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Les lys, plantes ornementales courantes dans les foyers, sont toxiques pour les chats, mais cette toxicité reste peu connue des propriétaires. L'essor du marché des plantes a entraîné une hausse des appels aux centres antipoison vétérinaires pour des intoxications au lys, parfois graves.L'analyse épidémiologique a révélé une augmentation des cas entre février et juillet, période considérée comme à risque. L'étude prospective menée sur 147 chats a identifié des facteurs prédisposants tels que le jeune âge et une vie en intérieur strict.Les symptômes les plus fréquemment observés incluent des troubles digestifs et des atteintes rénales aiguës. Les traitements administrés par les vétérinaires (charbon actif, induction de vomissements, fluidothérapie IV, traitements symptomatiques) sont conformes aux recommandations de la littérature et soulignent l'importance d'une prise en charge rapide pour limiter les symptômes.Bien que les doses toxiques précises ne soient pas encore établies, les intoxications sont souvent associées à l'ingestion de fleurs ou de feuilles, sans différence notable de toxicité entre ces parties. Toutefois, toute exposition au lys doit être considérée comme à risque.La prévention apparaît donc essentielle. Des mesures de sensibilisation pourraient être mises en œuvre, notamment au sein des cliniques vétérinaires, mais aussi directement dans les jardineries et chez les fleuristes. En tant qu'acteurs de santé animale, les vétérinaires ont donc un rôle central à jouer pour informer et prévenir les propriétaires de chats face à ce risque.
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Les lys, plantes ornementales courantes dans les foyers, sont toxiques pour les chats, mais cette toxicité reste peu connue des propriétaires. L'essor du marché des plantes a entraîné une hausse des appels aux centres antipoison vétérinaires pour des intoxications au lys, parfois graves.L'analyse épidémiologique a révélé une augmentation des cas entre février et juillet, période considérée comme à risque. L'étude prospective menée sur 147 chats ...
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Les plantes d'intérieur, prisées pour leur aspect décoratif, peuvent représenter un danger pour les animaux de compagnie, notamment les chiens, chats et lapins, en raison de leur toxicité. Ces intoxications provoquent des symptômes allant de troubles digestifs légers à des affections graves, voire mortelles. Ce travail présentera dans un premier temps une revue de la littérature sur la toxicité des plantes courantes dans les foyers. Il se poursuit par une étude épidémio-clinique, utilisant les données du Centre Antipoison Animal et Environnemental de l'Ouest, pour analyser les cas d'expositions à ces plantes. Enfin, une enquête destinée aux propriétaires d'animaux de compagnie viendra compléter l'étude épidémiologique et évaluer leur niveau de connaissance sur ce sujet. Notre étude montre que les chats sont les plus exposés aux plantes toxiques représentant plus de la moitié des cas, suivis des chiens et lapins. Les jeunes animaux, plus explorateurs, sont particulièrement à risque. Le mode de vie des chats, souvent en contact avec les plantes d'intérieur, accentue cette tendance. Bien que de nombreux propriétaires soient conscients des dangers, les intoxications persistent, révélant que cette connaissance n'est pas suffisante pour éviter les expositions. Il est donc crucial de renforcer la vigilance et les mesures préventives. Une meilleure information, par exemple à travers un dépliant sur les plantes toxiques, pourrait sensibiliser davantage les vétérinaires et propriétaires et ainsi protéger les animaux de compagnie.
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Les plantes d'intérieur, prisées pour leur aspect décoratif, peuvent représenter un danger pour les animaux de compagnie, notamment les chiens, chats et lapins, en raison de leur toxicité. Ces intoxications provoquent des symptômes allant de troubles digestifs légers à des affections graves, voire mortelles. Ce travail présentera dans un premier temps une revue de la littérature sur la toxicité des plantes courantes dans les foyers. Il se ...
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Dans cet ouvrage, l'épigénétique est entendue comme la science des molécules et des mécanismes qui participent au contrôle de l'activité des gènes sans altération de leur séquence et qui contribuent ainsi aux fonctions cellulaires. Elle permet de décrypter les processus de développement et de différenciation des cellules d'un organisme complexe qui assument des fonctions différentes alors qu'elles partagent le même patrimoine génétique. Cette science est aussi le support de la mémoire cellulaire et des réponses à l'environnement. L'ouvrage fait découvrir l'histoire et l'évolution du concept d'« épigénétique » et explique les mécanismes moléculaires qui régissent le développement des mammifères, des poissons ou des plantes. La connaissance de la diversité de ces mécanismes et notre compréhension de leur importance en biologie n'en sont probablement qu'à leurs débuts. Certains processus sont spécifiques des mammifères, comme l'inactivation du chromosome X, alors que d'autres, comme l'empreinte parentale, sont étonnamment observés aussi bien chez les mammifères que chez les plantes à reproduction sexuée. Leur importance dans les réponses à l'environnement biotique ou abiotique est soulignée pour montrer les applications possibles en médecine ou en agronomie. Cet ouvrage s'adresse à un public d'étudiants, d'enseignants du supérieur et de chercheurs en biologie.
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Dans cet ouvrage, l'épigénétique est entendue comme la science des molécules et des mécanismes qui participent au contrôle de l'activité des gènes sans altération de leur séquence et qui contribuent ainsi aux fonctions cellulaires. Elle permet de décrypter les processus de développement et de différenciation des cellules d'un organisme complexe qui assument des fonctions différentes alors qu'elles partagent le même patrimoine génétique. Cette ...
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Le stress du chien durant la consultation peut être délicat à gérer pour le vétérinaire et le propriétaire. Les conséquences du stress étant nombreuses, il est important de le prendre en charge en adaptant l'environnement et en utilisant des thérapies comme des compléments alimentaires, des anxiolytiques ou des produits à base de plantes. La mélisse (Melissa officinalis) fait partie des plantes neuro-relaxantes pouvant être utilisée dans la gestion du stress, mais son effet est peu connu chez le chien à ce jour. Notre étude a été réalisée pour évaluer le stress d'une population de chiens durant la consultation vétérinaire, et déterminer le bénéfice clinique d'un extrait de feuille de mélisse via l'administration du Nor-Balm®. Pour cela, nous avons utilisé une comparaison avec le Zylkène®, un complément alimentaire anti-stress utilisé en médecine conventionnelle, et avec un placebo composé de dextrose. Ainsi, nous avons observé que le Nor-Balm® possède un effet au moins équivalent au Zylkène® et significativement supérieur au placebo par rapport à la diminution de l'intensité d'expression des signes de stress corporels entre deux consultations. Il pourrait être intéressant d'approfondir cette étude en la reproduisant sur un nombre plus important de chiens pour confimer les premiers résultats obtenus, et déterminer les composés phytochimiques et les cibles cellulaires impliqués dans l'action anti-stress de la mélisse. L'étude du Nor-Balm® pourrait se poursuivre en étudiant des doses et des durées d'administration différentes.
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Le stress du chien durant la consultation peut être délicat à gérer pour le vétérinaire et le propriétaire. Les conséquences du stress étant nombreuses, il est important de le prendre en charge en adaptant l'environnement et en utilisant des thérapies comme des compléments alimentaires, des anxiolytiques ou des produits à base de plantes. La mélisse (Melissa officinalis) fait partie des plantes neuro-relaxantes pouvant être utilisée dans la ...
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Nous avons pu remarquer depuis quelques années un attrait grandissant pour les produits plus « naturels », avec des composants d'origines végétales, en lien avec l'essor de médecines alternatives comme la phytothérapie et une volonté de faire plus attention à son impact environnemental. Les produits à base de plantes se retrouvent alors dans l'environnement de nos animaux de compagnie et donc de nos chats. En parallèle, le milieu vétérinaire remarque une augmentation des intoxications par ces produits, plus particulièrement chez le Chat. Ainsi, au travers de cette thèse, nous avons cherché à comprendre les mécanismes épidémiologiques et les conséquences cliniques de ces intoxications chez le Chat par l'analyse de données issues du centre antipoison animal et environnemental d'Oniris VetAgroBio Nantes (CAPAE-Ouest). Cette étude se base sur l'analyse rétrospective de 491 cas d'intoxications de chats par des produits à base de plantes divers d'imputation probable à très probable recensés entre janvier 2002 et décembre 2022. Nous avons pu constater des circonstances d'exposition majoritairement volontaires et accidentelles, notamment liées à des applications d'antiparasitaires externes à base de plantes ou d'huiles essentielles, menant souvent à une exposition buccale par toilettage du pelage exposé. Les toxiques les plus souvent rapportés sont alors le Margosa, le géraniol, la lavande, le Melaleuca et le pyrèthre. Les signes cliniques majeurs rapportés sont des troubles digestifs légers, mais des signes neurologiques peuvent également se manifester et assombrir le tableau clinique. La confrontation de nos données avec la littérature vient conforter notre travail et souligne l'augmentation de ces intoxications, mettant en évidence par la même le manque d'informations des propriétaires sur les dangers bien réels des produits à base de plantes. Le besoin de prévention et d'une meilleure gestion de la réglementation autour de ces produits est une nécessité.
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Nous avons pu remarquer depuis quelques années un attrait grandissant pour les produits plus « naturels », avec des composants d'origines végétales, en lien avec l'essor de médecines alternatives comme la phytothérapie et une volonté de faire plus attention à son impact environnemental. Les produits à base de plantes se retrouvent alors dans l'environnement de nos animaux de compagnie et donc de nos chats. En parallèle, le milieu vétérinaire ...
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Un petit nombre de molécules anthelminthiques sont actuellement disponibles pour lutter contre les strongles digestifs des équidés. Ces molécules connaissent par ailleurs une diminution de leur efficacité suite au développement massif de populations parasitaires résistantes aux anthelmintiques. De fait, le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques est requis. Les préoccupations environnementales et l'intérêt croissant du public pour les produits naturels poussent à se diriger vers des alternatives durables comme les plantes ou extraits de plantes distribués dans les fourrages ou en tant qu'additifs alimentaires. L'essai présenté dans cette thèse avait pour objectif de déterminer l'efficacité in vivo du cinnamaldéhyde et de l'eugénol, deux métabolites issus respectivement d'un extrait de cannelle et de clou girofle, sur les strongles digestifs des chevaux. Pour ce faire, trois lots de ponettes Welsh dont le poids, l'âge et le niveau d'excrétion fécale en œufs de strongles étaient homogènes, ont été constitués (Lot Témoin, Lot Cinnamaldéhyde et Lot Eugénol). Pendant 28 jours, les ponettes ont été nourries avec 600 g de granulés et les lots traités ont reçu 50 mg de cinnamaldéhyde ou 50 mg d'eugénol en plus. Aucun problème d'appétence ni effet secondaire n'ont été rapportés. Un suivi hebdomadaire du niveau d'excrétion fécale en œufs, du développement larvaire, des paramètres hématologiques ainsi que du poids des ponettes a été mené pendant cinq semaines. Aucune différence significative entre les lots n'a été observée. La variabilité des rendements larvaires obtenus au cours de l'essai nous a poussé à standardiser le protocole. Les activités anthelmintiques directes et indirectes par stimulation de la réponse immunitaire de l'hôte mises en avant in vitro dans l'étude préliminaire de Joshua Malsa n'ont pas été confirmées dans notre essai. Ce manque de résultat s'explique sans doute par une métabolisation précoce des composés ainsi qu'une dose insuffisante. La galénique et la formulation des produits seront améliorées dans des essais ultérieurs.
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Un petit nombre de molécules anthelminthiques sont actuellement disponibles pour lutter contre les strongles digestifs des équidés. Ces molécules connaissent par ailleurs une diminution de leur efficacité suite au développement massif de populations parasitaires résistantes aux anthelmintiques. De fait, le développement de nouvelles stratégies thérapeutiques est requis. Les préoccupations environnementales et l'intérêt croissant du public pour ...
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La préoccupation grandissante du bien-être animal engendre une meilleure prise en charge du stress. La consultation vétérinaire est un évènement particulièrement stressant pour le chat et le propriétaire en est conscient. Ainsi, de son éducation à son abord lors d'un examen clinique, il convient d'être le plus cat-friendly possible. Lorsque le stress est présent, il peut être pris en charge grâce à des phéromones ou des aliments complémentaires mais également par une sédation dans les cas les plus avancés. La phytothérapie, et les médecines complémentaires en général, connaissent une croissance exponentielle en médecine vétérinaire. Cela se traduit principalement par l'administration d'aliments complémentaires ou de préparations magistrales à base de plantes. Dans la gestion du stress, de nombreuses spécialités sont disponibles au vu de la diversité de plantes ayant une action apaisante sur le comportement. Nous avons réalisé une étude clinique sur le stress d'une population de chat en consultation vétérinaire. Ainsi, nous avons pu remarquer l'intérêt de reconnaitre les manifestations comportementales du stress, via une version modifiée de la grille Cat Stress Score, mais également les manifestations biologiques, à travers une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle systolique, de la température et de la glycémie. Nous avons également comparé l'efficacité anti-stress d'un aliment complémentaire largement utilisé en médecine conventionnelle : le Zylkène®, avec une préparation à base de plantes : le Sérénité®. Si ces résultats sont à interpréter prudemment en raison du faible effectif de la population, une poursuite de cette étude serait pertinente afin de parfaire les connaissances en phytothérapie vétérinaire.
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La préoccupation grandissante du bien-être animal engendre une meilleure prise en charge du stress. La consultation vétérinaire est un évènement particulièrement stressant pour le chat et le propriétaire en est conscient. Ainsi, de son éducation à son abord lors d'un examen clinique, il convient d'être le plus cat-friendly possible. Lorsque le stress est présent, il peut être pris en charge grâce à des phéromones ou des aliments complémentaires ...
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Le GPI19 est un produit ayant pour but de stimuler l'immunité des Ruminants lors de l'infestation par les SGI sans activité anthelmintique. Il contient en effet des plantes censées stimuler la réponse TH2, limiter le stress oxydatif et l'action des ectoenzymes parasitaires. Cet essai terrain vise à établir si le GPI19 limite bien l'infestation chez des bovins non encore immunisés. Une centaine de génisses laitières réparties dans 5 élevages sortant au pâturage sont incluses dans l'étude. Chaque élevage a un lot traité une semaine avec le GPI19 avant la sortie au pâturage et un lot non traité. Des prélèvements de bouses et de sang sont réalisés avant la sortie à l'étable et trois fois durant la période de pâturage au moment de l'apparition des différentes générations larvaires, déterminées par un logiciel expert. Des coproscopies pour évaluer l'excrétion et des dosages de pepsinogènes pour mesurer les lésions de caillette sont réalisés ainsi que des coprocultures afin d'établir les espèces de SGI présentes et des comptages larvaires de L3 dans l'herbe pour faire un état des lieux de la pâture et pour évaluer le recyclage parasitaire. Il n'y a pas de différence observée entre les dosages de pepsinogènes des deux lots. Il y a une tendance à une excrétion supérieure des génisses traitées. Nous pouvons supposer que le produit, par son mode d'action, n'agit pas sur le niveau d'inflammation au niveau de la caillette. De même, dans le mode d'action du produit, seule la réponse TH2 serait susceptible de faire varier l'excrétion. Une réponse TH2 n'intervenant dans les strongyloses qu'après une réponse mixte TH0, on peut supposer que le produit influe sur la bascule TH0-TH2 en induisant un équilibre entre les différentes cytokines du profil TH2 différent de l'infestation seule. Cet équilibre serait moins défavorable au parasite. On peut aussi supposer que d'autres mécanismes inconnus non stimulés par le produit agissent sur l'immunité vis-à-vis des SGI.
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Le GPI19 est un produit ayant pour but de stimuler l'immunité des Ruminants lors de l'infestation par les SGI sans activité anthelmintique. Il contient en effet des plantes censées stimuler la réponse TH2, limiter le stress oxydatif et l'action des ectoenzymes parasitaires. Cet essai terrain vise à établir si le GPI19 limite bien l'infestation chez des bovins non encore immunisés. Une centaine de génisses laitières réparties dans 5 élevages ...
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La cryptosporidiose une des principales causes des diarrhées néonatales chez le veau laitier, avec un fort impact économique et sur le bien-être animal. Elle est également importante en santé publique car transmissible à l'Homme via une contamination environnementale. Le contrôle de cette maladie en élevage est très difficile du fait de la grande résistance du parasite dans le milieu extérieur et de l'absence de vaccins et traitements réellement efficaces. Le laboratoire Biodevas a développé un aliment complémentaire, le GDN19, base d'extraits de plantes visant à stimuler le système immunitaire contre Cryptosporidium parvum. Dans cette étude, nous avons mené un essai clinique randomisé multicentrique, de supériorité et non infériorité visant à évaluer les effets cliniques, parasitologiques et zootechniques du GDN19 dans des élevages bovins laitiers naturellement infestés par Cryptosporidium parvum. 96 veaux répartis dans 7 élevages de la région nantaise ont été inclus dans l'étude au printemps 2021 et séparés en trois groupes d'intervention : ils ont reçu de l'âge de 1 à 7 jours soit du lactate d'halofuginone, soit le GDN19, soit aucun produit. Les veaux ont été suivis tous les 2 à 3 jours avec des examens cliniques et parasitologiques, et ont été pesés à 1 et 30 j d'âge. Les interventions n'ont eu aucun effet sur l'âge d'apparition ou la sévérité des signes cliniques, ainsi que sur le gain moyen quotidien. Toutefois, contrairement au GDN19, le lactate d'halofuginone a permis de retarder significativement le début de l'excrétion fécale d'ookystes chez les veaux. Au vu de la demande sociétale, la poursuite de recherche de moyens de contrôle de la cryptosporidiose bovine à base de plantes reste nécessaire. Les co-infections ayant souvent été identifiées chez les veaux de cette étude, une formulation d'un aliment complémentaire actif également contre les autres agents de diarrhée néonatale pourrait permettre d'en améliorer l'efficacité en conditions de terrain.
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La cryptosporidiose une des principales causes des diarrhées néonatales chez le veau laitier, avec un fort impact économique et sur le bien-être animal. Elle est également importante en santé publique car transmissible à l'Homme via une contamination environnementale. Le contrôle de cette maladie en élevage est très difficile du fait de la grande résistance du parasite dans le milieu extérieur et de l'absence de vaccins et traitements réellement ...
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Le cochon est un animal de compagnie depuis seulement quelques dizaines d'années. Son mode de vie ainsi que son comportement fouisseur l'exposent à une diversité de toxiques. Les publications scientifiques relatives à cet animal sont très peu nombreuses, particulièrement en toxicologie. Notre analyse de la banque de données du CAPAE - Ouest montre une diversité de toxiques incriminés. Les anti - vitaminiques K1 arrivent en première position. Viennent ensuite des plantes toxiques, des produits ménagers, d'entretien, des substances alimentaires et enfin des médicaments. Le cochon de compagnie est très sensible aux anti - vitaminiques K1, occasionnant un tableau clinique hémorragique. Les autres intoxications entraînent des symptômes majoritairement généraux et digestifs. Les signes peuvent être graves, notamment dans le cas des intoxications aux végétaux. La gestion de ces intoxications fait parfois intervenir un antidote. C'est le cas de la vitamine K1, administrée de la même façon que chez le chien, dans les cas d'intoxications aux rodenticides. Les autres intoxications sont souvent gérées par un traitement symptomatique, s'articulant autour de l'utilisation de pansements digestifs et de charbon actif. Le vétérinaire possède donc un rôle thérapeutique, dans la prise en charge en urgence des intoxications. Il possède aussi un rôle préventif, dans l'information des propriétaires quant à l'éventuelle toxicité d'éléments présents dans l'environnement de l'animal.
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Le cochon est un animal de compagnie depuis seulement quelques dizaines d'années. Son mode de vie ainsi que son comportement fouisseur l'exposent à une diversité de toxiques. Les publications scientifiques relatives à cet animal sont très peu nombreuses, particulièrement en toxicologie. Notre analyse de la banque de données du CAPAE - Ouest montre une diversité de toxiques incriminés. Les anti - vitaminiques K1 arrivent en première position. ...
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L'ingestion de baies n'est pas rare chez les animaux domestiques, et le vétérinaire ne sait pas toujours comment réagir face à cette situation. Nous avons réalisé une étude rétrospective des données du CAPAE depuis 2005 afin de comprendre quelle était la réelle importance des baies en toxicologie vétérinaire. Pour cela, nous avons analysé 496 appels (soit 3,6% des appels passés pour des plantes au CAPAE) rapportant l'exposition d'animaux à des baies. Parmi les espèces de plantes à baies les plus fréquemment incriminées, les plantes aux qualités ornementales et arbustives sont très représentées, avec notamment le laurier-cerise (18% des appels) ou le pommier d'amour (10%). Le chien est l'espèce la plus souvent impliquée (80,7% des appels), avec une prédominance des jeunes et très jeunes animaux. Les intoxications sont généralement de gravité limitée (80,2% des cas) et se traduisent majoritairement par des troubles digestifs, et notamment par des vomissements (61,2% des cas). Sept décès sont toutefois à déplorer. Les vétérinaires sont ainsi nombreux à contacter le CAPAE (42,1% des appels) afin de connaître la prise en charge à mettre en place lors d'une intoxication par des baies. Pour cette raison, nous avons réalisé 70 monographies des plantes à baies les plus couramment impliquées en toxicologie, accompagnées d'une illustration réalisée par nos soins pour 50 d'entre elles. Enfin, nous avons élaboré une clé d'identification pour aider le vétérinaire praticien à identifier ces espèces facilement.
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L'ingestion de baies n'est pas rare chez les animaux domestiques, et le vétérinaire ne sait pas toujours comment réagir face à cette situation. Nous avons réalisé une étude rétrospective des données du CAPAE depuis 2005 afin de comprendre quelle était la réelle importance des baies en toxicologie vétérinaire. Pour cela, nous avons analysé 496 appels (soit 3,6% des appels passés pour des plantes au CAPAE) rapportant l'exposition d'animaux à des ...
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Le cochon d'Inde fait partie des Nouveaux Animaux de Compagnie les plus rencontrés dans les foyers français. Son mode de vie domestique l'expose à de nombreux toxiques en raison de son comportement exploratoire et son régime alimentaire. Bien qu'il soit également employé comme modèle toxicologique en laboratoire, il existe peu de données concernant les intoxications chez le cobaye domestique. L'analyse de la base de données du CAPAE-Ouest permet de faire ressortir les caractéristiques des principaux toxiques chez le cochon d'Inde. Les plantes représentent la première cause d'intoxication avec plus de 60% des appels reçus, en particulier le laurier rose qui semble très attirant pour le rongeur. Les médicaments, les produits phytosanitaires et les destructeurs de nuisibles sont également régulièrement impliqués lors d'intoxication chez le cobaye. L'étude des toxiques les plus fréquents permet de mettre en évidence des symptômes peu spécifiques, principalement digestifs et nerveux. La rapidité d'évolution est influencée par les particularités digestives et le métabolisme élevé du cochon d'Inde. Quelques toxiques possèdent un antidote mais le plus souvent le vétérinaire ne dispose que d'un traitement éliminatoire et symptomatique, proche de celui mis en place chez les carnivores domestiques. Une grande importance doit être portée à la prévention de ces intoxications, le pronostic pouvant rapidement s'assombrir. Celle-ci passe notamment par le développement des connaissances des propriétaires concernant le mode de vie de leur animal.
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Le cochon d'Inde fait partie des Nouveaux Animaux de Compagnie les plus rencontrés dans les foyers français. Son mode de vie domestique l'expose à de nombreux toxiques en raison de son comportement exploratoire et son régime alimentaire. Bien qu'il soit également employé comme modèle toxicologique en laboratoire, il existe peu de données concernant les intoxications chez le cobaye domestique. L'analyse de la base de données du CAPAE-Ouest permet ...
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Le monde végétal, clé du vivant, de la santé et de l'avenir des espèces. Les réponses aux défis climatiques, environnementaux, agroécologiques et sanitaires du XXIe siècle ne viendront pas des techniques industrielles, mais au contraire de leur modération. C'est en respectant la nature et en reconnaissant notre dépendance biologique absolue au règne végétal que nous pourrons éviter l'effondrement. L'auteur propose une réflexion sur les fonctions cruciales des plantes : créer la vie, réguler les écosystèmes et le climat, assurer la dynamique de la santé. Ce que la nature a mis 500 millions d'années à construire, la biodiversité – la chaîne de production du vivant – l'homme, dernier maillon de la chaîne, est en train de le détruire en quelques décennies seulement. Alors que nous sommes capables d'envoyer des sondes dans l'espace pour explorer les planètes lointaines, notre compréhension et notre respect pour le phénomène le plus exceptionnel du système solaire, la vie sur la Terre, sont très limités. Il est pourtant essentiel d'intégrer les processus qui créent, régulent et pérennisent la vie ; actuellement, ils sont négligés ou méconnus. L'artificialisation industrielle, par l'énergie qu'elle requiert, par les produits de synthèse et les déchets non recyclables qu'elle intro-duit dans les écosystèmes, rompt les collaborations symbiotiques, les équilibres naturels et les cycles qui produisent la vie. L'industrialisation massive est incompatible avec le fonctionnement de la nature, la stabilité du climat et la production du vivant. Les produits de synthèse provoquent aussi des pathologies chroniques ou dégénératives chez l'homme, conséquences des perturbations physiologiques qu'ils induisent dans son organisme. L'importance décisive de la chaîne du vivant, les processus biologiques et écologiques naturels ne sont plus respectés. Ils sont même entravés par les pouvoirs publics, qui imposent des produits artificiels industriels pour l'agriculture et la santé. Les produits de synthèse bioperturbateurs sont omniprésents, alors qu'ils ne devraient être utilisés que de manière complémentaire, quand il n'y a pas de solution naturelle efficace, sûre et durable. Ce qui serait rare si on s'était donné les moyens de les évaluer de manière pertinente et globale. Méconnaître notre dépendance biologique absolue au végétal ou en entraver l'usage pour favoriser les produits industriels relève d'un aveuglement suicidaire. Le végétal chlorophyllien apparaît comme le créateur de la vie pour l'ensemble du monde vivant, puisqu'il est seul capable de transmuter l'énergie solaire en matière organique, en énergie métabolique, en régulations et en informations biologiques. Nous sommes totalement phyto-dépendants. Il nous faut retrouver le bon sens, respecter la nature et collaborer avec elle, ou disparaître..Philippe Labre, biologiste de terrain, est vétérinaire conseil et formateur en santé naturelle et en élevage biologique. Il propose une réflexion sur l'importance fonctionnelle de la biodiversité et sur notre dépendance à la chaîne du vivant. Dans le domaine de la santé, il réhabilite la santé dynamique autonome, c'est-à-dire les processus fonctionnels naturels, méconnus de la médecine officielle, qui permettent souvent d'éviter les médicaments et les antibiotiques en activant, grâce aux plantes physiologiquement actives, notre adaptabilité aux variations du milieu et notre réactivité face aux perturbations et aux agressions.
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Le monde végétal, clé du vivant, de la santé et de l'avenir des espèces. Les réponses aux défis climatiques, environnementaux, agroécologiques et sanitaires du XXIe siècle ne viendront pas des techniques industrielles, mais au contraire de leur modération. C'est en respectant la nature et en reconnaissant notre dépendance biologique absolue au règne végétal que nous pourrons éviter l'effondrement. L'auteur propose une réflexion sur les fonctions ...
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Représentant environ 10 % des cas d'intoxication, la toxicité des plantes d'appartement ou de jardin est souvent mise à jour chez les animaux de compagnie par leur comportement exploratoire du milieu, par jeu ou encore par ennui. La symptomatologie est variée, mais on note une large prédominance des symptômes digestifs. Le traitement des intoxications par les plantes ou autres végétaux est avant tout non spécifique (éliminatoire et symptomatique), le recours à un antidote étant assez rare. Après une présentation générale des intoxications par les plantes, l'auteur présente près de 300 fiches toxicologiques, classées par famille botanique; un chapitre est spécialement consacré aux champignons vénéneux. Une troisième partie offre des aides diagnostiques, avec notamment plus de 100 photographies des principales plantes et quelques champignons.
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Représentant environ 10 % des cas d'intoxication, la toxicité des plantes d'appartement ou de jardin est souvent mise à jour chez les animaux de compagnie par leur comportement exploratoire du milieu, par jeu ou encore par ennui. La symptomatologie est variée, mais on note une large prédominance des symptômes digestifs. Le traitement des intoxications par les plantes ou autres végétaux est avant tout non spécifique (éliminatoire et symp...
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