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Les petits ruminants, à savoir les moutons et les chèvres, sont de plus en plus retrouvés dans les foyers français. Tout vétérinaire devrait être en mesure de s'adapter à cette nouvelle clientèle qui les considère comme de véritables animaux de compagnie. Ainsi, il peut être recommandé aux vétérinaires ruraux de revoir leur approche afin de s'adapter aux exigences de ces propriétaires. D'autre part, les vétérinaires exerçant en canine peuvent également être sollicités par des détenteurs de petits ruminants qui ne parviennent pas toujours à trouver un vétérinaire rural dans leur périmètre. Ainsi, les vétérinaires canins devraient accepter de recevoir ces espèces en consultation et être en mesure de conseiller les propriétaires. Ce travail a donc pour objectif de présenter la prise en charge d'un petit ruminant de compagnie que la consultation ait lieu en clinique ou au domicile du propriétaire. Il débute ainsi par la présentation du déroulement d'une consultation, de l'anamnèse aux examens complémentaires en passant bien évidemment par un examen clinique complet. Les principales maladies ovines et caprines sont ensuite présentées. La thèse se poursuit par un rappel des conditions d'élevage d'un petit ruminant afin que chaque vétérinaire puisse prodiguer des conseils et recommandations au sujet de la réglementation, de l'alimentation, de l'hébergement ou des soins nécessaires. Enfin, afin d'encadrer au mieux la détention de ces espèces et de lutter contre les adoptions irréfléchies, il pourrait être intéressant d'élargir la réglementation mise en place en octobre 2022 pour la détention de certains animaux de compagnie. En effet, un certificat d'engagement et de connaissance est dorénavant indispensable avant l'acquisition d'un chat, chien, furet, lagomorphe ou équidé. Un modèle de certificat est ainsi proposé à destination des ovins et des caprins de compagnie.[-]
Les petits ruminants, à savoir les moutons et les chèvres, sont de plus en plus retrouvés dans les foyers français. Tout vétérinaire devrait être en mesure de s'adapter à cette nouvelle clientèle qui les considère comme de véritables animaux de compagnie. Ainsi, il peut être recommandé aux vétérinaires ruraux de revoir leur approche afin de s'adapter aux exigences de ces propriétaires. D'autre part, les vétérinaires exerçant en canine peuvent ...

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La dilatation-torsion de l'estomac est une urgence grave dont les principes de prise en charge médicale et chirurgicale doit être connus en fin de cursus vétérinaire pour tous les étudiants. La grande difficulté d'intégrer un apprentissage in vivo au cours de la formation a motivé la réalisation de ce travail afin de concevoir un atelier de simulation, limité à la manœuvre de réduction de la torsion de l'estomac pour entraîner les étudiants à la prise en charge chirurgicale de la dilatation- torsion d'estomac. Cet atelier est composé d'un questionnaire de prérequis autour de la prise en charge chirurgicale de la dilatation-torsion de l'estomac et de l'atelier de simulation sur un mannequin de chien, intégrant les organes clés à la compréhension de l'affection et du temps opératoire ciblé. Il est accompagné d'une fiche qui en détaille la méthodologie. Une étude préliminaire réalisée auprès d'étudiants ainsi que des vétérinaires diplômés de l'école a permis de mettre en évidence le potentiel pédagogique du mannequin, tout en soulignant les principaux points à considérer afin d'améliorer le modèle, tel que l'intégration d'un niveau de difficulté plus élevée. L'élaboration de cet atelier constitue une première étape dans la construction d'un parcours d'autoapprentissage sur la prise en charge chirurgicale de la dilatation-torsion de l'estomac. Pour la suite, il serait intéressant d'améliorer le modèle en adéquation avec les premiers retours obtenus. De plus, une étude cas/témoin avec un échantillon plus large de participants pourrait être réalisée, l'objectif étant de confirmer l'intérêt de cet atelier pour le transfert de compétences cliniques au cours de l'apprentissage des étudiants.[-]
La dilatation-torsion de l'estomac est une urgence grave dont les principes de prise en charge médicale et chirurgicale doit être connus en fin de cursus vétérinaire pour tous les étudiants. La grande difficulté d'intégrer un apprentissage in vivo au cours de la formation a motivé la réalisation de ce travail afin de concevoir un atelier de simulation, limité à la manœuvre de réduction de la torsion de l'estomac pour entraîner les étudiants à la ...

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Le triage des urgences ophtalmologiques en médecine humaine peut s'appuyer sur des grilles de triage (RESCUE et ISET) ainsi que recourir à une télérégulation s'avérant par ailleurs fiable et concordante avec un triage en personne. L'ophtalmologie vétérinaire ne dispose ni de grille de triage, ni d'outils de télérégulation, si bien que les vétérinaires généralistes réalisent le triage des urgences ophtalmologiques sur l'unique base de leurs connaissances. L'objectif de cette étude était d'apprécier l'intérêt de la télémédecine dans le triage et la prise en charge des urgences ophtalmologiques chez le chien et le chat. L'étude a été menée rétrospectivement sur 100 cas d'urgences ophtalmologiques télérégulés par mail par le service d'ophtalmologie du ChuvA-Ac entre 2021 et 2023. L'échantillon de l'étude comprenait 65 chiens et 35 chats. Les atteintes cornéennes étaient les affections oculaires les plus fréquentes (n = 57). Concernant les mails, une majorité était envoyée par des propriétaires (n = 89). Les vétérinaires référents (n = 11) envoyaient d'ailleurs significativement moins de photographies en pièces jointes de leurs mails par comparaison aux propriétaires (p = 0,03). Par contre, s'ils en envoyaient, elles étaient significativement de meilleure qualité (p = 0,04). Les mails fournissaient par ailleurs des éléments assez hétérogènes. Un quart des mails n'avait pas de photographies jointes (n = 25) et près de trois quarts des mails n'avaient pas de documents écrits joints (n = 77), or les pièces jointes étaient associées à un gain significatif de précision concernant la latéralité de l'affection oculaire (p < 0,01). Le niveau de précision (état général de l'animal, durée d'évolution et latéralité de l'affection oculaire) variait aussi significativement selon le nombre de caractères du corps du mail (p < 0,03). De plus, la sensibilité de détection d'une douleur oculaire par mail était plutôt bonne (Se = 79 %), même si la douleur oculaire avait tendance à être sous-estimée par mail par rapport à la douleur constatée en consultation. La sensibilité de détection d'une douleur oculaire était en outre significativement améliorée dans les mails avec des photographies jointes (p < 0,01). Enfin, la reproductibilité inter-opérateurs du télédiagnostic par mail était satisfaisante dès lors que le télédiagnostic était possible (K = 0,82). De même, la concordance du télédiagnostic par mail et du diagnostic établi en consultation était satisfaisante pour les quatre cliniciens d'ophtalmologie ayant participé à l'étude (K = 0,85 ± 0,08). Par contre, cette concordance diagnostique pouvait être non satisfaisante lorsque le diagnostic devait être précisé pour les atteintes cornéennes (K = 0,66 ± 0,16). La concordance diagnostique diminuait donc lorsque la précision souhaitée pour le télédiagnostic était plus élevée. Il existait également une association significative positive entre l'excellente qualité des photographies jointes et la concordance diagnostique (p = 0,01). Cette étude rétrospective constitue la première description de l'utilisation de la téléophtalmologie vétérinaire dans le cadre de la prise en charge des urgences ophtalmologiques. Elle en illustre les atouts, mais aussi les limites telles que le défaut de standardisation des informations communiquées par mail qui pourrait être évité grâce à l'utilisation de questionnaires types de recueil de données concernant l'urgence ophtalmologique. Cette étude exploratoire a ainsi permis d'ouvrir de nouvelles perspectives sur l'utilisation de la télémédecine en ophtalmologie vétérinaire. Une étude prospective de validation reste néanmoins nécessaire afin de confirmer la pertinence d'une télérégulation des urgences ophtalmologiques et du télédiagnostic d'affections oculaires par mail.[-]
Le triage des urgences ophtalmologiques en médecine humaine peut s'appuyer sur des grilles de triage (RESCUE et ISET) ainsi que recourir à une télérégulation s'avérant par ailleurs fiable et concordante avec un triage en personne. L'ophtalmologie vétérinaire ne dispose ni de grille de triage, ni d'outils de télérégulation, si bien que les vétérinaires généralistes réalisent le triage des urgences ophtalmologiques sur l'unique base de leurs ...

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L'hypercorticisme spontané est une dysendocrinie étudiée depuis plusieurs décennies chez l'espèce canine. Sa détection et le tableau clinique associé semblent toutefois similaires au fil du temps, avec des fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques non statistiquement différentes entre les études anciennes et récentes. La prise en charge médicale de la maladie de Cushing a quant à elle évolué tant dans le choix de la molécule, avec l'utilisation du trilostane à la place du mitotane, que dans la dose de trilostane employée qui a diminué et dans la fréquence d'administration passant de une à deux prises quotidiennes. Les chiens atteints de la maladie de Cushing et présentés au CHUVAC entre 2000 et 2021 ne montrent également aucune évolution dans les fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques. Le trilostane est davantage employé pour la période 2011-2021 que pour la période 2000-2010, et notre étude montre une diminution de la dose employée à l'initiation du traitement en passant de 5,42 mg/kg/j pour la période 2000-2010 à 1,85 mg/kg/j pour la période 2011-2021.[-]
L'hypercorticisme spontané est une dysendocrinie étudiée depuis plusieurs décennies chez l'espèce canine. Sa détection et le tableau clinique associé semblent toutefois similaires au fil du temps, avec des fréquences d'observation des signes cliniques et anomalies biologiques non statistiquement différentes entre les études anciennes et récentes. La prise en charge médicale de la maladie de Cushing a quant à elle évolué tant dans le choix de la ...

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Le hérisson d'Europe est un mammifère nocturne, insectivore, et hibernant. Son aire de répartition est large et il fréquente les milieux ruraux et urbains. Son mode de vie en fait une bonne espèce bioindicatrice des conditions environnementales. De nombreuses menaces pèsent sur l'espèce et beaucoup sont d'origine anthropique. Plusieurs études suggèrent une diminution de l'abondance des populations de hérissons en Europe, notamment en milieu rural. Cependant, les données disponibles à ce jour sont insuffisantes pour affirmer que cette tendance se manifeste partout en Europe, y compris en France. L'objectif de cette étude est d'analyser les données concernant l'admission et le devenir des 2134 hérissons accueillis au centre de soins l'Hirondelle dans le Rhône, entre 2018 et 2022. Les admissions sont fortement saisonnières et variables d'une année à l'autre, sans que ces variations ne soient toujours le reflet du niveau d'activité global du centre. Les animaux accueillis sont majoritairement des juvéniles. Le profil des hérissons recueillis a évolué au fil du temps, avec de plus en plus d'animaux malades et traumatisés et de moins en moins de juvéniles. La mortalité est forte dans les premiers jours d'hospitalisation. Environ la moitié des hérissons a été relâchée. L'âge, la saison d'accueil, l'état clinique à l'admission influencent la probabilité d'être relâché des animaux. Toutefois, de nombreuses informations sont manquantes ou imprécises concernant les données d'admission et leur collecte pourrait être perfectionnée dans la perspective de futures études et dans le but d'améliorer leur prise en charge.[-]
Le hérisson d'Europe est un mammifère nocturne, insectivore, et hibernant. Son aire de répartition est large et il fréquente les milieux ruraux et urbains. Son mode de vie en fait une bonne espèce bioindicatrice des conditions environnementales. De nombreuses menaces pèsent sur l'espèce et beaucoup sont d'origine anthropique. Plusieurs études suggèrent une diminution de l'abondance des populations de hérissons en Europe, notamment en milieu ...

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Internet est devenu l'outil technologique le plus utilisé au quotidien dans le monde, offrant une multitude de fonctionnalités essentielles. Cette étude révèle son rôle majeur dans le domaine de la formation, souvent sous-estimé. Les jeunes générations l'ont adopté pour rechercher des informations, partager des connaissances et organiser leur vie étudiante. Les réseaux sociaux ont amplifié cette tendance, créant de nouvelles formes d'apprentissage collaboratif et améliorant les échanges entre pairs et experts. Cette évolution est également observée parmi les professionnels de la médecine vétérinaire en France, qui cherchent des moyens spécialisés pour perfectionner leur formation. Dans le domaine complexe des intoxications, les vétérinaires français réclament des ressources de formation efficaces et précises. C'est dans ce contexte qu'une initiative a émergé : une plateforme dédiée aux toxiques. Cette plateforme propose des vidéos courtes et ciblées, répondant ainsi aux besoins spécifiques de cette communauté. Cette étude met en lumière l'impact d'internet sur l'éducation, tout en soulignant les opportunités qu'il offre pour des formations plus ciblées et accessibles.[-]
Internet est devenu l'outil technologique le plus utilisé au quotidien dans le monde, offrant une multitude de fonctionnalités essentielles. Cette étude révèle son rôle majeur dans le domaine de la formation, souvent sous-estimé. Les jeunes générations l'ont adopté pour rechercher des informations, partager des connaissances et organiser leur vie étudiante. Les réseaux sociaux ont amplifié cette tendance, créant de nouvelles formes d'ap...

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Les tumeurs sont des affections relativement rares chez le cheval, mais qui peuvent être particulièrement débilitantes et impacter la physiologie des différents systèmes, et notamment celle du système reproducteur. Les temps de l'examen clinique constituent, chez l'étalon sain comme chez l'étalon malade, la première étape de la préservation de l'intégrité de son appareil reproducteur, nécessaire à assurer sa fonction. Une importance majeure est donnée à l'évaluation visuelle et palpatoire des organes génitaux externe en tant qu'examen de première intention, ainsi qu'à la réalisation d'examens complémentaires ciblés tels que l'échographie et les analyses histologiques et cytologiques de prélèvements lésionnels. Au sein de l'appareil reproducteur, le pénis et le prépuce sont les structures les plus couramment touchées par les tumeurs, avec une large prépondérance du carcinome épidermoïde et du papillome, de la sarcoïde et du mélanome cutané. Un large panel de traitements peut alors être proposé avec des résultats variables. Les testicules, moins fréquemment impactées par les tumeurs. Elles le sont dans la majorité des cas par le séminome ou le leydigome. L'orchidectomie sera alors la prise en charge de choix. Enfin d'autres tumeurs, plus rares, peuvent concerner les glandes annexes de l'appareil reproducteur de l'étalon. Le vétérinaire praticien endosse le rôle de conseiller. Son devoir est de mettre en œuvre tous les outils diagnostiques dans un premier temps, puis de proposer tous les moyens thérapeutiques permettant d'optimiser la prise en charge de la tumeur.[-]
Les tumeurs sont des affections relativement rares chez le cheval, mais qui peuvent être particulièrement débilitantes et impacter la physiologie des différents systèmes, et notamment celle du système reproducteur. Les temps de l'examen clinique constituent, chez l'étalon sain comme chez l'étalon malade, la première étape de la préservation de l'intégrité de son appareil reproducteur, nécessaire à assurer sa fonction. Une importance majeure est ...

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Cette thèse explore l'engagement des vétérinaires français dans la prise en charge des animaux sauvages non captifs. Elle a enquêté auprès de cent vingt-six établissements de soins vétérinaires pour comprendre leurs motivations, les obstacles qu'ils rencontrent et les perspectives liées à leur implication dans le sauvetage des animaux sauvages en détresse. Les résultats montrent que les vétérinaires ayant répondu ont une forte volonté de s'engager dans cette cause. Cependant, des obstacles tels que le manque de connaissances, de compétences, et des contraintes logistiques et réglementaires sont identifiés. Pour encourager leur participation, l'étude suggère la création de formations spécifiques et la centralisation des ressources. En fin de compte, cette thèse souligne l'importance de renforcer la collaboration entre les vétérinaires et les centres de soins pour améliorer la prise en charge de la faune sauvage et contribuer à la préservation de la biodiversité.[-]
Cette thèse explore l'engagement des vétérinaires français dans la prise en charge des animaux sauvages non captifs. Elle a enquêté auprès de cent vingt-six établissements de soins vétérinaires pour comprendre leurs motivations, les obstacles qu'ils rencontrent et les perspectives liées à leur implication dans le sauvetage des animaux sauvages en détresse. Les résultats montrent que les vétérinaires ayant répondu ont une forte volonté de ...

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Avian Surgical Anatomy: Thoracic and Pelvic Limbs by Orosz, Ensley and Haynes, was published in 1992 and has served as a standard guide for those performing orthopedic surgery on birds. That foundational work is out of print but the need for a concise source of avian surgical anatomy has not changed. Our objective in this edition has been to recapture the musculoskeletal anatomy of the original work and to expand the scope to include comprehensive coverage for the clinical management of common fractures of the long bones of birds, primarily raptors. The procedures described have been honed over two decades of development and refinement by clinicians at the Raptor Center at the University of Minnesota. In addition, we have included details of the vascular anatomy of the limbs, further informing the surgeon and clinician. The class Aves includes thousands of species with countless anatomic variations. Although it is impractical to represent every species, birds commonly encountered in private practice and rehabilitation medicine including poultry, pigeons, parrots and birds of prey were chosen for this book. Details of the vascular anatomy of the limbs were obtained by high resolution digital computed tomography imaging of the appendicular skeleton of several diverse bird species. These images provide a unique comparative aspect that clinicians will find useful in conducting surgical procedures. This new information is intended to help the reader better understand skeletal and vascular anatomy, and thus improve interpretation, reporting of findings, treatment and teaching. This new information is intended to help the reader better understand relationships between musculoskeletal and vascular anatomy, helping the surgeon preserve vasculature during complex orthopedic procedures. It is our hope that it will enrich the interpretation, reporting of findings, development of treatment methods and the teaching of management procedures for orthopedic issues in birds. Since publication of the first edition, numerous advances have been made and published relative to avian orthopedics. In this edition, you will find comprehensive discussion of orthopedic conditions, and clinical management that represents best treatment options and current practices. The title of the book has been changed to reflect inclusion of that information. As our knowledge of avian anatomy, health and disease progresses, so does the need for improved resources that convey this valuable information. Over time the information contained herein will also need to be expanded and updated. The authors humbly submit this work to the veterinary and scientific community for review and scrutiny. We hope that it will contribute to the betterment of avian care[-]
Avian Surgical Anatomy: Thoracic and Pelvic Limbs by Orosz, Ensley and Haynes, was published in 1992 and has served as a standard guide for those performing orthopedic surgery on birds. That foundational work is out of print but the need for a concise source of avian surgical anatomy has not changed. Our objective in this edition has been to recapture the musculoskeletal anatomy of the original work and to expand the scope to include co...

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L'arthrose est une maladie dégénérative à l'origine d'une dégradation progressive de la qualité de vie et d'une douleur chronique associée. Sa prise en charge actuelle repose principalement sur l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, pouvant être à l'origine d'effets secondaires graves. Les traitements médicamenteux peuvent devenir inefficaces sur le long terme malgré une approche multimodale et la recherche de nouveaux traitements est en plein essor. L'ostéopathie est une médecine manuelle complémentaire de plus en plus utilisée en médecine humaine et vétérinaire. Ses effets sont néanmoins controversés en raison du nombre limité d'études scientifiques à son sujet. Afin d'évaluer l'effet de l'ostéopathie sur la douleur chronique arthrosique, nous avons élaboré une étude randomisée et en double aveugle. Quatorze chiens présentés à la clinique vétérinaire Artémis à Versailles entre mai et septembre 2023 ont été recrutés et répartis en deux groupes égaux, un traité par ostéopathie et l'autre placebo. Les propriétaires ont rempli le questionnaire du Canine Brief Pain Inventory (CBPI) pendant une première consultation, puis 7 à 10 jours plus tard lors d'une seconde consultation. Un score de douleur a été calculé à partir des réponses au questionnaire. L'échantillon étant de taille insuffisante, cette étude a été considérée comme préliminaire. Les résultats ne sont pas significatifs, mais semblent indiquer un possible effet positif de l'ostéopathie sur la douleur chronique. Les deux chiens ayant présenté une amélioration satisfaisante de leur score de douleur étaient dans le groupe traité par ostéopathie. Pour une majorité des chiens du groupe traité par ostéopathie, les propriétaires rapportaient une amélioration globale de la douleur de leur chien (57 %) par rapport aux chiens du groupe placebo (14 %). De futures études sur une durée plus longue et un effectif plus large doivent être menées pour confirmer les tendances observées.[-]
L'arthrose est une maladie dégénérative à l'origine d'une dégradation progressive de la qualité de vie et d'une douleur chronique associée. Sa prise en charge actuelle repose principalement sur l'utilisation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens, pouvant être à l'origine d'effets secondaires graves. Les traitements médicamenteux peuvent devenir inefficaces sur le long terme malgré une approche multimodale et la recherche de nouveaux traitements ...

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L'obstruction urétrale féline est une affection fréquente du chat engageant son pronostic à court terme. L'urolithiase, la cystite idiopathique et les obstructions par des bouchons muqueux sont responsables de la grande majorité des cas. Parmi les désordres occasionnés, l'azotémie et l'hyperkaliémie, rencontrées dans la plupart des cas, sont les plus délétères. Heureusement, le pronostic à court terme de cette affection est très bon lorsqu'une prise en charge précoce est réalisée mais le pronostic au long terme l'est moins en raison d'une fréquence élevée de récidive. Dans ce manuscrit, les étapes de la prise en charge des affections obstructives du bas appareil urinaire du chat sont détaillées. La première étape consiste en la correction des désordres électrolytiques (en particulier l'hyperkaliémie) et à la levée de l'obstruction urétrale, ainsi les caractéristiques du sondage vésical (tailles et types de sonde, durée de sondage). L'intérêt d'une cystocentèse et de rinçages vésicaux seront discutés. La seconde partie traite de l'efficacité des anti-inflammatoires, des analgésiques, des myorelaxants des muscles lisses (a1-antagonistes principalement) et des muscles striés ainsi que de l'administration de glycosaminoglycanes dans la prévention des récidives d'obstruction urétrale chez le chat. La dernière partie de ce manuscrit porte sur les niveaux de preuve des différents éléments précédemment cités. Une gradation des recommandations actuelles en fonction du niveau de preuve de ces dernières est proposée à l'aide d'une grille d'évaluation de la qualité des articles. Cette grille accorde un nombre de points en fonction du type d'étude et de critères qualitatifs. Il en ressort que ces études, notamment parce qu'elles incluent un trop faible nombre d'animaux, ne permettent que rarement d'atteindre des niveaux de preuve suffisants pour pouvoir établir un consensus concernant la prise en charge des obstructions urétrales du chat.[-]
L'obstruction urétrale féline est une affection fréquente du chat engageant son pronostic à court terme. L'urolithiase, la cystite idiopathique et les obstructions par des bouchons muqueux sont responsables de la grande majorité des cas. Parmi les désordres occasionnés, l'azotémie et l'hyperkaliémie, rencontrées dans la plupart des cas, sont les plus délétères. Heureusement, le pronostic à court terme de cette affection est très bon lorsqu'une ...

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L'agression est un comportement normal du chien, utilisé pour mettre à distance un autre protagoniste. Ce comportement peut être exprimé pour s'approprier une ressource ou pour repousser ce qui est perçu comme une menace. La visite chez le vétérinaire peut être perçue comme une menace par le chien. Par conséquent, les agressions canines sont fréquentes et il en résulte, chez les vétérinaires et leurs équipes, de nombreuses morsures dont les conséquences, notamment les infections, peuvent être grave. Un environnement et une approche adaptés, une meilleure compréhension des signaux émis, ainsi qu'une contention et des outils appropriés permettent de réduire la menace perçue, et ainsi, de limiter les agressions. L'habituation et le conditionnement sont deux outils importants pour améliorer l'état émotionnel du chien lors de sa visite. Lorsque, malgré ces précautions, les soins ne peuvent être réalisés sans danger ou sans compromettre le bien-être du chien, l'utilisation d'anxiolytiques ou d'une sédation sont préconisés. Les morsures de vétérinaires, étudiants vétérinaires et ASV, déjà étudiées à l'international, sont aussi constatées dans notre échantillon. De plus, selon les professionnels sondés, face à un chien agressif, la sécurité, la qualité des soins et le bien- être de l'animal sont diminués. Grâce aux témoignages de l'échantillon, des pistes sont proposées pour améliorer la prise en charge des chiens agressifs.[-]
L'agression est un comportement normal du chien, utilisé pour mettre à distance un autre protagoniste. Ce comportement peut être exprimé pour s'approprier une ressource ou pour repousser ce qui est perçu comme une menace. La visite chez le vétérinaire peut être perçue comme une menace par le chien. Par conséquent, les agressions canines sont fréquentes et il en résulte, chez les vétérinaires et leurs équipes, de nombreuses morsures dont les ...

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Le diabète sucré canin est une maladie endocrinienne au diagnostic simple dont l'équilibrage peut s'avérer complexe. Lors d'une réponse insatisfaisante à l'insulinothérapie, différentes causes interviennent. Un défaut d'observance ou de conservation et d'administration de l'insuline par le propriétaire, une insuline inadaptée (par sa dose ou sa cinétique) ou encore une maladie concomitante sont autant de causes à rechercher par le clinicien. Notre étude rétrospective a permis de décrire 56 cas de chiens diabétiques non stabilisés présentés en seconde intention dans une structure hospitalière vétérinaire entre 2011 et 2021. Les chiens présentés étaient majoritairement des chiens femelles stérilisées de 9 ans d'âge médian. Les signes cliniques à la présentation étaient majoritairement des signes d'hyperglycémie chronique persistante (polyuro-polydipsie, amaigrissement, cataracte) et les chiens étaient majoritairement présentés au service de médecine interne (87%). Par ailleurs, une fréquence élevée (36%) d'antécédents de nature dermatologiques était observée. Ces affections étant souvent associées à l'utilisation d'anti-inflammatoires stéroïdiens pouvant être à l'origine d'une insulino-résistance, ces observations marquent une tendance qu'il serait intéressant d'étudier dans un second temps. Le traitement le plus utilisé au moment de la présentation était le Caninsulin® (78%) à une dose médiane de 0,58UI/kg/injection. La prise en charge par les cliniciens du ChuvA incluait le plus souvent une mesure de glycémie (86%), une analyse urinaire (93%) et une mesure des fructosamines (62%). Une courbe de glycémie était également proposée chez la majorité des chiens (68%). Les examens complémentaires réalisés de manière non standardisée chez les patients ont permis le diagnostic d'une pancréatite (25%), d'une tumeur (20%), d'un hyperadrénocorticisme (11%), d'une infection du tractus urinaire (12%) et d'une maladie rénale chronique (12%). Ces résultats ne tenaient compte que des examens réalisés lors la première consultation et sous-estimaient très probablement la fréquence réelle de ces affections. D'autre part, les courbes de glycémies révélaient le plus souvent un sous-dosage (21%) entrainant l'augmentation de la dose d'insuline chez ces patients. Enfin, le suivi de 16 chiens sur une durée de 4 semaines ne montrait pas d'amélioration voire une dégradation chez près de la moitié des cas.[-]
Le diabète sucré canin est une maladie endocrinienne au diagnostic simple dont l'équilibrage peut s'avérer complexe. Lors d'une réponse insatisfaisante à l'insulinothérapie, différentes causes interviennent. Un défaut d'observance ou de conservation et d'administration de l'insuline par le propriétaire, une insuline inadaptée (par sa dose ou sa cinétique) ou encore une maladie concomitante sont autant de causes à rechercher par le clinicien. ...

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Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités comportementales et anatomiques du cochon d'Inde, une première partie bibliographique décrit les fractures des os longs d'un point de vue général et dans le cas particulier de cet animal. A partir d'articles scientifiques, une synthèse bibliographique a été effectuée, décrivant l'ensemble des techniques de prise en charge des fractures des os longs du cochon d'Inde tout en insistant sur les spécificités de la prise en charge péri-opératoire. Enfin, une étude rétrospective a été réalisée prenant en compte 19 cas de cochons d'Inde pris en charge pour des fractures des os longs dans trois CHV d'Ile de France, entre août 2003 et juillet 2021. Cette étude constitue un recueil de cas de fractures chez le cochon d'Inde, dont la moitié a été prise en charge par traitement conservateur et l'autre par traitement chirurgical. Du fait d'un manque d'information sur le suivi des patients, cette étude n'a pas permis de comparer l'efficacité respective de ces deux approches thérapeutiques. Elle a néanmoins permis de mettre en évidence deux nouvelles pratiques par rapport aux autres études de cas de fractures chez le cochon d'Inde, disponibles dans la littérature scientifique : la pose d'un enclouage centro-médullaire sur des fractures ulnaires et l'anesthésie loco-régionale du plexus brachial.[-]
Le cochon d'Inde est un animal de compagnie qui s'agite beaucoup lorsqu'il est stressé. Il est donc sujet aux erreurs de manipulation et aux chutes, qui sont parfois causes de fracture. La prise en charge de ce type de traumatisme constitue un défi à part entière en médecine vétérinaire tant pour l'accueil et l'analgésie de l'animal traumatisé que d'un point de vue orthopédique, chirurgical et anesthésique. Après avoir rappelé les particularités ...

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Chez les oiseaux, les symptômes étant généralement cachés par l'animal ou frustes, la gravité de la présentation clinique est toujours plus importante que chez les carnivores domestiques. Une décompensation est donc possible à tout instant. Les situations urgentes proviennent généralement d'un traumatisme, d'une intoxication, ou d'une atteinte chronique à évolution sous-jacente, compensée par l'oiseau jusqu'au moment de la présentation. Les situations d'urgence vitale chez les oiseaux nécessitent une prise en charge spécifique adaptée à leurs particularités anatomiques et aux dosages souvent très différents de ceux décrits chez les mammifères. L'objectif de ce travail bibliographique est de fournir aux praticiens et praticiennes vétérinaires les clés nécessaires à la prise en charge d'un oiseau en situation d'urgence. La première partie de cette thèse concerne les urgences fréquentes regroupées par appareil (notamment respiratoire, digestif, uro-génital et nerveux). Pour chaque situation, la présentation clinique, le diagnostic différentiel et la prise en charge spécifique à cette situation sont détaillées. La deuxième partie s'articule autour de deux catégories fréquentes de motifs d'appels : les traumatismes et les intoxications. Enfin, la troisième partie regroupe les méthodes de triage et de stabilisation initiale, avec la mise en place de traitements de support. La prise en charge d'un arrêt cardio-respiratoire par réanimation cardio-pulmonaire est abordée dans cette troisième partie.[-]
Chez les oiseaux, les symptômes étant généralement cachés par l'animal ou frustes, la gravité de la présentation clinique est toujours plus importante que chez les carnivores domestiques. Une décompensation est donc possible à tout instant. Les situations urgentes proviennent généralement d'un traumatisme, d'une intoxication, ou d'une atteinte chronique à évolution sous-jacente, compensée par l'oiseau jusqu'au moment de la présentation. Les ...

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Les émulsions lipidiques intraveineuses (ELI) représentent un antidote potentiel des intoxications impliquant des molécules lipophiles. Leur efficacité est sujette à controverse, les publications sur le sujet en médecine humaine et vétérinaire aboutissant à des résultats parfois contradictoires. Nous avons souhaité évaluer cette efficacité en étudiant 49 chiens et chats intoxiqués reçus au service des urgences d'Oniris et ayant reçu des ELI en plus des traitements classiques. Nos résultats montrent que les ELI permettent une amélioration clnique au cours de leur administration. En revanche, nous n'avons pas mis en évidence de lien entre les ELI, la durée d'hospitalisation et le taux de survie ou encore le taux de séquelles. Les recherches doivent se poursuivre afin d'augmenter le niveau de preuve sur l'efficacité des ELI dans le traitement des intoxications du chien et du chat.[-]
Les émulsions lipidiques intraveineuses (ELI) représentent un antidote potentiel des intoxications impliquant des molécules lipophiles. Leur efficacité est sujette à controverse, les publications sur le sujet en médecine humaine et vétérinaire aboutissant à des résultats parfois contradictoires. Nous avons souhaité évaluer cette efficacité en étudiant 49 chiens et chats intoxiqués reçus au service des urgences d'Oniris et ayant reçu des ELI en ...

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Le syndrome coryza du chat est dû à divers agents pathogènes (herpèsvirus FHV-1, calicivirus FVC, Chlamydia felis et Bordetella Bronchiseptica) entrainant des signes cliniques respiratoires, oculaires et buccaux. Sa prévalence est très élevée au sein des collectivités, telles que les refuges. Dans ces structures, où le taux de renouvellement est important, la prévention de cette maladie contagieuse et la prise en charge des animaux atteints sont primordiales. Une enquête concernant les refuges de la Société Protectrice des animaux et des refuges indépendants a été réalisée. Un état des lieux de la situation du coryza et des principales mesures de prévention et de prise en charge des animaux affectés a été effectué. D'après cette étude, le coryza a une forte prévalence et touche principalement les chatons de moins de 2 mois et les chats en quarantaine. Les mesures de prise en charge des individus atteints sont satisfaisantes. Cependant, concernant la prévention de ce syndrome, quelques protocoles devraient être corrigés notamment la vaccination et le placement en quarantaine des nouveaux arrivants. Toutefois, les principales mesures de prévention sont globalement bien menées.[-]
Le syndrome coryza du chat est dû à divers agents pathogènes (herpèsvirus FHV-1, calicivirus FVC, Chlamydia felis et Bordetella Bronchiseptica) entrainant des signes cliniques respiratoires, oculaires et buccaux. Sa prévalence est très élevée au sein des collectivités, telles que les refuges. Dans ces structures, où le taux de renouvellement est important, la prévention de cette maladie contagieuse et la prise en charge des animaux atteints sont ...

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La gestion de la douleur est un aspect fondamental de la prise en charge peropératoire des lapins car elle permet à la fois de limiter le risque de complications mais également un rétablissement et un retour à l'état normal plus rapides. Cependant, la médicalisation des lapins de compagnie étant un phénomène plutôt récent, la formation ainsi que l'exposition aux cas des vétérinaires est relativement disparate. Par conséquent, la prise en charge analgésique peut être sujette à des difficultés. Une étude récente a recensé ces difficultés chez les vétérinaires anglo-saxons mais aucune étude n'a encore été réalisée sur le sujet en France. Ce travail représente une base de données inédite qui dresse un état des lieux de la pratique vétérinaire française concernant l'analgésie des lapins en contexte peropératoire. Les difficultés rencontrées par les vétérinaires sont ainsi mises en évidence, ce qui pourrait permettre d'envisager des pistes d'amélioration, afin de mieux cerner les besoins des praticiens en matière de reconnaissance et de traitement de la douleur des lapins.[-]
La gestion de la douleur est un aspect fondamental de la prise en charge peropératoire des lapins car elle permet à la fois de limiter le risque de complications mais également un rétablissement et un retour à l'état normal plus rapides. Cependant, la médicalisation des lapins de compagnie étant un phénomène plutôt récent, la formation ainsi que l'exposition aux cas des vétérinaires est relativement disparate. Par conséquent, la prise en charge ...

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L'obésité est définie comme une accumulation anormale de graisse dans l'organisme et résulte le plus souvent d'un déséquilibre de la balance énergétique. C'est une maladie bien connue chez l'Homme, qui touche également les animaux de compagnie tels que le chien et le cheval. Dans ces trois espèces, sa prévalence est en constante augmentation. Cette affection provoque de nombreuses conséquences néfastes sur l'organisme : complications ostéoarticulaires, cardiovasculaires, tendineuses et ligamentaires, métaboliques, mais aussi endocriniennes. La prise en charge de l'obésité s'articule alors autour de trois axes que sont une prise en charge nutritionnelle, la mise en place d'une activité physique régulière et un traitement psycho-comportemental si nécessaire. La balnéothérapie, grâce aux nombreuses propriétés physiques de l'eau, pourrait être un outil intéressant dans le traitement de l'obésité, notamment grâce à une remise en mouvement précoce et progressive. L'intérêt des propriétaires de chevaux pour cette méthode est évalué via un questionnaire en ligne.[-]
L'obésité est définie comme une accumulation anormale de graisse dans l'organisme et résulte le plus souvent d'un déséquilibre de la balance énergétique. C'est une maladie bien connue chez l'Homme, qui touche également les animaux de compagnie tels que le chien et le cheval. Dans ces trois espèces, sa prévalence est en constante augmentation. Cette affection provoque de nombreuses conséquences néfastes sur l'organisme : complications os...

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Le traitement des fentes palatines d'origine traumatique est peu décrit dans la littérature, et la majorité des descriptions rapportent une prise en charge chirurgicale. Au Centre Hospitalier Universitaire des Animaux de compagnie à VetAgro Sup (69), les fentes palatines sont principalement traitées de manière conservatrice. Le constat d'un faible taux de complications a été à l'origine d'un questionnement sur l'intérêt de la chirurgie pour traiter cette lésion, donnant lieu à notre étude développée ici. Nous avons donc procédé à une synthèse bibliographique sur les différentes mécanismes et situations pouvant mener à l'apparition d'une fente palatine, ainsi qu'à son traitement et le pronostic de cette lésion. Nous avons ensuite conduit une étude rétrospective sur les 100 cas présentés au Service des Urgences et Soins Intensifs (SIAMU) entre janvier 2010 et mai 2022. Le jeune chat mâle entier âgé de moins de quatre ans a été le type d'individu le plus représenté, et le traumatisme majoritaire a été la chute d'une hauteur inférieure à quatre étages. Nous avons également montré que l'évaluation de la fente palatine et de l'ensemble de ses lésions « annexes » sont à considérer pour le choix du plan thérapeutique le plus adapté. Enfin, la persistance d'une anorexie prolongée ainsi qu'une mauvaise évolution de la cicatrisation doivent suggérer la réorientation vers une démarche plus interventionnelle, en notant que plus ce délai de décision est important, plus le risque de complications est majoré. Le pronostic des animaux a ensuite été comparé à la littérature, ne montrant pas de différence avec les données concernant la prise en charge chirurgicale.[-]
Le traitement des fentes palatines d'origine traumatique est peu décrit dans la littérature, et la majorité des descriptions rapportent une prise en charge chirurgicale. Au Centre Hospitalier Universitaire des Animaux de compagnie à VetAgro Sup (69), les fentes palatines sont principalement traitées de manière conservatrice. Le constat d'un faible taux de complications a été à l'origine d'un questionnement sur l'intérêt de la chirurgie pour ...

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Mise à disposition de documents facilitant l'abord de la consultation, du suivi et des recommandations nutritionnelles en pratique vétérinaire générale. Ont été élaborés : un formulaire d'historique nutritionnel, un formulaire de consultation, des documents permettant le suivi de l'exercice et de la perte de poids du patient obèse, des courbes de croissance pour le suivi des chiots, une feuille de suivi nutritionnel de l'animal sénior, de l'animal hospitalisé ainsi que des supports facilitant la mise en place de recommandations nutritionnelles. La démarche ainsi que la pertinence de l'élaboration de tels documents est abordée dans le manuscrit.[-]
Mise à disposition de documents facilitant l'abord de la consultation, du suivi et des recommandations nutritionnelles en pratique vétérinaire générale. Ont été élaborés : un formulaire d'historique nutritionnel, un formulaire de consultation, des documents permettant le suivi de l'exercice et de la perte de poids du patient obèse, des courbes de croissance pour le suivi des chiots, une feuille de suivi nutritionnel de l'animal sénior, de ...

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Après les fascicules « Comprendre » et « Évaluer », cet ouvrage présente des pistes pour améliorer le bien-être des animaux d'élevage, focalisées sur l'environnement physique et social des animaux, la relation humain-animal, la prise en charge de la douleur, ainsi que la bientraitance dans le transport et l'abattage. Certains leviers d'amélioration sont particulièrement distingués, tels que la création de relations positives, fondées sur une meilleure compréhension des animaux, la gestion intégrée de leur santé et la valorisation de solutions pour supprimer, substituer ou soulager des pratiques douloureuses. La mise en place d'actions doit bien sûr être adaptée à chaque élevage, et respecter aussi le bien-être de l'éleveur. Cette démarche s'inscrit dans le concept de one welfare, où les bénéfices pour l'animal, pour l'humain et pour l'environnement sont étroitement liés. Cet ouvrage s'adresse aux étudiants et aux professionnels des filières agricole et vétérinaire, ainsi qu'à tout citoyen s'intéressant au bien-être des animaux d'élevage. Le Laurier 2021 Impact de la recherche a récompensé le collectif INRAE « Bien-être animal », chercheurs et chercheuses en éthologie, physiologie, neurobiologie et génétique, dont sont issus une partie des auteurs et des contributeurs de cet ouvrage.[-]
Après les fascicules « Comprendre » et « Évaluer », cet ouvrage présente des pistes pour améliorer le bien-être des animaux d'élevage, focalisées sur l'environnement physique et social des animaux, la relation humain-animal, la prise en charge de la douleur, ainsi que la bientraitance dans le transport et l'abattage. Certains leviers d'amélioration sont particulièrement distingués, tels que la création de relations positives, fondées sur une ...

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Les fractures du lapin représentent jusqu'à 1,2% des consultations dans cette espèce.Leur pronostic est de fait moins étudié que pour les carnivores domestiques et n'a jusqu'à présent fait l'objet que de deux études rétrospectives.Les objectifs de l'étude étaient de fournir les données descriptives des lapins atteints de fractures appendiculaires et d'en préciser le pronostic selon la méthode de prise en charge.Cette étude rétrospective comporte 86 lapins vus entre 2012 et 2021 à l'ENVA pour une fracture appendiculaire. Une première partie descriptive détaille l'épidémiologie des cas de fractures prises en charge : âge, race, sexe, poids, mode de vie, cause, localisation, délai de prise en charge, autres lésions, état général. Une seconde partie concernant 30 lapins étudie leur récupération fonctionnelle évaluée par l'examen clinique présent dans le dossier médical ainsi que leur cicatrisation par la relecture d'une radiographie réalisée au minimum un mois après leur prise en charge, chirurgicale ou non. Dans notre étude, les fractures appendiculaires concernaient principalement des animaux jeunes, et étaient souvent complexes. La mortalité, notamment anesthésique, était importante bien que ces fractures aient résulté de traumatismes à faible énergie. La stabilisation initiale des lapins apparait ainsi comme importante, et ce d'autant plus que 12,8 % des lapins admis présentaient une atteinte de l'état général. Une récupération fonctionnelle complète a été observée dans73 % des cas, conformément à ce que l'on retrouve dans la littérature dans cette espèce. Les complications après prise en charge chirurgicale ont été fréquentes avec un taux de complication à un mois de 30,1 %, qui concernaient principalement les techniques de fixateur externe et de Tie in (les plus employées). Les cas pris en charge médicalement ou par amputation ont eu de bons résultats mais étaient peu nombreux. Le faible effectif d'animaux inclus, la durée de suivi limitée et l'absence de système de notation de la récupération fonctionnelle, principales limites de cette étude, nous empêchent pour l'instant de formuler des recommandations concernant la prise en charge thérapeutique dans un contexte d'une fracture appendiculaire chez le lapin en particulier en ce qui concerne le choix de la technique la plus adaptée.[-]
Les fractures du lapin représentent jusqu'à 1,2% des consultations dans cette espèce.Leur pronostic est de fait moins étudié que pour les carnivores domestiques et n'a jusqu'à présent fait l'objet que de deux études rétrospectives.Les objectifs de l'étude étaient de fournir les données descriptives des lapins atteints de fractures appendiculaires et d'en préciser le pronostic selon la méthode de prise en charge.Cette étude rétrospective comporte ...

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La furonculose anale est une maladie caractérisée par la présence de trajets fistuleux et d'ulcérations de la peau et du tissu sous-cutané situé autour de l'anus, qui touche principalement les Bergers Allemands. L'étiologie de cette maladie est encore mal connue mais une composante auto-immune est aujourd'hui admise. Différents traitements chirurgicaux et médicaux ont été décrits, mais leur efficacité était variable et les complications et récidives étaient fréquentes. L'objectif de notre travail était d'étudier la prise en charge de la furonculose anale par un traitement d'induction à la ciclosporine suivi d'un traitement chirurgical associant fistulectomie, cryptectomie, sacculectomie et plastie recto-cutanée, tel qu'il a été décrit par Klein et al. en 2006. Pour ce faire, nous avons mené une étude rétrospective sur 15 chiens atteints de furonculose anale ayant expérimenté ce traitement combiné au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort. Le suivi des chiens a été réalisé au moyen des comptes-rendus des consultations post-opératoires et à l'aide d'un questionnaire envoyé aux propriétaires des chiens. Les complications post-opératoires observées étaient pour la plupart mineures : déhiscence de plaie mineure dans 53 % des cas, épisodes de défécation inappropriée dans 13 % des cas. Les complications majeures étaient rares : déhiscence de plaie nécessitant une reprise chirurgicale dans 7 % des cas, incontinence fécale et sténose anale non observées. Une récidive des lésions a été observée dans un cas sur deux lorsque le traitement d'induction n'était pas suivi d'un traitement chirurgical, et dans 12 % des cas après un traitement combiné.La durée importante du traitement immunosuppresseur et l'impossibilité à réséquer la totalité des tissus inflammatoires semblaient être des facteurs responsables de l'apparition de récidives, mais les études d'associations réalisées n'ont pas permis d'observer d'associations significatives dans notre échantillon. Le faible effectif et la durée de suivi limitée sont des limites importantes de notre étude.[-]
La furonculose anale est une maladie caractérisée par la présence de trajets fistuleux et d'ulcérations de la peau et du tissu sous-cutané situé autour de l'anus, qui touche principalement les Bergers Allemands. L'étiologie de cette maladie est encore mal connue mais une composante auto-immune est aujourd'hui admise. Différents traitements chirurgicaux et médicaux ont été décrits, mais leur efficacité était variable et les complications et ...

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Ce travail s'inscrit dans un projet regroupant plusieurs thèses d'exercice vétérinaire qui traitent de la fin de vie de l'animal de compagnie. Il vise à ouvrir la réflexion sur les soins palliatifs à destination des chiens et des chats en France. Il se base sur les documents bibliographiques disponibles à ce sujet mais également sur des entretiens réalisés avec des professionnels en lien avec ce domaine. Les soins palliatifs à destination des chiens et des chats en France sont encore peu étudiés. Ils sont cependant fréquemment appliqués dans les structures vétérinaires sans être identifiés en tant que tels et offrent des opportunités vis-à-vis de la prise en charge des maladies qui limitent le pronostic vital des animaux de compagnie. Dans le cadre de ce travail, les soins palliatifs vétérinaires à destination des chiens et chats sont définis comme étant un accompagnement pour un chien ou un chat atteint d'une maladie mettant en jeu son pronostic vital, qui vise à prendre en charge de manière globale la souffrance et les signes cliniques sans pour autant guérir le patient de la maladie en question, en priorisant sa qualité de vie. Ils peuvent être dispensés à n'importe quel stade de la maladie et comprennent un accompagnement et un soutien émotionnel des propriétaires de l'animal. Les soins palliatifs à destination des chiens et des chats comprennent non seulement une prise en charge médicale de l'animal mais aussi un accompagnement de celui-ci et de ses propriétaires, avec pour objectif central la qualité de vie de l'animal.[-]
Ce travail s'inscrit dans un projet regroupant plusieurs thèses d'exercice vétérinaire qui traitent de la fin de vie de l'animal de compagnie. Il vise à ouvrir la réflexion sur les soins palliatifs à destination des chiens et des chats en France. Il se base sur les documents bibliographiques disponibles à ce sujet mais également sur des entretiens réalisés avec des professionnels en lien avec ce domaine. Les soins palliatifs à destination des ...

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Designed as a practical resource, Clinical Guide to Fish Medicine provides an evidence-based approach to the veterinary care of fish. This guide-written and edited by experts in the field-contains essential information on husbandry, diagnostics, and case management of bony and cartilaginous fish.
This important resource:
Provides clinically relevant information on topics such as anatomy, water quality, life-support systems, nutrition, behavioral training, clinical examination, clinical pathology, diagnostic imaging, necropsy techniques, anesthesia and analgesia, surgery, medical treatment, and transport
Describes common presenting problems of fish, including possible differentials and practical approaches
Reviews key information on non-infectious and infectious diseases of fish in a concise format that is easily accessible in a clinical setting
Written for veterinarians, biologists, technicians, specialists, and students, Clinical Guide to Fish Medicine offers a comprehensive review of veterinary medicine of fish.[-]
Designed as a practical resource, Clinical Guide to Fish Medicine provides an evidence-based approach to the veterinary care of fish. This guide-written and edited by experts in the field-contains essential information on husbandry, diagnostics, and case management of bony and cartilaginous fish.
This important resource:
Provides clinically relevant information on topics such as anatomy, water quality, life-support systems, nutrition, ...

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A clinical quick-reference guide to managing toxicants in horses.
Blackwell's Five-Minute Veterinary Consult Clinical Companion: Equine Toxicology provides crucial information for managing toxicants in horses in a quick-reference format. The book begins with foundational information on clinical toxicology, including emergency management, antidotes, sample analysis, and necropsy. It then discusses specific toxicant categories and toxicants of concern, organized alphabetically for fast access in emergency situations.
The identically formatted topics offer key information relevant to managing toxicants in horses, plus clinical photographs depicting plants and drugs to help clinicians and students identify toxicants. A companion website presents the figures from the book for download in PowerPoint.
This book is the ideal clinical resource for busy practitioners seeking immediate access to life-saving information in time-sensitive emergencies. It places all the information the reader needs to manage toxicants in horses at their fingertips, with full color images and concise bullet points.
Blackwell's Five-Minute Veterinary Consult Clinical Companion: Equine Toxicology features:
A thorough introduction to emergency management of the poisoned equine patient, as well as general principles of toxicants, antidotes, lab sample analysis, and necropsy analysis
An exploration of specific toxins and toxicants, including illicit and pharmaceutical drugs, envenomations, insecticides, herbicides, and farm chemicals
Practical discussions of metal, mycotoxin, rodenticide, and plant toxicology in horses
In-depth discussion of intoxication by poisonous trees and miscellaneous toxins, like carbon monoxide, nitrates, nitrites, salt, smoke, and tropical materials
Blackwell's Five-Minute Veterinary Consult Clinical Companion: Equine Toxicology is an indispensable reference for veterinary clinicians and students dealing with equine medicine, as well as for anyone seeking concise and comprehensive information about equine toxicology.[-]
A clinical quick-reference guide to managing toxicants in horses.
Blackwell's Five-Minute Veterinary Consult Clinical Companion: Equine Toxicology provides crucial information for managing toxicants in horses in a quick-reference format. The book begins with foundational information on clinical toxicology, including emergency management, antidotes, sample analysis, and necropsy. It then discusses specific toxicant categories and toxicants of ...

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1/ Principes généraux pour une prise en charge optimale en cancérologie - 2/ Dictionnaire des tumeurs du chat et du chien - 3/ Dictionnaire pratique de chimiothérapie et agents associés - 4/ Prise en charge des urgences des animaux suivis en oncologie

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Les oiseaux juvéniles représentent près de la moitié des animaux admis au Centre de Soins de l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse. Leur prise en charge nécessite une zootechnie particulière et des protocoles spécifiques, différents de ceux appliqués pour les adultes. Le but de cette thèse est de répertorier, pour certaines des espèces les plus communément admises, les connaissances sur la biologie du développement d'un oiseau juvénile jusqu'à son indépendance, afin d'adapter au mieux sa prise en charge en centre de soins. Les principales affections rencontrées sur des oiseaux juvéniles y sont également décrites. Systématiser la prise en charge d'oiseaux juvénile permet un gain de temps et d'efficacité considérable. Ainsi, cette thèse propose des fiches protocoles par espèce récapitulant la croissance physiologique de l'animal et associant un plan d'alimentation et des suggestions de conditions d'hébergements.[-]
Les oiseaux juvéniles représentent près de la moitié des animaux admis au Centre de Soins de l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse. Leur prise en charge nécessite une zootechnie particulière et des protocoles spécifiques, différents de ceux appliqués pour les adultes. Le but de cette thèse est de répertorier, pour certaines des espèces les plus communément admises, les connaissances sur la biologie du développement d'un oiseau juvénile ...

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Les courses d'endurance équestre imposent un effort prolongé sur plusieurs heures à vitesse soutenue. Environ 10% des participants aux épreuves de niveau national développent des troubles métaboliques pendant ou après la compétition et peuvent nécessiter une prise en charge vétérinaire. Il existe peu de données pour orienter les praticiens sur la conduite à tenir dans ces circonstances.Cette étude a pour objectif de faire le point sur les données de la littérature disponibles sur le sujet d'une part, et sur les pratiques de terrain d'autre part. La synthèse bibliographique montre que la chaleur, la sudation et le travail musculaire fourni lors de l'exercice d'endurance sont des sources de déséquilibres métaboliques dont les manifestations sont variées et s'incarnent au travers de différentes affections métaboliques spécifiques. Sur ces bases, un questionnaire a été élaboré et proposé aux vétérinaires officiant en endurance en France. Les 29 retours obtenus ont permis de recenser les pratiques usuelles pour chaque affection spécifique. Malgré des variations selon les expériences de chacun, les résultats révèlent une cohérence globale avec les informations relevées dans la littérature. La synthèse des résultats du questionnaire et des données la littérature, a conduit à proposer un arbre décisionnel sur l'urgence de la prise en charge d'un cas métabolique, ainsi que des fiches recensant les pratiques habituelles par affection. Elles devraient aider les vétérinaires peu expérimentés en endurance à améliorer la prise en charge et le bien être des chevaux d'endurance.[-]
Les courses d'endurance équestre imposent un effort prolongé sur plusieurs heures à vitesse soutenue. Environ 10% des participants aux épreuves de niveau national développent des troubles métaboliques pendant ou après la compétition et peuvent nécessiter une prise en charge vétérinaire. Il existe peu de données pour orienter les praticiens sur la conduite à tenir dans ces circonstances.Cette étude a pour objectif de faire le point sur les ...

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Le CHUV-FS (Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire Faune Sauvage de l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort) est une plateforme clinique de l'EnvA dédiée au recueil des animaux de la faune sauvage autochtone en détresse dans le but de les soigner puis de les réhabiliter afin de les préparer à retourner dans le milieu naturel dans les meilleures conditions possibles. Ce centre de soins a également une vocation de formation à destination des intervenants bénévoles d'origine très diverses qui s'y investissent. Parmi ces derniers, une centaine d'élèves vétérinaires en moyenne suit chaque année l'enseignement facultatif dispensé par cette structure. Cette thèse a pour objet de créer des supports pédagogiques afin de faciliter leurs apprentissages. Ils doivent les aider à développer leurs compétences en matière de prise en charge des principales espèces sauvages hébergées par le CHUV-FS. Pour cela une enquête a été menée auprès des étudiants pour recueillir leur opinion sur l'organisation actuelle de la plateforme et la formation qui y est dispensée et tester des propositions d'évolution. Plusieurs supports ont ainsi été réalisés : d'une part une trame de cas cliniques qui n'a pas pu être mise en place à cause de la crise sanitaire (COVID-19) laquelle a interdit puis limité fortement l'accès au centre de soins aux étudiants depuis mars 2020 ; d'autre part des fiches sur les principales espèces rencontrées au centre et les principales affections ont été créées comme supports individuels d'apprentissage pour les personnes accédant au CHUV-FS pour y pratiquer des soins.[-]
Le CHUV-FS (Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire Faune Sauvage de l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort) est une plateforme clinique de l'EnvA dédiée au recueil des animaux de la faune sauvage autochtone en détresse dans le but de les soigner puis de les réhabiliter afin de les préparer à retourner dans le milieu naturel dans les meilleures conditions possibles. Ce centre de soins a également une vocation de formation à destination des ...

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Suite à un rapport d'un organisme de contrôle européen en 2015 dénonçant des irrégularités concernant l'aptitude au transport de bovins accidentés présentés à l'abattoir et dans le cadre de la politique « Stratégie de la France pour le bien-être des animaux 2016-2020 », une mise à jour des certificats vétérinaires d'information accompagnant les animaux accidentés à l'abattoir a été réalisée en juin 2018. Cette mise à jour ré-affirmait la nécessité de l'évaluation de l'aptitude au transport afin de choisir la gestion de fin de vie adaptée au bovin accidenté présenté : transport de l'animal jusqu'à un abattoir, réalisation d'un abattage en dehors de l'abattoir puis transport de la carcasse de l'animal à l'abattoir ou euthanasie de l'animal. Elle a eu pour conséquence une réduction du nombre de bovins accidentés reçus dans les abattoirs et une augmentation du nombre de bovins accidentés abattus en dehors des abattoirs. Ces données ont été observées au cours de l'année 2019. Cependant, l'augmentation des abattages en ferme de bovins accidentés n'a pas compensé la diminution de l'effectif total de bovins accidentés amenés dans les abattoirs français. La mise à jour des CVI a également permis d'améliorer la condition des bovins accidentés amenés à l'abattoir. L'actualisation des CVI a donc eu l'impact escompté : réduire le transport de bovins non transportables jusque dans les abattoirs. Cependant, le manque d'alternative au transport des bovins accidentés dans les abattoirs, et notamment le sous-développement de l'abattage hors de l'abattoir des animaux accidentés, a inexorablement conduit à une augmentation de l'euthanasie des bovins accidentés. Ceci est problématique puisqu'il s'agit d'une perte financière pour les éleveurs bovins français mais également parce que cela amène à une problématique de gestion des ressources alimentaires. En effet, des bovins accidentés ont été euthanasiés alors que leur carcasse aurait pu être consommable. Les vétérinaires praticiens interrogés par le biais d'un questionnaire au sujet du sous-développement de l'abattage en ferme ont pointé du doigt la problématique du manque d'abattoirs acceptant de recevoir ou de commercialiser les carcasses de bovins issus d'abattage en dehors d'un abattoir. Ils ont également souligné le manque d'opérateurs de mise à mort formés et disponibles. Il faut donc travailler aujourd'hui au développement des alternatives au transport des bovins accidentés en favorisant le développement de l'abattage des bovins en dehors de l'abattoir.[-]
Suite à un rapport d'un organisme de contrôle européen en 2015 dénonçant des irrégularités concernant l'aptitude au transport de bovins accidentés présentés à l'abattoir et dans le cadre de la politique « Stratégie de la France pour le bien-être des animaux 2016-2020 », une mise à jour des certificats vétérinaires d'information accompagnant les animaux accidentés à l'abattoir a été réalisée en juin 2018. Cette mise à jour ré-affirmait la ...

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L'arrêt cardio-respiratoire est une urgence médicale absolue dont le pronostic est très sombre même en présence d'une prise en charge rapide et adaptée. En effet, en médecine vétérinaire, si les taux de retour à la circulation spontanée sont généralement de l'ordre de 30 à 50%, les taux de survie finale peinent à dépasser les 10%. Afin d'améliorer la prise en charge de l'arrêt cardio-respiratoire chez les animaux de compagnie, une vaste synthèse bibliographique des données scientifiques existant dans ce domaine a permis l'élaboration de recommandations consensuelles sur la réanimation cardio-pulmonaire, publiées en 2012 par le collectif RECOVER. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'évolution de l'efficacité de la réanimation chez les chiens et les chats ayant présenté un arrêt cardio-respiratoire avant et après l'implémentation des recommandations RECOVER dans les protocoles de réanimation au Centre Hospitalier Universitaire Vétérinaire d'Alfort (CHUVA). Une étude rétrospective portant sur des cas d'arrêt cardiaque survenus entre Février 2014 et Avril 2016, réanimés selon la méthode « STANDARD » c'est-à-dire avant l'implémentation des recommandations RECOVER, a permis de réunir 25 chats et 36 chiens, chez qui les taux de survie finale étaient respectivement de 4,0% (1/25) et 5,6% (2/36). Puis une étude prospective portant sur des cas d'arrêt cardiaque survenus entre Juin 2019 et Mai 2021, réanimés selon le protocole « RECOVER », a permis de réunir 44 chats et 48 chiens, chez qui les taux de survie finale étaient respectivement de 9,1% (4/44) et 4,2% (2/48). Il n'existait pas de différence significative sur le taux de survie finale avant et après l'implémentation des recommandations RECOVER chez les chats et chez les chiens. En revanche, chez les chats, la durée de survie après retour à la circulation spontanée était significativement plus longue dans le groupe « RECOVER » (médiane = 9,75 heures) que dans le groupe « STANDARD » (médiane = 0,3 heure) (p = 0,04). De plus, le taux de récidive d'arrêt cardiaque parmi les chats initialement réanimés avec succès était significativement plus faible dans le groupe « RECOVER » (38,5%, 5/13) que dans le groupe « STANDARD » (85,7%, 6/7) (p = 0,04).[-]
L'arrêt cardio-respiratoire est une urgence médicale absolue dont le pronostic est très sombre même en présence d'une prise en charge rapide et adaptée. En effet, en médecine vétérinaire, si les taux de retour à la circulation spontanée sont généralement de l'ordre de 30 à 50%, les taux de survie finale peinent à dépasser les 10%. Afin d'améliorer la prise en charge de l'arrêt cardio-respiratoire chez les animaux de compagnie, une vaste synthèse ...

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La prévalence des boiteries en élevage bovin laitier n'a fait qu'augmenter depuis les années 1970. C'est un sujet de bien-être animal et économique d'importance. La douleur associée à la boiterie est particulièrement intense et répétitive. C'est pourquoi elle s'accompagne chez la vache d'un stress, d'un isolement, d'une diminution du temps de repos, d'une baisse de l'ingestion qui aboutit in fine à une baisse de la production laitière, à une diminution des performances de reproduction et à un risque accru de cétose. La clé dans la réduction de la prévalence et de l'impact des boiteries en élevage laitier est la détection et la prise en charge précoce. La guérison est alors rapide, les soins limités et peu coûteux. L'essentiel repose donc sur l'éleveur. L'objectif de cette thèse a été de mener une enquête auprès des éleveurs français pour connaître leur perception du sujet, leurs connaissances et leurs pratiques afin d'identifier les éventuels obstacles à la prise en charge des boiteries. Le questionnaire a été diffusé par internet. Nous avons obtenu 162 réponses. Nous avons pu observer des lacunes en matière de détection de boiteries (seules les boiteries et défauts d'aplomb de stade avancé sont détectés par la majorité des éleveurs) et aussi un manque d'observation (seul 44% des éleveurs déclarent pratiquer un temps d'observation quotidien). Il existe donc un problème de non-détection des boiteries. Une fois la boiterie détectée, une portion non négligeable d'éleveurs estime que la prise en charge n'est pas urgente ou réalise une prise en charge insuffisante (environ 75% dans le cas d'une atteinte légère à modérée, environ 20% dans le cas d'une atteinte importante, moins de 5% dans le cas d'une atteinte sévère). Pour soigner une boiterie, il est indispensable de lever le pied de la vache boiteuse et de lui parer le pied. Or, 21% des éleveurs déclarent ne jamais lever le pied ou le lever à la main et 46% des éleveurs déclarent ne jamais parer un pied par eux-mêmes. Beaucoup d'éleveurs ne sont donc pas en mesure de prendre en charge de manière précoce et autonome les boiteries dans leur élevage. La prise en charge initiée par les éleveurs est donc, dans beaucoup de cas, insuffisante. Le manque de prise en charge des boiteries des vaches laitières en France doit faire l'objet d'une amélioration. Il existe une réelle nécessité d'intervention des vétérinaires dans ce domaine.[-]
La prévalence des boiteries en élevage bovin laitier n'a fait qu'augmenter depuis les années 1970. C'est un sujet de bien-être animal et économique d'importance. La douleur associée à la boiterie est particulièrement intense et répétitive. C'est pourquoi elle s'accompagne chez la vache d'un stress, d'un isolement, d'une diminution du temps de repos, d'une baisse de l'ingestion qui aboutit in fine à une baisse de la production laitière, à une ...

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L'intérêt concernant les biomarqueurs sanguins tumoraux connait un véritable essor en médecine humaine comme vétérinaire. Un biomarqueur tumoral idéal permettrait de diagnostiquer une affection tumorale de manière précoce, de l'identifier spécifiquement et avec précision, d'établir un pronostic, de prédire son comportement notamment vis-à-vis des différentes solutions thérapeutiques, permettrait également de suivre son évolution dans le temps, et ce de manière non invasive et peu coûteuse. Pour l'heure, aucun biomarqueur répondant à tous ces critères n'a été mis en évidence, notamment en raison d'un manque de spécificité des principaux biomarqueurs protéiques étudiés jusqu'à présent. Toutefois un grand espoir est actuellement placé dans les biomarqueurs regroupés sous l'appellation de biopsie liquide ; les miARN circulants, l'ADN circulant tumoral et les cellules tumorales circulantes, qui pourraient se révéler être des outils performants utilisés couramment en clinique dans un futur proche. Les cellules myéloïdes suppressives (MDSCs) sont des cellules intervenant dans la régulation de la réponse immunitaire, et jouent un rôle majeur dans l'expansion tumorale. Il a été montré que leur taux sanguin (%MDSCs) est augmenté lors de processus néoplasique, particulièrement en phase tardive de développement. Il serait donc envisageable que le %MDSCs puisse être un biomarqueur diagnostique et pronostique, permettant de distinguer une affection tumorale précoce d'une affection tumorale en phase tardive de développement, et ainsi permettre d'adapter la prise en charge thérapeutique des patients. Le travail effectué dans cette thèse visait à déterminer le %MDSCs chez des chiens présentant une atteinte tumorale précoce d'une part et avancée d'autre part, afin de déterminer la capacité de ce marqueur à distinguer ces deux groupes dans le but de guider le choix du clinicien dans la prise en charge de ces individus. Nous avons pu mettre en évidence que le %MDSCs des chiens atteints de cancer peu avancé était significativement supérieur à celui des chiens sains (9,10%, EIQ = [5,7 – 13,15] % versus 2,8%, EIQ = [0,525 - 7,400] %, p = 0,001), mais ces %MDSCs restent proches et inférieurs à 10%. Toutefois, le groupe de chiens atteints de cancers avancés n'a pas montré d'augmentation significative du %MDSCs. Un travail réalisé sur un groupe plus important de chiens atteints de cancers avancés que dans cette étude serait intéressant pour obtenir une comparaison plus fiable de ces deux groupes. D'autre part, le suivi du %MDSCs de deux chiens a permis de montrer une évolution dynamique de celui-ci au cours du traitement de chimiothérapie. Ceci encourage la réalisation d'études supplémentaires sur un nombre plus important.[-]
L'intérêt concernant les biomarqueurs sanguins tumoraux connait un véritable essor en médecine humaine comme vétérinaire. Un biomarqueur tumoral idéal permettrait de diagnostiquer une affection tumorale de manière précoce, de l'identifier spécifiquement et avec précision, d'établir un pronostic, de prédire son comportement notamment vis-à-vis des différentes solutions thérapeutiques, permettrait également de suivre son évolution dans le temps, ...

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Les abcès et fistules sont fréquents au niveau de la tête et du cou chez le chien et sont le résultat de processus infectieux engendrés par l'introduction dans les tissus d'agents pathogènes, le plus souvent à la faveur d'un traumatisme. Leur persistance est couramment liée à l'existence d'une source d'inflammation et/ou d'infection (SOI) et notamment d'un corps étranger d'origine végétale. Leur prise en charge est chirurgicale et nécessite l'utilisation préopératoire d'un examen d'imagerie performant dans le but d'identifier et localiser une éventuelle SOI et d'obtenir la visualisation de l'étendue des tissus affectés et des structures anatomiques environnantes à risques, nombreuses dans cette région. L'objectif de cette étude rétrospective était d'évaluer l'apport du scanner dans la planification du traitement chirurgical des abcès et fistules au niveau de la tête et du cou chez le chien. Notre étude a porté sur 30 chiens opérés d'un abcès et/ou d'une fistule de la tête ou du cou après la réalisation d'un scanner préopératoire et pour lesquels nous disposions d'un suivi postopératoire d'au minimum 12 mois. Ces chiens ont été classés selon qu'une source d'inflammation et/ou d'infection a été identifiée au scanner (groupe 1) ou bien seulement suspectée en raison de la présence de cavité(s) (abcès) ou de trajets fistuleux (groupe 2). L'intervention chirurgicale a consisté en un strict retrait de la SOI (groupe 1), le parage et/ou l'exérèse en bloc des lésions visualisées au scanner (groupe 2). Aucun accident peropératoire n'a été rapporté. Une SOI a été retirée dans 90% (9 sur 10) et 25% (5 sur 20) des cas dans les groupes 1 et 2 respectivement. Le taux de guérison plus de 12 mois après l'intervention était de 100% et 90% dans les groupes 1 et 2 respectivement, sans complications majeures rapportées. L'utilisation préopératoire du scanner a permis un succès de la prise en charge chirurgicale des abcès et fistules au niveau de la tête et du cou chez 93% (28 sur 30) des animaux après une seule intervention. Le retrait d'une SOI lors de l'intervention n'a pas eu d'impact significatif sur la guérison des lésions avec toutes les limites d'analyse liées à la faible taille des effectifs étudiés. Il est intéressant de noter que le taux de guérison était de 100% lorsque la source d'inflammation et/ou d'infection avait été identifiée et retirée et que les deux récidives observées n'ont concerné que des chiens pour lesquels ni le scanner ni l'intervention n'avaient permis d'identifier une SOI.[-]
Les abcès et fistules sont fréquents au niveau de la tête et du cou chez le chien et sont le résultat de processus infectieux engendrés par l'introduction dans les tissus d'agents pathogènes, le plus souvent à la faveur d'un traumatisme. Leur persistance est couramment liée à l'existence d'une source d'inflammation et/ou d'infection (SOI) et notamment d'un corps étranger d'origine végétale. Leur prise en charge est chirurgicale et nécessite ...

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Introduit depuis quelques années dans l'arsenal thérapeutique vétérinaire en France, la thérapie LASER est une approche innovante dans la prise en charge du processus arthrosique chez le chien. Bien loin d'être une thérapie nouvelle, les données scientifiques disponibles jusqu'alors permettaient de mettre en évidence un réel intérêt dans de nombreuses indications, sans réellement en définir les limites et les mécanismes d'action, faisant planer une controverse sur sa réelle utilité en médecine vétérinaire. Cette étude bibliographique propose une révision de la littérature afin de permettre à tout clinicien de se faire sa propre opinion de l'intérêt de la thérapie LASER en médecine vétérinaire. Cette étude bibliographique s'adresse donc à tout clinicien voulant s'informer sur l'aspect technique et technologique des dispositifs LASER, mais aussi à toute personne désirant s'informer sur les mécanismes d'action à l'origine de l'efficacité de la thérapie LASER. Une attention particulière a été apportée à dégager l'aspect pratique. Sont aussi abordés le processus pathologique de l'arthrose, faisant office d'introduction à l'identification et la compréhension du réel intérêt de la thérapie LASER dans la prise en charge de l'arthrose de hanche chez le chien ainsi que l'actualisation des dernières données issues de la littérature récente. Le but de ce travail est d'apporter sa contribution à légitimer une pratique qui se démocratise de plus en plus, mais qui est encore bien trop méconnue par les vétérinaires.[-]
Introduit depuis quelques années dans l'arsenal thérapeutique vétérinaire en France, la thérapie LASER est une approche innovante dans la prise en charge du processus arthrosique chez le chien. Bien loin d'être une thérapie nouvelle, les données scientifiques disponibles jusqu'alors permettaient de mettre en évidence un réel intérêt dans de nombreuses indications, sans réellement en définir les limites et les mécanismes d'action, faisant planer ...

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Les consultations d'urgence ne peuvent pas être planifiées mais doivent être anticipées afin d'offrir au patient un environnement optimal et des réflexes de pratique adaptés à son état critique et à la nécessité de ne pas perdre de temps.
Cet abrégé des urgences vétérinaires fournit des outils efficaces au praticien et à l'étudiant vétérinaire. Il pourra accéder à des informations à jour des dernières recommandations suivant ses besoins :
par classe thérapeutique et principe actif sous forme de monographies des médicaments indispensables aux urgences
par geste technique ou examen complémentaire, rappelant les indications et normes de ces derniers
par situation d'urgence, les situations les plus courantes en pratique vétérinaire étant abordées
Les auteurs présentent de façon concrète les pièges à éviter, tout en expliquant ou rappelant brièvement le bien-fondé de chaque examen ou geste thérapeutique. Cet Abrégé espère ainsi répondre à toutes les questions pressantes du praticien en situation d'urgence.[-]
Les consultations d'urgence ne peuvent pas être planifiées mais doivent être anticipées afin d'offrir au patient un environnement optimal et des réflexes de pratique adaptés à son état critique et à la nécessité de ne pas perdre de temps.
Cet abrégé des urgences vétérinaires fournit des outils efficaces au praticien et à l'étudiant vétérinaire. Il pourra accéder à des informations à jour des dernières recommandations suivant ses besoins :
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