over half of them. However, survey results also revealed some evaluations may need some improvements.[-]
La demande sociétale pour un système d'élevage plus favorable au bien-être des porcs est abordée par la législation au niveau européen. L'outil O'porctunité vise à évaluer le bien-être des truies dans les élevages. Le système d'auto-évaluation est basé sur une grille simplifiée, optimisée et mise à jour de Welfare Quality®. L'enquête avec essai de l'outil qui a été menée montre que celui-ci s'est avéré facile d'utilisation selon 75% des éleveurs ...

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L'étude s'intéresse à l'élevage canin et félin en France à travers un recueil de données d'élevage. Après une mise en contexte de l'élevage français, les résultats d'une série de questionnaires réalisée auprès d'éleveurs canins et félins sont présentés dans le but de comparer ces deux types d'élevage. Il apparait des différences dans la localisation des élevages, la gestion des locaux, le temps de travail, le personnelou encore les finances générées. D'autre part, les pratiques diffèrent en termes d'effectif d'animaux, d'utilisation des tests génétiques, de gestion de la reproduction, de socialisation des portées, de prophylaxie, de recours aux médecines alternatives, de biosécurité, de gestion de la vente et du relationnel avec les futurs acquéreurs.   The study is about dogs and cats breeding in France through a breeding data collection. After a contextualization about French breeding, the results of a series of surveys realized with dogs and cats breeders are presented in order to compare these two types of breedings. Some differences have been emphasized in the localization of the breedings, the facilities management, the working time, the staff or even the generated funds. Furthermore, the practices are different in terms of the number of animals, the use of genetics tests, the reprodution management, the litter socialization, the prophylaxis, the use of alternative medicines, the biosecurity, the sale management and the relational with future buyers.[-]
L'étude s'intéresse à l'élevage canin et félin en France à travers un recueil de données d'élevage. Après une mise en contexte de l'élevage français, les résultats d'une série de questionnaires réalisée auprès d'éleveurs canins et félins sont présentés dans le but de comparer ces deux types d'élevage. Il apparait des différences dans la localisation des élevages, la gestion des locaux, le temps de travail, le personnelou encore les finances ...

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L'autopsie des bovins fait partie des actes courants du vétérinaire rural. Elle est réalisée dans différentes circonstances comme en cas de morbidité ou de mortalité accrue dans un élevage. L'autopsie peut être pratiquée à la ferme, au clos d'équarrissage ou dans un laboratoire départemental vétérinaire. Il existe différentes techniques d'autopsies, notamment sur animal couché ou sur animal suspendu par le jarret. Une enquête a été menée auprès des vétérinaires ruraux français. Le but était d'identifier leurs pratiques sur le terrain et de les comparer aux recommandations trouvées dans la littérature. L'enquête a été présentée sous la forme d'un questionnaire en ligne sur la plateforme Google Forms®. Le questionnaire a été diffusé aux vétérinaires par le biais de la SNGTV, de VétoFocus® et de Facebook®. Le questionnaire débutait par une partie permettant d'identifier le profil de chacun des vétérinaires répondant. Puis, le questionnaire était orienté sur les techniques d'euthanasie et sur les techniques d'autopsie. Pour terminer, le questionnaire s'intéressait à la rédaction du compte rendu d'autopsie, aux analyses effectuées et aux accidents d'autopsie. Le taux de réponse est de 3,7 %. Les pratiques d'euthanasie avant l'autopsie sont relativement conformes aux recommandations actuelles. L'utilisation d'une technique chimique est privilégiée par 99,4 % des vétérinaires répondant. Concernant l'autopsie, les pratiques sont variées. Il est à noter que seulement 28,7 % des vétérinaires répondant à l'étude réalisent une autopsie complète alors que tous les auteurs conseillent de réaliser une autopsie complète.[-]
L'autopsie des bovins fait partie des actes courants du vétérinaire rural. Elle est réalisée dans différentes circonstances comme en cas de morbidité ou de mortalité accrue dans un élevage. L'autopsie peut être pratiquée à la ferme, au clos d'équarrissage ou dans un laboratoire départemental vétérinaire. Il existe différentes techniques d'autopsies, notamment sur animal couché ou sur animal suspendu par le jarret. Une enquête a été menée auprès ...

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